Utilisateur:Malik2Mars/Brouillon/LdV

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« En discourant sur l’eau, qu’il te souvienne d’invoquer d’abord l’expérience, ensuite le raisonnement. »

— Léonard de Vinci, H, 90 (42) r. (11 juillet 2021)

« L’eau érode les montagnes et comble les vallées, et si elle en avait le pouvoir, elle réduirait la terre à l’état de sphère parfaite. »

— Léonard de Vinci, C. A. 508 v (23 septembre 2021)

Léonard de Vinci
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom dans la langue maternelle
Leonardo da VinciVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Leonardo di ser Piero da VinciVoir et modifier les données sur Wikidata
Domiciles
Activités
Période d'activité
jusqu'en Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Mère
Caterina di Meo Lippi (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Mouvements
Mécènes
Maîtres
Genres artistiques
Blason
Œuvres principales
signature de Malik2Mars/Brouillon/LdV
Signature
Vue de la sépulture.

« Comment la peinture surpasse toute œuvre humaine, par les subtiles possibilités qu’elle recèle : L’œil, appelé fenêtre de l’âme, est la principale voie par où notre intellect peut apprécier pleinement et magnifiquement l’œuvre infinie de la nature ; l’oreille est la seconde et elle emprunte sa noblesse au fait qu’elle peut ouïr le récit des choses que l’œil a vues. Si vous, historiographes, poètes ou mathématiciens, n’aviez jamais vu les choses avec l’œil, vous seriez en peine de les relater dans vos écrits. Et si toi, poète, tu peins une histoire avec ta plume, le peintre la figure avec son pinceau, de manière plus satisfaisante et moins ennuyeuse à comprendre. »

— Léonard de Vinci ( 11 avril 2022)

À faire[modifier | modifier le code]

  • Relectures attentives. Faire un suivi régulier des articles[n 1].
  • Établir/rénover/structurer/préciser biblio(s) cohérente sur la thématique[n 2].
  • Vérifier/corriger/préciser/sourcer certaines « affirmations »[n 3].
  • Enrichir les pages « auteurs », ajouter sources sur travaux/publi & co.
  • Peut-être se créer une sous page sous forme de tableau : lien commons[n 4], lien e-leo (+texte it), page Trad fr Carnets si possible[n 5]


2023[modifier | modifier le code]

  • Surréalisme, bla-bla-bla, approfondir la question, ressources &co (Utilisateur:Malik2Mars/Brouillon/Notes#Notes, suite (II) +pdd quote)
    • Victoria Cirlot, « Le nuage de poussière, les armées et la tache sur le mur. Pour une critique de l’imagination », dans Philosophie et esthétique dans le Don Quichotte de Cervantès, Publications de l’École nationale des chartes, (lire en ligne)
    • Hélène Vuillermet, « Exercices par l’informe », Methodos. Savoirs et textes, no 21,‎ (lire en ligne)
    • Le hasard comme méthode
    • Surréalisme, notes:
      • Sur quote d’abord, Max Ernst ✔️, André Breton✔️ (avec qlq # en précisions pour ping-pong internes… Reste que, pour plus de clarté, sans copier intégralement l’extrait donné par Ernst, je ne vois toujours pas comment intégrer idéalement l’autre partie de la leçon sans l’Ed de Peladan dispo en lien Wiki Smiley Colère, voir q:Discussion:Max Ernst), +Portail:Dada et Surréalisme/Citation✔️. Du coup, sur wp, plutôt sur la page du Traité en effet. Rappel cm Chastel (Traité 2003, « Les éditions du traité, p. 44) sur ed. Peladan, 2 vol, 1910 : « mieux vaut ne pas y recourir, car c’est un tissu d’arrangements désinvoltes, d’approximations et d’erreurs, que la difficulté des fragments ne suffit à excuser ».
      • en snd centrées sur LdV, Chastel (Émoticône sourire, d’ailleurs p. 374 de Bramly 2019, « André Chastel note que dans les années 1920, Max Ernst découvrit la technique surréaliste des frottages dans cette « leçon de Léonard », avec en note p. 425 un extrait de l’intro (Traité 2003, p. 13)
  • Note MàJ Malik2Mars (discuter) 20 août 2023 à 04:52 (CEST), j’avais complètement zappé que ces deux bibules machins chouettes * ci-dessus se trouvaient à qlq pages d’intervalle dans l’ouvrage de Bramly (374, 383) ! Émoticône Malik2Mars (discuter) 20 août 2023 à 04:52 (CEST)


2024[modifier | modifier le code]

Codex Atlanticus, 195 r.

