Wikipédia:Oracle/semaine 22 2010

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Bonjour

Je voudrais savoir si pour aller loin, il faut longtemps ?

À un escargot, oui, plus longtemps qu'à une Ferrari.jbdepradines (d) 31 mai 2010 à 09:57 (CEST)

Et qui veut voyager loin ménage sa monture. Lao-Tseu a fait remarquer avec beaucoup de perspicacité que le voyage de mille li a commencé par un pas. Le li valant 576 mètres et le pas, 75 centimètres, au prix actuel du dm^-3 de l'étalon-platine, ça fait, heu... je vais y réfléchir. Félix Potuit (d) 31 mai 2010 à 13:37 (CEST)

Moins qu'avant. Une autre question aussi indispensable: c'est quand qu'on va où ? --Doalex (d) 31 mai 2010 à 14:11 (CEST)

Avec un peu de chance un Trou de ver peut nous téléporter. Mais à quand la téléportation ? --NexRezzo (d) 31 mai 2010 à 15:05 (CEST)

Par chez nous, on dit que si tu creuses bien profond tu te retrouveras en Chine. Bon voyage! Félixggenest le 31 mai 2010 à 12:47 (HAE)

Bien alors viens boire une TsinTao chez moi, si t'arrives en Chine, Félix. _Bertrouf 1 juin 2010 à 11:13 (CEST)

J'ai corrigé le lien. Eh oui, encore un vestige de la colonisation allemande... Merci pour l'invitation, mais je crois que je suis persona non grata là-bas... Félix Potuit (d) 1 juin 2010 à 13:26 (CEST)

Le général d'Empire Jean-Pierre Ramel

Reporté vers la semaine suivante ( 23 ), dans l'espoir de plus fortes réponses

Manifestation - De la science et de la boule de cristal

L'Oracle n'est peut être pas le meilleur endroit pour poser une question scientifique, mais on peut toujours espérer...

Je viens d'entendre une journaliste portugaise (sur France Inter) parler des manifestations dans son pays en signalant qu'il y avait 100000 personnes selon le gouvernement et 300000 selon les syndicats. Apparemment il n'y a pas qu'en France qu'on ne sait pas compter puisque l'écart est souvent de 1 à 3 voire supérieur à 5 (une manif récente à Marseille).

J'ai entendu il y a quelques années un gendarme expliquer la méthode utilisée (n manifestants au m² x largeur de la voie x longueur du cortège) et celle des syndicats (durée de la manif

Ma question : parmi tous les médias qui nous informent, personne n'a jamais pensé à mettre une caméra sur un balcon pour filmer la rue, passer le résultat dans un petit logiciel chargé de compter les têtes passant une ligne virtuelle dans le bon sens, et donner un résultat ?

Après on pourra toujours discuter sur la définition du manifestant (on peut quitter le cortège en cours ou le rejoindre en cours, on peut traverser la ligne virtuelle sans être obligatoirement un manifestant, etc.) mais il me semble qu'on aurait une base plus solide que les méthodes statistiques citées ci-dessus.

À moins que les pythies aient une meilleure méthode ? --AnTeaX (d) 31 mai 2010 à 10:11 (CEST)

Je ne pense pas que l'enjeu en vaille la peine. Bien sûr c'est un commentaire personnel, mais dès lors qu'on a l'ordre d'idée...

Dans le même genre d'idée, comment quantifier une grève ? Donner le pourcentage de gréviste au plus fort de la manifestation ne prend pas en compte la durée. Donner le nombre de jours de perturbation ne donne pas le nombre de personnes, surtout si la grève est très suivie au début et s'étiole lentement. Donner le nombre d'heures totale grevées dépend du nombre d'employés, et si on divise par le nombre d'employés, il faut ajouter la différence entre "la SNCF" et "le personnel de la gare de St Lazare", ce qui n'est pas toujours facile. _Bertrouf 31 mai 2010 à 10:44 (CEST)

Conflit des 10 Sions

Si je résume :

1. Les médias ont-ils pensé à utiliser une technique de comptage par analyse automatisée d'un film de la manif ?

2. Y a-t-il une meilleure méthode ?

Mes réponses :

1. Je ne sais pas.

2. J'en doute fort, quelle meilleure méthode que de compter les gens un par un ? On pourrait aussi placer plusieurs caméras et chiffrer les flux de gens qui sortent du cortège ou y entrent en retard, pour avoir le nombre total de personnes ayant participé au cortège.

À Paris et d’autres grandes villes, la surveillance des stations de métro à l'entour du point de départ peut également donner des idées intéressantes ; on ne valide pas son titre de transport pour sortir, ce qui permettrait à la ratp d'avoir non seulement le nombre de manifestants mais l'identité de la plupart d'entre eux (ceux qui ont un passe navigo), c'est malheureux ; on peut toutefois s'intéresser au flux de voyageurs qui entrent quelque part sur le réseau peu avant le départ : pour une manif importante, on doit très nettement observer un pic, un million de voyageur en plus sur environ une heure, ça doit se voir. rv¹⁷²⁹ 31 mai 2010 à 10:49 (CEST)

Je me rends compte que j'ai posé une question sans vraiment tenter de répondre, alors oui, il existe des solutions logicielles de comptage de foule, utilisées par les professionels du marketing. Je reste persuadé que si ce n'est pas utilisé c'est parce que ce n'est pas une volonté, ni des policiers ni des organisateurs de manifestation. _Bertrouf 31 mai 2010 à 11:41 (CEST) Mais apparemment ça n’était pas ça la question ! Il est vrai qu’il est difficile d’être sûr de quelle est vraiment la question. rv¹⁷²⁹ 31 mai 2010 à 11:46 (CEST)

C'était bien ça ma question. Même si ça ne répond pas à l'interrogation : alors qu'on nous abreuve d'informations et qu'il existe des journalistes d'investigation, pourquoi n'y en a t'il pas un pour faire une petite expérience amusante et arrêter de nous bassiner avec les supputations des parties intéressées. --AnTeaX (d) 31 mai 2010 à 12:58 (CEST)

C’était la question, mais y répondre ne répond pas à la question.

Bon. Si la question est est-ce que des logiciels capables de faire ça existent ?, la réponse est oui (cf Bertrouf).

Si la question est est-ce que les médias y ont pensé ?, j’ai toujours pas mieux.

Si la question est pourquoi les médias ne le font-ils pas ?, je suis sûr que d’autres répondront mieux à cette question scientifique pour laquelle je me déclare incompétent (j’essaie juste de faire avance le schmilblick). rv¹⁷²⁹ 31 mai 2010 à 13:08 (CEST)

confiture d'edith

Il y a évidement des façons solides de savoir combien il y a de manifestants, exactement comme on sait précisément combien de gens sont rentrés dans une salle de concert ou ont voté. Ou, moins précis mais fiables, des méthodes caméra/logiciel. En l'occurence, ce n'est pas ça qui compte : ce qui compte vraiment c'est le discours sur la manifestation. On s'en fout de savoir s'il avait 10 ou 100 000 personnes, ce qui compte c'est que les syndicats affirment qu'il y en avait 100 000, que la mobilisation était massive, etc. ; dans cette optique il faut juste que le chiffre ne soit pas totalement invraisemblable.

Un média est essentiellement une caisse de résonance de discours produits ailleurs par d'autres. Bien qu'il puisse faire des enquêtes lui-même il n'a aucun intérêt à produire un chiffre "selon TF1" ou même "selon l'unité comptage des foules CNRS/INSEE" sur un sujet pareil. Au contraire, même, deux chiffres différents par deux sources ça fait de la matière à polémique, c'est bon, ça coco. gem (d) 31 mai 2010 à 13:09 (CEST)

Est-ce que c'est si important que ça, le nombre de manifestant, vu que tous les grévistes ne manifestent pas (et qu'éventuellement les manifestants ne sont pas grévistes, après tout si je vais manifester je peux emmener conjoint enfants et chien avec moi pour grossir le cortège...) ? Le nombre de grévistes est connu, dès la matinée, par les employeurs (dans mon administration les cadres doivent indiquer en milieu de matinée au directeur le nombre de gréviste dans leur équipe ; j'imagine que c'est pareil dans le privé), or ça me paraît être une information plus significative, non ? Asheka ^{[la vie est belle]} 31 mai 2010 à 13:14 (CEST)

Bonjour, voila les méthodes actuelles : ici. Après je pense que le conflit d'intérêt des deux parties influence les chiffres. Il me semble que la méthode utilisé par la police (plusieurs méthodes simultanément) soit plus fiable d'un point de vue mathématique. Je propose donc une méthode (simple ?!?) : on fait la moyenne des deux pondéré par le nombre de méthode utilisé par la police, moins un pour le conflit d'intéret avec l'état, et modulo de l'importance de la réforme contesté! hihi --NexRezzo (d) 31 mai 2010 à 13:36 (CEST)

Ça me rappelle l'histoire de cette star qui affirmait avoir été piétinée par ses fans lors de son dernier concert. - Ils étaient nombreux ? - Trois. Mais ils couraient en avant et en arrière. Félix Potuit (d) 31 mai 2010 à 13:49 (CEST)

Il suffit de tous les embarquer; et on les compte après. ;-) Il existe un article en:Crowd counting, mais il n'est pas très développé. -- Xofc ^{[me contacter]} 31 mai 2010 à 14:20 (CEST)

On compte les orteils et on divise par 10 :-) --90.58.50.170 (d) 2 juin 2010 à 00:11 (CEST)

Bonjour. Un reportage sur une expérience de ce genre avait été diffusé dans Archimède il y quelques années. J'en ai retrouvé une trace ici. Ça ne porte que sur une manifestation, et le comptage était manuel, mais ils mentionnent justement les difficultés pratiques qu'il y a à compter précisément le nombre de personnes (trouver un endroit adapté pour filmer n'est pas si simple). Nordald (d) 2 juin 2010 à 00:48 (CEST)

Sauvegarde en pire tout pire

Salut à tous, cela faisait longtemps que je n'avais pas interrogé mon devin préféré. Je m'étais intéressé il y a un an ou deux à la possibilité de faire des sauvegardes via un réseau pair à pair, l'idée me paraissant particulièrement ingénieuse et naturelle. je rappelle brièvement l'idée : je partage une partie de mon disque dur. En échange, je dispose d'un espace de stockage (en général une fraction de l'espace que je partage moi même) sur le réseau. Mes données sont chiffrées, et évidemment copiée avec une certaine redondance (d'où la nécessité d'avoir un ratio espace à ma disposition/espace que je partage inférieur à 1). Dans la mesure ou le prix du gigaoctet tendait à devenir (et est devenu) relativement faible, le principal problème de la sauvegarde devenait justement de pouvoir les stocker ailleurs que chez soi ou sur son lieu de travail, et d'y avoir accès de n'importe ou (en mode cloud computing). Bref, à l'époque je pensais que ca allait se développer très vite, il y a eu pas mal de travaux scientifiques sur le sujet, et j'étais persuadé que quelques logiciels (libres) allaient émerger. Et pourtant aujourd'hui je ne trouve pas grand choses, quelques solutions propriétaires, quelques logiciels à l'abandon.. Je trouve ca curieux. Est ce que j'ai raté quelque chose ? Est ce une idée déjà dépassée ? qu'en pensez vous ? Jobert (d) 31 mai 2010 à 13:32 (CEST)

Parce qu'ils se sont tous taillés avec mes fichiers... ;-) ...Un exemple serait bien venu. Gnutella? Sinon, un truc moderne un peu lié, c'est Git, un logiciel de gestion de versions utilisé pour les développement de Linux. Linus Torvalds aurait eu peu confiance dans ses propres backups; il compte sur les autres pour conserver les fichiers. Le problème, c'est de retrouver les bons. Chaque fichier (ou ensemble de fichiers) est adressable par une 'signature' SHA-1. Comme tout le monde recopie les fichiers de tout le monde et que les chances de rencontrer une même signature pour des fichiers différents, il 'suffit' d'en trouver un qui a la bonne signature. Et, ça, c'est très distribué, peer-to-peer et en plein essor. (Git est un des successeurs de CVS qui était centralisé) -- Xofc ^{[me contacter]} 31 mai 2010 à 14:36 (CEST)

Bonjour, Si tu cherche pour le stockage de fichier basique j'ai trouver un début de piste ici. L'article présente une offre de wuala (gratuit en dessous de un Go). Pour les logiciels libres je pense que le défaut vient du serveur central qui stock les trackers (qui répertorie les sources disponibles). Qui l'héberge ? Est-il fiable ? Sans compté qu'il est difficile de garantir fiabilité (ex : mon fichier à été supprimer par plusieurs utilisateurs!!) et disponibilité si tous le monde est anonyme. Et aussi : ce que je stock est-il légal? Ça pourrait être le paradis des botnets. Bref un sacré micmac, qui ne sera pas résolut à court terme. Mieux vaut se tourner vers une solution de stockage en raid et connexion ssh à la maison, ou une synchronisation des certains fichiers/répertoires avec une machine distante. Mais ce n'est que mon avis de sceptique et mon ordinateur ne sera pas septique lui! je viens de découvrir ce mot. --NexRezzo (d) 31 mai 2010 à 14:50 (CEST)

internet n'est pas perçu comme un espace sûr (et c'est justifié : c'est beau et généreux de mettre un espace à la disposition d'autrui, mais tu ne sais pas du tout ce qu'il va en faire) , lui confier ses sauvegardes n'a rien de naturel.

Je suppose que je ne suis pas le seul : j'ai acheté un DD externe que j'ai dédié à la sauvegarde (vendu en standard avec un logiciel de back-up, d'ailleurs). Je ne dépend pas d'internet, et il ne marche que quand je fais la sauvegarde (alors que si c'était un espace partagé, il faudrait bien que je le branche tout le temps). Certes je ne peut pas consulter tout ça n'importe où, mais ce n'est pas un besoin que j'éprouve, et pour emmener mes film sur mon lieu de vacance, mon DD externe fait aussi bien l'affaire.

gem (d) 31 mai 2010 à 14:58 (CEST)

Merci pour vos réponses. En fait, si c'est assez naturel dans le sens ou c'est "souple", résistants aux pannes/problèmes individuels. Evidemment, c'est un défi technique de faire en sorte que ca marche effectivement, c'est loin d'etre trivial mais il me semble qu'il y a eu pas mal de recherches dans ce sens. En pratique c'est un système qui aurait pas mal d'avantages. Ma question était plus de l'ordre de la curiosité, je ne cherche pas forcément une solution pour mon propre compte. j'ai aussi un DD dédié (!) à la sauvegarde, mais si on me cambriole ? Si je transforme malencontreusement ma cuisinière en bombe à forte puissance ? Si mon immeuble s'écroule ? Mon ordi et mon disque s'envolent, et je n'ai plus rien. c'est vrai que j'avais oublié l'existence de Git, si ca ca fonctionne ca peut m'etre utile par ailleurs, par contre. J'oubliais aussi de préciser qu'une alternative plus simple techniquement est de se baser sur un mode "friend to friend", càd d'avoir un réseau privé avec quelques amis, je sais qu'il existe des algorithmes performants qui gèrent intelligement la distribution/redondance des fichiers et qui garantissent une certaine disponibilité des données. Enfin je pense vraiment que c'est une technique viable, meme si compliquée à mettre en place. Jobert (d) 31 mai 2010 à 16:08 (CEST)

Je pense que ceux qui posent le problème de la privauté n'ont pas compris ce dont tu parlais. Il s'agit évidemment de partager des copies chiffrées et partielles du contenu de ton disque, pas les fichiers en clair comme c'est habituellement le cas pour le P2P. Tu compresses ton disque, tu le chiffres avec une bonne clé, tu le saucissonnes en milliers de morceaux que tu envoies à des personnes différentes, ça ne me semble poser aucun problème de sécurité. Par contre, il y a à mon avis un problème d'échelle. Si tu veux être à peu près sûr de retrouver la totalité de ton disque, ce n'est pas à 2 personne qu'il faut envoyer les données, mais à des milliers. Même si l'espace disque reste abordable, je doute qu'autant de gens soient favorables à stocker 1000 fois plus de données que celles qu'ils souhaitent conserver. La différence évidente avec le P2P traditionnel est que dans le P2P, tu utilises les fichiers stockés, tu ne le fais pas par pur altruisme. À mon avis, une bien meilleure méthode serait de stocker tes données sur des serveurs de stockage qui se mettent à jour mutuellement de manière automatique. Mais forcémentm ça serait payant. Arnaudus (d) 31 mai 2010 à 18:48 (CEST)

Oui, c'est ca l'idée. Mais je pense que les gens faisaient plus reference au fait que tu pouvais avoir sur ton disque des données illegales stockées par d'autres personnes (meme porblème que pour Freenet, typiquement. Ensuite, encore une fois oui c'est un défi technique, et c'est aussi pour ca que c'est interressant. Mais clairement le rapport n'a pas a être de 1 pour 1000, comme je disais des gens ont etudié la question et je pense que c'est jouable, à fortiori si on se base sur un reseau "F2F" qui sera plus fiable. Jobert (d) 1 juin 2010 à 13:24 (CEST)

Média indépendant?

