Sainte-Marthe (Québec)

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Sainte-Marthe
Sainte-Marthe (Québec)
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec
Région Montérégie
Subdivision régionale Vaudreuil-Soulanges
Statut municipal Municipalité
Maire
Mandat
François Pleau
2021-2025
Code postal J0P 1W0
Constitution
Démographie
Gentilé Marthéen, ne
Population 1 014 hab. ()
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ nord, 74° 18′ ouest
Superficie 7 973 ha = 79,73 km2
Divers
Langue(s) Français
Fuseau horaire Est (UTC-5)
Indicatif +1 450 459
Code géographique 2471110
Localisation
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Sainte-Marthe, parfois appelée Sainte-Marthe de Rigaud ou Sainte-Marthe-de-Vaudreuil[1], est une municipalité dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Vaudreuil-Soulanges au Québec (Canada). Elle est située dans la région du Suroît dans la région administrative de la Montérégie. La communauté compte environ 1 100 habitants (2017)[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Rivière à la Raquette

Sainte-Marthe se situe au nord-ouest du Suroît. Son territoire est borné au nord par Rigaud, à l'est par Saint-Lazare, au sud par Saint-Clet et Sainte-Justine-de-Newton et à l'ouest par Très-Saint-Rédempteur[3].

La municipalité couvre une superficie totale de 79,92 km2 dont 79,78 km2 terrestres[2]. Le relief est contrasté. La municipalité se trouve dans la basses-terres du Saint-Laurent. Dans sa plus grande partie au sud, son territoire est plat et exploité à des fins agricoles alors que la partie nord, située sur le flanc sud de la montagne de Rigaud, est boisée, notamment par des érablières. La butte de Sainte-Marthe est un autre relief sur le territoire alors que la Marmite est une colline au sud de la montagne de Rigaud[4]. . L'altitude varie de 190 mètres au nord sur la montagne de Rigaud à la limite de Rigaud près de la montée Neuve, à moins de 50 mètres à l'est, en aval de la rivière à la Raquette près du Camping Choisy[5].

Les sols de Sainte-Marthe se composent, pour la partie de plaine au centre, de grès, conglomérat, calcaire et dolomie datant du Cambrien (grès de Potsdam, formations de Brador et de Forteau) alors que le flanc de la montagne de Rigaud se compose de granite du Protérozoïque. Les sols au sud de la municipalité près de Saint-Clet sont plutôt de dolomie et grès de l'Ordovicien inférieur (groupe de Beekmantown et formation de Romaine)[6]. La municipalité est drainée par la rivière à la Raquette[7] et ses tributaires, dont les ruisseaux Saint-Guillaume[5] et Bellefeuille[8].

Municipalités limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Le périmètre d'urbanisation couvre 14 ha et est presque totalement occupé. Le noyau villageois abrite une école primaire publique et un bureau de poste. Les aires à l'extérieur du périmètre d'urbanisation sont situées en zone agricole permanente, ce qui représente 99,9 % du territoire de la municipalité[9]. L'affectation agricole permet l'établissement de fermes équestres[10]. Il y a 430 logements dans la municipalité[11].

La route 201 est une route régionale sous juridiction du ministère des Transports du Québec d'orientation nord sud qui relie Rigaud à Franklin en passant par l'est du territoire agricole de Sainte-Marthe[12]. Plusieurs rangs d'orientation est-ouest desservent les habitations et établissements de Sainte-Marthe entre la route 201 et la route 325, soit le chemin Saint-Guillaume, qui traverse le village, le chemin Saint-Henri, dans le flanc sud du mont Rigaud, le chemin Sainte-Marie et le chemin Sainte-Julie dans l'aire agricole au sud. Du village, il est possible de se rendre aux chemins Saint-Henri et Sainte-Marie par les montées homonymes[13]. La ligne de chemin de fer du Canadien Pacifique effleure à peine la pointe sud du territoire de la municipalité. Une ligne de transport d'énergie électrique de 735 kV traverse le territoire d'est en ouest[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Éphémérides
1732 Concession de la seigneurie de Rigaud
1835 Établissement d'Irlandais
1845 Création de la paroisse catholique
1855 Constitution de la municipalité de paroisse
1912 Constitution de la municipalité de village
1980 Fusion des municipalités de village et de paroisse