« Ô temps, qui consumes les choses, ô envieuse antiquité, qui les détruits toutes, vous dévorez tout entre les dures dents de la vieillesse, peu à peu, dans une lente mort[n 8]. »



  • Poursuivre travaux wq (cf. Palette de nav). Revoir cm historique. Pour #Sur, voir aussi « Dossier » ds Carnets 2019.
    • Par ex :
      • pour #Nietzsche : aussi dans Carnets 2019, p. 1496 (Réf 1 : « […] extraits traduits dans Tout l’œuvre peint de Léonard de Vinci p. 165 » (voir Zöllner et Nathan 2019, p. 121/141/670); notes cm : « via w:WP:LBW, mieux pour remonter à la source », remplace Zöllner et Nathan 2017, p. 733)
      • Puis : #Goethe p. 1453-54, Stendhal p. 1455-1457, Delacroix p. 1460-1462, Théophile Gautier p. 1462-1476, Odilon Redon p. 1519-1522, Koyré p. 1529-1531, Malraux, etc.




Bibliothèque de Léonard de Vinci[modifier | modifier le code]

  • Carlo Vecce (dir.), La biblioteca di Leonardo, Giunti, coll. « Lavori finanziati arte », (ISBN 978-88-09-89778-6)
    • Lucia Tomasi Tongiorgi, « La biblioteca di Leonardo, by Carlo Vecce, ed. », Nuncius, vol. 37, no 2,‎ , p. 485–488 (DOI 10.1163/18253911-20221006, lire en ligne, consulté le )
    • Stefano Cassini, « Biblioteca (La) di Leonardo, a cura di Carlo Vecce, Firenze, Giunti, 2021 », Almanacco bibliografico, no 60,‎ , p. 3-4 (lire en ligne, consulté le )
    • (en) Giuditta Cirnigliaro, « : La biblioteca di Leonardo », The Sixteenth Century Journal, vol. 53, no 2,‎ , p. 530–532 (DOI 10.1086/SCJ5302126)
    • .
  • Carnets 2019, « Livres » p. 1392-1403.
    • .
  • Paula Findlen (dir.), Leonardo's library: The world of a Renaissance reader (exposition), The Stanford Libraries, (ISBN 978-0-911221-63-3)(en) « Leonardo's Library », sur exhibits.stanford.edu (consulté le )
    • Carlo Vecce, « “Old Friends”. Leonardo’s Books (before the Library) », dans Leonardo's library, 2019c (lire en ligne)
    • .
  • Romain Descendre, « La biblioteca di Leonardo », dans Atlante della letteratura italiana, vol. I, Einaudi, (lire en ligne), p. 592-595, 1-5
    • .
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Anatomie[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Léonard de Vinci et l'anatomie, la mécanique de la vie (exposition, Amboise, Château du Clos Lucé, 9 juin-17 septembre 2023), Skira, (ISBN 978-2-37074-213-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article[n 10]
  • Dominique Le Nen (dir.) et Pascal Brioist (dir.), Léonard de Vinci: le corps, à la croisée des sciences et de l'art (colloque international, Brest, 5-6 décembre 2019), l'Harmattan, coll. « Médecine à travers les siècles », (ISBN 978-2-14-029130-2, présentation en ligne)
  • Henry de Lumley (dir.) et Pierre-Marie Lledo (dir.), Léonard de Vinci, pionnier de l'anatomie: anatomie comparée, biomécanique, bionique, physiognomonie (actes du colloque international, 11 et 12 octobre 2019, Château royal d'Amboise et Château du Clos Lucé), CNRS, (ISBN 978-2-271-13574-2, présentation en ligne)
  • Martin Clayton et Ron Philo, Leonardo da Vinci : The Mechanics of Man (1re éd. 2010) (lire en ligne)
  • Martin Clayton et Ron Philo, Léonard de Vinci: anatomie de l'homme, dessins de la collection de la reine Elizabeth II, Seuil, (ISBN 2-02-015962-7)
  • Pierre Huard, Léonard de Vinci, dessins anatomiques : anatomie artistique, descriptive et fonctionnelle, R. Dacosta, (ISBN 2-85128-030-9)

+



  • +Les autres publi de Le Nen :
    • Dominique Le Nen (préf. Pascal Brioist), L'anatomie au creux des mains: au confluent des sciences et de l'art, l'Harmattan, coll. « Médecine à travers les siècles », (ISBN 978-2-296-03604-8, présentation en ligne)
    • .

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Notes :

Galerie[modifier | modifier le code]

« C’est à l’univers qu’il songe toujours, et à la rigueur. »

— Paul Valéry

« Hostinato rigore (« rigueur obstinée ») […] Destinato rigore ou « Rigueur déterminée » et, dans la marge, « celui qui a une telle étoile fixe ne dévie pas de son chemin ». »

« Effort persistant. Effort prédéterminé. Qui règle sa course sur cette étoile n’en est pas détourné. »



« Non a revolutione chi a tale
stella e fisso »

Tests[modifier | modifier le code]

« En discourant sur l’eau, qu’il te souvienne d’invoquer d’abord l’expérience, ensuite le raisonnement. »

— Léonard de Vinci, H, 90 (42) r. (11 juillet 2021)

« Observe le mouvement de l’eau à sa surface, combien il ressemble à celui de la chevelure […][4] »

— RL 12579r.