Bonjour les pythies :-D

Dites, un média, s'il appartient à une agence de pubs, est-il indépendant? Je parles de Branchez-vous!, qui est propriété de BV! Media. BV! Media est une régie publicitaire qui possède plusieurs sites. C'est pas un grand groupe média qui a beaucoup de différents sites et journaux, mais tout de même je me demande si ça ne met pas en légitimité son indépendance face aux viles intérêts mercantiles (lol). Vous en pensez quoi?

Et, tant qu'à poster ici, Rue89 peut-il être considéré comme média indépendant? Connaissez-vous des médias indépendants (français ou autres) qui ne sont pas ici?

Merci les pythies! Félixggenest le 31 mai 2010 à 12:45 (HAE)

On est indépendant de quelqu'un ou quelque chose, jamais indépendant dans l'absolu. Un média est forcément dépendant de son propriétaire ! Grasyop ^✉ 31 mai 2010 à 23:00 (CEST)

Évidemment. Mais en tenant compte du concept de média indépendant, en ne prenant pas l'expression mot par mot dans leur sens le plus profond, je crois qu'il y aurait réponse possible à pouvoir me donner. Non? Félixggenest le 31 mai 2010 à 20:54 (HAE)

Le Canard Enchaîné n’appartient qu’aux journalistes qui y travaillent et ne fait pas de publicité. rv¹⁷²⁹ 1 juin 2010 à 07:47 (CEST)

Bonjour, je pense que BV Média est un média indépendant d'après la définition que vous en faite (je ne connais pas personnellement). L'indépendance pour un média se caractérise par une liberté d'expression, et aucune pression extérieur. Exemple le Journal du dimanche n'est pas indépendant cf l'article sur Rue89. --NexRezzo (d) 1 juin 2010 à 10:37 (CEST)

AMHA (et c'est parfaitement TI) :

média indépendant ça m'a tout l'air d'être médiatique, comme concept. Le principe du média, c'est d'être un intermédiaire, de relier des gens qui veulent dire des choses à des gens qui veulent les entendre/lire/voir. Comment un machin pareil pourrait-il être indépendant, alors qu'il est tenu aux deux bouts de la chaîne ?

L'indépendance, ça suppose évidemment qu'on ne dépend pas des annonceurs ni du gouvernement, mais aussi

1)qu'on ne recopie pas une matière puisée auprès de gens qui ont des choses à dire/montrer (les annonceurs ne sont pas les seuls, il y a aussi les politiques, les organisateurs sportifs, les producteurs culturels, etc.) : on produit soi-même sa matière, suivant son propre agenda ;

2)qu'on ne module pas son contenu en fonction de son audience, qu'on produise toujours le même contenu qu'on ait 100 000 lecteurs ou seulement 10. Autrement dit, qu'on se foute aussi du lectorat (sur le plan quantitatif, pas sur le plan qualitatif, hein), ce qui peut produire des tendance un peu maso (du genre "je suis d'autant plus conforme à ma ligne éditoriale d'indépendance qu'il y a moins de gens qui me regarde").

L'appellation media n'est alors pas vraiment adapté (il est d'ailleurs significatif que le mot est apparu relativement tardivement, quand la course à l'audience et au contenu sont devenu apparents ; au temps du journal d'opinion le concept n'avait rien d'évident)

Le canard est indépendant mais je ne crois pas qu'il se revendique lui-même "media indépendant" : tout le monde lui reconnait son indépendance, il n'a donc pas besoin de la revendiquer à tout bout de champs.

gem (d) 1 juin 2010 à 10:50 (CEST)

En effet, je ne voyais pas les chose sous cet angle. Ma définition d'indépendance est vraiment trop simpliste. En faisant quelques recherches je suis tombé sur un recueil qui regroupe plusieurs d'articles traitant du sujet. J'aime beaucoup le document 8 qui dresse une carte des relations entre les medias. --NexRezzo (d) 1 juin 2010 à 12:10 (CEST)

diamant de plomb

Bonjour oracle, La question que je me pose est la suivante : un diamant ( ou n'importe quel allo trope comme le graphite ) issu du carbone, est il possible pour un autre élément de la même colonne de la classification périodique ? Peut on imaginer un diamant de silicium, de germanium, d'étain ou de plomb ? Et sinon pourquoi ? merci de ta réponse, oracle— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.205.89.189 (discuter), le 31 mai 2010 à 19:59

Le réseau dans lequel cristallise un élément chimique ne dépend pas forcément de sa position dans le tableau périodique, mais plutôt de ses propriétés chimiques intrinsèques. La structure diamant est un réseau particulier : CFC dont 4 des 8 sites tétraèdriques sont occupés par un atome. Le carbone, le silicium et le germanium peuvent cristalliser dans ce type de structure car ils sont hybridés sp³. Le plomb étant un métal, il ne peut pas réaliser de liaison covalente (voir liaison métallique) et cristallise en CFC. L'étain est aussi un métal et cristallise en un réseau quadratique, mais il existe également sous la forme structure diamant (allez savoir pourquoi !). Pour le graphite, c'est spécifique de l'élément carbone car il faut créer des liaisons sp² et délocaliser les électrons dans un système entièrement aromatique. Tachymètre ^(me parler) 31 mai 2010 à 21:12 (CEST)

Ça c'est une réponse ! Et est-ce qu'un diamant de silicium, germanium ou étain présente des propriétés optiques et/ou de dureté similaires à celles d'un diamant de carbone ? Grasyop ^✉ 31 mai 2010 à 22:56 (CEST)

La couleur

La surface d'un objet ré-émet de la lumière par réflexion et diffusion. La matière étant majoritairement constituée de vide, les ondes lumineuses non réfléchies en surface peuvent passer au travers. C'est pour cela que le carbone diamant est transparent. Certains matériaux sont colorés parce que leurs atomes ont une fréquence de résonance située dans le visible. C'est le cas du carbone graphite, à cause de sa très forte conjugaison, qui absorbe tout le spectre visible.

Les métaux de transition (bloc d)

Les métaux de transition s'agglomèrent entre eux en formant une liaison métallique totalement délocalisée : les noyaux « baignent » dans un nuage électronique formé par l'arrachage de quelques électrons de leur cortège électronique. Les électrons libre absorbent dans tout le domaine visible, ce qui rend les métaux noirs. Mais leur surface réfléchit la lumière incidente (à hauteur de 80 à 90 % pour les plus brillants), ce qui donne cet aspect métallique gris.

Il y a quelques exceptions : l'or est jaune et le cuivre est rouge, parce que les électrons du cortège électronique absorbent une bande spécifique de la lumière visible et la ré-émettent. Exemple du cuivre : 20 % de la lumière visible est absorbée dans le métal, sauf la bande rouge, qui est absorbée par les atomes en surface (Théorie du champ cristallin ?). Cette lumière rouge est alors ré-émise vers l'extérieur ! Résultat : à la surface, 80 % de la lumière bleu-verte est réfléchie, et 100 % de la lumière rouge est réfléchie. D'où la teinte rouge.

Les métaux pauvres (bloc p) et les métalloïdes

On fait intervenir l'orbitale p. Le silicium, le germanium et l'étain sont à l'interface de la liaison purement covalente (carbone) et de la liaison purement métallique (plomb). Ces trois éléments partagent donc ces deux propriétés physiques. Les atomes n'absorbent pas (ou de manière négligeable) dans le visible et forment une structure diamant transparente. Mais ils délocalisent une partie de leurs électrons, qui eux absorbent tout le visible. En surface, il y a de nouveau réflexion et diffusion. D'où leur couleur métallique.

La dureté

N'ayant aucune notion en physique des matériaux, je ne saurais dire si la structure diamant est la seule cause de la dureté. Ils seront de toutes façons moins durs que le diamant, puisque la liaison métallique est plus faible que la liaison covalente.

Pour approfondir le sujet de la couleur, voici le lien que j'ai utilisé : [1]. Tachymètre ^(me parler) 1 juin 2010 à 10:47 (CEST)

Le carbure de silicium a une dureté de 9,5 environ sur l'échelle de Mohs, soit presque autant que le diamant (10). En outre il est utilisé en bijouterie comme imitation du diamant, j'imagine qu'il a donc des propriétés optiques proches. — Carlotto 1 juin 2010 à 10:20 (CEST)

Le carbure de silicium SiC cristallise dans un réseau de type pechblende, qui est en tous points similaire au réseau type diamant, à l'exception que les 4 sites tétraèdriques sont occupés par des atomes de silicium. Tachymètre ^(me parler) 1 juin 2010 à 10:47 (CEST)

Russe

Bonjour, Je cherche à savoir comment se disent les prénoms Charles et Charlie, ainsi que leurs dérivés affectueux, en russe et comment ils sont translittérés en français. Merci--Le ciel est par dessus le toit (d) 1 juin 2010 à 10:34 (CEST)

« Charles » se dit « Карл », transcrit en « Karl ». Je ne connais pas les diminutifs par contre. — Carlotto 1 juin 2010 à 10:59 (CEST)

Карлик veut dire nain... c'est une sorte de diminutif, finalement... En polonais il y a semble-t-il Karolek et Lolek. Il y a plein de diminitifs russes sur [2], mais rien pour Karl, sans doute parce que ce n'est pas un prénom russe mais allemand. Je vais tâcher de me renseigner pour savoir si ça existe malgré tout. Félix Potuit (d) 1 juin 2010 à 13:37 (CEST)

Merci --Le ciel est par dessus le toit (d) 1 juin 2010 à 17:31 (CEST)

Après enquête, il paraît qu'on peut trouver malgré tout en russe Karloucha, mais ça n'a pas l'air très fréquent. Félix Potuit (d) 2 juin 2010 à 19:14 (CEST)

Louise Bourgeois a-t-elle crée une oeuvre : "Fillette" (= un pénis bifide) ?

Hello chères Pythies ! J'ai entendu parler à la radio de Louise Bourgeois récemment décédée , et le psychanaliste en herbe qui sommeille en moi a dressé l'oreille en apprenant qu'elle avait (rappel de l'adultère ancillaire de son père ?...) produit une oeuvre (sculpture? peinture ? dessin ? ) appelée "Fillette" , et représentant un pénis bifide. Or je ne la (le?) vois pas répertorié(e), même dans l'article de WP:en "List of art-works of L.B.". Quid ? Merci d'avance de m'éclairer ! ( & si quelqu'un a une photo...) . Bien cordialt Arapaima (d) 1 juin 2010 à 10:38 (CEST)

Tu peux voir l'image ici [3], vers le milieu de l'article. --Le ciel est par dessus le toit (d) 1 juin 2010 à 10:46 (CEST)

Merci ++++ , Ciel...Ah ouaiaiaiaiais, c'est trés soixante-huitard...Une fillette, mouaiaiaiaiais....Moi je ne vois qu'un godemiché de 2 pieds de long en latex, pas bifide du tout. Et quant à y voir (comme la dame qui a écrit le commentaire) "un clown avec un drôle de chapeau, et deux grosse chaussures..." ...Sigmund, Hilfe !!!!. Arapaima (d) 2 juin 2010 à 17:18 (CEST)

Si tu t'imagines, fillette, fillette, si tu t'imagines, xavaxavaxa... Félix Potuit (d) 5 juin 2010 à 09:03 (CEST)

Droit des nations

Bonjour, Je me pose une question depuis ce matin : qui autorise ou interdit à une nation/armée nationale des actions militaires? Par exemple, les États Unies d'Amérique qui attaque l'Irak, ou encore la Russie qui à la main mise sur toute la Tchétchénie? Mais il y a également des nations qui n'ont pas ce droit. Par exemple, la Corée du nord est limité dans ses actions militaires (ce qui est à mon avis plutôt une bonne chose), Iran et le nucléaire, etc. Ma question s'oriente sur le droit générale, mais à l'origine je me demandais : Quelle loi autorise ou n'autorise pas Israël à tirer sur les bateaux humanitaires ? Quelle est la législation qui traite ces problèmes ? Merci --NexRezzo (d) 1 juin 2010 à 11:42 (CEST)

Bah à la base, c'est plus ou moins la loi du plus fort. Puis viennent les conventions et autres traités internationaux. Enfin, l'ONU donne son avis, qui reste principalement consultatif. Mais le principe général, c'est quand même que quand les États-Unis envahissent l'Irak, personne ne dit rien, alors que si la Corée du Nord envahit le Sud, c'est une guerre mondiale. Arnaudus (d) 1 juin 2010 à 12:55 (CEST)

ben c'est facile, c'est le gouvernement du pays qui autorise ou interdit des actions militaires à son armée nationale (ou éventuellement à des sous-ensembles : concept de "garde nationale" aux USA par exemple).

La Corée du nord fait ce qu'elle veut, par exemple, y compris couler des navires sud-coréen ou balancer des missile par dessus le Japon.

Il y a quand même des conventions internationales, que les pays signent ou pas, et respectent ou pas quand ils les ont signés.

La limite, c'est le risque de guerre ou, sans aller jusque là, de divers désagrément diplomatique, commerciaux, etc. Ce qui nous ramène à la loi du plus fort, comme opportunément rappeler plus haut.

