Leonardo (football)

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Leonardo
Image illustrative de l’article Leonardo (football)
Biographie
Nom Leonardo Nascimento de Araújo
Nationalité Brésilien
Italien (depuis 2008)
Nat. sportive Brésilien
Naissance (54 ans)
Niterói (Brésil)
Taille 1,78 m (5 10)
Période pro. 1987 - 2003
Poste Défenseur gauche / Milieu offensif
Parcours junior
Années Club
1984-1987 CR Flamengo
Parcours professionnel1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1987-1990 CR Flamengo 060 0(3)
1990-1991 São Paulo FC 048 0(4)
1991-1993 Valence CF 071 0(6)
1993-1994 São Paulo FC 015 0(4)
1994-1996 Kashima Antlers 049 (30)
1996-1997 Paris Saint-Germain 046 (10)
1997-2001 AC Milan 119 (28)
2001 São Paulo FC 013 0(0)
2002 CR Flamengo 004 0(1)
2002-2003 AC Milan 005 0(2)
Total 426 (88)
Sélections en équipe nationale2
AnnéesÉquipe 0M.0(B.)
1989 Brésil -20 ans
1990-2001 Brésil 060 0(8)
Parcours entraîneur
AnnéesÉquipe Stats
2009-2010 AC Milan 23v 13n 12d
2010-2011 Inter Milan 22v 3n 7d
2017 Antalyaspor 4v 1n 5d
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
2 Matchs officiels (amicaux validés par la FIFA compris).
Dernière mise à jour : 19 juillet 2022

Leonardo Nascimento de Araújo dit Leonardo, né le à Niterói (État de Rio de Janeiro), est un footballeur international brésilien reconverti entraîneur et dirigeant.

Si son poste de prédilection est milieu de terrain offensif, il joue toutefois arrière gauche lors de la coupe du monde 1994 remportée par le Brésil. Il dispute également la finale de l'édition 1998.

Biographie[modifier | modifier le code]

Footballeur professionnel[modifier | modifier le code]

En club[modifier | modifier le code]

Leonardo, Raí et d'autres jeunes talents font partie de l'équipe appelée « esquadrão tricolore » sous les ordres de la légende brésilienne Telê Santana.

Au Milan AC, Leonardo rejoint un effectif riche de joueurs internationaux tels que Paolo Maldini, Marcel Desailly, Patrick Kluivert, Dejan Savićević, Zvonimir Boban ou encore le ballon d'or George Weah. Après une première saison décevante (dixième en championnat), le Brésilien contribue largement au titre de champion l'année suivante, marquant à douze reprises en Serie A.

Malgré le renfort d'Andriy Chevtchenko, la troisième année milanaise de Leonardo est décevante avec une troisième place en championnat et une élimination en phase de groupe de la Ligue des champions.

Lors de sa quatrième et dernière saison milanaise, il recroise le PSG en Ligue des champions, et marque au match aller à San Siro (1-1).

En sélection (1989-2001)[modifier | modifier le code]

Leonardo participe à la Coupe du monde U20 1989 en Arabie saoudite, où il est buteur lors de la finale pour la troisième place.

Le Brésilien fait ses débuts en équipe A en 1990. Il est sélectionné comme arrière gauche pour la Coupe du monde 1994, excluant ainsi le jeune Roberto Carlos de la liste, au grand déplaisir de celui-ci. Leonardo joue lors des premiers matchs, mais il est suspendu pour quatre matchs à la suite d'un coup de coude asséné[1] à l'Américain Tab Ramos en huitième de finale, lequel doit rester à l'hôpital pendant trois mois et demi pour une fracture de l'os malaire. Cette suspension l'empêche de participer au reste de la compétition. Leonardo écope donc de la deuxième plus longue suspension infligée dans l'histoire de la Coupe du monde.

En 1997, Leonardo porte le numéro 10 en équipe nationale et remporte la Copa América.

Leonardo joue les sept matchs de sa deuxième Coupe du monde en 1998, aidant le Brésil à atteindre la finale. Avec la sélection du Brésil, il dispute une finale de Coupe du monde, perdue en 1998[1]. Lors du premier tour contre le Maroc, il inscrit un but qu'il commence à célébrer, mais il est refusé pour hors-jeu.