« À cette logique expérimentale du dessin, s’intègrent les multiples analogies que Léonard explore[5]. »

RCIN 912660 v.

« où la turbulence de l'eau se crée
où la turbulence de l'eau se maintient longtemps
où la turbulence de l'eau retourne au repos[6]. »

— Codex Atlanticus, 201v


Page manuscrite portant des dessins représentant des mouvements d'eau après des formes fixes ainsi qu'un chute d'eau.
Ses études sur les ouvrages d'art pour l'hydraulique le conduisent à étudier l'eau sous toutes ses formes et toutes ses actions (vers 1508 - 1509, château de Windsor).

L'hydraulique constitue un des domaines de prédilection de Léonard de Vinci. Les premiers dessins du maître témoignant de son intérêt pour les techniques hydrauliques datent des années 1477-1482 et se trouvent dans le Codex Atlanticus[7]. Mais son travail, dans les années 1490, sur la « Cité Idéale » après l'épisode de peste qui vient de frapper Milan, constitue une entreprise fondatrice dans le domaine puisque la gestion de l'eau en termes de flux constitue le point central de sa réflexion[8]. Autre aspect de sa réflexion, il s'y intéresse lors de son séjour à Venise en 1500 alors que la cité cherche des solutions pour se défendre d'une possible invasion des Ottomans : il propose d'inonder les environs de la cité-État en guise de moyen de défense[9]. Puis, lors de son séjour romain, il étudie les moyens d'évacuer les eaux stagnantes des marais pontins au sud de Rome dont des travaux débutent mais sont stoppés à la mort du commanditaire, le cardinal Julien de Médicis[10].

Témoin le plus important de son activité, le Codex Leicester (vers 1504-1508) — plus vaste et complet écrit du maître sur le sujet — traite de l’eau dans toutes ses manifestations et est rédigé alors que Léonard se trouve en Toscane[11]. Ses recherches comprennent alors des relevés topographiques, des calculs, des projets d'excavation[12], des plans écluses, de barrages[13] et envisage les machines hydrauliques comme sources d'énergie autre que la force animale[14].

Ici également, il s'inscrit dans une lignée d'ingénieurs comme Mariano di Jacopo (dit « Taccola »), qui, dans son traité technologique De Ingeneis dessinait déjà les ouvrages d'art comprenant ponts-siphons, aqueducs, tunnels, des vis d'Archimède ou norias[15], et Francesco di Giorgio Martini, qui élaborait quant à lui quantité de machines mues par l’énergie hydraulique (pompes, foulons, scies ou moulins)[15], et, enfin, Leon Battista Alberti et son De Re Aedificatoria qui s'intéresse à la puissance des cours d'eau et des tourbillons[15]. Plus généralement, le domaine bénéficie à l'époque de Léonard des avancées d'ingénieurs siennois dans la construction d'ouvrages d'art comme les « bottini », un réseau de tunnels passant sous la ville afin de l'alimenter en eau[16]. Enfin, Léonard de Vinci n'hésite pas à « demander conseil aux maîtres des eaux milanais, ces spécialistes de régulation des canaux et d’entretien des écluses »[15].

Carte relevant des cours d'eau au milieu de reliefs.
Un relevé topographique de la vallée de l'Arno.

En conséquence de son travail, l'hydraulique est un domaine où les compétences de Léonard sont reconnues par ses contemporains. Ainsi, c'est particulièrement pour son expertise d'hydraulicien qu'en 1515 il est sollicité par François Ier et sa très influente mère Louise de Savoie pour s'installer en France[17] : il est alors consulté sur le projet d'aménagement fluvial dans le cadre du projet urbanistique du roi qui rêve de se doter d'un château à Romorantin[18]. Les historiens des sciences et des techniques modernes reconnaissent volontiers cette expertise, même Bertrand Gille pourtant attaché à relativiser l'héritage du maître[19].