Essaye par exemple de faire entrer un bateau "humanitaire" (plein d'immigrés, au hasard) en France... et si d'aventure tu pousses la plaisanterie jusqu'à attaquer à l'arme blanche les militaires qui vont s'occuper de ton cas, tu ne sera pas à l'abri d'une "bavure" non plus. gem (d) 1 juin 2010 à 13:01 (CEST)

Merci pour les réponses. Et espérons que la loi du plus soit toujours la meilleur. --NexRezzo (d) 1 juin 2010 à 13:34 (CEST)

Voir aussi Droit international public. (mais l'article a été vandalisé et mériterait une relecture) -- Xofc ^{[me contacter]} 1 juin 2010 à 15:47 (CEST)

Merci. En effet, on ne comprend pas bien le sens. La version anglaise est plus complète, et se permet même d'avoir une page complète sur l'histoire du droit international. Je lirais tous cela ce soir. --NexRezzo (d) 1 juin 2010 à 16:55 (CEST)

Je pense qu'il est utile de préciser que dans le cas de l'Abordage de la flottille pour Gaza (qui il me semble est à l'origine de la question initiale), l'événement s'est déroulé en Haute mer, or, dans cette zone, le principe de liberté prévaut (liberté de navigation, de survol, de pêche, de recherche scientifique...). On ne peut arraisonner un bateau dans les eaux internationales que si le début de la poursuite a commencé dans une zone relevant de la juridiction de l’État poursuivant, ce qui n'est pas (je crois) le cas ici. En gros, AMHA, Israël a agit en dépit des conventions internationales (mais ce n'est pas le seul état bien évidemment à agir de la sorte). Cobra Bubbles ^{Dire et médire} 1 juin 2010 à 19:09 (CEST)

Oui, il y a aussi un article 'Piraterie moderne'. -- Xofc ^{[me contacter]} 2 juin 2010 à 06:10 (CEST)

Marée, cendrillon

Marée à Nosy Bé

Cher Oracle, Je suis en train de consulter les marées de Nosy Bé, à Madagascar, et je reste coi : Le 26 juin 2010, en pleine lune, la marée est basse à 09h59. Pourtant, pleine lune est symbole d’opposition . Hors, à 09h59, le soleil est quasiment au zénith, donc la Lune aussi, mais de l’autre coté du globe. On devrait donc être en marée haute. Idem en nouvelle lune. Le Cours des Glénans parle d’une certaine inertie. Suffit-elle à expliquer un tel décalage de 4 heures ?

Il me semble que la force créée par la Lune est plus importante que celle créée par le Soleil ; la Lune est prépondérante. Si la Lune est « derrière » Nosy Bé et le Soleil au zénith, c'est peut-être pour cette raison que la marée est basse. — Carlotto 1 juin 2010 à 17:20 (CEST)

Non, LeBelot a raison, si la Lune est au nadir, la marée doit être haute.

Mais selon le profil des fonds, côtes, etc... il y a des décalages... je n’ai aucune idée des ordres de grandeur que ça peut atteindre. rv¹⁷²⁹ 1 juin 2010 à 18:44 (CEST)

La marée à Brest précède celle de Boulogne d'environ huit heures. le sourcier ^{[on cause ?]} 1 juin 2010 à 20:51 (CEST)

Sinon, il existe aussi un article 'Calcul de marée' plein d'intégrales et de lettres grecques (avant même de tenir compte de la forme des côtes et de la profondeur de l'Océan). -- Xofc ^{[me contacter]} 2 juin 2010 à 06:51 (CEST)

c'est indiqué à force de marée : contrairement à la croyance populaire, la marée n'est pas du tout en phase avec la lune, elle est en retard de phase de près de 90° (environ 6 heures), auquel s'ajoutent des effets topographiques importants qui expliquent les marnages records au Mont St Michel ou inversement les marnages ridicules en méditerranée. Donc prévoir 6 heures de décalage, si tu n'en constate que 4 ça peut venir de la topographie, d'un problème d'heure légale ou d'un petit décalage entre la position réelle de la lune et celle que tu estimes avec l'heure solaire gem (d) 2 juin 2010 à 11:09 (CEST)

Cendrillon

Deuxième question (Je reviens de 50 jours de mer, on le temps de s’en poser) : Pourquoi, dans le dessin animée de Cendrillon, la chaussure dessinée est en verre, alors que dans le texte, il s’agit de vair (fourrure de petit gris). Un francophone aurait pu faire l’erreur, mais il ne me semble pas que la production de Walt Disney soit francophone. Quelle chaîne d’événements nous amène à une telle erreur ?

--LeBelot (d) Vive le bépo 1 juin 2010 à 16:39 (CEST)

Alors pour Cendrillon, il faut lire Controverse sur la composition des pantoufles de Cendrillon. Et même dans WP on a des incohérences comme ceci : Cendrillon ou la petite pantoufle de verre, dont la 1ere ligne mentionne du vair et non verre (erreur à mon avis). (Mitch)² 1 juin 2010 à 16:53 (CEST)

Bravo, même si la page à laquelle tu renvoies ne répond pas à la question (il y a polémique), on ne peut avoir meilleure réponse. --LeBelot (d) Vive le bépo 1 juin 2010 à 17:15 (CEST)

Il n'y a pas de polémique. La pantoufle a toujours été de verre dans le conte, mais Balzac trouvant cela trop improbable a préféré y voir une confusion entre deux homophones. Agrafian (me parler) 1 juin 2010 à 17:18 (CEST)

Ou alors, c'est la pantoufle à Dewaere. Félix Potuit (d) 1 juin 2010 à 17:25 (CEST)

Argh ! Arf ! Rrrhââ ! vite, mes sels ! Morburre (d) 1 juin 2010 à 18:26 (CEST) Non, je ne dirai rien. Je viens de re-reverter l’incohérence due à une IP particulièrement stupide.

Parfaitement transparent, assez rigide pour qu'un seul pied n'y fasse, mais assez souple et léger pour pouvoir danser dessus pendant toute une soirée. Ça ne pouvait être ni du verre ni du vair. Il fallait que ce soit des escarpins coulé d'une seule pièce en Unobtainium ou rien ! Iluvalar (d) 3 juin 2010 à 05:23 (CEST)

marées dans les Antilles

Troisième question : Pourquoi n’y a-t-il pas de marées dans les Antilles, alors qu’elles sont énormes en Bretagne ? Merci, cher Oracle, pour tes réponses avisées…

--LeBelot (d) Vive le bépo 1 juin 2010 à 16:39 (CEST)

J'ai splitté en 3 pour plus de lisibilité dans les réponses, ne m'en veut pas (Mitch)² 1 juin 2010 à 16:53 (CEST)

L'article Point amphidromique répondra à ta question, avec sa belle carte, ainsi que l'article marée#Autres facteurs influant sur les marées. Dhatier ^jasons-z-en 1 juin 2010 à 17:02 (CEST)

Démontrer qu'une fonction est majorée par x, ou minorée par un autre x

Bonjour les pythies

Pourriez-vous m'aider ? J'ai quelques interrogations suite à un exercice de mathématiques :

1. La majoration d'une fonction f(x) s'exprime-t-elle bien avec un réel x (donc sur l'axe des abscisses) ?
2. Pourtant dans mon manuel j'ai bien « Un majorant A est tel que, pour tout x de Df, alors f(x) ≤ A. » Donc le majorant devrait s'exprimer sur l'axe des ordonnées, non ...
3. Si oui en 1, alors le maximum d'une fonction s'exprime donc par y ou f(x) sur l'axe des ordonnées ? pfffiouu ...
4. Je dois prouver qu'un chiffre est le majorant d'une fonction, comment dois-je m'y prendre ?

Mon cours est plutôt incomplet sur ce thème...
Merci ! .Anja. (d) 1 juin 2010 à 17:28 (CEST)

Je vais essayé de t'aider (m'enfin bon).

Le majorant est, pour tout x, la valeur y maximum d'une fonction (si valeur maximum il y a). On majore donc une fonction en plafonnant l'axe des ordonnés (pour être concret, on trace la droite horizontale passant par le point le plus haut de la courbe, aucun point de celle-ci ne pouvant donc se trouver strictement au-dessus). Mais ce majorant est bel et bien définit selon x, car c'est la valeur la plus élevé de f(x). Note bien que je te dis des conneries : il n'y a pas qu'un majorant, mais une infinité (car si y = 4 majore ta courbe, alors y = 5, 6, 7, etc. la majorera aussi).

Bon. Un majorant est donc une valeur de y notée A telle que f(x) ≤ A. Donc si on te donne une valeur de A, il faut vérifier l'inéquation pour affimer ou infirmer que c'est un majorant.

Agrafian (me parler) 1 juin 2010 à 17:44 (CEST)

(conflit d'édition)

1. C'est présenté bizarrement, mais un majorant d'une fonction se place effectivement sur l'axe des ordonnées.
2. cf 1.
3. Le maximum d'une fonction est le réel M tel que pour tout x, f(x) <= M et il existe a tel que f(a) = M. (Autrement dit, c'est le plus petit des majorants, ou encore c'est un majorant dont la fonction prend la valeur en au moins un point.)
4. Il y a pas mal de manières de faire cela, ça dépend des données du problème et de l'expression de la fonction… — Carlotto 1 juin 2010 à 17:46 (CEST)

Un cas concret pour illustrer : f: x->sin(x) est majorée par 1 car il n'existe aucun x réel tel que f(x)>1. La parabole f4 ci-contre est majorée par 0.1 pour les mêmes raisons (il n'existe aucun x réel tel que f4(x)>0.1, mais aussi par f3 (il n'existe aucun x réel tel que f4(x)>f3(x) ). (Mitch)² 1 juin 2010 à 18:00 (CEST)

1. Contrairement à ce que dit Agrafian au début de son message (qui m’a tellement fait bondir que j’ai pas lu la fin avant de répondre), un majorant est une valeur M que la fonction ne dépasse jamais, mais pas forcément le maximum de la fonction. Exemple : la fonction f(x) = sin(x) est majorée par M = 2. Elle l'est aussi par M = 1, qui est le maximum de la fonction. Autre exemple : la fonction f(x) = 1 - 1/(1+x²) est majorée par M = 1 ; elle n'a pas de maximum.
2. Si tu veux placer un majorant sur un graphe, il faut en effet le placer sur l’axe des y. Tu peux tracer la droite horizontale d'équation y = M, elle doit être toujours au-dessus du graphe de la fonction.
3. Par une valeur sur l’axe des y, mais pas forcément de la forme y = f(x), comme l’illustrent (j’espère) les exemples donnés.
4. Il n’y a pas le majorant mais des majorants, il n’y a pas unicité. Tu appelles M le nombre dont tu veux montrer qu’il est un majorant de la fonction et tu essaies de montrer que pour tout x, on a f(x) < M. Pour le second exemple : pour tout x, on a 1+x² > 0 et donc (l’inverse d’un nombre positif étant positif) 1/(1+x²) > 0, et par suite 1-1/(1+x²) < 1... par exemple. rv¹⁷²⁹ 1 juin 2010 à 18:53 (CEST)

Oui, au milieu de ma réponse je me suis rendu compte que je disais une connerie. Je me ratrape ensuite (enfin j'espère). Agrafian (me parler) 1 juin 2010 à 19:37 (CEST)

Oui oui ! rv¹⁷²⁹ 1 juin 2010 à 21:18 (CEST)

Bonjour, pour majorer une fonction le plus standard (au sens où cela marche presque tous le temps, les fonctions cyclique passe à la trappe) c'est de passer par la dérivé. Résoudre l'équation f'(x) = 0 pour trouvé les extremums locaux. Puis on écrit un tableau de variation, grâce au quel on peut déterminer le maximum et donc majorer la fonction au plus proche (au maximum).Il y a un exemple de tableau de variation ici. --NexRezzo (d) 1 juin 2010 à 23:15 (CEST)

Ce n’est pas une très bonne méthode (les fonctions avec des points non dérivables ne manquent pas ; résoudre littéralement f'(x) = 0 n’est pas toujours possible ; et il ne faut pas oublier les limites à l’infini !) mais c’est intéressant de voir ce qui reste dans la tête des gens quelques années après... je penserai à l’occasion à matraquer les étudiants sur ce genre de sujet. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 07:32 (CEST)

Hehe, merci de me citer au près d'eux j'ai toujours voulu être un persécuteur . Plus sérieusement, la cause est probablement le taux d'utilisation, et l'étude de fonction à occupé une grande partie de mon programme de lycée. --NexRezzo (d) 2 juin 2010 à 09:54 (CEST)

C’est très clair, pour finir c’est ça qui reste, un peu comme un couteau suisse. Les étudiants ne pensent jamais non plus à prouver qu’une fonction est (dé)croissante parce qu’elle est composée de fonctions (dé)croissantes, ils passent toujours par un calcul de dérivée. (Exemple : variations de x → 1/ln( x² + e^x) pour x>0... amuse-toi bien pour calculer la dérivée ! Par contre il est trivial que x → x² + e^x est croissante pour x>0, ensuite on compose par x → ln(x) qui est croissante, puis par x → 1/x qui est décroissante... conclusion...) Pourtant ils ont fait comme ça pendant un an en seconde, avant d’apprendre à dériver. Même chose pour l’équation quadratique : très intelligemment les programmes prévoient (ou prévoyaient, je ne sais plus ce qu’il en est) qu’on apprenne à mettre « sous forme canonique » avant d’ânonner Δ = b² - 4ac, un an après plus personne ne sait faire autre chose qu’une application bête et méchante de la formule.

Les mathématiques se construisent de façon incrémentielle, c’est une des grosses difficultés de la matière. En histoire-géo si tu as complètement oublié les cours de cinquième sur la production de céréales dans le monde tu n’as pas trop de problèmes quand-même pour aborder le chapitre sur la seconde guerre mondiale. En maths si tu ne sais pas bien additionner les fractions, si tu as oublié les identités remarquables, t’es mal barré pour toute la suite. Les exemples comme ceux que j’ai cité sont des choses qu’ont peut à la rigueur oublier temporairement... jusqu’au jour où ça craque. Il est toujours possible de se prendre la tête à deux mains et de se rafraîchir la mémoire...

Bon de toutes façons l’enseignement des maths est à mon avis un gros échec, j’en aurais des masses à dire, on va abréger. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 10:12 (CEST)

Merci déjà pour les question 1 à 3.
J'avais déjà déterminé la dérivée de ma fonction, qui est f '(x) = -x²+1 / (x²+x+1)² selon la règle qui énonce que la fonction dérivée de u/v est (u'v - uv' )/ v² (la fonction f(x) étant x / (x²+x+1)).

« Tu appelles M le nombre dont tu veux montrer qu’il est un majorant de la fonction et tu essaies de montrer que pour tout x, on a f(x) < M. » Sur ce coup-là, j'ai compris . Mais comment procéder ? Mon majorant doit être 1/3...
Je prends au hasard des chiffres de part et d'autres ? Mon correcteur ne devrait pas apprécier ce manque de rigueur (enfin, il n'a qu'à faire des cours qui tiennent la route remarque...)

D'après une réflexion empirique, j'ai déjà x=1, lorsque le majorant y=1/3 (?). Cela peut-il m'être d'un aide quelconque ? Merci d'avance, .Anja. (d) 2 juin 2010 à 10:44 (CEST)

Commence par l'attaque brutale, avant de dériver n'importe quoi n'importe comment : u(x)/v(x) < A <=> u(x) < A.v(x) <=> A.v(x) - u(x) > 0 <=>... Tu malaxe tout ça jusqu'à tomber sur une expression dont le signe est évident, en fonction de A et de x (ou, plus simple, valable pour tout x : si ça donne un carré par exemple). gem (d) 2 juin 2010 à 11:35 (CEST)

et maintenant :

Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…

Tu écris sur ton brouillon :

${x \over x^{2}+x+1}<{1 \over 3}$

$3x<x^{2}+x+1$ (sous réserve que $x^{2}+x+1>0$ ?!)

$x^{2}-2x+1>0$ (youpi, une identité remarquable !)

$(x-1)^{2}>0$ (et paf !)

Et à partir de là tu as la matière pour produire une rédaction plus... académique. En particulier en vérifiant que le « sous réserve » est ok, en n’écrivant pas des choses qui ne sont qu’à peu près juste, tout ça tout ça ! rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 11:38 (CEST)

Sinon, la méthode NexRezzo fonctionne aussi dans ton cas, à condition que tu ais droit aux tableaux de variation. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 11:42 (CEST) Ce majorant se trouve être le max de la fonction. Ça minerve.