Il est appelé une dernière fois pour jouer avec le Brésil lors des qualifications à la Coupe du monde 2002 et termine sa carrière avec 56 sélections et 7 buts pour le Brésil.

Reconversions multiples (depuis 2003)[modifier | modifier le code]

Dirigeant puis entraîneur à Milan (2003-2011)[modifier | modifier le code]

Lors de la Coupe du monde 2006, Leonardo travaille pour la BBC au Royaume-Uni, comme analyste de l'émission Match of the Day, aux côtés d'un autre ancien champion du monde Marcel Desailly. Il apparaît à nouveau comme consultant d'un Match of the Day le aux côtés d'Alan Hansen et Alan Shearer pour le premier match de l'équipe d'Angleterre au nouveau Wembley Stadium se terminant par un score de 1-1 avec le Brésil.

Début 2008, il est nommé directeur technique de son ancien club, l'AC Milan. Plus tard la même année, il obtient la nationalité italienne, après douze ans en Italie en tant que résident[2].

Après le départ de Carlo Ancelotti du Milan pour devenir l'entraîneur de Chelsea[3], Leonardo est nommé entraîneur de l'AC Milan le [4], bien qu'il n'ait pas encore les diplômes d'entraîneur nécessaires[5]. Cependant, il est exempté de l'exigence d'une licence UEFA Pro, qui est habituellement obligatoire pour les entraîneurs de Serie A italienne, du fait d'être un ancien champion du monde en tant que joueur[6]. Leonardo ne perd pas de temps en déclarant qu'il souhaite que son équipe développe un football offensif attrayant, évoquant même le style de son vieux mentor, Telê Santana[7].

Leonardo en 2011, l'année de son premier trophée en tant qu'entraîneur.

Après un mauvais départ, avec une défaite 0-4 lors d'un derby contre les rivaux de l'Inter Milan, qui lance les spéculations sur son éventuel licenciement de son poste d'entraîneur à Milan, les résultats commencent à s'améliorer pour les Rossoneri de Leonardo, en vertu de l'application d'une tactique en 4-2-1-3 (surnommé aussi « 4-2-fantasy » par le vice-président du Milan Adriano Galliani). Cette tactique, assez inhabituelle pour le football italien, très axée sur les joueurs créatifs tels que Ronaldinho, Andrea Pirlo et Clarence Seedorf, conduit l'équipe à de meilleurs résultats à la fois en Serie A et en Ligue des champions, dont une remarquable victoire 3-2 au stade Santiago Bernabéu contre le Real Madrid CF, et une victoire 3-0 à l'extérieur contre la Juventus, qui leur permet de terminer en deuxième place à la mi-saison, à six points des leaders intéristes avec un match en moins. Toutefois, le parcours en Ligue des champions est interrompu prématurément, Milan étant éliminé en huitièmes de finale par Manchester United sur un score cumulé de 2-7 (2-3, 0-4). Dans les dernières semaines de la saison, il est annoncé que Leonardo pourrait quitter le Milan AC à la fin de la saison. En , Leonardo confirme les divergences avec le propriétaire du club et Premier ministre italien Silvio Berlusconi, en définissant leur relation comme « difficile »[8]. Il quitte le Milan AC[1] d'un commun accord après leur dernier match de la saison contre la Juventus[9].

Quelques mois plus tard, il revient dans la ville, mais cette fois à l’Inter Milan où il prend la relève de Rafael Benitez, et parvient à redresser la formation intériste grâce à un excellent départ[10]. Les Nerazzurri terminent à la deuxième place et remportent la Coupe d’Italie. Apprécié par Moratti et par ses joueurs, le jeune coach doit repartir pour une saison supplémentaire en 2011-2012, avant d'être contacté par le Paris Saint-Germain[1].

Directeur sportif du PSG (2011-2013)[modifier | modifier le code]

Le , Leonardo est officiellement nommé "manager général" soit directeur sportif du Paris Saint-Germain par Nasser Al-Khelaïfi, représentant des nouveaux propriétaires du club. Son arrivée marque la fin de la mission de Robin Leproux comme président. Il contribue fortement au recrutement de qualité du club, avec notamment les arrivées de joueurs internationaux comme Momo Sissoko, Jérémy Ménez, Kevin Gameiro, Blaise Matuidi, Salvatore Sirigu, Diego Lugano, Thiago Motta mais surtout Javier Pastore, dès la première saison. Le , il évince son entraineur Antoine Kombouaré, et décide de le remplacer par Carlo Ancelotti.