À la suite des travaux de Bernard Gille, nombre de chercheurs contemporains affirment que Léonard n'est jamais allé plus loin que des avant-projets[19]. Néanmoins, les notes de ses recherches comportent des informations alors confidentielles qui prouvent qu'il est réellement chargé de mission pour les travaux qu'elles décrivent[11] même si ses recherches se traduisent rarement en réalisations concrètes[19],[11]. Dans les années 1490, Léonard travaille alors à la « Cité Idéale », projet où la gestion de l'eau est centrale[8]. Parallèlement, il s'intéresse aux projet de canal entre Brivio et Trezzo sull'Adda[11]. En 1493-1494, il travaille au sein d'un groupe d'ingénieurs à améliorer la navigabilité du Naviglio Martesana, un canal milanais construit entre 1457 et 1497[8]. Vers 1496-1497, il se penche sur le canal de l’Adda permettant la navigation entre Milan et le lac de Côme[11]. En 1499, il étudie une solution pour défendre Venise d'une éventuelle attaque ottomane en utilisant les eaux du fleuve Isonzo pour inonder certaines parties du territoire. Or il semble que des essais ont été conduits avec succès puisqu'en 1515 et en 1517, il les évoque dans ses notes[8]. En 1503-1504, il étudie le détournement de l’Arno lors de la guerre de Florence contre Pise : il s'agit tout à la fois d'assécher le port de Pise, d'assécher les terres agricoles pisanes, et achever l'encerclement de la ville par les troupes florentines. Néanmoins, les études et préconisations de Léonard ne sont pas suivies par les dirigeants de Florence qui, à la suite de décisions malheureuses, perdent une partie de leurs troupes lors d'une crue du fleuve[20]. En 1508, il est mandaté par le roi de France Louis XII pour étudier la possibilité de rendre navigable l'Adda voire, pour certains de ses tronçons, de le doubler d'un canal. Le projet ne se réalisera qu'après la mort du maître, sous François Ier, certainement selon ses recherches[12]. Entre les mois de juillet et de décembre 1514, il dresse à la demande du pape Léon X une carte des marais pontins afin d'étudier, en compagnie d'un autre ingénieur, Giovanni Scotti, les moyens d'assécher ces derniers[21]. En 1515, il est appelé par le roi François Ier pour construire un immense palais à Romorantin : or une telle construction exige auparavant de canaliser la Sauldre[21]. De plus, il étudie particulièrement la gestion des eaux boueuses et des eaux propres, afin d'évacuer les premières et d'utiliser les secondes pour assainir la ville royale qu'il crée, la région étant victime de peste à cause de l'eau stagnante[22]. Enfin, il ambitionne également de rendre navigable la Loire jusqu’à Lyon[13].

Divers dessins représentant des machines hydrauliques.
Études de machines hydrauliques (vers 1480 - 1482, Galeries de l'Académie de Venise, Codex Atlanticus f.1069 recto).

La question de l'hydraulique est un puissant catalyseur qui pousse Léonard à s'interroger sur sa méthodologie de travail. Ainsi, entre 1493-1494, il rédige le début d'un Traité des Eaux ; or il note avoir pour ambition de mettre en place une méthodologie alliant théorie et l’expérience[8]. Ainsi dans certains de ses écrits, les connaissances théoriques priment sur la pratique : « Pour approfondir un canal. Fais ceci dans le livre des giovamenti [les applications utiles] et pour le prouver allègue les propositions prouvées. […] C’est là le vrai ordre »[23]. C'est ce qu'on retrouve par exemple dans ses études sur les tourbillons qui le passionnent, d'une part pour leurs répercussions sur les ouvrages d'art et, d'autre part pour leur aspect esthétique pour ses peintures. Or il conduit des expériences avec notamment de l'eau colorée et des maquettes comportant des parois en verre, desquelles il tire des conclusions conceptuelles[24].

Ses apports sont indéniables dans le domaine : dans ses notes concernant les projets de canaux, il sait s'extraire du savoir des ingénieurs pour le généraliser et le développer en connaissances scientifiques et mathématiques et en tirer même des réflexions « philosophiques », en tant qu'interrogation sur le monde. Ce questionnement scolastique porte ainsi sur l'ensemble des observations et du vocabulaire permettant de mieux décrire l'environnement dans lequel évolue l'être humain[11]. Sa passion est telle qu'il étudie ce qui est a été ignoré par ses devanciers : il est ainsi le premier à étudier de façon systématique la formation des lits des rivières[25]. De même, personne avant lui n'articule à ce point, « comme dans le Milanais, une entreprise urbanistique hygiéniste et une planification du développement de la région fondé sur la maîtrise de l’eau »[26].

Pourtant, il demeure fils de son temps, avec ses théories erronées. Ainsi, Bertrand Gille note-t-il que « si Léonard possède effectivement des connaissances sur la nature et sur la puissance virtuelle de la vapeur d'eau, il en arrive, après des vues fort justes à des aberrations totales. Dans un passage, il nous montre l'origine des fleuves dans la chaleur volcanique »[27].

Notes de brouillons[modifier | modifier le code]

Il y a de nombreux modèles pour lier avec les autres projets (voir Catégorie:Modèle interwiki), modèle:Voir autre projet, Modèle:Note autre projet... Ce dernier est très pratique dans le cadre des travaux complémentaires wp/wq, comme proposé (spécial:diff/185992607) ici Science_et_ingénierie_de_Léonard_de_Vinci#cite_note-78.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

« La littérature sur Léonard est si vaste qu’elle illustre presque tout le spectre de l’écrit historique : de la clairvoyance poétique à la platitude anecdotique, de l’académisme borné à la généralisation irrecevable, de la brillance à l’ineptie. »

— Martin Kemp[28]

