Nasser al-Khelaïfi

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Nasser al-Khelaïfi
ناصر الخليفي
Illustration.
Nasser Al-Khelaïfi en 2014.
Fonctions
Président-directeur général
Paris Saint-Germain
En fonction depuis le
(12 ans, 5 mois et 21 jours)
Prédécesseur Benoît Rousseau
Président du Conseil d’administration
BeIn Media Group
En fonction depuis le
(10 ans, 3 mois et 24 jours)
Membre du conseil d’administration
UEFA
En fonction depuis le
(5 ans, 2 mois et 18 jours)
Président
ECA
En fonction depuis le
(3 ans et 4 jours)
Prédécesseur Andrea Agnelli
Biographie
Nom de naissance Nasser al-Khelaïfi
Date de naissance (50 ans)
Lieu de naissance Doha (Qatar)
Nationalité Drapeau du Qatar Qatari
Diplômé de Université de Doha
Profession Homme d'affaires, homme politique et dirigeant sportif
Résidence Paris et Doha

Nasser al-Khelaïfi
Président du PSG
Ministre d’État du Qatar

Nasser al-Khelaïfi (en arabe : ناصر الخليفي), né le à Doha (Ad Dawhah) au Qatar, est un homme d'affaires, homme politique et dirigeant sportif qatari.

Il est président du conseil d'administration du groupe qatarien BeIn Media Group, président de Qatar Sports Investment (QSI)[1] et président-directeur général du club omnisports Paris Saint-Germain. Il est aussi membre du comité d’organisation de la Coupe du monde de football 2022 et membre du comité exécutif de l'UEFA en tant que représentant de l'Association européenne des clubs, structure dont il est le président depuis le 21 avril 2021[2].

Ancien joueur de tennis, il est aussi ministre sans portefeuille au sein du gouvernement qatarien[3].

En 2015, Al-Khelaïfi est classé par ESPN à la septième place du classement des personnalités les plus influentes du football mondial. Selon un classement de France Football de mai 2020, il est la personnalité la plus influente du football.

Biographie

Jeunesse

Nasser al-Khelaïfi naît au Qatar. Son père est un pêcheur de perles[4].

Après avoir obtenu un MBA (maîtrise en administration des affaires) en économie à l'université de Doha, il rejoint Al Jazeera en 2003[5] puis devient l'année suivante directeur du Qatar Sport Investments (QSI), filiale sportive du Qatar Investment Authority (QIA) et s'occupe de la gestion des contrats marketing et des droits télévisuels du pays.

Joueur de tennis

Nasser al-Khelaïfi et Karim Alami en 2012 lors de l'Open de Doha.

Passionné de sport, Nasser al-Khelaïfi pratique le tennis entre 1992 et 2003[6], sport dans lequel il côtoie Tamim ben Hamad Al Thani, alors prince héritier du Qatar, dirigeant du Qatar Investment Authority (QIA) et futur émir, dont il devient très proche[7]. Entre 1998 et 2000, il effectue des stages à Nice avec son équipe nationale et participe à des rencontres du championnat de France interclub. Son classement français est 2/6[8].

Il a représenté le Qatar en Coupe Davis pendant 11 ans entre 1992 et 2002 avec un bilan de 24 victoires pour 47 défaites. Il a notamment disputé cinq rencontres du Groupe II de la zone asiatique entre 1995 et 1999. En 1993, il devient le premier joueur de tennis qatarien à participer à un tournoi ATP à Doha. Associé au Russe Andreï Cherkasov en double, il perd au premier tour[6]. Soutenu financièrement par l'émirat[9], il participe à de nombreux tournois secondaires en Europe et au Moyen-Orient. En 1996, il dispute un match grâce à une invitation à Sankt Pölten face au numéro 2 de l'époque, l'Autrichien Thomas Muster, contre lequel il s'incline en 36 minutes (6-0, 6-1). Après avoir participé à sept reprises aux qualifications du tournoi de Doha, il reçoit en 2002, une wild card pour le tableau principal où il échoue contre l'Ouzbek Oleg Ogorodov (6-1, 6-2). Cette défaite lui permet de se classer à la 995e place à l'ATP au mois de novembre.

Al-Khelaïfi est également président de la Qatar Tennis Squash and Badminton Federation et vice-président de l'Asian Tennis Federation[10].