Ou bien

${x \over x^{2}+x+1}-{1 \over 3}=-{(x-1)^{2} \over x^{2}+x+1}$ (plus détails genre x²+x+1>0 car x²+x+1 = (x+1/2)² + 3/4), ce qui est sans doute la rédaction la plus rapide et la plus facile à écrire proprement -- mais pas la plus facile à imaginer au premier abord. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 17:29 (CEST)

Ouf... c'est loin les math, mais d'instinct je me dit que si tu peux prouver que f(x) ne passe ni par +∞ ni par -∞ et que la fonction est continue, tu peux résoudre en trouvant tout x pour f'(x)=0 puis en repassant ces x dans f(x) pour trouver le max et le min parmi ces résultats. non ? Iluvalar (d) 3 juin 2010 à 05:51 (CEST)

NAN ! Déjà on ne passe pas par +∞ ou -∞, ça n'a aucun sens (.Anja. bouche-toi les yeux !). Ensuite tu confonds continue et dérivable. Enfin, on ne cherche pas le min et le max mais un majorant (et éventuellement un minorant). Et pour finir prend f(x)=x, ça n’est pas une fonction majorée et sa dérivée ne s’annule jamais : tu fais quoi avec ta méthode ? Si une fonction est continue et que tu as droit au théorème de Weierstrass tu peux te contenter d’étudier les branches infinies, mais je doute que ça soit le cas d’.Anja..rv¹⁷²⁹ 3 juin 2010 à 07:36 (CEST)

Je vois pas en quoi la fonction x → x est un contre-exemple à l'idée d'Iluvalar : la dérivée ne s'annule pas, donc il ne trouve pas de maximum/majorant, et la fonction n'en admet effectivement pas ; où est le problème ? En revanche, on peut indiquer la fonction Arctan, dont la dérivée ne s'annule pas non plus, et qui est néanmoins majorée. Et la fonction x → x³ a une dérivée nulle en 0 sans pour autant être, ni majorée, ni minorée. Grasyop ^✉ 3 juin 2010 à 11:59 (CEST)

La dérivée d'arctan tend, en fait, vers 0 quand Y tend vers l'infini on y trouve effectivement le maximum à cet endroit. Et x³ = ∞ exactement quand $x={\sqrt[{3}]{\infty }}$ et n'est effectivement pas majoré pour cette même raison. Quoique, je sens que rv va me chauffer les oreilles parce que je dis une hérésie et qu'il vaux mieux pour .Anja. de ne pas m'écouter (ce qui n'est peut-être pas faux).

Iluvalar (d) 4 juin 2010 à 02:55 (CEST)

En ce qui concerne f(x)=x, la dérivée ne s'annule pas en ∞, as-tu remarqué ? Mince, une fonction dérivable qui atteint son maximum sans que sa dérivée s’annule ? Mais keusseupasse-t-il ?

Tu peux travailler sur des fonctions définies sur la droite projective ou sur la droite réelle achevée si tu veux, mais il faut être bien sûr de comprendre ce que tu fais pour ne pas être conduit à énoncer des contre-vérités. En particulier il faut se demander quelles sont les fonctions d'une variable réelles qui peuvent être étendues (par continuité, je suppose ?) sans ambiguïté à ce cadre, comment y définir la dérivation puisque tu as l’air de vouloir l’utiliser abondamment, quels sont les résultats valides pour la variable réelle qui restent valides, et comment les résultats obtenus dans ce cadre sur une fonction particulière sont retraduits dans le cadre de la variable réelle. Tout un programme. Ça n’est pas si évident que tu as l’air de le croire.

Si quand bien même tu savais préciser dans quel cadre tu travailles et quels sont les résultats valides, ça n’est pas le cadre dans lequel .Anja. est astreinte à travailler, et ce que tu écris, quand on l’évalue dans le cadre des maths de lycée (ou de bac+3, hein), vaut exactement 0. rv¹⁷²⁹ 4 juin 2010 à 09:30 (CEST)

Le problème est qu’il ne dit pas comment traiter les branches infinies, qui sont au fond le seul problème si on se restreint aux fonctions continues. rv¹⁷²⁹ 3 juin 2010 à 12:14 (CEST)

Hum, hum, you-houuuu ! Bonjour , c'est moi, vous vous souvenez ?, désolée de vous interrompre ... Je voudrais vous remercier de m'avoir aidée à y voir plus clair (enfin, un peu moins sur la fin ) à propos de cette "technique"... ça y est, j'ai compris. J'ai trouvé comment prouver mon minorant de la même manière (en veillant bien au signe). .Anja. (d) 4 juin 2010 à 16:51 (CEST)

Bartissol time

Bonjour les pythies ! Une question me turlupine (une parmi tant d'autres, notamment quel est le sens de la vie, d'où viens-je, quel est l'infâme ordure qui a inventé les collants, pourquoi est-ce que les femmes ont le droit de conduire, bref, que des trucs existentiels): en mars 1940 ont été instaurés, en France, des jours sans. Ainsi, par exemple, le dimanche, interdiction du pain frais. J'en viens à l'objet de ma question: Pourquoi ont-été instaurés les "jours sans apéritifs" ? (je veux dire, OK pour rationner le pain, la viande et tout, mais le guignolet kirsch et l'ambassadeur, pourquoi ?) et où puis-je trouver les arrêtés (je pense que ce sont des arrêtés) administratifs qui prescrivent ces mesures. Merci de vos réponses, et à votre santé ! Marcellus55 (d) 1 juin 2010 à 19:26 (CEST)

Et pourquoi est-ce que les hommes se croient aussi malins quand ils débitent des fadaises machistes ? rv¹⁷²⁹ 1 juin 2010 à 21:17 (CEST)

Bonjour, Je crois que c'est pour lutter contre l'alcoolisme qui était une des bêtes noir de vichy (avec l'adultère, l'homosexualité, et j'en passe). Une petite source pour la forme.

Et sinon pour répondre à rv : il faut de tous pour faire un monde, toutes proportions gardées. --NexRezzo (d) 2 juin 2010 à 00:02 (CEST)

+1 Pour les collants. +1 aussi pour le droit de conduire aux femmes, tempéré toutefois par la remarque que laisser conduire les jeunes, les vieux, les malades, les alcoolos, les camés, les étrangers et les imbéciles (en fait, à peu près tout le monde sauf moi, et encore pas tous les jours) semble tout aussi scandaleux. Félix Potuit (d) 2 juin 2010 à 07:54 (CEST)

Et les bougnoules, hein ? Rien sur les bougnoules ? rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 08:08 (CEST)

Régime à l'eau de Vichy... --Serged/♥ 2 juin 2010 à 09:35 (CEST)

Marcellus a raison sur l'invention des collants.. Vive le porte-jarretelles --Mikeread (d) 2 juin 2010 à 12:32 (CEST)

Bonne recommandation, je vais la suivre. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 09:46 (CEST)

Tu vas te mettre au porte-jarretelles ? N'oublie pas de charger une photo dans Commons. Félix Potuit (d) 2 juin 2010 à 13:21 (CEST)

Non, rien à voir avec le régime de Vichy, c'était avant. Mais il y a peu de sources... D'où ma question. Et je m'excuse de ma remarque sur la façon de conduire des femmes: j'avais oublié que, de la même façon que des enfants consultent wikipedia et qu'il faut donc éviter tout sujet pouvant choquer ces âmes sensibles, il existe des femmes qui lisent wikipedia, et qu'il faut donc éviter tout second degré. Marcellus55 (d) 2 juin 2010 à 10:21 (CEST)

Au temps pour moi, j’aurais dû répondre au premier degré. Ne vous inquiétez pas : j’avais parfaitement compris que vous vous croyiez drôle. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 10:31 (CEST)

Bonjour, Regardez du coté de la page 181, le premier paragraphe. Il est dit que ces préoccupation (alcoolisme & co) date de la 1ère guerre mondiale. Cependant, l'auteur écris que le décret sur "les jours sans" à été pris le 8 décembre 1939, mais appliqué uniquement à partir du 28 février 1940 pour l'alcool (il donne comme source le journal officiel du 1er mars 1940, que je ne le trouve pas sur internet). S'il ne s'agit pas des "jours sans" dont vous parlez, alors je ne sais pas. --NexRezzo (d) 2 juin 2010 à 11:30 (CEST)

NexRezzo: Merci pour la date ! c'est un décret loi du 28 février 1940 (donc avant le régime de Vichy). Pour la raison, il semblerait que ce soit effectivement pour lutter contre l'alcoolisme, mais je trouve étonnant que cette mesure intervienne en même temps que les mesures de restriction alimentaire. Marcellus55 (d) 2 juin 2010 à 18:06 (CEST)

Jacques de Biez

Bonjour! Comment est le nom "de Biez" prononcé? Merci, Aviados (d) 1 juin 2010 à 23:40 (CEST)

Jacques de Biez Je ne sais pas, mais comme il est mort en 1915, ça risque d'être difficile de trouver une prononciation quelque part. Je n'ai pas dit impossible, l'Alphabet phonétique international date de 1888, mais bon courage. _Bertrouf 2 juin 2010 à 11:41 (CEST)

vu son parcours (antisémite, antimaçonnique), je crois qu'il avait tout compris de travers, je pense qu'il faut prononcer de Biais... Cobra Bubbles ^{Dire et médire} 2 juin 2010 à 12:04 (CEST)

Eh bien, merci quand même... Aviados (d) 7 juin 2010 à 01:19 (CEST)

BJ Puraige

BJ PURAIGE SAVOIR COMMENT S APPELLE LE CRUIVRE DU PINCEAU MERCI D AVANCE

La virole..jbdepradines (d) 2 juin 2010 à 10:34 (CEST)

(conflit d'édition, tu gaches ma réplique ) Sans doute voulez-vous parler de la virole ? Agrafian (me parler) 2 juin 2010 à 10:35 (CEST) Oui je sais Félix, il ne faut pas confondre avec la vérole

Triple conflit... Je l’avais aussi ! rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 10:37 (CEST)

Haha "PURAIGE" on en découvre tous les jours (Mitch)² 2 juin 2010 à 10:57 (CEST)

Pourquoi ne doit on pas corriger le question ??? jbdepradines (d) 2 juin 2010 à 12:12 (CEST)

Mais, on peut. Tout est sous licence CC-GFDL. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 12:17 (CEST)

Ouais, mais ce serait moins drôle. Agrafian (me parler) 2 juin 2010 à 12:51 (CEST)

http://www.google.fr/search?q=%2Bpouraige : 1850 réponses.

http://www.google.fr/search?q=%2Bpourraige : 5180 réponses. Seigneur, ayez pitié de nous. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 13:24 (CEST)

Je crois bien que le Seigneur est impuissant à ce niveau là. Mais pardonnons leur, il ne savent pas ce qu'ils font. Agrafian (me parler) 2 juin 2010 à 23:11 (CEST)

Je me gratte vainement la tête pour essayer de comprendre comment une orthographe aussi saugrenue a pu s'imposer à ce point. Avec quoi peuvent-ils bien confondre ? Ils doivent considérer qu'il s'agit d'une sorte d'adverbe, sans même imaginer qu'il puisse y avoir le pronom "je" là-dedans. C'est ahurissant. Et on leur donne le droit de vote ? Félix Potuit (d) 3 juin 2010 à 07:59 (CEST)

Je pense (j'espère plutôt) qu'il s'agit essentiellement d'enfants. Et ils n'ont vraisemblablement aucune idée de ce qu'est un pronom ou un adverbe. Agrafian (me parler) 3 juin 2010 à 10:33 (CEST)

C'est pas un club de foot, le B.J.Puraige ? Grasyop ^✉ 3 juin 2010 à 12:12 (CEST)

Radio Courtoisie

Bonjour,

Une question toute simple: est-ce que (durant deux ans à peu près) une activité de chroniqueur à Radio Courtoisie suffit à classer la-dite personne comme proche de l'extrème droite ou sympathisante? Merci de vos réponses --Mikeread (d) 2 juin 2010 à 12:28 (CEST)

Je dirais que non, la personne a pu prendre ce boulot au départ faute de mieux et ensuite se tirer car elle en avait marre de fréquenter justement des gens d'extrême-droite... va savoir. Il faut peut-être voir aussi le contenu de ses chroniques (à supposer que les sujets et la façon de les traiter n'aient pas été plus ou moins imposés par un supérieur hiérarchique...). Bref l'argument me paraît léger. Asheka ^{[la vie est belle]} 2 juin 2010 à 12:55 (CEST)

D'autant que Radio Courtoisie n'est pas (seulement) d'extrême-droite. C'est ce qui marque, bien sûr, mais elle est aussi royaliste, traditionaliste, gaulliste, nationaliste, souverainiste... On ne peut guère dire de Pierre Chaunu, Ivan Rioufol? Alain Paucard ou Maurice Druon sont d'extrême-droite. Quant à Jean-Michel Vernochet, l'ajout me semble très proche du travail inédit ou du POV non sourcé. HaguardDuNord (d) 2 juin 2010 à 13:46 (CEST)

C’est indiscutable, mais ceci étant j’ai du mal à croire qu’on soit chroniqueur à Radio Courtoisie « faute de mieux ». Bref il me semble qu’il faut adhérer un tant soit peu à au moins à un des courants mentionnés par Haguard... au moins momentanément. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 14:05 (CEST)

C'est ce qui me semble. Crois-tu qu'on puisse dire quelque chose comme: "nébuleuse d'extrème-droite" ? --Mikeread (d) 2 juin 2010 à 14:10 (CEST)

Après lecture de ça on réfléchit un peu. Que doit/ peut-on dire? "Radio proche de l'extrème droite" me semble correct ? Mikeread (d) 2 juin 2010 à 14:21 (CEST)

Bien sûr qu'il faut adhérer à ces tendances, mais le royalisme, le souverainisme ou le gaullisme n'est pas obligatoirement d'extrême-droite. Le conservatisme, car grosso modo on est plutôt là-dessus, n'est pas seulement d'extrême droite. Et tirer une appartenance à l'extrême droite d'une publication (par obligatoirement originelle) sur nationpresse, quand on le retrouve sur voltairenet.org, mondialisation.ca ou sur un blog du front de gauche, c'est, excuse-moi, regarder par le petit bout de la lorgnette. HaguardDuNord (d) 2 juin 2010 à 14:26 (CEST)

Tout ça pour fermer les yeux et ne pas dire que c'est une radio proche de l'extrème-droite ?Mikeread (d) 2 juin 2010 à 14:29 (CEST)

Je pense qu’Haguard ne parle pas de ce qu’on peut dire de RC, mais de ce qu’on peut en déduire des orientations politiques de Vernochet. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 14:35 (CEST)

L’audition du journal radiophonique du jour peut donner également des pistes. En ce qui concerne Vernochet, il a été chroniqueur sur cette radio il y a plus de 15 ans, on imagine que la ligne a pu évoluer depuis. Toujours est-il que ça a toujours été une radio très politisée. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 14:33 (CEST) La première fois que j’en ai entendu parler ça devait être en 92, à l’époque on m’a dit sans nuance que c’était une radio FN.

Merci Hervé. @ Haguard du Nord: je te rassure, j'ai viré le passage correspondant à l'extrème droite pour Jean-Michel Vernochet, et ce passage n'est pas de moi, en plus ! Je te redis donc ma question. Peut-on considérer que c'est une radio proche de l'extrème droite ou bien proche des idées défendus par le Front National? Merci de répondre ( L'article de Libé que j'ai donné en lien est très instructif)+ ce lien et celui-ci. --Mikeread (d) 2 juin 2010 à 16:03 (CEST)

Pourquoi se faire chier avec ce genre de TI ? Tu mets qu'il est chroniqueur à Radio-courtoisie, c'est propre et factuel et largement suffisant.