Au terme de la saison 2011-2012 le club finit second du championnat à trois points de Montpellier.

Zlatan Ibrahimović aux côtés de Nasser Al-Khelaïfi, président parisien, et de Leonardo, directeur sportif, lors de sa présentation le .

Lors de la deuxième saison avec à la qualification en Ligue des Champions, il recrute des joueurs comme Ezequiel Lavezzi, Gregory van der Wiel et Thiago Silva ou encore Zlatan Ibrahimović ainsi que Lucas et David Beckham lors du mercato hivernal, ce qui permet au PSG de devenir champion de France 2013.

Le , à la suite d'une bousculade avec l'arbitre Alexandre Castro au Parc des Princes lors d'un match face à Valenciennes [11], il écope d'une suspension de neuf mois ferme de banc de touche, de vestiaire d'arbitres et de toutes fonctions officielles. Le PSG reçoit également un retrait de trois points avec sursis[12]. Après la décision du club de faire appel, cette suspension est alourdie de trois mois supplémentaires, soit une année au total. Il démissionne du PSG le [13]. Finalement, le tribunal administratif annule sa suspension d'un an le [14].

Entraineur d'Antalyaspor (2017)[modifier | modifier le code]

Le , il est nommé nouvel entraineur d'Antalyaspor pour deux années[15]. Il démissionne seulement quelques semaines plus tard, le , car le président du club quitte Antalyaspor[réf. nécessaire].

Directeur sportif de l'AC Milan (2018-2019)[modifier | modifier le code]

Le , il devient le nouveau directeur sportif de l'AC Milan.

Il démissionne de ce poste dès le à la suite de désaccords sur le projet sportif du club[16].

Retour au PSG (2019-2022)[modifier | modifier le code]

Le , le PSG annonce le retour de Leonardo au poste de directeur sportif, six ans après l'avoir quitté[17].

Son nouveau mandat débute par les difficultés liées à la gestion de Neymar et la volonté de redonner de la rigueur et de la discipline à la direction sportive du club. Il impose d'entrée de jeu son autorité, assène en direction de Neymar que personne n'est indispensable et déclare devant le groupe « Je vais parler en français. Si certains ne comprennent pas, ils n'ont qu'à prendre des cours. »[18]. Dans une interview au journal Le Parisien, il réaffirme la prédominance du club sur les individualités : « On ne doit pas avoir peur. Le club doit faire le choix de son destin : ne pas subir n'importe quoi, tout le temps. On doit supprimer l'idée que des personnes font des faveurs au club en étant présentes. Ce n'est pas un message agressif : c'est la normalité d'un club comme le PSG. Le reste, c'est le travail. Il y a des génies mais ils sont rares. Je crois au travail, tous les jours. On parle de discipline, ce n'est rien d'extraordinaire, c'est juste la norme. ». Il ouvre en même temps la porte à un départ de Neymar à condition qu'une offre satisfaisante soit présentée[19]. La politique d'achat du PSG est réorientée vers une plus grande modération en raison des contraintes du fair-play financier et un ciblage de joueurs pouvant apporter au club un état d'esprit plus combatif qui lui permettrait de passer un cap en Ligue des champions. Pour remplir ces critères, Leonardo parvient à obtenir les signatures de Pablo Sarabia, Abdou Diallo, et Idrissa Gueye pour un montant global légèrement supérieur à 80 millions d'euros. En outre, il fait venir gratuitement de jeunes joueurs à fort potentiel de revente tels que Marcin Bulka et Mitchel Bakker.

La suppression de l'équipe réserve, amorcée par Antero Henrique pousse Leonardo à monétiser rapidement les jeunes joueurs issus du centre de formation et barrés par la concurrence en équipe professionnelle. Les ventes de Moussa Diaby, Christopher NKunku, Stanley Nsoki, Timothy Weah, Arthur Zagre et quelques autres jeunes permettent au club de dégager plus de 60 millions d'euros de liquidités[20]. Grâce à ces liquidités Leonardo réussit deux très beaux coups le dernier jour du mercato avec le transfert du gardien du Real Madrid, Keylor Navas, et le prêt avec option d'achat à 70 millions d'euros du buteur de l'Inter Milan, Mauro Icardi. Leonardo parvient également à obtenir le prêt du gardien espagnol Sergio Rico, en provenance du Séville FC, qui évoluera en doublure de Navas. Alphonse Areola est, lui, envoyé en prêt sans option d'achat au Real Madrid.