Dirigeant chez BeIn Sports

En 2006, Nasser al-Khelaïfi devient directeur général de Al Jazeera Sport avec qui il crée 14 chaînes et obtient les droits de diffusion d'une cinquantaine de compétitions sportives pour l'Afrique, le Moyen-Orient. Les chaînes Al Jazeera Sport ont été renommées en chaînes beIN Sports Arabia le .

Le est lancée une filiale en France dirigé par Youssaf al Bari, BeIn Sports France, pour y diffuser la Ligue 1, dont il a obtenu les droits lors du dernier appel d'offres de la Ligue de football professionnel, et y met à sa tête Charles Biétry, ancien président du Paris Saint-Germain[6]. Il obtient dans la foulée les droits de diffusion de la Ligue des champions de l'UEFA entre 2012 et 2015 pour la France. La filiale française diffusera en effet 133 matchs de la compétition européenne et obtient ainsi ces lots auparavant détenus par Canal+ pour la somme de 61 millions d'euros[11]. BeIn Sports fait également l'acquisition des droits de la Ligue 2, la Ligue Europa, la Liga, la Serie A, d'un match de Bundesliga, des coupes anglaises ; de la Copa Libertadores, de matchs internationaux et de l'Euro 2012[12].

Présidence du Paris Saint-Germain

Football

Nasser al-Khelaïfi (à gauche) avec Zlatan Ibrahimović (au milieu) et Leonardo (à droite).

En 2011, Nasser al-Khelaïfi devient président du conseil de surveillance puis, le , président-directeur général du Paris Saint-Germain Football Club[13], [14],[15]. Il apprend alors le français[16]. Il fixe des objectifs ambitieux dès les premiers jours de son mandat. Il dispose pour cela des moyens financiers considérables mis à sa disposition par QSI (Qatar Sport Investments) le nouvel actionnaire majoritaire du club de la capitale : cent millions d'euros pour recruter des joueurs à l'été 2011. Il souhaite remporter le championnat de France, mais aussi toutes les coupes auxquelles son équipe participe[17]. Leonardo, venu du club italien AC Milan, devient directeur sportif de l'équipe, chargé notamment d'évaluer le travail de l'entraîneur Antoine Kombouaré, qui sera remplacé à la mi-saison 2011-2012 par l'Italien Carlo Ancelotti, un des plus grands entraîneurs d'Europe, ayant déjà entraîné le Milan AC et Chelsea. Jean-Claude Blanc sera nommé quelque temps plus tard directeur général délégué[14] du club. De nombreux joueurs internationaux arrivent alors au Paris Saint-Germain, tels Salvatore Sirigu, Jérémy Ménez, Ezequiel Lavezzi, Lucas, Thiago Silva et Zlatan Ibrahimović. Il évoque avec Alexandre Kejejian également une construction à long terme, veut miser sur de jeunes joueurs talentueux et déclare à plusieurs reprises « être à la recherche du nouveau Messi »[18],[19],[20]. Il pense d'abord l'avoir trouvé en la personne de Javier Pastore[21], puis émet des doutes[22] et souhaite que son club continue ses détections.

Cette vision du club est couronnée de succès pendant les premiers mois. Sur le plan sportif, le club de la capitale est champion d'automne (en tête du championnat lors de la trêve hivernale)[23],[24]. Des échos favorables proviennent de la presse[25], le nombre moyen de spectateurs par match augmente[26],[27],[28] et le club met en œuvre une stratégie « d'internationalisation »[29] : le Paris Saint-Germain fait notamment parler de lui lorsqu'il entre en concurrence avec plusieurs autres clubs afin de recruter David Beckham ou Carlos Tévez. Nasser al-Khelaïfi souhaite aussi que le Paris Saint-Germain soit bénéficiaire « d'ici trois à cinq ans »[30], objectif audacieux pour un club déficitaire depuis la saison 1997-1998[30].

À titre personnel, Nasser al-Khelaïfi obtient le trophée d'« innovateur de l’année en matière de sport »[31] décerné par le magazine SportBusiness International en . Pour la saison 2016-2017, Nasser al-Khelaïfi annonce un budget record de 500 millions d'euros pour le Paris Saint-Germain. C'est le budget le plus élevé jamais présenté par un club de Ligue 1 avant cette date.

En , il est élu au conseil d'administration de la Ligue de football professionnel et y siège pour la première fois en [32]. En , il devient membre du bureau exécutif de l'ECA, la plus puissante des associations de clubs européens, en remplacement de son homologue milanais Umberto Gandini[33].