Si ce qui importe c'est de savoir s'il est "proche de l'extrême droite" (la référence à RC n'étant qu'une illustration), de deux chose l'une : ou bien tu trouve une référence propre d'un chroniqueur notable, et tu n'a qu'à la citer, ou bien tu n'en trouve pas et c'est du TI -> poubelle.

gem (d) 2 juin 2010 à 16:24 (CEST)

Je ne parle pas de l'article, je te demande Gem de répondre à la question que je pose. Merci --Mikeread (d) 2 juin 2010 à 16:26 (CEST)

OK, en forme courte ça donne : AMHA non, c'est du TI. gem (d) 2 juin 2010 à 16:34 (CEST)

Je te parle de ma question, c'est quoi cette histoire de TI ?--Mikeread (d) 2 juin 2010 à 16:39 (CEST)

Pour Gem, tu ne peux écrire dans la Ouiquipédie que c’est une radio proche de l’extrême-droite qu’en citant une source respectable qui l’affirme (un article de libé), sinon c’est du travail inédit (le mot « travail » me paraît un peu galvaudé). rv¹⁷²⁹

exactement.

ouch, je viens de comprendre. excuses. Alors c'est encore plus simple : c'est non, dans la mesure où "proche de l'extrême" (gauche ou droite, peu importe) ne veut pas dire grand chose. Déjà, dire de quelqu'un qu'il appartient à l'extrême est toujours discutable (because relativité, jugement de valeur et mention péjorative), mais alors dire qu'il en est proche, qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire ? qu'il a un voisin qui en est ? qu'il partage certaines valeur (il aime bien l'orthographe et est favorable à l'armée de conscription, comme eux, par exemple) ? qu'il préfère voter pour eux plutôt que pour ceux d'en face même pas extrême (plutôt Besancenot que Chirac, Lepen plutôt que Royal ) ? ...

ceci valant 2 balles, je suis bien certains que pour certains la droite commence à Strauss-Kahn, donc RC (voire le figaro) sont des organes d'extrême-droite et touc ceux qui y bosse itou gem (d) 2 juin 2010 à 16:57 (CEST)

Tu as une référence pour affirmer que « proche de l’extrême-droite » ne veut pas dire grand-chose ? En l’état, c’est du TI. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 17:16 (CEST)

:-) c'est juste mon avis à 2 balles, comme indiqué plus haut. Cela dit, il me semble que réclamer une preuve d'absence est tendancieux, c'est plutôt à ceux^[Qui ?] qui pensent que le terme a un sens qu'il appartient d'en donner les références. gem (d) 2 juin 2010 à 17:47 (CEST)

Ben oui, il a moi, juste en-dessous. Comment ça, je suis pas une référence valable ? Grasyop ^✉ 2 juin 2010 à 17:37 (CEST)

Bref, si tu en as besoin, tu peux citer libé pour dire que c’est une radio qui sert de passerelle entre la droite traditionnelle et l’extrême-droite ; par exemple. Bien sûr, pour être parfaitement neutre tu commences par « aux yeux de certains », etc. Un autre contributeur peut dire le contraire une phrase avant ou après (« pour d’autres, c’est une radio apolitique »), à condition de donner une référence. L’objectivité, c’est cinq minutes pour... non, rien. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 17:21 (CEST)

Pour la première affirmation (passerelle), même pas besoin de libé, tu peux citer RC elle-même, radio "de toutes les droites", et ça évite le débat à la noix "certains disent / d'autres pensent". gem (d) 2 juin 2010 à 17:47 (CEST)

Moi, je veux bien répondre à ta question, mais il ne faut pas en changer. Initialement c'était « est-ce que (durant deux ans à peu près) une activité de chroniqueur à Radio Courtoisie suffit à classer la-dite personne comme proche de l'extrème droite ou sympathisante? ». Là, je crois avoir clairement répondu au début : non. Tu peux participer à Radio Courtoisie parce que tu es royaliste ou souverainiste, sans pour autant être d'extrême-droite. Et si on veut élargir la question, tu peux être journaliste au Figaro et voter à Gauche (ils existent) ou lire Télérama sans être catho. La deuxième question, c'est si RC est une radio proche de l'extrême-droite. Là c'est oui, outre les réserves justifiées de Gem. C'est d'ailleurs écrit en intro de l'article de WP. Clairement, c'est un média qui, un peu comme Minute dans les années 1970, avant le rivage frontiste, se veut passerelle entre la droite traditionnelle, qu'on dira conservatrice (non libérale), et l'extrême-droite (ou les extrêmes droites). RC n'est pas la radio du FN, dans le sens où ce n'est pas la voie du parti comme peut l'être National Hebdo, mais c'est une radio au service du FN, par la diffusion des idées et cette tentative de liens avec la droite "républicaine". Mais ton article de Libé cite par ex. Boutin, en ne la citant qu'à travers son combat anti avortement. Boutin est-elle d'extrême-droite ? Je ne crois pas. Les scouts sont-ils tous lepenistes ? Il ne me semble pas, sinon Versailles serait FN. Mais le Libé de 1997 ne faisait pas obligatoirement dans l'analyse fine de l'anti-LePen (et on ne lui demandait pas). Bref, on en revient aux sources : tu peux tout dire si c'est sourcé, tu ne peux rien dire même la vérité sans source. HaguardDuNord (d) 3 juin 2010 à 01:08 (CEST)

Ok ! Merci à tous --Mikeread (d) 3 juin 2010 à 08:34 (CEST)

Comparaison (n’est pas raison)

Bonjour. Une question toute simple : est-ce que (durant deux ans à peu près) une activité de chroniqueur à Radio Libertaire suffit à classer la dite personne comme anarchiste ou sympathisante ? Merci de vos réponses ! Grasyop ^✉ 2 juin 2010 à 15:00 (CEST) Sinon, « proche de l'extrême », je suis pas sûr d'avoir bien compris ce que ça signifie...

Ou d’un des courants présents sur cette radio : libre-pensée, syndicalisme, tiers-mondisme...

Si on trouve tout ça antipathique, je ne vois pas bien comment on irait s’y mélanger. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 15:13 (CEST)

Bof ... si c'est la chronique météo ... Biem (d) 2 juin 2010 à 15:38 (CEST)

la voix des z'ondes est mystérieuse --Mikeread (d) 2 juin 2010 à 16:06 (CEST)

Tu crois qu'une même personne peut présenter la météo sur les deux radios à la fois ? Grasyop ^✉ 2 juin 2010 à 16:19 (CEST)

Je ne crois pas, dans la mesure où je doute fort que ces deux radios aient une chronique météo. Il y a peu d’émissions neutres sur ces radios très politisées, peut-être quelques émissions artistiques, mais même celles-ci ont sans doute une préférence marquée pour les artistes engagés. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 17:15 (CEST)

Pourquoi se faire chier avec ce genre de TI ? Tu mets qu'il est chroniqueur à Radio-libertaire, c'est propre et factuel et largement suffisant.

Si ce qui importe c'est de savoir s'il est "proche de l'anarchisme" (la référence à RL n'étant qu'une illustration), de deux chose l'une : ou bien tu trouve une référence propre d'un chroniqueur notable, et tu n'a qu'à la citer, ou bien tu n'en trouve pas et c'est du TI -> poubelle.

gem (d) 2 juin 2010 à 16:24 (CEST)

Merde, un gembot ! rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 16:36 (CEST)

merle d'amérique

Bonjour, j’aimerais savoir pourquoi après avoir pondu 3 œuds, les avoir couvés pendant 5 à 6 jours, la maman détruit-elle les œufs et quitte-t-elle le nid ? Nous sommes intrigués de ce comportement. Merci.

UR INTERNET, abuser de CAPITALES est l'équivalent de CRIER (pardon) dans le langage parlé. Merci de respecter la tranquillité de l'Oracle, qui préfère les questions qui lui sont murmurées à l'oreille...

Une raison probable: Vous l'avez perturbée en venant trop souvent trop près du nid. Elle va probablement faire une autre couvée dans un endroit plus 'tranquille'. Une autre fois, essayez de regarder de loin, avec des jumelles. Dhatier ^jasons-z-en 2 juin 2010 à 15:25 (CEST)

Autre hypothèse : parce qu’elle craint que ses petits ne se mettent à hurler comme vous. Notez qu’ils auraient raison, eux, si elle ne les nourrissait pas correctement. Mais vous, pourquoi hurlez-vous ? (Pour info : écrire en capitales sur internet équivaut à crier). Amclt, --Égoïté (d) 2 juin 2010 à 15:30 (CEST)

Parle plus fort Égoïté, il est peut-être sourd Mikeread (d) 2 juin 2010 à 16:08 (CEST)

Bas-de-cassé par rv¹⁷²⁹ à 16:38 (CEST) le 2 juin 2010.

C'est malin, les œufs sont tout bas-de-cassés maintenant. Félix Potuit (d) 2 juin 2010 à 17:58 (CEST)

C'est pas grave, un peu de thrombine et ils seront tout bas-de-réparés. Grasyop ^✉ 3 juin 2010 à 12:15 (CEST)

Thrombine

Bonjour, bonjour ! Un journal dit que « Par 370 voix contre 262 - soit une voix de plus que la majorité nécessaire -, les eurodéputés réunis en session plénière à Strasbourg ont rejeté une proposition de l'exécutif européen d'autoriser la thrombine, une enzyme d'origine bovine ou porcine, dans la fabrication de produits carnés. »

Thrombine étant redirigée vers Prothrombine, dont la première phrase est « Le facteur II, la prothrombine est une protéine de la coagulation sanguine » et la suite encore plus obscure pour moi…, je fais appel aux pythies compétentes qui décrypteront ce mystère-là et m’expliqueront la substance avec des mots plus simples, adaptés à mon incompétence. Merci déjà, --Égoïté (d) 2 juin 2010 à 15:42 (CEST) — qui tire une drôle de trombine.

je suppose que ça peut servir à faire du boudin :-) gem (d) 2 juin 2010 à 16:26 (CEST)

C’est une protéine que les industriels de l’agro-alimentaire veulent utiliser comme « colle » pour assembler des chutes de découpe de bidoche, et faire des « steaks reconstitués ». Tu trouves facilement des sources avec les mots-clefs « thrombine agro-alimentaire ». rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 16:41 (CEST)

Tout ce que j’ai lu jusqu’à présent n’explique pas comment, scientifiquement, cette « colle » se forme. C’est ça ce que j’aimerais comprendre… le mécanisme de formation de la fibrine (qui permet la coagulation mais qui ne préexiste pas dans le sang), je peux piger mais quand on parle de tissus vivants. Pour la viande, tissu en phase de dégradation provenant d’un animal mort, comment cela se passe-t-il ? --Égoïté (d) 2 juin 2010 à 17:04 (CEST) qui s’est posé pas mal de question ces derniers temps sur la viande…

Pareil. La chimie a évacué le vitalisme, donc que le truc soit vivant ou mort n'a pas d'importance. Il faut juste que le substrat existe et que les conditions (de température, notamment) permette à l'enzyme de travailler. gem (d) 2 juin 2010 à 17:10 (CEST)

Voui. Et que les réactifs à laquelle cette enzyme sert de catalyseur soient présents en quantité suffisante, œuf corse. rv¹⁷²⁹ 2 juin 2010 à 17:25 (CEST)

A mon avis, ça veut juste dire qu'ils se sont couchés devant le lobby concerné, comme d'habitude, vu qu'apparemment ils sont payés pour ça. Et c'est nous qui nous faisons thrombiner. Félix Potuit (d) 2 juin 2010 à 17:57 (CEST)

Bof, a priori c'est pas dangereux, c'est une méthode de préparation des produits alimentaires comme une autre, Autrement on interdit aussi la présure pour faire du fromage... L'important est l'étiquetage clair des produits concernés. Arnaudus (d) 2 juin 2010 à 18:18 (CEST)

le danger est une des raisons les plus invoqués pour les interdictions, mais c'est rarement la plus déterminante. On interdit des tas de choses dont on sait qu'elle ne sont pas dangereuses, et on n'en interdit pas quantités d'autres dont on sait qu'elles sont dangereuses. En l'occurrence, l'idée qu'on fasse pour la viande ce qu'on fait déjà pour le poisson (surimi) est assez dérangeante pour des consommateurs et des industriels, tandis que l'intérêt de la chose est quand même douteux (à quoi ça peut bien servir, sinon à tromper le consommateur en lui faisant prendre un espèce de surimi pour un vrai steak ? les bouts de viande qu'il faudrait coller servent déjà dans les "hachés", saucisses, garniture pour ravioli, etc.) gem (d) 2 juin 2010 à 19:07 (CEST)

Je crois que je vais vomir... Félix Potuit (d) 2 juin 2010 à 19:17 (CEST)

Merci les Pythies, n’oubliez pas de soutenir confraternellement la tête de Félix. --Égoïté (d) 2 juin 2010 à 22:06 (CEST)

Trop tard, c'est fait. Félix Potuit (d) 3 juin 2010 à 08:00 (CEST)

Date naissance société anonyme

Bonjour, Öråclĕ. Je fais un exposé sur l'apparition du capitalisme ( Rien que ça ! ) et j'ai beau eu cherché comme un damné, je n'ai pas trouvé la réponse à la question qui ne cesse de me torturer l'esprit : Quand a été inventée la société anonyme ? Et par qui ? Merci infiniment de ta réponse éclairante, Öråclĕ.

Société anonyme: créée en 1867, mais je ne saurais dire par qui expressément: l'État français de l'époque (c'était le II(nd) empire il me semble?) --Floflo (d) 2 juin 2010 à 16:04 (CEST)

Hum, je précise qu'il devait s'agir de SA avec Conseil d'administration. La SA avec Directoire et Conseil de Surveillance a été instituée par la loi du 24 juillet 1966 (art. L. 225-57 à 93 et R. 225-53 à 60 du code de commerce) Sources: Droit des sociétés, par Dunod, édition du 1^er mai 2008) --Floflo (d) 2 juin 2010 à 16:07 (CEST)

Sinon, il y a L'Irrésistible Ascension de l'argent : De Babylone à Wall Street de Niall Ferguson qui n'est pas mal comme bouquin. Je crois me souvenir qu'il situe les 'sociétés par actions' en Flandre pour financer les expéditions pour aller chercher des épices en Orient (Bourse (économie)). Le business était long et risqué; les associés pouvant avoir besoin de liquidités, le prix auquel ils pouvaient revendre leur participation variait en fonction des rumeurs et des nouvelles. -- Xofc ^{[me contacter]} 3 juin 2010 à 06:32 (CEST)

Les moulins du Bazacle à Toulouse : la plus ancienne société par actions (XIIe siècle). Morburre (d) 3 juin 2010 à 12:32 (CEST)

Résolution des écrans cathodiques

Bonjour,

D'après ce que je lis sur la page Tube cathodique, plus précisément dans ce paragraphe les écrans cathodiques couleur utilisent trois canons à électrons, et un masque permet d'éviter les débordements. L'espacement des trous du masque est fixe, donc il me semble qu'il ne devrait y avoir qu'une seule résolution possible. Pourtant, quand j'avais un écran cathodique, je pouvais en changer la résolution sans que l'image paraisse floue. Comment est-ce possible ?

