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Tréogan

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Tréogan
Tréogan
La mairie.
Blason de Tréogan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Communauté de communes Poher communauté
Maire Thierry Dahirel
Code postal 22340
Code commune 22373
Démographie
Gentilé Tréoganais, Tréoganaise
Population
municipale
108 hab. (2021 en évolution de +8 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 24″ nord, 3° 31′ 07″ ouest
Altitude 214 m
Min. 135 m
Max. 293 m
Superficie 7,1 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Carhaix-Plouguer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rostrenen
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Tréogan
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Tréogan
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Tréogan
Liens
Site web https://www.treogan.bzh/

Tréogan [tʁeɔɡɑ̃] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La paroisse faisait partie du territoire breton traditionnel du pays Fisel. La commune est située à l'extrémité orientale du département du Finistère, à la limite de ceux du Morbihan et des Côtes-d'Armor, en plein cœur du Kreiz Breizh, dans le triangle formé par les villes de Carhaix, Gourin et Rostrenen.

Tréogan est dans une dépression située à l'extrémité orientale du versant nord des montagnes Noires (qui culminent à 286 mètres, mais ce sommet et les autres sont situés dans la commune de Langonnet (Morbihan), au-delà de la limite sud de la commune), une autre ligne de hauteurs appalachiennes culminant au Menez Gliguéric, à 304 m d'altitude, mais ce sommet est situé dans la commune de Plévin (Côtes-d'Armor), au nord de la limite nord de la commune de Tréogan ; le bourg est vers 214 m d'altitude, mais le relief s'abaisse jusqu'à 136 mètres d'altitude à l'extrémité ouest du finage communal, au niveau de la confluence entre le ruisseau de Goaranvec (affluent de rive gauche de l'Hyère) et son propre affluent, le ruisseau de Saint-Conogan, qui servent d'ailleurs tous les deux de limite communale, le premier cité avec Langonnet et Gourin, le second cité avec Motreff.

Tréogan a un paysage rural traditionnel de bocage avec habitat dispersé en hameaux et fermes isolées.

La commune est traversée par la route départementale 3, provenant de Gourin (elle se nomme RD 302 pour sa partie située dans le département du Morbihan) et allant jusqu'à Rostrenen après avoir traversé Glomel.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 246 mm, avec 16,1 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Carhaix-Plouguer à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 112,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Tréogan est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carhaix-Plouguer, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Terres arables hors périmètres d'irrigation 0,15 % 1
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 6,3 % 44
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 77,5 % 544
Forêts de feuillus 7,0 % 49
Forêts de conifères 6,6 % 46
Landes et broussailles 0,6 % 4,5
Forêt et végétation arbustive en mutation 1,9 % 13,5
Source : Corine Land Cover[12]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Treaugan en 1450, 1516, 1535, 1536 et en 1599[13].

Du toponyme breton treo et de l'anthroponyme Ogan. Le toponyme Treaugan (des XVe et XVIe siècles) renvoie à Augan dont la racine alcam (kam) en vieux breton pourrait avoir désigné un enclos circulaire[14],[15]. Une autre hypothèse plus convaincante est que le nom signifie, par contraction, « trève de saint Conogan », la commune étant effectivement une ancienne trève de la paroisse de Plévin[13] ; d'ailleurs un ruisseau qui parcourt la commune porte le nom de « ruisseau de Saint-Conogan », l'église paroissiale lui est dédiée et un hameau de la commune est dénommé "Beuzit", nom qui fait penser à Conogan de Beuzit, autre nom de saint Conogan.

La voie romaine allant de Quimper à Corseul via Vorgium (Carhaix) passait par Tréogan[16].

Issue d'un démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Plévin, la paroisse eut initialement son centre au lieu-dit Coz-Tréogan, situé au sud du bourg actuel, en lisière de la forêt de Conveau.

En 1356, Jean, seigneur de Tréogan, avait une compagnie noble au service du roi Charles V. Les manoirs nobles de Pencoz, Kerleaugui, Kerfredin, Keraslan et le Mengui existaient à cette époque à Tréogan[17].

Époque moderne

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Cette commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets rouges : le , des paysans de Plévin et Tréogan contraignirent les moines de l'abbaye de Langonnet à accepter le retour aux anciennes coutumes pour la mesure censive de l'abbaye et les droits de lods et ventes[13].

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Tréogan en 1778 :

« Tréogat [en fait Tréogan], dans un fond, à dix lieues un tiers à l'est-nord-est de Quimper, son évêché, à 31 lieues de Rennes et à 1 lieue deux-tiers de Gourin, sa subdélégation. Cette paroisse relève du Roi, ressortit à Carhaix et compte 550 communiants[18] ; la cure est à l'alternative. Le territoire n'est composé que de monticules nommés les Montagnes Noires, qui forment une chaîne depuis Évran jusqu'à Crozon, de manière que la plus grande partie du terroir est absolument inculte ; on y vit en outre la forêt de Conveau qui a deux lieues de circuit[17]. »

Révolution française

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Tréogan fut érigée en commune en 1790, mais ensuite rattachée à nouveau à Plévin jusqu'en 1844, date à laquelle elle redevint une commune indépendante par l'ordonnance du .