La seigneurie de Rigaud, qui comprend le territoire actuel de Sainte-Marthe, est concédée en 1732 aux frères François-Pierre de Rigaud de Vaudreuil et Pierre de Rigaud de Vaudreuil de Cavagnial, plus tard gouverneur général de Nouvelle-France[15]. En 1835, un groupe d'Irlandais s'établit dans le sud de la seigneurie[16]. En 1845, quatre des quatorze concessions de la seigneurie de Rigaud, soit les concessions Saint-Henri, Saint-Guillaume, Sainte-Marie et Sainte-Julie, se détachent pour former la nouvelle paroisse de Sainte-Marthe[17]. Le choix du nom de la paroisse catholique et de la municipalité s'explique du fait que Marthe de Béthanie est la sœur de Lazare, le ressuscité, patronyme de la paroisse voisine de Saint-Lazare, et que la paroisse de Sainte Marthe s'est formée par détachement de la paroisse de Sainte Madeleine de Rigaud, Marthe étant l'un des principaux témoins de la Résurrection de Jésus avec Marie-Madeleine d'après l'apôtre Jean[16]. La municipalité est également appelée Sainte-Marthe-de-Rigaud dans le langage courant, sans doute pour la distinguer de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, municipalité située relativement près, de l'autre côté du lac des Deux Montagnes. Le bureau de poste de Sainte-Marthe ouvre en 1851[16]. La municipalité de paroisse est créée en 1855, bien que sa proclamation ait lieu seulement en 1857. Le premier maire est James Madden[18]. Au début des années 1900, un hameau se développe autour du carrefour de la montée Sainte-Marie et du rang du même nom, comptant entre autres le magasin général Cool et l'Hôtel Bertrand[19]. Fortunat Montpetit construit en 1905 l'aqueduc du village alimenté par un puits. L'approvisionnement en électricité débute en 1927. La municipalité de village se détache de la municipalité de paroisse en 1928. Le premier maire du village est Émery Quesnel[18]. En 1950, l'ensemble du territoire est desservi par l'électricité[18]. La municipalité actuelle est constituée en 1980 par la réunion des municipalités de paroisse et de village[20].

L'église de la municipalité, érigée de 1862 à 1866, fut construite selon un plan récollet par l'architecte de renom Victor Bourgeau. La bénédiction solennelle de l'église a lieu le 17 mai 1866, présidée par l'abbé Théophile Brassard, curé de Saint-Michel-de-Vaudreuil. Sa façade de style classique est toute en pierre de taille provenant des carrières de Montréal. Son clocher abrite trois cloches sorties de la fonderie Meneely and Kimberly de Troy[21].

Démographie[modifier | modifier le code]

Le recensement dénombre en 2016 1 097 Marthéens[11],[22]. La population totale est relativement stable depuis 30 ans. Le français est la langue maternelle d'une majorité de la population. Toutefois, le nombre de personnes de langue maternelle française diminue de manière importante alors que le nombre d'anglophones fait des gains majeurs depuis 2001[11].

Langue parlée à la maison[11]
Langue 1996 2001 2006 2011 2016
Drapeau du Québec Français 83,5 % 87,5 % 88,0 % 82,6 % .
Drapeau du Royaume-Uni Anglais 15,6 % 11,1% 12,0% 14,6% .
Autres 0,9 % 1,4 % - 2,0 % .