Merci d'avance. Nordald (d) 2 juin 2010 à 18:15 (CEST)

Bonjour, La résolution est en effet fixe. En se qui concerne l'option de votre téléviseur, je pense qu'il s'agit d'un changement de ratio (4:3, 16:9, etc.) qui conserve le nombre de pixel, mais ne place pas l'image sur le téléviseur de la même façon (image légèrement déformé, bande noire en haut/bas ou gauche/droite, ou tronquer l'image de tous les cotés : un espèce de mode étiré). Mais je ne connais pas votre téléviseur et peut-être qu'avec une référence une meilleur explication pourrait être découverte.--NexRezzo (d) 2 juin 2010 à 19:24 (CEST)

En fait, je voulais plutôt parler d'écran d'ordinateur : sur un écran CRT, la résolution peut être mise à 800x600 ou 1024x768, par exemple, et c'est net dans les deux cas. C'est ça qui m'intrigue. Nordald (d) 2 juin 2010 à 19:45 (CEST)

Sur les moniteurs cathodiques, on peut aussi ajuster diverses distorsions optiques (barillet, coussinet, trapèze) ainsi que la taille de l'image de facon continue (donc en-deçà de la taille d'un pixel) et l'image n'est jamais floue non plus (et ça m'a toujours laissé perplexe). — Jérôme 2 juin 2010 à 20:32 (CEST)

C'est donc une opération non pas sur le pixel mais sur l'image directement. Un traitement de l'image que l'on appel upscaling (désolé je ne connais pas le terme français). L'upscaling rajoute des pixels aux endroits propice (par ligne ou colonne complète), afin d'obtenir la résolution de l'écran. Il existe un effet inverse qui s'appel downscaling, qui est utilisé pour afficher une image haute résolution (1920*1080) sur un écran de résolution inférieur (un blueray sur une télé normale). Les pixels rajouté ne sont pas de simple copie du pixel le plus proche. Il sont calculé grâce à des algorithmes pour conserver la cohérence de l'image. --NexRezzo (d) 2 juin 2010 à 22:53 (CEST)

D'accord, il est possible de faire un traitement numérique sur l'image pour l'agrandir ou la rétrécir. J'imagine que c'est ce qui est fait sur les écrans LCD quand on n'utilise pas la résolution native, mais ça donne une image vraiment floue. J'ai du mal à croire que ce soit la même chose sur les écrans CRT puisqu'on ne constate pas ce phénomène de "flou" quand on utilise différentes résolutions.

Par ailleurs, comme le dit Jérôme, sur les écrans CRT, on appliquer des distorsions diverses à l'image, et ça me semble improbable que ce genre de choses soient faites par un traitement numérique de l'image dans l'écran lui-même. Nordald (d) 2 juin 2010 à 23:21 (CEST)

C'est vrai je suis dans l'erreur, ce dont je parle est uniquement numérique. J'ai lu sur quelques sites que les écrans CRT ne dispose pas de résolution native, c'est donc pour cela qu'ils peuvent s'adapter à plusieurs résolutions. Mais je ne connais pas le principe qui le permet. --NexRezzo (d) 3 juin 2010 à 09:37 (CEST)

Voilà maintenant des jeunes qui n'ont pas connu les écrans cathodiques ! Ça donne un sacré coup de vieux !

La "grille" pour afficher les couleurs, n'a rien à voir avec la résolution "au pixel" de l'écran. Elle est bien plus petite. La résolution maximale dépend surtout de la bande passante de tout le bastringue (électronique plus tube) par lequel passe le signal vidéo. --Serged/♥ 3 juin 2010 à 10:15 (CEST)

J'ai creusé un peu la question sans trouver la réponse. Mais voila ma théorie : On sait que le signal est analogique. On sait que les infos sont transmisse ligne par ligne. Une ligne contient des informations pour un temps donnée (dépendant de la fréquence de l'écran ex :60Hz). L'écran utilise ce temps t pour parcourir la largeur l de l'écran. Maintenant si pendant t il parcourt l+b, l'image serait zoomer. Avec une distance l-b elle serait réduite. La largeur du faisceau d'électron est probablement réglable également, et tous cela ce fait en accord avec la carte graphique (pour ce mettre d'accord sur le nombre de lignes à balayé). Voila quelques sites (pas forcement très fiable mais bon):

• ici : Très bien expliqué et en français, sur tous les aspects du CRT.
• ici : Sur le lien entre taux de rafraîchissement et résolution sur un CRT (en anglais).
• et là : Pour comprendre le processus de signaux de fin de ligne/fin de trame.

Mais ce n'est que mon avis (un TI en quelque sorte). Si quelqu'un connait une source fiable avec la réponse je suis également intéressé. --NexRezzo (d) 3 juin 2010 à 17:18 (CEST)

Merci pour vos réponses. Donc, les pixels de l'image ne correspondent pas aux trous dans la grille. Soit, mais il y a encore un truc qui ne me convainc pas entièrement. Si la grille était vraiment beaucoup plus fine que les pixels (disons 3 ou 4 fois plus), alors ça résoudrait la question.

Mais à partir de la page http://www.wisegeek.com/what-is-a-crt-monitor.htm, je suis arrivé à w:en:Dot pitch, où il est affirmé que l'espace la taille de la grille de l'écran est de l'ordre de 0.22 à 0.28 millimètres. Si on prend un écran de 30 cm de large avec 1024 pixels, ça fait une taille de 0.3 mm par pixel, ce qui est plus, mais pas beaucoup plus (moins d'un facteur 2).

Donc concrètement, si on affiche des lignes verticales "lllll" à l'écran (imaginez qu'elles sont blanches sur fond noir), que les pixels ne sont pas alignés avec les trous, et qu'il y a 1.3 trous par pixel, alors forcément, certains "l" illumineront deux trous sur la largeur alors que d'autres n'en illumineront qu'un. Comment est-il possible que l'on perçoive toutes ces lignes verticales de même largeur ? Nordald (d) 3 juin 2010 à 18:36 (CEST)

Bonjour, d'après ma première source, il est dit dans le chapitre 7.2 que l'œil ne peux distingué les couleurs des points de la grille. Je cite : "Il est vrai que l’impacte des trois couleurs est différent, mais la distance qui les sépare est tellement faible que l’œil n’arrive pas à distinguer les trois couleurs mais la composition finale (insuffisance du pouvoir séparateur). ". Il est surement également difficile (mais pas impossible) de percevoir une variation de quelques dixièmes de mm d'épaisseur. On peut apercevoir ces trois couleurs et ce collant à l'écran (chez moi à 5-10 cm je commence à distingué les points de couleurs rouge et bleu. Je ne sais pas ou se cache le vert ). Peut-être que en regardant de plus près, des caractères identique auraient une épaisseur différente. --NexRezzo (d) 4 juin 2010 à 11:19 (CEST)

Rebonjour. L'œil mélange les couleurs, mais il semble beaucoup plus précis pour évaluer l'épaisseur. Par exemple, entre "l" (1 pixel) et "l" (2 pixels), la différence est tout à fait visible. Bon, il faut que j'arrive à trouver un écran CRT pour essayer de comprendre ce qui se passe, je crois que ce sera plus efficace. Nordald (d) 4 juin 2010 à 15:49 (CEST)

Bandage poignet

Bonsoir,

Quelqu'un saurait-il m'expliquer ou m'indiquer un site expliquant comment se fait un bandage au poignet. (Notez que je parle de bandage de « soutien » et pas d'un bandage pour protéger une plaie.) Je connais les recommandations générales (ne pas serrer trop fort et ce genre de choses) mais je ne sais pas si il y a une manière précise de faire pour que le soutien soit efficace.

Merci. — Carlotto 2 juin 2010 à 18:40 (CEST)

Google est ton ami pour spica (bandage) : vidéos. Amclt, --Égoïté (d) 2 juin 2010 à 22:04 (CEST)

Merci. Effectivement, je ne connaissais pas ce terme « spica ». — Carlotto 2 juin 2010 à 23:28 (CEST)

Ça veut juste dire "épi" (en latin), en raison de la forme du bandage. La prochaine fois que tu gareras ta bagnole en biais, tu pourras dire que tu fais du stationnement spica. Félix Potuit (d) 3 juin 2010 à 08:03 (CEST)

Sujets de sculpture

Bonjour !

Est-ce quelqu'un sait (et, accessoirement, pourrait le signaler dans l'article sculpture si c'est sourcé ) pourquoi, en tout cas à ma connaissance, la sculpture délaisse les objets inanimés ? Je comprends que sculpter un rocher pour lui-même et non pour qu'il serve de support à un sujet, disons, serait un peu curieux. Mais quid par exemple des formes parfois tourmentées, donc intéressantes, des végétaux ? Un arbre dans la tempête, un bouquet de fleurs ? Ou bien une simple nature morte ? Je conçois qu'il est intéressant de représenter un corps animal (au sens large, donc y compris humain), avec la tension de ses muscles. Mais je ne comprends pas pourquoi la sculpture, à ma connaissance, évite ce qui est pourtant relativement courant en peinture... Parce que ce qui est intéressant dans un végétal, ce sont ses couleurs ? Quelqu'un a une idée ? Merci ! Litlok (m'écrire) 3 juin 2010 à 16:23 (CEST)

Ce que tu dis a l’air assez largement vrai, mais il y a des exceptions, au moins dans l’art moderne. Je pense par exemple à « l’arbre, grande éponge bleue » de Klein. Dans les motifs sculptés ornant certaines églises médiévales on peut voir des feuilles, ou des grappes de vignes, mais il est vrai que ça n’est pas vraiment une statue... rv¹⁷²⁹ 3 juin 2010 à 17:15 (CEST) C’est une putain de bonne question.

Dans les pays de l'est, j'ai toujours trouvé curieux de voir des sculptures de motos, de canons et de fusils sur les monuments officiels. En bronze. Félix Potuit (d) 3 juin 2010 à 21:09 (CEST)

Mais si, il y a des sculpteurs contemporains (les noms ? euh oui, les noms…) qui font des « natures mortes » de manière très réaliste. Des vêtements, des tissus, des cartons d’emballage (ça va me revenir…). Enfin ça existe. Morburre (d) 3 juin 2010 à 21:17 (CEST)Y en a un dans un musée à Londres... ça va me revenir... toute une pièce en travaux... rv¹⁷²⁹

Cela ne fait que déplacer la question : pourquoi cela n'intéressait pas les sculpteurs « pré-contemporains » ? Ou bien, peut-être que cela permettrait d'ailleurs de répondre, pourquoi les contemporains s'y sont-ils intéressés (en même temps, ils s'intéressent à beaucoup de choses...) Je dubite toujours autant... Litlok (m'écrire) 3 juin 2010 à 22:21 (CEST)

Je me demande si la même question ne vaut pas dans une certaine mesure pour la peinture. Je regarderai dans Gombrich, à l’occasion. rv¹⁷²⁹ 3 juin 2010 à 23:42 (CEST)

Ca intéressait les sculpteurs "pré-contemporains", notamment ceux de la période rocaille Après, il faut savoir aussi que le besoin d'accéder à l'académie (jusqu'au XIXe) pour être reconnu, c'est à dire de faire un chef d'oeuvre avec un sujet imposé, a aussi un peu "formaté" les sculpteurs. De même qu'en peinture, la hiérarchie des genres donne à la figure humaine le plus beau rôle, et comme une sculpture, c'est plus cher qu'une peinture quand on en fait faire une grande, on prend ce qu'il y a de mieux, donc la figure humaine. C'est surtout dans les petits bronzes, les reliefs... qu'on peut trouver du paysage ou des représentations de nature. Calame (d) 4 juin 2010 à 00:26 (CEST)

Si je peux me permettre quelques réflexions... Les végétaux ont été représentés en sculpture depuis l’antiquité, particulièrement pour le feuillage, et cela a perduré. Cependant en tant que sujet principal d’une œuvre, il faut attendre la nature morte en peinture et le détournement de l’objet dans l’art pop qui découle de Duchamp. Il me semble qu’il y a modification puis abandon d’une relation à la religion, non ? Par ailleurs, l’espèce animale a eu son statut personnel, notamment avec les bronzes de Vienne, la porcelaine asiatique puis européenne… Ta question mélange les objets inanimés (rocher) ou animés (végétaux). Oui, ce n’est pas vraiment simple (pour moi tout au moins). --Égoïté (d) 4 juin 2010 à 00:49 (CEST)

En fait, même si je reconnais que cela n'était pas très clair, je faisais plutôt le distinguo entre choses qui bougent/choses qui ne bougent pas (dont les végétaux...). Ta mention de la religion ouvre des perspectives intéressantes. Il me semble en effet qu'on a plus vénéré, ou plus généralement attribué une valeur religieuse à des créatures anthropomorphes ou animales, qu'à des végétaux, des fruits ou des minéraux. Le recul du point de vue religieux sur le monde se serait accompagné de l'adoption de plus en plus fréquente d'un autre point de vue pour les sculpteurs (et les peintres...), les amenant à envisager d'autres sujets à représenter. Ce qui est pratique avec l'Oracle, c'est qu'on peut sans trop de souci se laisser aller à des TI Litlok (m'écrire) 4 juin 2010 à 09:08 (CEST)

Les compressions (expansions) de César ne sont pas un exemple ? Penser aussi à la sculpture du monde arabe, où la représentation d'êtres humains est plus ou moins tabou. --Serged/♥ 4 juin 2010 à 10:09 (CEST)

Non, la sculpture dans le monde arabe et plus généralement islamique est très peu présente (volonté de ne pas concurrencer le créateur par des représentations en 3D), mais les rares statues sont soit animales, soit anthropomorphes. (Sur le cliché concernant la représentation humaine en Islam, voire ce meeeeerveilleux et splendide article : Représentation figurée dans les arts de l'Islam )

Il faut ensuite envisager la sculpture dans son contexte. Un sculpteur médiéval (période romane, période gothique), par exemple, sculpte énormément de végétal, mais la sculpture au moyen âge est souvent inféodée à l'architecture. De même, la sculpture dans le monde celtique n'est pas figurative.

Pour la période moderne, il y a vraiment une question de prestige liée au sujet ; le sujet humain, qui représente un épisode littéraire ou religieux a beaucoup plus de valeur qu'un élément végétal, vu comme un ornement. Ca n'empêche pas des virtusoités de sculpteurs, mais qu'on trouve plutôt dans l'orfèvrerie, le petit bronze ou la sculpture d'ornement, bref, ce qu'on appelle les objets d'art.

• 
  Clef de voûte de Saint-Martin-des-Champs selon Viollet le Duc
• 
  Plaque en bronze celtique du IVe s. av. J.-C.
• 
  décor de l'abbaye de Windebrg, v. 1750

Pour les monde africain, océanien, américain et asiatique, j'avoue ma grande ignorance. Calame (d) 4 juin 2010 à 20:50 (CEST)

Pour les sculptures contemporaines d'"objets inanimées", on peut en effet se pencher sur les Nouveaux réalistes

• César dont les compressions ont déjà été cités plus haut, mais il a aussi fait des expansions,
• Arman et ses accumulations et poubelles,
• Daniel Spoerri et son eat art
  mais aussi sur
• Alexander Calder et ses stabiles
• Daniel Buren [4]
• Jean-Pierre Raynaud [5], etc., etc.

Les plantes ne sont pas inanimées mais des organismes vivants; il y en a tout plein dans la sculpture médiévale, notamment dans les chapitaux, mais aussi autour des ouvertures, dans les églises. La Sainte-Chapelle (haute) de Paris en regorge. On peut aussi en trouver dans la catégorie - un peu maigre - qui leur est consacrée dans Wikimedia Commons. Ma préférée parmi les fleurs est celle d'

• Eduardo Catalo de la Flower fountain de Buenos Aires. Pas statique du tout: elle s'ouvre le matin et se referme la nuit.
• Eila Hiltunen a aussi opté pour des fleurs en réalisant sa Sunflower field fountain à Jeddah.