« Dieu mis à part, Léonard de Vinci est sans doute l’artiste sur lequel on a le plus écrit. […] Il a inspiré les fantasmes les plus légitimes et les déductions les plus saugrenues. […] En une quarantaine d’années, depuis les publications qui avaient accompagné le cinquième centenaire de sa naissance, Léonard a changé : il a rajeuni. »

— Daniel Arasse[29]

« Léonard chercha en tant qu’artiste à accroître sa connaissance du monde physique par l’observation, la comparaison, l’analyse. Il a, certes, à un moment donné, consigné ses recherches dans des notes et des diagrammes, et non dans des dessins ou des peintures, mais ces deux formes d’expression sont finalement inséparables et elles ont réagi l’une sur l’autre a chacune des phases de son existence. »

— Kenneth Clark[30]

« Léonard de Vinci et Nicolas Machiavel furent des contemporains, pas seulement parce qu’ils ont vécu la même période historique, pas seulement parce qu’ils ont voulu, parfois au même moment et souvent de la même manière, peser sur elle de manière décisive, mais parce que tout, dans leur œuvre et leurs actions, suggère qu’ils avaient en partage une même conception de la « qualité des temps » »

— Patrick Boucheron[31]

« […] il est difficile de construire un récit scientifiquement valide lorsque la documentation s’obstine à rester silencieuse.[…] il faut – pour surmonter le problème des données manquantes – contextualiser tous les documents en notre possession. Au lieu par exemple, de s’interroger sur le fonctionnement des machines, comme le font beaucoup d’auteurs, il faut insérer ces réflexions dans une histoire totale à la fois sociale, économique, culturelle et politique. »

— Pascal Brioist[32]

« Ses extraordinaires manuscrits, un labyrinthe de milliers de feuillets et de cahiers où il était auparavant si difficiles de s’orienter. Or, grâce à leur numérisation et à leur publication en ligne , ils sont devenus plus accessibles à tous, et surtout plus lisibles. Dans l’avenir, on pourra les consulter en raccordant immédiatement les idées et les images. »

— Carlo Vecce (en)[33]

Biblio[modifier | modifier le code]

 Qlq détails (bases de données - « erreurs » (?)) à voir/préciser avec bibliothécaire/documentaliste.

 d:Wikidata:WikiProject Visual arts/Item structure/Art exhibitions/France. +recherche : Exposition+Vinci. Explorer résultats. +Explorer pages liées par auteur sur d:. +trouver des œuvres sur Wikidata.

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Léonard de Vinci, André Chastel (traduction et commentaires) et Christiane Lorgues (édition), Traité de la peinture, Calmann-Levy, (1re éd. 1987) (ISBN 2-7021-3378-9). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Léonard de Vinci, Anna Sconza (édition, présentation et notes), Pierre Rosenberg (avant-propos) et Carlo Vecce (préface), Traité de la peinture : 1651, Les Belles lettres, coll. « Le cabinet des images », (ISBN 978-2-251-44429-1, OCLC 828235743).
  • The fabrication of Leonardo da Vinci's Trattato della pittura, with a scholarly edition of the editio princeps (1651) and an annotated English translation, Brill, coll. « Brill's studies in intellectual history », (ISBN 978-90-04-35375-6, lire en ligne)
  • Carmen Bambach, Leonardo da Vinci rediscovered, Yale University Press, , 4 vol. (ISBN 978-0-300-19195-0)
  • Andrea Bernardoni et Alexander Neuwahl (trad. Fanny Kieffer, préf. Carlo Pedretti), Construire à la Renaissance : Les engins de chantier de Léonard de Vinci, Presses universitaires François-Rabelais et Presses universitaires de Rennes, coll. « Renaissance », (ISBN 978-2-8690-6366-2, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Patrick Boucheron (dir.) et Claudio Giogione (dir.), Léonard de Vinci : la nature et l’invention (exposition, Paris, Cité des sciences et de l'industrie, 23 octobre 2012-18 août 2013), La Martinière, (ISBN 9782732449906). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Walter Isaacson (trad. de l'anglais par Anne-Sophie De Clercq et Jérémie Gerlier), Léonard de Vinci : La biographie [« Leonardo da Vinci : the biography »], Presses polytechniques et universitaires romandes, (1re éd. 2017) (ISBN 978-2-88914-456-3, OCLC 1089148575). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Domenico Laurenza, Léonard de Vinci: artiste et scientifique, Belin/Pour la science, coll. « Les génies de la science », (ISBN 2-84245-047-7)
Claire Placial, « Christophe Rey, Léonard de Vinci, génie des langues , Paris, Champion Essais, 2023, 228 p. », Réforme, Humanisme, Renaissance, no 97,‎ , p. 191–193 (ISSN 1771-1347, DOI 10.3917/rhren.097.0191, lire en ligne, consulté le )
  • Paul Valery, Introduction à la méthode de Léonard de vinci. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Giorgio Vasari (édition, traduction et commentaires de Louis Frank et Stefania Tullio Cataldo), Vie de Léonard de Vinci, Hazan, (ISBN 9782754111249). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Françoise Viatte (dir.) et Varena Forcione (dir.), Léonard de Vinci: dessins et manuscrits (exposition, Paris, Musée du Louvre, 5 mai-14 juillet 2003), Réunion des musées nationaux, (ISBN 978-2-7118-4589-7). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Articles[modifier | modifier le code]