En , après la victoire du Paris Saint-Germain au Trophée des champions, il devient le président le plus titré de l'histoire du club avec treize trophées à son actif depuis 2011[34]. Auparavant, il a été désigné comme la 7e personne la plus influente dans le monde du football par le média ESPN[35].

Nasser al-Khelaïfi (à gauche) avec Neymar (à droite) en au Parc des Princes.

Le , Nasser al-Khelaïfi amène le Paris Saint-Germain dans une nouvelle dimension en réalisant un transfert important avec l'arrivée de Neymar, l'un des meilleurs joueurs au monde. Le Brésilien arrive en provenance du FC Barcelone pour la somme de 222 millions d'euros, soit le prix de sa clause libératoire[36]. Ce transfert représente la transaction la plus importante de l'histoire du football mondial. Ce même mois d'août, en toute fin de mercato, le 31, Nasser al-Khelaïfi réalise un autre gros coup sur le marché des transferts en recrutant la révélation française 2016/2017, Kylian Mbappé à l'AS Monaco, contre un montant avoisinant les 180 millions d'euros[37]. Ce transfert devient ainsi le deuxième plus important après celui de Neymar. En , il désigne Jean-Martial Ribes en tant que directeur de la communication du club[38].

Le , Nasser al-Khelaïfi est nommé personnalité la plus influente du football mondial par France Football devant le footballeur Cristiano Ronaldo et le président de la FIFA, Gianni Infantino[39].

Football féminin

Dans ce rachat, la section féminine du club n'est pas oubliée et les nouveaux propriétaires du club investissent pour construire une équipe capable de concurrencer l'Olympique lyonnais, le FCF Juvisy et le Montpellier HSC, en faisant venir plusieurs joueuses de niveau international ainsi qu'un nouvel entraîneur en la personne de Farid Benstiti. La section féminine déménage également ses activités en disputant désormais ses rencontres à domicile au stade Charléty. Les Parisiennes délaissent ainsi le stade Georges-Lefèvre qui jouxte les terrains d'entraînement de leurs homologues masculins[40]. À l'aube de la saison 2012-2013, le club fait signer aux 21 joueuses de l'effectif un contrat fédéral, cas rare dans le football féminin.

Handball

En , Nasser al-Khelaïfi devient président du club de D1 Paris Handball racheté par Qatar Sport Investments (QSI) et qui devient la section handball du Paris Saint-Germain.

Par son intermédiaire, le club se met sur la piste de joueurs champions du monde comme Luc Abalo, Didier Dinart, Samuel Honrubia ou encore l'international espagnol Antonio Garcìa Robledo ainsi que le Danois Mikkel Hansen[41]. Bruno Martini sera maintenu au poste de manageur général du club, où son président et lui ont trouvé accord pour faire venir Philippe Gardent au poste d’entraîneur principal. Nasser al-Khelaïfi arrivera à la tête du club avec un budget de 8 millions d'euros, soit l'équivalent du Montpellier Agglomération Handball.

eSports

Le , Nasser al-Khelaïfi lance la section Paris Saint-Germain eSports en association avec le groupe Webedia. Il officialise le recrutement de deux joueurs du jeu FIFA : le Danois August « Agge » Rosenmeier ainsi que le Français Lucas « DaXe » Cuillerier. Cette section sera dirigée par l'ancien joueur professionnel de League of Legends Bora « Yellowstar » Kim, chargé d'amener l'équipe en première division et de créer une équipe spécialisée dans League of Legends[42],[43],[44].

Palmarès en tant que dirigeant

Football masculin

Football féminin

Handball

Affaires judiciaires

Octobre 2017 : Accusation de corruption privée pour droits TV des Coupes du monde 2026 et 2030 de football

En , la justice suisse ouvre une enquête le concernant pour soupçon de corruption privée dans l'attribution des droits télévisuels des Coupes du monde 2026 et 2030 pour la zone Afrique du Nord et Moyen-Orient[45]. En , il est placé sous le statut de temoin assisté par la justice française.

Mars 2019 : Accusation de corruption pour les candidatures de Doha en 2017 et 2019 pour organiser les Championnats du monde d'athlétisme

En mars 2019, Mediapart révèle qu'il aurait été impliqué dans une affaire de corruption concernant les candidatures de Doha en 2017 et 2019 pour organiser les Championnats du monde d'athlétisme[46]Le , il est mis en examen pour corruption active dans le cadre de cette enquête[47],[48]. « Ces faits ne le concernent pas », plaide son avocat qui estime que Nasser al-Khelaïfi est innocent[49].