Population totale de Sainte-Marthe, 1986-2016[11]

La population de Sainte-Marthe est relativement âgée. Le groupe d'âge le plus important est celui des 45-64 ans, soit la population active mature ou pré-retratiée suivie par les 25-44 ans, c'est-à-dire la population active en début ou à mi-carrière. L'âge moyen y est de 43,2 ans, soit davantage que la MRC de Vaudreuil-Soulanges (39,4 ans) et davantage que la région de Montréal (40,6 ans) ou le Québec (41,9 ans). De plus, la structure d'âge montre un fort vieillissement depuis 20 ans[11],[23].

Groupes d'âge, Sainte-Marthe, 1996-2016, et comparateurs, 2016[11],[23]
Groupe d'âge Sainte-Marthe Comparateurs 2016 (%)
1996 2016 Variation 1996-2016 Vaudreuil-
Soulanges
RMR de
Montréal
Québec
Nb % Nb % Nb % Points
0-14 ans 250 23 % 140 13 % en diminution110 en diminution44 % en diminution11 % 19.6 % 16,9 % 16,3 %
15-24 ans 95 9 % 145 13 % en augmentation50 en augmentation55 % en augmentation4 % 11,5 % 12,1 % 11,4 %
25-44 ans 330 31 % 245 22 % en diminution85 en diminution26 % en diminution9 % 25,2 % 27,4 % 25,3 %
45-64 ans 280 26 % 385 35 % en augmentation105 en augmentation38 % en augmentation9 % 29,5 % 27,3 % 28,6 %
65-84 ans 105 10 % 175 16 % en augmentation550 en augmentation67 % en augmentation6 % 12,8 % 14,2 % 16,0 %
85 ans et plus 15 1 % 15 1 % - ... - 1,3 % 2,2 % 2,3 %
Total 1 090 100 % 1 095 100 % en augmentation5 ... ... 100 % 100 % 100 %
Âge médian . 46,7 ... ... ... 40,7 40,6 41,9
Typologie des ménages, Sainte-Marthe, 2016[11]
Type de ménage Ménages
Nombre %
Personnes seules 90 20 %
Groupes en cooccupation 10 2 %
Couples sans enfants 160 36 %
Familles biparentales 140 34 %
Familles monoparentales 40 9 %
Total 435 100 %
Appartenance à un ménage Personnes
Nombre %
Personnes/ménage 2,5 ...
Personnes dans les ménages 1 080 100 %
Personnes hors ménage - -
Population totale 1 080 100 %
Évolution démographique
1986 1991 1996 2001 2006 2011 2016
1 0551 0561 0901 0941 0801 0751 097

Administration[modifier | modifier le code]

Mairie

Le conseil municipal de Sainte-Marthe compte un maire et six conseillers élus tous les quatre ans. Le mode d'élection est en bloc sans division territoriale[2]. La mairesse Aline Guillotte est réélue à l'élection de 2013 avec 73,4 % des voix contre Huguette Dupras, ancienne conseillère. Le taux de participation est de 66,0 %[26].

Sainte-Marthe
Maires depuis 2002
Élection Maire Qualité Résultat
2002 Jean-Guy Desrochers Voir
2005 Aline Guillotte Voir
2009 Voir
2013 Voir
2017 François Pleau Voir
2021 Voir
Élection partielle en italique
Depuis 2005, les élections sont simultanées dans toutes les municipalités québécoises
Composition du conseil municipal[2],[27]
2005-2009 2009-2013 2013-2017
Maire Aline Guillotte Aline Guillotte Aline Guillotte
Conseillers François Béliveau
Marcel Delattre
Claude Gravel
Eddy Lawlor
Sylvain Roy
Peter T. Stephenson
François Béliveau
Marcel Delattre
Hélène Dupras**
Claude Gravel
Eddy Lawlor
Sylvain Roy*
Peter T. Stephenson
François Béliveau*
Jinny Brunelle
Claude Gravel
Eddy Lawlor
François Pleau**
Alain Sauvé
Gilbert Séguin

* Élu en début de terme mais n'ayant pas terminé le terme. **Élu à une élection partielle.