'
Manuscrit M de l’Institut de France, 78v[34]
« Tous les ans, quand les branches des arbres ont achevé de se développer, leur grosseur – si on les réunit toutes – équivaut à celle de leur tronc ; et à chaque stade de leur ramification, tu trouveras l’épaisseur dudit tronc, comme dans i k, g h, e f, c d, a b. Toutes seront égales entre elles si l’arbre n’a pas été émondé. Sinon, il ne faillira pas à la règle[n 12]. »

Carnets, p. 396, M. 78 v.[n 13]


Autres ouvrages consultés (ou à consulter)[modifier | modifier le code]

  • Léonard de Vinci et l'expérience scientifique au XVIe siècle (colloque international, Paris, 4-7 juillet 1952), Centre national de la recherche scientifique/Presses universitaires de France, (SUDOC 005317851, présentation en ligne)
  • Paolo Galluzzi, Les Ingénieurs de la Renaissance de Brunelleschi à Léonard de Vinci
  • Pascal Brioist, Léonard de Vinci : arts, sciences et techniques
(en) Caroline Hillard, « Leonardo da Vinci: Nature and Architecture. Constance Moffatt and Sara Taglialagamba, eds. Leonardo Studies 2. Leiden: Brill, 2019. xviii + 432 pp. €149. », Renaissance Quarterly, vol. 74, no 2,‎ , p. 580–582 (DOI 10.1017/rqx.2021.12, lire en ligne, consulté le )
  • Léonard de Vinci : l'architecture, Hermann, coll. « Itinéraire percorsi », (ISBN 979-10-370-2940-9)

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

« du chaos on passe à la grâce et de la grâce on repassera au chaos. »