XIXe siècle

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A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Tréogan en 1845 :

« Tréogan (sous l'invocation de saint Conogan), commune formée par l'ancienne paroisse du même nom. (...) Principaux villages : Kernon, Kerleur, Kerfrère, Kervern, Kergrec'h, Keralain, le Buzit, Hallegulen, Ty-Douvou. Superficie totale : 18 ha 84 ares dont (...) terres labourables 312 ha, prés et pâtures 72 ha, bois 12 ha, vergers et jardins 18 ha, landes et incultes 278 ha (...) Moulin-Blanc, à eau. Cette commune n'a pas de succursale, le desservant de Plévin bine [dessert les deux paroisses] avec celui de Tréogan. Géologie : schiste argileux. On parle le breton[19]. »

La portion de la route royale n° 169 (actuelles routes départementales n°1 du Morbihan et n° 3 des Côtes-d'Armor) allant de Tréogan via Conveau et Gourin à la limite départementale du Finistère en passant par Roudouallec, fut le dernier tronçon de l'axe routier allant de Quimper à Saint-Brieuc à être aménagé à partir de 1846[20].

Un malheureux fait divers survenu le , une tentative d'assassinat d'une domestique par la femme qui l'employait, affaire dénommée dans les journaux « Le mystère de Tréogan », montre qu'à l'époque la plupart des habitants de Tréogan ne parlaient que le breton : parlant des témoins lors du procès qui se tint en , Le Petit Journal écrit : « On entend ensuite plusieurs habitants de Tréogan. Un interprète doit traduire les dépositions de la plupart d'entre eux »[21].

XXe siècle

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Le monument aux morts de Tréogan.

Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Tréogan porte les noms de 22 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, un (Guillaume Briand[22]) est mort en Belgique dès 1914 ; un (Yves Daniel) est mort en captivité en Allemagne ; les autres sont décédés sur le sol français dont trois portant le même nom de famille (François Fraval, Jean Fraval, Nicolas Fraval)[23].

Le maquis du Bois de Conveau et ses environs
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Héraldique

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De gueules à trois coquilles d'or.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1959 octobre 1973 Ernest David PCF Conseiller général du canton de Maël-Carhaix
(1961-1973)
janvier 1974 mars 1983 Jean Goacolou SE, proche du PCF (*) Agriculteur
mars 1983 juillet 2021 Honoré Lescoat DVD[24],[25] Agriculteur retraité
juillet 2021 en cours Thierry Dahirel Sans étiquette Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

(*) Jean Goacolou a parrainé la candidature de Georges Marchais pour l'élection présidentielle de 1981 (réf. JO du ).

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 108 habitants[Note 2], en évolution de +8 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
193243284240286301295308307
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
289311290264307298336373405
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
418424381362322307309282233
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
18616816016213811910310199
2017 2021 - - - - - - -
100108-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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L'église Saint-Conogan.
  • Le calvaire du Buzit ;
  • Salle polyvalente.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Tréogan et Carhaix-Plouguer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Carhaix » (commune de Carhaix-Plouguer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Carhaix » (commune de Carhaix-Plouguer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Carhaix-Plouguer », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  13. a b et c http://www.infobretagne.com/treogan.htm
  14. Le patrimoine des communes des Cotes-d'Armor, t. 2, Charenton-le-Pont, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », (ISBN 978-2-84234-030-8).
  15. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Editions Jean-Paul Gisserot, (lire en ligne), p. 82.
  16. « Tréogan », sur topic-topos.com via Wikiwix (consulté le ).
  17. a et b Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist04og
  18. Personnes en âge de communier
  19. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 2, 1845, consultable https://books.google.fr/books?id=9o8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj_u6zXpenSAhVLLsAKHXgyCmkQ6wEIHTAA#v=onepage&q=Tr%C3%A9ogan&f=false
  20. "Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général du Morbihan", 1846, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5807098t/f61.image.r=Roudouallec?rk=85837;2
  21. Le Petit Journal, n° du 15 avril 1896, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k613858h/f2.image.r=Tr%C3%A9ogan?rk=21459;2
  22. Guillaume Briand, né le à Gourin, soldat au 36e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Châtelet, décoré de la Croix de guerre
  23. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=34450
  24. « Résultats municipales 2020 à Tréogan », sur lemonde.fr (consulté le ).
  25. Présentateur de Marine Le Pen pour l'élection présidentielle française de 2012 : JORF n°0078 du 31, mars 2012 page 5810, texte n° 1, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République (1) », NOR: CSCX1209092K
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. http://fr.topic-topos.com/eglise-saint-conogan-treogan
  31. http://fr.topic-topos.com/vierge-a-lenfant-treogan

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Liens externes

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