Cela dit, il est vrai que le "rendu" du mouvement (de la vie) a toujours été l'une des préoccupations majeures des sculpteurs et des peintres. Il est difficile de donner de la profondeur et du volume à une toile plate; rendre vivantes des choses aussi statiques que la pierre, le métal ou le support d'une peinture est un défi encore plus grand. C'est à la maîtrise de ces donnés (perspective, volume, mouvement) que l'on peut mesurer la compétence d'un peintre ou d'un sculpteur (traditionnels). --82.247.108.118 (d) 7 juin 2010 à 06:18 (CEST)

Cherche traducteur Langue supposé Amerindienne

Bonjour, je suis à la recherche de traducteur bénévole qui souhaiterai se pencher sur un fichier MP3 d'une amie médium qui parle une langue "Amérindienne" toutefois ne la comprenant pas il m'est difficile d'être formel.

Si quelqu'un souhaite se pencher sur ce cas merci de répondre favorablement à ce courrier.

Claude RANALDI (ceci n'est pas un canular)

Il semble exister des dizaines de langues amérindiennes (peut-être même des centaines). Il faudrait être plus précis. -- Xofc ^{[me contacter]} 3 juin 2010 à 16:58 (CEST)

Si je comprends bien, vous croyez que votre amie parle une langue amérindienne parce qu’elle se fait l’interprète de l’esprit d’un défunt amérindien ? rv¹⁷²⁹ 3 juin 2010 à 17:18 (CEST)

Faites une demande d'identification aux bénévoles de Freelang, ils ne mordent pas même s'ils peuvent être mordants ;). ViZiT (d) 3 juin 2010 à 20:59 (CEST)

Problèmes

Bonjour,

• Comment réactiver le Gestionnaire des tâches Windows?
• Comment désinstaller complétement Spybot, Symantec?

Merci, Anonyme

Bonjour, Quel système d'exploitation utilisez-vous? et puis c'est pas très anonyme Anas1712 d'écris un message avec son compte Wikipédia. --NexRezzo (d) 3 juin 2010 à 21:15 (CEST)

Grosso modo je dirais : si vous êtes "administrateur", pour désinstaller Symantec ---> parce qu'il était effectivement difficilement virable, pour tout autre programme dont SpyBot, installer CCleaner ( faites attention a vos choix ) /outils/désinstallation ( et non masquer ), puis /nettoyer la base de registre. Pour le gestionnaire des tâches, lisez l'article. ViZiT (d) 4 juin 2010 à 00:28 (CEST)

Chanteuse française de la soixantaine / carrière en Russie

Bonsoir,

Un ami m'a parlé d'une chanteuse française s'étant expatriée en Russie (ou en Tchéquie) et correspondant aux critères suivants :

• Chanteuse d'une soixantaine d'années
• A fait une carrière en Belgique dans les années 80, aujourd'hui en Russie ou en Tchéquie
• Blonde, cheveux au carré, assez mince
• N'est pas Mireille Matthieu (blonde)

Verriez-vous de qui s'agirait-il ? --Dereckson (d) 4 juin 2010 à 00:44 (CEST)

La description peut correspondre à Stone (pas d'article ? c'est un scandale) de Stone et Charden. En passant (d) 4 juin 2010 à 10:01 (CEST)

D'après la bio officielle [6], c'est pas ça... --Serged/♥ 4 juin 2010 à 10:16 (CEST)

sechage du beton

coucou,

suite à Discussion:Malaxeur (camion), je me suis posée la même question est ce que c'est seulement le mouvement qui empeche le beton de durcir... ou il y a autre chose ? a+ Chatsam (coucou) 4 juin 2010 à 10:11 (CEST)

Bonjour, Cela semble uniquement le mouvement en effet. Le séchage est même une contre indication qui fragilise le béton. source. Dont j'extrais : "Le ciment prend (durcit) non pas par évaporation de l’eau mais par réaction chimique. Le« séchage » du ciment (au soleil par exemple) l’empêchera d’acquérir toute sa résistance (il se fendillera ou même s’effritera). Il est donc recommandé de mouiller les ouvrages en béton pendant la prise et de les protéger du soleil les premières heures (feuilles de bananier par exemple). Un béton prend même en immersion complète à condition qu’il ne soit plus en mouvement. Cette propriété est bien utile pour réaliser les fondations de captage." --NexRezzo (d) 4 juin 2010 à 10:56 (CEST)

Après renseignements pris aujourd'hui auprès d'un ancien conducteur de toupie: "ton béton est fait au départ pour tenir le temps du transport ". S'il avère que le béton a un peu durci durant le transport, le maçon demande au conducteur de prendre de l'eau dans le réservoir, et de faire tourner à la volée. --Mikeread (d) 4 juin 2010 à 11:19 (CEST)

J'ai trouvé une autre source. Elle explique que l'excès d'eau permet de ralentir la prise. Mais elle ne parle pas du mouvement. Et une autre très complète mais je n'ai pas le temps de la lire. Je chercherai dimanche si personne n'a trouvé pourquoi le mouvement empêche le ciment de prendre (ou pourquoi on le fait si ca ne sert à rien). --NexRezzo (d) 4 juin 2010 à 11:58 (CEST)

Je ne vois pas du tout comment le mouvement pourrait empêcher le béton de durcir ; en général, c'est plutôt le contraire : l'agitation est favorable aux réactions chimiques. Je sais aussi que la prise du béton est un phénomène encore mal connu, et pour lequel on fait des progrès en permanence gem (d) 4 juin 2010 à 16:24 (CEST)

Je n'ai pas d'élément théorique mais une petit peu d'expérience pratique à partager. Le mouvement de la toupie n'empêche pas le béton de durcir mais permet de garder un ensemble homogène - sinon l'eau remonte à la surface et lors du déchargement le fond serait moins fluide - et permet au béton de ne pas "attacher" au fond de la cuve comme cela ce produit dans les coins des brouettes. En cas de contretemps, les maçons arrosent leur béton et le maintien autant que possible au frais (c'est à dire à l'ombre) pour le faire durer, attention toutefois aux propriétés mécaniques du béton qui peuvent se dégrader.--Walpole (d) 4 juin 2010 à 16:40 (CEST)

Il y a surtout des retardateurs de prise, qui permettent au béton d'être transporter avant de durcir. Skiff (d) 4 juin 2010 à 18:13 (CEST)

merci à tous donc en gros c'est pour qu'il reste homogène. --Chatsam (coucou) 4 juin 2010 à 18:52 (CEST)

Accouplement des martinets

Vol de martinets noirs

Bonjour.
Je crois avoir été témoin, il y a quelques jours, d'un accouplement de martinets (probablement des martinets noirs) en plein vol.
N'osant pas faire une recherche avec les termes « accouplement » et « martinet » de peur d'affoler le contrôle parental de ma machine , pouvez-vous satisfaire ma curiosité (purement scientifique) des mœurs de ces charmants oiseaux.
Et avez-vous connaissance d'autres oiseaux adeptes de ces acrobaties aériennes ?
Avec mon plus profond respect. En passant (d) 4 juin 2010 à 10:12 (CEST)

Pour ce qui est des martinets. Ils s'accouplent et dorment en vol. Etonnant, non ? --Mikeread (d) 4 juin 2010 à 10:17 (CEST)

D'après plusieurs sites (cités dans l'article Martinet noir), effectivement, ils s'accouplent en plein vol [7], [8]... --Serged/♥ 4 juin 2010 à 10:25 (CEST)

L'hirondelle de fenêtre (Delichon urbica) s'accouple en vol. Mikeread (d) 4 juin 2010 à 10:28 (CEST)

L'hirondelle rustique aussi d'après ce lien (Je le copie/colle, il ne passe pas sur mon ordi). www.lpo.fr/reseau/pointe-de-grave/especes.shtml --Mikeread (d) 4 juin 2010 à 10:37 (CEST)

Mille mercis de votre célérité et de l'abondance de références. Quels acrobates ! En passant (d) 4 juin 2010 à 10:41 (CEST)

Question futile (les seules qui vaillent)

Bienvenue à Moscou !

Coucou Oracle, il est en doulce France, dans l'exotique département des Vosges, une bourgade dénommée (c'est son droit) Gruey-lès-Surance. Chose plus curieuse, on trouve sur son territoire (apparemment), trois lieux-dits voisins, l'un dénommé Surance (bon, jusque là, rien d'extraordinaire), mais le second Moscou et le troisième Jérusalem. Aurais-tu une idée de ce qui a pu pousser l'autochtone à affubler ces hameaux minuscules et singulièrement quelconques de ces noms prestigieux ? Ça m'étonnerait que ce soit des souvenirs des Croisades et de la campagne de Russie. Alors ? Je t'écoute frénétiquement et te rends grâces d'avance. Félix Potuit (d) 4 juin 2010 à 13:31 (CEST)

Pour Moscou, je ne serais pas étonné que ce fut le choix d'un grognard. Voir par exemple : Le Kremlin-Bicêtre#Le XIXème siècle : création de la commune. (Trouvé à l'occasion d'une « question futile » tout-à-fait similaire) En passant (d) 4 juin 2010 à 13:41 (CEST)

ont du abuser du gros rouge... pour Moscou... Quand à Jérusalem ont forcé sur l'eau bénite .(la lecture de cette page -fort divertissante- renseigne environ 50 lieux-dits et hameaux portant le nom de Jérusalem Mikeread (d) 4 juin 2010 à 14:14 (CEST)

50 Jérusalem en France, bigre, j'étais loin de m'en douter. Sinon, il y a peut-être une histoire de Don Camillo et Peppone locaux, en effet, l'un baptisant sa masure Jérusalem, l'autre répliquant par Moscou... Ou l'inverse. Félix Potuit (d) 5 juin 2010 à 08:00 (CEST)

C'est plus vieux que la Révolution russe : [9]. Donc pas politique. Peut-être cela s'inscrit dans la mode des noms de rues mondialisées, du type quartier de l'Europe à Paris, mais en plein coeur des Vosges, ce serait étonnant... HaguardDuNord (d) 5 juin 2010 à 11:16 (CEST)

Ballon de foot

Bonjour les pythies. Je me demande comment sont fabriqués les ballons de foot. En effet, les pièces du ballon sont cousues entre-elles, puis le ballon est retourné comme une chaussette et hop, les coutures se retrouvent à l'intérieur. Mais, la dernière pièce, comment est-elle cousue elle, parce que une fois cousue, on ne peut plus retourner la chaussette (c'est idiot comme question mais ça me titille). Merci Cobra Bubbles ^{Dire et médire} 4 juin 2010 à 18:52 (CEST)

Les petits enfants d'Asie ont vraiment des doigts de fée ...
Ah non, après recherches, ce sont des pakistanais : Pour fabriquer un ballon, les pièce pentagonale (à 5 côtés) de cuir artificiel polyuréthane sont cousues les unes aux autres, constituant ainsi petit à petit la sphère du ballon. Les derniers points de couture sont faits « en aveugle », en se servant d’une paire de longs tire-aiguilles pour passer entre les points déjà cousus, ce qui est impossible à réaliser à la main. Lors de cette opération délicate, il faut veiller à ne pas percer la vessie en butyle remplie d’air placée à l’intérieur du ballon. (voir http://www.seed.slb.com/v2/FAQView.cfm?ID=876&Language=FR) --.Anja. (d) 4 juin 2010 à 19:10 (CEST)

Plus court : Ballon de football#Forme .Anja. (d) 4 juin 2010 à 19:11 (CEST)

Oups, merci, je m'étais arrêté au lien Ballon (sport), sans penser aller jusqu'au lien que tu m'as donné... --Cobra Bubbles ^{Dire et médire} 4 juin 2010 à 19:21 (CEST)

Bonsoir, j'ai suivi le lien donné par .Anja. ci-dessus et j'ai voulu wikifier cette section. N'étant vraiment pas doué pour ce genre de choses, j'ai vite atteint mes limites... Je n'arrive pas à lier Select (marque de ballon) vers l'article en danois, ça renvoie vers Select, ce qui n'a rien à voir. Si quelqu'un de plus compétent avait la bonté d'y remédier... De plus, l'article parle de Butyl, mais il y a pas mal de trucs obscurs sur Wki dont le nom commence par butyl et je ne sais lequel est le bon. Enfin, en PDD du même article une IP fait cette remarque :« Il n'est pas possible que la pression dans un ballon de football (ou autre) soit inférieure à 1 atmosphère ( alors que dans votre article vous indiquez 0,6 en pression minimum) ». Il a raison ? Merci d'avance.--Fu Manchu (d) 4 juin 2010 à 21:13 (CEST)

Pour qu'il soit bien gonflé, il faut une surpression dans le ballon. D'ailleurs, s'il y avait une sous-pression, le ballon se ratatinerait sur lui-même. Agrafian (me parler) 4 juin 2010 à 21:25 (CEST)

Si on suit les interwikis il semble que ce soit juste ou alors tout le monde fait la même erreur et la FIFA préconise 0.8 bar et comme ces 2 unités sont quasiment équivalentes, ça a l'air de coller, non ?--Fu Manchu (d) 4 juin 2010 à 21:56 (CEST)

Ben oui… Ça me dépasse par contre. Agrafian (me parler) 4 juin 2010 à 22:42 (CEST)

J'imagine que c'est la pression différentielle qui est mesurée et indiquée, autrement dit qu'il faut ajouter une atmosphère aux valeurs indiquées pour avoir la pression absolue dans le ballon. Grasyop ^✉ 4 juin 2010 à 23:15 (CEST)

0,6 pour les ballons de futsal sur le site de la FIFA [10]. C'est la pression minimale admissible au début du match, ensuite, à force de taper dessus (pour ceux qui savent jouer, comme les Chinois), la température augmente et donc la pression également. Cobra Bubbles ^{Dire et médire} 4 juin 2010 à 22:05 (CEST)

Remarque : je crois que les ballons de pro sont « cousus » au laser et non au fil. — Carlotto 4 juin 2010 à 22:10 (CEST)

Les ballons du prochain mondial, et j'imagine comme presque tous les ballons maintenant, sont fabriqués comme ça... Beaucoup de machines et peu de mimines. Tostof • converse • 4 juin 2010 à 23:04 (CEST)

il s'agit d'une surpression de 0.6 atmosphère, évidemment. Biem (d) 5 juin 2010 à 15:25 (CEST)

Pourquoi Téléchat faisait-il si peur à tant d'enfants ?

Bonjour ! Quelles sont les raisons profondes pour lesquelles Téléchat faisait peur aux enfants (mais pas à tous) ? Pour certains c'était le fer à repasser qui faisait peur ("ça ne fait pas un pli !"). Pour moi c'était l'autruche qui me faisait flipper, quand d'un seul coup elle se cachait la tête dans son trou. Pourtant ce ne sont que des animaux qui parlent, rien d'effrayant à cela ? Bourrichon 4 juin 2010 à 22:56 (CEST)

Parce qu'outre le fait que le ton est agressif (dès le "chalut" !), ils ont un aspect proprement terrifiant, tout simplement. Comme E.T. Si on ajoute à cela que l'ensemble est fondé sur un humour pince-sans-rire incompréhensible à des enfants... Turb (d) 5 juin 2010 à 01:55 (CEST)

Je crois que Téléchat ciblait un public d'adultes et non d'enfants. --92.131.81.188 (d) 5 juin 2010 à 22:16 (CEST)

Non, d'après l'horaire de diffusion, il semblerait que téléchat visait bien les enfants, cependant, le "message" sensé être diffusé par téléchat n'était simplement pas au niveau des téléspectateurs visés [11] (Nous sommes désolé de vous apprendre que la signature a été suspendue pour faute professionnelle) 7 juin 2010 à 00:28 (CEST)

Mais ? J’adorais Téléchat, je trépignais de joie quand ça commençait ! Bien sûr je ne comprenais pas tout... rv¹⁷²⁹ 7 juin 2010 à 08:23 (CEST)

Merci. Bourrichon 7 juin 2010 à 16:46 (CEST)

Sniff sniff... bwaah !