La municipalité est rattachée à la MRC de Vaudreuil-Soulanges. Elle est l'une des municipalités rurales situées à l'ouest et qui ne sont pas incluses dans le territoire de juridiction de la Communauté métropolitaine de Montréal[28]. La population de Sainte-Marthe est représentée à l'Assemblée Nationale du Québec par le député de la circonscription de Soulanges[29]. . À la Chambre des communes du Canada, le député représentant la population de Sainte-Marthe est celui de la circonscription de Salaberry—Suroît[30]. Avant les élections fédérales canadiennes de 2015, le territoire de Sainte-Marthe était compris dans la circonscription de Vaudreuil-Soulanges[31].

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de Sainte-Marthe est agricole[32]. Elle compte 62 fermes en 1999. Le maïs est la principale culture et l'élevage est orienté pour moitié vers les vaches laitières[33]. Elle compte plusieurs exploitations d'érablières comme la Sucrerie de Bellefeuille[34] et l'Érablière des Roy. Le sirop d'érable de cette érablière entre dans la composition du savon de Vaudreuil-Soulanges confectionné à Saint-Lazare[35]. L'exploitation Cajoline fait l'élevage d'alpagas[36].

Statistiques agricoles, 2011[37]
Nombre de fermes ou de travailleurs Superficie (ha) ou nombre de têtes
Terres en culture 6 065 ha
Pâturages 146 ha
Boisés et milieux humides 848 ha
Autres 132 ha
Total des terres 7 190 ha
Soja 11 2 463 ha
Maïs 11 2 102 ha
Légumes 4 422 ha
Fruits 2 16 ha
Produits de l'érable 11 106 579 entailles
Vaches laitières 3 151 têtes
Bovins de boucherie 3 298 têtes
Chevaux 3 53 têtes
Poulets 3 75 000 têtes
Toutes fermes (recettes annuelles) 62 13 766 200 $
Travailleurs (semaines payées) 75 1 212 semaines

Outre les sucreries, le secteur nord de Sainte-Marthe, boisé et situé sur le flanc sud de la montagne de Rigaud le long du chemin Saint-Henri, compte différents établissements d'hébergement, par exemple, l'Auberge des Gallant, hôtellerie champêtre, est réputée pour sa cuisine, mettant souvent en valeur les produits de l'érable[38], ou encore la Villa Oracle[39]. Le camping pour hommes seulement Plein Bois, dans le même secteur géographique, compte 414 emplacements[40].

Société[modifier | modifier le code]

Les jeunes peuvent utiliser les installations de loisir du parc municipal Yvon-Lauzon, situé dans le village. La sécurité publique est assurée par le poste de la Sûreté du Québec de Saint-Clet[41].

Les principales personnalités nées à Sainte-Marthe sont :

Éducation[modifier | modifier le code]

Le centre de services scolaire des Trois-Lacs administre les écoles francophones[42]. Les jeunes du primaire fréquentent l'école Sainte-Marthe-Cuillierrier (pavillon Sainte-Marthe) située dans le noyau villageois tandis que les jeunes du secondaire fréquentent les écoles secondaires Soulanges et de la Cité-des-Jeunes, situées respectivement à Saint-Polycarpe et Vaudreuil-Dorion.

La commission scolaire Lester-B.-Pearson administre les écoles anglophones de la région. Les jeunes du primaire sont amenés à fréquenter l'école élémentaire Soulanges à Saint-Télesphore ainsi que les écoles élémentaires Evergreen et Forest Hill (pavillons junior et senior), tandis que les élèves du secondaire fréquentent l'école secondaire Westwood (pavillons junior et senior), ces dernières étant toutes situées à Saint-Lazare[43].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Signes conventionnels : - Néant ou non significatif . Non disponible ...N'ayant pas lieu de figurer. x Confidentiel
Note : Les totaux peuvent être légèrement différents des sommes des composantes en raison des arrondissements.