La Joconde
Artiste
Date
Entre et Voir et modifier les données sur Wikidata
Commanditaire
Type
Matériau
huile sur panneau de peuplier (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Lieu de création
Dimensions (H × L)
77 × 53 cmVoir et modifier les données sur Wikidata
No d’inventaire
INV 779, MR 316Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Salle 711 (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Coordonnées
Carte
  1. via notamment Spécial:Suivi_des_liens/Modèle:Palette_Léonard_de_Vinci. Palette complémentaire ci-dessous est encore … incomplète (Émoticône), Spécial:Suivi_des_liens/Utilisateur:Malik2Mars/Brouillon/LdV
    Voir aussi Wikipédia:Le Bistro/25 janvier 2022#De l'influence d'une palette sur la diffusion de la connaissance.
  2. Mettre à jour les biblios si besoin à l’avenir (important : WP:Rien ne presse).
  3. Sourcer une affirmation, c’est bien. Mais pas avec la première Réf qui passe. Certaines « affirmations » sont à peine mentionnées (qlq lignes max, une phrase de qlq mots seulement) par certaines sources (souvent les petits ouvrages…(peu de pages ;)), mais très détaillées par d’autres. Mieux juger ainsi la proportion. Il convient de mettre en Réf liées les plus détaillées, les plus précises. Si divergences, noter. Il faut rester synthétique. Le lecteur (contributeur) est ainsi invité à lire ces sources détaillées pour en savoir plus et non juste une ligne dans un ouvrage où il n’apprendra rien de plus…. Cela facilite aussi les contributions futures, c’est évident !
  4. Le lien categ est parfois plus utile que la page de description pour certaines « versions ». Ex : c:Category:Studies of water (RCIN 912660) (avec lien direct vers rct.uk)
  5. Pour visualiser, sur wp et wq, continuer à lier texte et image correspondante !
    • 25.03. Après wcc, relire attentivement page Quote corriger/préciser/illustrer. puis reprendre ponctuellement les travaux.
    • 11.07. reprise en douceur. Test avec un conseil dont le Maître avait le secret… :
      • ✔️« Je ne manquerai point de faire figurer parmi ces préceptes un système de spéculation nouveau, encore qu’il semble mesquin et presque risible, il est néanmoins fort utile pour exciter l’intellect à des inventions diverses. Si tu regardes des murs barbouillés de taches, ou faits de pierres d’espèces différentes, et qu’il te faille imaginer quelque scène, tu y verras des paysages variés, des montagnes, fleuves, rochers, arbres, plaines, grandes vallées et divers groupes de collines […][1]. »
  6. Section sur le Codex Trivulzianus, on lit bien « Comme en témoigne ce passage du Codex Atlanticus »… Songeur
  7. Voir aussi autres snd (garder à l’esprit les différents inventaires possibles…):
  8. C.A. 195r, trad. citée d’après Kemp 2019, p. 105 ((en) 2006, p. 67 (1981, p. 86 [C.A. 71r]) : « O time, devourer of all things, and O envious age, you destroy all things and devour all things with the hard teeth of old age, little by little with lingering death. »). Voir Carnets 2019, p. 112 (à faire sur quote ✔️) et longue note 2 : « Ô Temps, consumateur de toute chose ! envieuse vieillesse qui consumes toute chose peu à peu, avec la dure dent de la vieillesse, en une lente mort ! ». Gerolamo Calvi (Archivio Storico Lombardo, 1916)[2] a démontré l’origine de ce passage : Métamorphoses, XV, lignes 232-236 (merci @Eunostos : q:Métamorphoses (Ovide)#Livre XV). La suite, sur la beauté changeante d’Hélène au fil du temps, et l’enchaînement avec la mention de Caterira « dis, dis-moi comment les choses se passent là-bas et si Caterina désire faire… », une simple hypothèse donc. Voir aussi dans #Chastel (« Léonard et la culture » (Cahiers du Sud 1952, CNRS 1953, FFF, …, à préciser)), Chastel 1982, Arasse 2019, Bramly 2019 [+« avec les ténèbres de la nuit pour complice », devise, déjà sur q #Rapp. (q:spécial:diff/324379), à préciser + demander ✔️ à Eunostos pour ancrage XIII sur q (Vecce 2019c : « first, the beginning of Book 13, the speech of Ajax against Ulysses for the possession of Achille’s armor »)], Brioist 2019 (Note++ : Brioist 2019 (« La Joconde, une énigme à plusieurs dimensions » (à faire sur wp ; note : q:La Joconde)) : « [Arasse] suggère […] une interprétation très forte : […] une méditation profonde sur le temps, semblable à celle d’Ovide […] (un texte cité précisément par Léonard) »). + #Bibliothèque de Léonard de Vinci :
    • ((Findlen 2019) (en) « Learning from the Ancients », sur exhibits.stanford.edu, (consulté le ))
      • Vecce 2019c :
        • « Recent research instead reveals that Leonardo was not translating but simply transcribing (or writing by heart) »
      • .
    • Un peu comme cette section ci-dessous, mais pas que pour les « récentes ». De plus, un mot sur les accès LBW, IA, les qlq « manques », le suivi des ajouts, et garder en tête que le « sujet » concerne un certain nombre d’articles et non seulement la bio : cohérence!.
    • Michel Menu (dir.), Léonard de Vinci : l'expérience de l'art, Hermann, 2021, 979-10-370-0374-4 (en juillet, centrées sur l'art apparemment)
    • Henry de Lumley et Pierre-Marie Lledo (dir.), Léonard de Vinci, CNRS Editions, 2021, 978-2-271-13574-2, (en avril, notamment sur l'anatomie), 400 p.
    • Frédérique Dubard de Gaillarbois & Olivier Chiquet (dir.), Nodi, vincoli e groppi leonardeschi : études sur Léonard de Vinci, Spartacus IDH, Paris, 2019, neuf contributions issues d'une journée d'études tenues à Paris en 2018
    • Emmanuelle Brugerolles (dir)., Léonard de Vinci et la Renaissance italienne : exposition, Cabinet des dessins Jean Bonna, Beaux-arts de Paris, 25 janvier-19 avril 2019, Beaux-Arts de Paris éditions, 2019
    • Annie Yacob, Léonard de Vinci, réflexions sur l'esthétique léonardienne, 2019, 978-2-902302-11-6, à voir selon les critiques de l'ouvrage
    • Olivier Lexa, Léonard de Vinci : l'invention de l'opéra, 2019, 978-2-204-13454-5, sur un pan méconnu (et sans doute mineur) de l’œuvre léonardienne
    • Sabine Frommel et Jean Guillaume, Léonard de Vinci et l'architecture, Mare & Martin Arts, Paris, 2020, 978-2-36222-019-7 --> aspect également à développer à mon avis
    • Roger Masters, La fortune est un fleuve : Léonard de Vinci, Machiavel, et leur détournement de l'Arno, Omblage, 2018, 253 p., (ce projet avorté pourrait être l'objet d'un ou deux paragraphes au moins)
    • Andrea Bernardoni et Alexander Neuwahl (dir.), Construire à la Renaissance : les engins de chantier de Léonard de Vinci, Presses universitaires François-Rabelais et Presses universitaires de Rennes, 2014
    • Dominique Le Nen, Léonard de Vinci : l'aventure anatomique, EPA, 2019, 978-2-37671-032-5 --> beau livre, donc moins dense qu'un ouvrage universitaire, toutefois sérieux, écrit par un chirurgien, semble avoir eu un accueil favorable.
    • Laure Fagnart, Léonard de Vinci à la cour de France, Presses universitaires de Rennes, Rennes, 2019, 978-2-7535-7703-9 permettrait de clarifier et d'approfondir les relations de Vinci à la cour de France (décrit comme ramené tel un trophée dans l'article)
    • Pascal Brioist, Léonard de Vinci, homme de guerre, Alma, p. 357, 2013. (ISBN 978-2362790706) --> en biblio mais pas utilisé. A voir si l’article est complet et à jour sur ce point Zythème Paroles dégelées 3 avril 2021 à 22:55 (CEST)
      Ah oui ! J'avais oublié l'existence du microfinancement. Merci Notification Zythème :. Applejuice (話す) 4 avril 2021 à 12:22 (CEST)
      Merci de ce travail, Zythème. Je ne savais pas pour le microfinancement. Il faudrait en effet consulter le maximum de ces ouvrages et si tu possèdes un ou plusieurs, Zythème, interviens sans soucis ! (Moi-même, je suis bien pourvu en ouvrages consacrés à l'œuvre peint de Léonard mais pas les autres) Bien cordialement, --CrijamAbsit reverentia vero 4 avril 2021 à 17:30 (CEST)
  9. Voir à ce sujet : Delieuvin et Frank 2019, Cat. 107, La croissance des arbres, p. 210, « Modéliser » (Réf 4 : Mandelbrot 1982), Brioist 2019, Les audaces de Léonard de Vinci sur Google Livres, Mangin 2012 (Mangin 2018, p. ?), Benoît Mandelbrot, The Fractal Geometry of Nature (en), (lire en ligne), « Trees and the Diameter Exponent ». ndr : spécial:diff/211456385
  10. Voir la page Léonard de Vinci sur Wikiquote.. Richter, vol. I, 395, p. 205.