Enfin, faute de proposition satisfaisante du FC Barcelone, Leonardo obtient le maintien de Neymar au sein de l'effectif parisien après deux mois de spéculations sur l'avenir au PSG de la star brésilienne[21].

Le 10 juin 2022, il est remplacé par Luis Campos.

Style[modifier | modifier le code]

En tant que joueur, Leonardo aime « jouer en ayant beaucoup de libertés, et faire des actions offensives », explique-t-il à Téléfoot à son arrivée au Paris Saint-Germain en 1996 : « Je me sens attaquant, et j’aime participer devant »[1].

Leonardo est réputé dans le monde du football pour son élégance vestimentaire. Il est aussi polyglotte, maîtrisant l'anglais, le français, l'espagnol, l'italien, le portugais, et parlant un peu le japonais[22]. De plus, il devient une des marionnettes phares des Guignols de l'Info sur la chaine cryptée, avec des phrases telles que « La Prince, elle parle français, mais pas à toi ».

Statistiques[modifier | modifier le code]

Joueur[modifier | modifier le code]

Générales[modifier | modifier le code]

Statistiques de Leonardo [23]
Saison Club Championnat Coupe(s) nationale(s) Compétition(s)
continentale(s)
Recopa Sudamericana / Supercoupe UEFA Coupe intercontinentale Brésil Total
Division M. B. M. B. Comp. M. B. M. B. M. B. M. B. M. B.
1987 Drapeau du Brésil Flamengo Série A 18 0 - - - - - - - - - - - 18 0
1988 Drapeau du Brésil Flamengo Série A 18 0 - - - - - - - - - - - 18 0
1989 Drapeau du Brésil Flamengo Série A 16 0 8 0 - - - - - - - - - 24 0
1990 Drapeau du Brésil São Paulo FC Série A 22 0 4 3 - - - - - - - - - 26 3
1991 Drapeau du Brésil São Paulo FC Série A 22 1 - - - - - - - - - 5 0 27 1
1991-1992 Drapeau de l'Espagne Valence CF Liga 37 3 - - - - - - - - - - - 37 3
1992-1993 Drapeau de l'Espagne Valence CF Liga 34 3 - - - - - - - - - - - 34 3
1993 Drapeau du Brésil São Paulo FC Série A - - - - - - - 1 0 1 0 - - 2 0
1994 Drapeau du Brésil São Paulo FC Série A 12 3 - - CL - - 1 1 - - - - 13 4
1994 Drapeau du Japon Kashima Antlers J. League 9 7 1 0 - - - - - - - 9 0 19 7
1995 Drapeau du Japon Kashima Antlers J. League 28 17 3 1 - - - - - - - 8 2 39 20
1996 Drapeau du Japon Kashima Antlers J. League 12 6 10 5 - - - - - - - - - 22 11
1996-1997 Drapeau de la France Paris Saint-Germain D1 32 7 2 0 C2 7 3 2 0 - - 15 4 58 14
1997-1998 Drapeau de la France Paris Saint-Germain D1 2 0 - - C1 1 0 - - - - 2 0 5 0
1997-1998 Drapeau de l'Italie AC Milan Serie A 27 3 5 1 - - - - - - - 13 0 45 4
1998-1999 Drapeau de l'Italie AC Milan Serie A 27 12 2 0 - - - - - - - 2 1 31 13
1999-2000 Drapeau de l'Italie AC Milan Serie A 20 4 1 1 C1 5 1 - - - - - - 26 6
2000-2001 Drapeau de l'Italie AC Milan Serie A 22 3 5 2 C1 5 1 - - - - - - 32 6
2001 Drapeau du Brésil São Paulo FC Série A 13 0 - - - - - - - - - 2 0 15 0
2002 Drapeau du Brésil Flamengo Série A - - - - - - - - - - - - - 0 0
2002-2003 Drapeau de l'Italie AC Milan Serie A 1 0 4 2 - - - - - - - - - 5 2
Total sur la carrière 372 69 45 15 - 18 5 4 1 1 0 56 7 496 97