  1. Municipalité de Sainte-Marthe, « Présentation des armoiries » (consulté le ).
  2. a b c et d Gouvernement du Québec, « Répertoire des municipalités du Québec : Sainte-Marthe »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), 71110, sur Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation du Québec (consulté le ).
  3. Gouvernement du Québec, 710 - MRC de Vaudreuil-Soulanges, Québec, (lire en ligne), carte.
  4. Commission de toponymie du Québec, « Sainte-Marthe (municipalité) », Banque de noms de lieux du Québec, Québec, Gouvernement du Québec, no 33777,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. a et b Gouvernement du Canada, « L'Atlas du Canada - Toporama », Ressources Naturelles Canada (consulté le ), carte 1/15 000.
  6. « CRÉ Vallée-du-Haut-Saint-Laurent, Plan régional de développement intégré des ressources naturelles et du territoire (PRDIrRT) : Portrait de la forêt précoloniale de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), 2010, page 6.
  7. Pierre-Jacques Ratio, « Rivière à la Raquette », sur Conseil du bassin versant de la région de Vaudreuil-Soulanges (consulté le )
  8. Gouvernement du Québec, « Ruisseau Bellefeuille », 75557, sur Commission de la toponymie du Québec, (consulté le ).
  9. MRC de Vaudreuil-Soulanges, 2004, p. 33-34, 62.
  10. MRC de Vaudreuil-Soulanges, 1984, p. 66.
  11. a b c d e f g et h a. Statistique Canada. Sainte-Marthe, Québec (Code 247110) (tableau). Profil du recensement, produit nº 98-316-XWF au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. Recensement 2011, diffusé le 24 octobre 2012. Consulté le 24 janvier 2014.
    b. Statistique Canada. 2007. Sainte-Marthe, Québec (Code2471110) (tableau). Profils des communautés de 2006, Recensement de 2006, produit nº 92-591-XWF au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. Diffusé le 13 mars 2007. Consulté le 24 janvier 2014.
    c. Statistique Canada. 2002. Sainte-Marthe, Québec (Code2471110) (tableau). Profils des communautés de 2001, Recensement de 2001. Ottawa. Modifié le 26 août 2013. Consulté le 24 janvier 2014.
    d. Statistique Canada 1997, Recensement de la population de 1996, Sainte-Marthe, Québec (Code2471110). Produit numéro 95F0181XDB96001 au catalogue de Statistique Canada. Modifié le 23 décembre 2013. Consulté le 24 janvier 2014.
    e. Statistique Canada. 2017. Sainte-Marthe, M (Subdivision de recensement 2471110) (tableau). Profil du recensement, Recensement de 2016, produit nº 98-316-X2016001 au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. Diffusé le 3 mai 2017. Consulté le 22 juillet 2017.
  12. Ministère des Transports du Québec, Distances routière, Québec, Les Publications du Québec, , 206 p. (ISBN 2-551-19693-0, ISSN 0714-2153, lire en ligne), p. 55
  13. Google, « sainte-marthe québec », sur Google Maps (consulté le ).
  14. MRC de Vaudreuil-Soulanges, Schéma d'aménagement révisé, Sotar, , 369 p. (lire en ligne), p. 15-16
  15. « Seigneurie Rigaud », 118955, sur Commission de la toponymie du Québec (consulté le ).
  16. a b et c Commission de toponymie du Québec, « Sainte-Marthe (municipalité) », Banque de noms de lieux du Québec, Québec, Gouvernement du Québec, no 98667,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. Lorraine Auerbach Chevrier et Raymond Séguin, Histoires de Rigaud en histoires, Rigaud, Cercle d'histoire de Rigaud, , 516 p., p. 12
  18. a b et c Municipalité de Sainte-Marthe, « Historique de la municipalité », (consulté le ).
  19. Luke De Stéphano, Vaudreuil-Soulanges, un lieu de convergence : 100 ans, noir sur blanc, vol. 21, Québec, Éditions GID, , 205 p. (ISBN 978-2-89634-036-1), p. 117.