Février 2020 : Accusation de corruption de Jérôme Valcke (ex-secrétaire général de la FIFA)

Le , Nasser al-Khelaïfi est inculpé par la justice suisse pour instigation à gestion déloyale aggravée, dans une affaire de corruption impliquant Jérôme Valcke, ex-secrétaire général de la FIFA[50],[51]. Il est soupçonné d'avoir incité celui-ci à ne pas déclarer des avantages indus, une villa en Sardaigne qu'al-Khelaïfi aurait acquise et mise à sa disposition afin d'obtenir pour BeIn Sports les droits télévisés des coupes du monde de football 2026 et 2030 pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, les intéressés soutenant au contraire qu'il s'agit d'un arrangement privé[52]. Le 30 octobre 2020, il est acquitté[53].

Octobre 2022 : Accusation d'usine à trolls sur les réseaux sociaux pour défendre ses intérêts

Il a fait appel à l'entreprise de désinformation Avisa Partners afin d'améliorer son e-réputation. Il espérait ainsi mettre en place une usine à trolls sur les réseaux sociaux pour défendre ses intérêts, ce qu'Avisa Partners Demeter/Avisa aurait refusé pour des raisons financières et techniques[54],[55].

Février 2023 : Accusation d'enlèvement, séquestration et torture

En février 2023, trois juges d'instruction du tribunal de Paris sont désignés pour enquêter sur les accusations d'enlèvement, séquestration et torture d'un lobbyiste franco-algérien, qui visent le patron du PSG[56]. Al-Khelaïfi nie toute implication[57]. En , l’ancien avocat du lobbyiste français-algérien, Olivier Pardo, a indiqué que le lobbyiste a volé des enregistrements liés à la vie privée d'Al-Khelaïfi, qu'il a cherché à utiliser pour le faire chanter pour «plusieurs dizaines de millions d'euros»[58].