Références[modifier | modifier le code]

  1. (Ms 2185, 22 v), cité d’après Carnets, p. 1052; Traité de la peinture, p. 216-217; soit [1], Commons:File:Leonardo da Vinci - 19-545175.jpg; du coup, remarquons que c’est là que la double indication devient utile. S’exercer à bien ranger sur quote d’abord. Ok : pour cette reprise en douceur, le test était de retrouver (rapidement) les passages et le fichier. Soulignons que Chastel donne la correspondance avec l’ed de Richter, ici 508 comme en note 9 de Isaacson 2019, p. 545 (l’auteur mentionne aussi le 13a de Ash 1), extrait p. 262. Rappelons que « Parmi les conseils que Léonard se prodigue à lui-même autant qu’à ses futurs lecteurs, le plus étonnant et le plus célèbre est sans doute celui-ci », Seretti 2021 (source signalée en pdd par bibi…)
  2. « Contributi alla biografia di Leonardo da Vinci : periodo sforzesco », Archivio Storico Lombardo,‎ (lire en ligne) (aussi disponible sur Internet Archive).
  3. Jacques Guillerme, « Anatomie artistique : Léonard de Vinci, Vésale, l'écorché », sur Encyclopædia Universalis.
  4. Carnets, XXI, De la nature de l’eau, p. 882
  5. Seretti 2021
  6. « Where the turbulence of water is generated
    where the turbulence of water maintains for long
    where the turbulence of water comes to rest »

  7. Brioist 2012, p. 16.
  8. a b c d et e Brioist 2012, p. 18.
  9. Gille 1964, p. 121.
  10. Gille 1964, p. 122.
  11. a b c d e et f Maffioli 2016.
  12. a et b Brioist 2012, p. 20.
  13. a et b Brioist 2012, p. 23.
  14. Gille 1964, p. 148.
  15. a b c et d Brioist 2012, p. 17.
  16. Brioist 2012, p. 16-17.
  17. Brioist 2012, p. 15.
  18. Gille 1964, p. 123.
  19. a b et c Gille 1964, p. 140-141.
  20. Brioist 2012, p. 19-20.
  21. a et b Brioist 2012, p. 21.
  22. Brioist 2012, p. 25.
  23. Ms. F, 23r., cité dans Maffioli 2016.
  24. Gille 1964, p. 170-172.
  25. Gille 1964, p. 169.
  26. Brioist 2012, p. 26.
  27. Gille 1964, p. 179.
  28. Kemp 2019, p. 7, vo : (Kemp 2006, « preface to the 1981 edition », p. XVIII) « The existing literature on Leonardo is so vast that it has embraced almost all the extremes of historical writing: from poetic insight to novelettish sloppiness; from myopic scholarship to insupportable generalization; from brilliance to stupidity.
  29. Arasse 2019, Léonard aujourd’hui, p. 7.
  30. Clark 2005, p. 14.
  31. Boucheron 2013, p. 31-32.
  32. Brioist 2013, p. 18-19.
  33. Vecce 2019, p. 11.
  34. Viatte et Forcione 2003, Cat. 148, Dessins d’arbres ramifiés et autres dessins de branches, avec notes, p. 418-419.