Buts Internationaux[modifier | modifier le code]

Entraîneur[modifier | modifier le code]

Club Début Fin Résultats
M V N D % Victoires % Nuls % Défaites
AC Milan 2009 2010 48 23 13 12 47,91 27,08 25.00
Inter Milan 2010 2011 32 22 3 7 68.75 9.37 21.87
Antalyaspor 2017 2017 10 4 1 5 40.00 10.00 50.00
Total 90 49 17 24 54.44 18.88 26.66

Palmarès[modifier | modifier le code]

Joueur[modifier | modifier le code]

CR Flamengo
 
São Paulo FC
 
Kashima Antlers
 
Paris SG
 
AC Milan
 
Brésil

Entraîneur[modifier | modifier le code]

Inter Milan

Dirigeant[modifier | modifier le code]

Paris SG
(Directeur sportif)
 
Paris SG (féminines)
(Directeur sportif)

Œuvres caritatives[modifier | modifier le code]

En 1998, Leonardo crée avec son ami Raí, l'association Gol de Letra. Le but est l'aide des enfants et adolescents défavorisés brésiliens. Elle permet d'apporter de l'aide éducative, culturelle et sportive.

Depuis 2002, Leonardo se consacre à des œuvres sociales avec la Fundação Gol de Letra et la Fondazione Milan. Il est également parrain de la Damoura Fondation qui lutte contre les inégalités au Brésil.

Annexes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e « La carrière de Leonardo et son passage au PSG », sur psgmag.net, (consulté le )
  2. (it) « Leonardo est citoyen italien », sur La Gazzetta dello Sport, (consulté le )
  3. (en) « Ancelotti quitte son poste à l'AC Milan », sur BBC Sport, (consulté le )
  4. (it) « Au revoir Carletto ! », sur AC Milan, (consulté le )
  5. (it) « Ammessi Corso Seconda Cat. UEFA A 2008/2009 », sur Settore Tecnico FIGC, (consulté le )
  6. (it) « Nouvelle ère milanaise, bienvenue Leonardo ! », sur Yahoo! Eurosport, (consulté le )
  7. (en) « Leonardo veut que Milan joue un football offensif », sur goal.com, (consulté le )
  8. (en) « L'entraîneur Leonardo incertain sur son avenir avec l'AC Milan », sur BBC Sport, (consulté le )
  9. (en) « Leonardo confirme qu'il quittera Milan », sur goal.com, (consulté le )
  10. Avec 33 points en 13 matches au 6 mars 2011, l’Inter de Leonardo bat le précédent record (32) de la Serie A, qui était détenu par Fabio Capello.
  11. On ne touche pas l'arbitre, "règle sacrée" mais non écrite - Le Monde, 6 mai 2013
  12. « Les décisions du 30 mai 2013 », LFP,
  13. Le Parisien 10/07/2013 Leonardo quitte le PSG
  14. « Leonardo gagne contre la FFF »
  15. « Leonardo deux ans à Antalyaspor - Foot - TUR », sur lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le ).
  16. « Leonardo va quitter l'AC Milan », sur L'ÉQUIPE (consulté le )
  17. « Leonardo nommé Directeur Sportif du Paris Saint-Germain », sur PSG.FR (consulté le ).
  18. « Neymar (PSG) : les coulisses du feuilleton de l'été - Foot - Transferts », sur L'Équipe (consulté le )
  19. Par Ronan Folgoas et Benoît LallementLe 9 juillet 2019 à 19h07 et Modifié Le 10 Juillet 2019 À 06h32, « Leonardo : «Je ne veux pas faire de promesse en l’air» », sur leparisien.fr, (consulté le )
  20. Par Yves LeroyLe 31 août 2019 à 18h29, « Mercato : Nsoki et les jeunes ont rapporté plus de 60 millions d’euros au PSG », sur leparisien.fr, (consulté le )
  21. « La déclaration complète de Leonardo après Metz / PSG », sur www.msn.com (consulté le )
  22. « Leonardo: Je ne viens pas des favelas, et alors? », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Fiche de Leonardo », sur footballdatabase.eu

Liens externes[modifier | modifier le code]

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