Notes et références

  1. (en) « Who we are », sur qsi.com.qa (consulté le ).
  2. « Nasser Al-Khelaïfi (PSG) élu président de l'Association européenne des clubs », sur L'Équipe (consulté le ).
  3. Nasser al-Khelaïfi nommé ministre, Le Parisien, 2 décembre 2013.
  4. « Who is the PSG chairman? Nasser Al-Khelaifi's net worth & Qatar ownership », sur Goal.com, .
  5. Discret, sanguin, puissant... Qui est Nasser al-Khelaïfi, le président du PSG ?, sur francetvinfo, 25 octobre 2017.
  6. a b et c « Le mystérieux Nasser al-Khelaïfi », Le Parisien, 27 juin 2011.
  7. PSGcompsHD, « L'Equipe Enquête - Nasser al-Khelaïfi, vrai puissant ou simple éxécutant ? », (consulté le ).
  8. Nasser al-Khelaïfi, des terrains de tennis de la Côte d'Azur au PSG, Nice-Matin, 24 janvier 2016.
  9. Nasser al-Khelaïfi sait que, en tribunes, le moindre faux pas, la moindre faute de goût de sa part seraient perçus comme dommageables pour le Qatar, sur L'Express, 29 mai 2019.
  10. (en) « About Us », qatartennis.org, sur Qatar Tennis Federation.
  11. « Al-Jezira bien qui rira le dernier », So Foot, le 14 décembre 2011.
  12. « On était à l'annonce du lancement de beIN Sport », So Foot, 25 mai 2012.
  13. « Des pertes colossales sur le plan financier ».
  14. a et b PSG.FR : Liste des présidents.
  15. « Nasser El-Khelaifi, président-directeur général », PSG.fr, 4 novembre 2011.
  16. « Entretien avec Nasser al-Khelaïfi ».
  17. Objectif répété dans la bouche du directeur sportif Leonardo le 15 novembre : « Aujourd’hui, on veut tout gagner, et on a les moyens pour le faire » : Le Parisien, 15 novembre 2011.
  18. « al-Khelaïfi : en quête du nouveau Messi » (Eurosport).
  19. « al-Khelaïfi : toujours en quête du nouveau Messi », L'Express,5 novembre 2011.
  20. (en) www.ligue1.com.
  21. La Dépêche, 6 novembre 2006.
  22. http://www.le10sport.com.
  23. www.LFP.fr.
  24. L'Equipe, le 22 décembre 2011.
  25. Les Echos, 5 août 2008.
  26. Planète PSG, le 3 novembre 2011.
  27. « www.actupsg.fr, le 3 novembre 2011 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  28. Maxifoot, le 27 décembre 2011 : « à domicile comme à l'extérieur, le club de la capitale est aussi le leader des affluences dans les stades ».
  29. Les Echos, 27 décembre 2011.
  30. a et b Les Echos, 25 novembre 2011.
  31. http://www.foot01.com, le 2 décembre 2011.
  32. Rédaction, « Nasser al-Khelaïfi a siégé à la Ligue - Foot - L1 - PSG », sur L'Équipe, L'Équipe, .
  33. PSG : Nasser al-Khelaïfi nommé à l'ECA et représentant des clubs à l'UEFA, L'Equipe, 17 octobre 2016.
  34. « PSG.FR - Site officiel du Paris Saint-Germain », sur PSG.FR (consulté le ).
  35. « PSG.FR - Site officiel du Paris Saint-Germain », sur PSG.FR (consulté le ).
  36. « Mercato : Neymar signe cinq ans au PSG (officiel) », sur France Football (consulté le ).
  37. « Officiel : Kylian Mbappé signe au PSG », Eurosport,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Jean-Martial Ribes nouveau directeur communication du PSG - Foot - L1 - Paris », sur L'Équipe (consulté le ).
  39. « Top 50 des plus puissants du milieu du football : Nasser al-Khelaïfi n°1 », sur France Football (consulté le ).
  40. Nouvelle ère pour la section féminine sur psg.fr.
  41. « RMC Sport : L'actualité du sport en direct et en continu », sur RMC SPORT, RMC SPORT (consulté le ).
  42. Paul Arrivé, « Bora « Yellowstar » Kim : « Quand tu signes au PSG, tu te dois de faire des résultats » », sur L'Équipe.fr, (consulté en ).
  43. Sébastien Nieto, « E-sport : voici l'équipe 2.0 du PSG ! », sur Le Parisien.fr, (consulté en ).
  44. William Audureau, « « Ce sera intéressant de voir le PSG et Monaco s’affronter en e-sport » (interview) », sur Le Monde.fr, (consulté en ).
  45. Rédaction, « PSG : "Il n'y a pas d'affaire", selon l'avocat de Nasser Al-Khelaifi. », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  46. Yann Philippin et Antton Rouget, « Nasser al-Khelaïfi impliqué dans l’affaire de corruption des mondiaux d’athlétisme au Qatar », sur Mediapart, (consulté le ).
  47. « Le président du PSG Nasser al-Khelaïfi mis en examen pour corruption », sur Eurosport, (consulté le ).
  48. « Nasser al-Khelaïfi, président du PSG, mis en examen pour « corruption active » dans l’affaire des mondiaux d’athlétisme au Qatar », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. « Le président du PSG, Nasser al-Khelaïfi, mis en examen pour "corruption active" », sur France 24, (consulté le ).
  50. « La justice suisse inculpe le président du PSG, Nasser al-Khelaïfi, et l'ex-numéro 2 de la Fifa, Jérôme Valcke, pour corruption », sur France 24, (consulté le ).
  51. « PSG : Nasser al-Khelaïfi inculpé pour corruption », sur RTL.fr (consulté le ).
  52. « Le président du PSG, Nasser al-Khelaïfi, pourrait échapper à un procès en Suisse », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  53. Par S. N. Le 30 octobre 2020 à 13h37 et Modifié Le 30 Octobre 2020 À 18h36, « Fifagate : Nasser al-Khelaïfi acquitté par la justice suisse », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  54. Willy Le Devin et Laurent Léger, « La France, porte d’entrisme et de lobbying du Qatar », Libération,‎ (lire en ligne).
  55. « Un ancien dirigeant de UReputation confirme avoir travaillé avec le PSG », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
  56. « ouest-france.fr/sport/psg/nasser-al-khelaifi-est-vise-par-une-enquete-pour-enlevement-sequestration-et-torture ».
  57. (en) « Nasser Al-Khelaifi DENIES allegations of kidnap and torture made by a businessman in Qatar as 'French judges launch investigation' into 'compromising information' about the PSG president's role in the 2022 World Cup bid », sur Dailymail (consulté le ).
  58. (en) « Lobbyist accused by his former lawyer of attempting to blackmail Nasser Al-Khelaifi », sur Get Football (consulté le ).

Liens externes

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