  20. Sainte-Marthe (paroisse) et Sainte-Marthe (village), sur MairesduQuebec.com.
  21. Huguette Bourbonnais-Dupras, Sainte-Marthe, Québec, Les Éditions GID, , 423 p. (ISBN 978-2-89634-404-8, lire en ligne), p. 40-65
  22. Office québécois de la langue française, « Toponymes québécois commençant par S (de Sainte-Barbe à Saint-Janvier-de-Joly) », Banque de dépannage linguistique, Gouvernement du Québec,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. a et b Statistique Canada. 2017. Profil du recensement, Recensement de 2016, produit nº 98-316-X2016001 au catalogue de Statistique Canada. Vaudreuil-Soulanges, MRC (Division de recensement) et Montréal (Région métropolitaine de recensement) (tableau). Ottawa. Diffusé le 3 mai 2017. Consulté le 24 juillet 2017.
  24. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2006 - Sainte-Marthe, MÉ » (consulté le )
  25. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2016 - Sainte-Marthe, MÉ » (consulté le )
  26. Yanick Michaud, « Huguette Dupras candidate à la mairie : Sainte-Marthe, un endroit d'avenir pour aimer la vie », Première Édition, vol. 28, no 31,‎ , p. 9 (lire en ligne).
  27. a. Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation du Québec, « Archives des résultats des élections municipales 2005 : Sainte-Marthe (M) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).
    b. Gouvernement du Québec, « Élections municipales 2013, Candidatures et résultats pour Sainte-Marthe », 71110, Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation du Québec, (consulté le ).
  28. MRC de Vaudeuil-Soulanges, 1984, p. 15.
  29. Commission de la représentation électorale du Québec, « La carte électorale du Québec : Les 125 circonscriptions électorales 2011 », Directeur général des élections du Québec (consulté le ).
  30. Élections Canada, « Salaberry-Suroît », Décret de représentation électorale de 2013, Ottawa, no 24071,‎ (lire en ligne), carte.
  31. Gouvernement du Canada, « Proclamation donnant force de loi au décret de représentation électorale à compter de la première dissolution du Parlement postérieure au 25 août 2004 (TR/2003-154), Annexe: Loi sur la révision des limites des circonscriptions électorales - Décret de représentation », sur Ministère de la Justice du Canada (consulté le ).
  32. Municipalité de Sainte-Marthe, « Sainte-Marthe vous souhaite la bienvenue », (consulté le )
  33. MRC de Vaudreuil-Soulanges, 2004, p. 63.
  34. « Sucrerie De Bellefeuille », (consulté le ) (« http://sucreriedebellefeuille.com/notrehistoire.html »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le )
  35. >Marché champêtre de Rigaud, « L'air du marché », (consulté le ), p. 3
  36. UPA Montérégie, « Journée portes ouvertes sur les fermes du Québec », Première Édition, vol. 28, no 32,‎ , p. 18.
  37. Statistique Canada, « Recensement de l'agriculture de 2011, Données sur les exploitations et les exploitants agricoles : Sainte-Marthe (Québec) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ), no  95-640-XWF au catalogue. Consulté le=4 septembre 2013].
  38. « Auberge des Gallant », 142, sur Hôtellerie Champêtre (consulté le )
  39. « Villa Oracle », sur Let's book Hotel (consulté le )
  40. « Camping Plein Bois », sur Camping Québec (consulté le )
  41. Municipalité de Sainte-Marthe, « Services municipaux », (consulté le )
  42. « Les écoles et les centres », Commission Scolaire des Trois-Lacs (consulté le )
  43. "Carte Scolaire." Commission scolaire Lester-B.-Pearson. Consulté le 28 septembre 2017.

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]