Bien le bonjour chères Pythies, j'ai une question disons assez parfumée...

Il y a dans mon immeuble un personnage connu de tous ses habitants car il a la particularité de dégager une senteur agressive et nauséabonde. Il vit avec sa femme (la pauvre mais bon il paraît qu'on s'habitue à tout) depuis au moins 30 ans dans le même appartement et jamais, depuis que je suis tout petit je ne l'ai vu autrement qu'avec son kawai bleu, ses longs cheveux gris-gras-dégoulinants, son air d'échappé de l'asile psychiatrique et toujours cette odeur infecte de pas lavé de puis deux ans.

Il sort bien de chez lui de temps à autres (histoire d'embaumer l'ascenseur et de faire mourir les plantes) mais n'a jamais créé de problèmes.

Malgré tout, en rentrant chez moi il y a quelques jours, je renonçais à prendre l'ascenseur tant les émanations qui en dégageaient étaient fraiches et irritantes pour mon nez délicat habitué à l'air pur parisien.

J'ai appris par la gardienne qu'il y a déjà eu des interventions de voisins de paliers auparavant mais que toutes avaient échouées; et par ma mère (qui l'a apprise de la femme de l'intéressé) que ce dernier ne souffrait d'aucune allergie à l'eau ou à un quelconque savon.

> Y a-t-il une quelconque méthode/action/intervention pour faire en sorte de régler ce soucis odorant ?

En vous remerciant de votre explication et en vous rappelant de vous laver les mains quand vous rentrez chez vous. -- Monsieur Dupond 5 juin 2010 à 00:57 (CEST)

Je préconiserais la mithridatisation : deux heures de transports en commun parisiens par jour, et l'odeur de votre voisin vous semblera parfaitement naturelle (pour s'habituer à l'odeur de la pisse de clodo, fréquenter en particulier la station Gare du Nord, qui offre en plus l'avantage de vous déverser dans les esgourdes un torrent ininterrompu de conneries et de musique de merde, le tout intitulé "Radio D" je crois). A noter que les effluves de parfums, déodorants et autres eaux de Cologne généreusement douchées sur les trognes blêmes à l'heure du petit déjeuner peuvent s'avérer tout aussi révulsantes pour les estomacs délicats que les relents de tabac froid dans les fringues pas lavées depuis trois mois. Félix Potuit (d) 5 juin 2010 à 08:07 (CEST)

A vrai dire j'utilise déjà fréquemment les transports en commun, aussi bien le métro que le RER et avec la chaleur qui s'annonce les vapeurs d'origine humaines risquent de devenir nocives aux pauvres touristes et provinciaux. Je pense d'ailleurs que les odeurs de la Gare du Nord n'ont rien à envier à celles de la Gare d'Austerlitz mais bon chacun ses goûts en la matière si je puis dire. En ce qui concerne la mithridatisation elle paraît être une excellente solution, je voudrait cependant conserver mon odorat raffiné afin de profiter des sorties en campagne.

En fait ma question était de l'ordre de la légalité : peut-on obliger un individu à se tenir propre chez lui sous prétexte d'empester les lieux de passages ? Sinon que faire, qui appeler ? -- Monsieur Dupond 6 juin 2010 à 01:18 (CEST)

Jusqu'ici, j'ai toujours eu des réponses claires et utilisables (après avoir fait un peu de tri quand même) sur le forum de ce site (Droit et information juridique au service des actifs). Et je plussoie Félix Potuit, les effluves reniflées dans le ReurBé, qu'elles soient du matin ou du soir (avec leurs spécificités propres) ont certaines qualités qu'on ne retrouve nulle par ailleurs. - Sisqi (d) 6 juin 2010 à 10:22 (CEST)

Augustin François César Prouvençal de Saint-Hilaire

Bonjour,
Est-ce Prouvençal de Saint Hilaire? ou bien Auguste Prouvençal de Saint Hilaire?. Ca a l'air d'etre Augustin Prouvençal de Saint Hilaire ou encore "Auguste de Saint-Hilaire" .Ne pas confondre avec le marquis de Queux En tout cas "Auguste" ou "Augustin", les François César semblent de trop. Vos avis ? Merci.
--Mikeread (d) 5 juin 2010 à 09:53 (CEST)

Selon la BnF c'est bien *Auguste de Saint-Hilaire*. Bonne continuation. Piero (d) 5 juin 2010 à 17:05 (CEST)

Merci Mikeread (d) 5 juin 2010 à 19:41 (CEST)

Kilomètres parcourus par un sportif...

Bonjour à toutes/tous. Y a-t-il déjà eu des statistiques comparatives à propos du nombre moyen de kilomètres parcourus par un sportif, en tennis, en football, en rugby, que sais-je encore ? --TwøWiñgš ^{Boit d'bout} 5 juin 2010 à 16:41 (CEST)

J'ai vu récemment que France Télévision avait mesuré le kilométrage parcouru par l'arbitre de centre lors d'un match (était-ce en football ou en rugby ? Ma mémoire me fait défaut. Peut-être l'ont-ils fait pour les 2).Edit : sur le lien ci-contre Fr-Télévision et la Poste ont mis en oeuvre ces stats pour le foot et le rugby. Sur ce lien, le résultat pour l'arbitre de la finale PSG-Monaco. résultat : 8,4 km. [12] Cela serait surprenant que cette mesure n'ait pas été effectuée concernant les joueurs.--92.131.81.188 (d) 5 juin 2010 à 22:21 (CEST)

Intéressant. Merci, déjà, pour cette info. Amha un joueur fait donc sûrement un peu moins de kilomètres, vu que l'arbitre n'a pas le choix : il faut qu'il soit toujours proche de l'action. --TwøWiñgš ^{Boit d'bout} 6 juin 2010 à 10:12 (CEST)

Par contre, si cela vous intéresse, je peux vous donner le nombre de km parcourus par un marathonien--92.131.81.188 (d) 5 juin 2010 à 22:37 (CEST)

Très drôle ;-) --TwøWiñgš ^{Boit d'bout} 6 juin 2010 à 10:12 (CEST)

Comment cela fonctionne

Bonjour, je me pose une question qui me trotte depuis un moment. La nature est ainsi faite, mais j'aimerai avoir une autre explication. Lorsque l'on coupe des végétaux, certains repoussent de plus belle, d'autre meurent ou repoussent en partant de la racine. Par quel mécanisme cela se passe t'il ? Merci. --Kkbs (d) 5 juin 2010 à 19:38 (CEST)

Peut-être une piste?... Épicormique (et Taille (arboriculture)). -- Xofc ^{[me contacter]} 5 juin 2010 à 19:49 (CEST)

Merci, cela vaut pour les arbres, mais une salade, des épinards, l'herbe, fortifie la repousse, le liseron, la prêle coupé au plus bas repoussent. Un bambou, la tête coupée reste tel quel il ne meure pas et ne grandit plus. Certains arbres coupés au pied restent tel quel, d'autres pourrissent, d'autres produisent une multitude de branches périphériques.--Kkbs (d) 6 juin 2010 à 05:49 (CEST)

Quelle est la question exactement? Les végétaux possèdent en général une capacité naturelle pour le marcottage, le bouturage, bref, différentes formes de clonage naturel. Ça doit être dû à la possibilité de dédifférentiation des cellules, une cellule de racine peut assez facilement, si elle est dans des conditions favorables, revenir en arrière et donner des tiges, des feuilles, etc. C'est loin d'être exceptionnel, certains animaux sont capables de faire ça (certains vers, les éponges, il doit exister un paquet d'exemples que je connaitrais si j'avais été sérieux en cours :-) ). Il semble que d'autres animaux ont perdu cette capacité, soit à cause d'un développement plus complexe (plus de types cellulaires et plus de spécialisation des cellules), soit parce que les conditions de vie des animaux font que l'intérêt du «bouturage» est réduit dans les conditions naturelles (un animal a besoin de trouver activement l'énergie nécessaire à sa survie, si on perd ses pattes, on va mourir de faim avant d'avoir le temps qu'elles repoussent).

Si la question est pourquoi certains végétaux bouturent facilement et pas d'autres, la réponse doit être complexe et les possibilités sont multiples. Tous les végétaux sont probablement capables d'être bouturés si mis dans de bonnes conditions, et les bonnes conditions doivent simplement différer. Il faut aussi voir que les plantes monocotylédones (le bambou de votre exemple, ou l'ananas) n'ont qu'une zone de croissance en «bout» de tige, il est évident qu'il leur est plus difficile de repartir si on coupe le bout de leur tige (il faut recréer une nouvelle zone de croissance), mais j'imagine que c'est toujours possible. Arnaudus (d) 6 juin 2010 à 09:19 (CEST)

Pour être plus précis, le bambou est une herbe, lorsqu'on le coupe il ne repousse pas, alors que l'herbe repousse. Donc si je comprends bien l'herbe aurait sa zone de croissance plus bas, les moutons rasent parfois l'herbe à ras de terre, et l'herbe repousse quand même (dans nos régions), il faut donc considérer que la zone de croissance de l'herbe se situe au niveau de ces racines. --Kkbs (d) 6 juin 2010 à 17:01 (CEST)

Bonne remarque :-) J'ai dû aller vérifier, ici par exemple http://www.universcience-vod.fr/media/759/croissance-de-l-herbe.html?page=1&tag_id=599 : les brins d'herbe sont des feuilles, alors que le bambou que vous coupez est la tige de la chose. L'équivalent de tondre la pelouse serait de couper les feuilles du bambou, ce qui ne le tue pas. Arnaudus (d) 6 juin 2010 à 19:39 (CEST)

Bonjour, je vous sais gré des efforts que vous avez fait pour répondre à ma question. Je vous en remercie. --Kkbs (d) 7 juin 2010 à 14:26 (CEST)-

renseignement brasseries du Cameroun

(message déplacé depuis le bistrot)

bonjour, je suis à Pouma. je souhaite habiller mon bar et mettre les nappes de tables aux couleurs des brasseries du Cameroun ici à Pouma. je souhaiterais donc savoir quelles sont les démarches que je dois mener auprès des brasseries pour pouvoir avoir ces nappes et les affiches extérieures — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 195.24.209.14 (discuter)

Bonjour ! Contactez le service clientèle (en stipulant bien que vous êtes bien patron/gérant d'un bar) des brasseries en question. Voici un lien avec un espace professionnel --Mikeread (d) 6 juin 2010 à 14:22 (CEST)

Un autre lien où vous pourrez poser votre question --Mikeread (d) 6 juin 2010 à 14:33 (CEST)

Brasseries du Cameroun --Mikeread (d) 6 juin 2010 à 19:00 (CEST)

Couleur et chaleur

Bonjour, pour une matière donnée (mettons la laine d'un pull), quelle couleur chauffe le plus au soleil, à part le noir ? Bourrichon 6 juin 2010 à 17:33 (CEST)

Naïvement, une couleur donnera d'autant plus chaud qu'elle est foncée (et, en second lieu, saturée). Le noir est un cas particulier de couleur très foncée. — Jérôme 6 juin 2010 à 17:57 (CEST)

Représentation d'une fonction gaussienne.

Un pigment absorbe la lumière à une longueur d'onde précise selon une distribution gaussienne : plus on s'éloigne de la longueur d'onde caractéristique du pigment, plus l'intensité d'absorption diminue, de façon exponentielle. Ce doit être pour cela qu'un pigment très concentré nous apparaît noir (la gaussienne s'étend sur tout le spectre visible lorsque le pigment est en phase aqueuse, et elle est très resserrée jusqu'à former un seul pic en phase gaz, mais qu'en est-il en phase solide ?).

Quoi qu'il en soit, une couleur noire sera toujours plus réchauffante qu'une coutre couleur. Pour augmenter encore plus l'absorption de chaleur, on peut envisager d'ajouter des pigments qui absorbent dans l'UV et dans l'IR, afin d'étendre encore plus le domaine d'absorption. Tachymètre ^(me parler) 6 juin 2010 à 18:42 (CEST)

Euh, on ne décroit pas du tout de façon exponentielle quand on s'éloigne de la moyenne d'une courbe en cloche... Arnaudus (d) 6 juin 2010 à 19:34 (CEST)

On parle de l'absorption de l'énergie, mais il ne faut pas oublier l'Émissivité. J'en parle bien qu'on soit à matériau fixé (la laine), on y rajoute des pigments (on parle de couleurs). Skiff (d) 6 juin 2010 à 19:53 (CEST)

Intéressant. D'ailleurs quelle est l'émissivité de la laine ? Elle n'est pas dans le tableau... Bourrichon 6 juin 2010 à 21:11 (CEST)

Dans Thermal energy transport within porous polymer materials: Effects of fiber characteristics, les auteurs comparent la laine aux fibres de polyester. En ce qui concerne l'émissivité, 0,78 et 0,62 respectivement (pour les échantillons utilisés). Leurs calculs indiquent qu'au-delà de 0,6, l'émissivité ne change que marginalement le flux total traversant le « polymère poreux » étudié (en revanche, entre 0 et 0,4, l'émissivité réduit considérablement le flux total). — Jérôme 6 juin 2010 à 22:09 (CEST)

Merci. Bourrichon 7 juin 2010 à 16:49 (CEST)

Matière des ziplocs

Bonsoir les Pythites. En quoi sont faits les ziplocs ? PVC, PEbd... ? Ce site montre un tableau parfois imprécis. Avez-vous des remarques sur ce tableau d'ailleurs ? Bourrichon 6 juin 2010 à 20:57 (CEST)

« Ziploc® Brand Bags are made from Polyethylene Plastic Resin #4. » source ziploc.com Aucune idée de la signification de leur numéro 4. — Jérôme 6 juin 2010 à 22:17 (CEST)

Code d'identification des résines : 4, c’est donc bien du polyéthylène basse densité (PEbd). Cdlt, Vigneron * ^discut. 7 juin 2010 à 07:45 (CEST)

Merci. Bourrichon 7 juin 2010 à 16:49 (CEST)

Voir aussi en:Ziploc. -- Xofc ^{[me contacter]} 8 juin 2010 à 12:53 (CEST)

Contamination bactériologiques des salades ou crudités en restauration collective

Bonjour,

Pour ma recherche bibliographique pour l'élaboration d'un travail sur la contamination bactériologique des salades ou crudités en restauration collective , j'aurai besoin des travaux qui ont été réalisés dans ce sens ainsi que des mesures correctives qu'on peut mettre en œuvre pour diminuer ou éliminer cette contamination.

Merci infiniment pour votre compréhension et précieuse collaboration.

Voir aussi Toxoplasmose. ([13]) -- Xofc ^{[me contacter]} 7 juin 2010 à 08:12 (CEST)

différence entre groupement et consortium

je voudrais savoir SVP quelle est la différence-si elle existe-, de point de vue juridique entre le groupement d'entreprises et le consortium d'entreprises. Merci