Jarsy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jarsy
Jarsy
Jarsy rue principale avec vue sur la dent de Pleuven.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Grand Chambéry
Maire
Mandat
Pierre Dupérier
2020-2026
Code postal 73630
Code commune 73139
Démographie
Gentilé Jarselains
Population
municipale
260 hab. (2021 en diminution de 3,7 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 28″ nord, 6° 10′ 47″ est
Altitude Min. 697 m
Max. 2 217 m
Superficie 32,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Alban-Leysse
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Jarsy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Jarsy
Géolocalisation sur la carte : Savoie (département)
Voir sur la carte topographique de Savoie (département)
Jarsy
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Jarsy

Jarsy est une commune française de la région Auvergne-Rhône-Alpes, située dans le département de la Savoie, au cœur du massif montagneux des Bauges.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village de Jarsy est situé dans les « Bauges devant » au pied de la dent de Pleuven (1 771 m) sur un replat qui domine la vallée du Chéran. Il est entouré par les plus hauts sommets du massif, notamment l'Arcalod (2 217 m) et le Trélod (2 181 m).

Géographie administrative[modifier | modifier le code]

Le territoire est limitrophe à l'intérieur des Bauges de ceux des communes d'École, de la Compôte et de Doucy, et au niveau des lignes de crête ou des lignes de source de ceux de Chevaline, Doussard, Giez, Seythenex en Haute-Savoie, de Plancherine, Verrens-Arvey et Cléry en Savoie.

Le finage s'étend sur 3 268 ha et s'étage sur un dénivelé de 1 520 m, entre les altitudes de 697 m à l'endroit où le Chéran passe sur le territoire communal de la Compôte et de 2 217 m à la pointe de l'Arcalod, point culminant du massif des Bauges.

Plusieurs hameaux dépendent de la commune de Jarsy : Belleville, Carlet, le Coudray, Être, Précherel, Rière-Bellevaux, Sur Roche et Très Roche.

Géologie[modifier | modifier le code]

Jarsy dominée par la dent de Pleuven (à gauche) et l'Arcalod (à droite).
Jarsy en hiver vue depuis la crête du bois de la Fullie.

Les reliefs sont typiques des Préalpes françaises du nord. Le caractère inversé y est ici particulièrement bien marqué avec la présence de synclinaux perchés comme celui de Serraval où se trouvent les chalets d'Orgeval et d'anticlinaux surcreusés comme celui de Chérel.

Les falaises claires de calcaire urgonien du Crétacé inférieur (âge barrémien) de la dent de Pleuven et de l'Arcalod sont les éléments les plus visibles de l'environnement géologique de Jarsy. Ces barres rocheuses surmontent un ensemble monotone et épais de près de 1 000 m de couches argilo-calcaires à lits siliceux plus anciennes (âges hauterivien à valanginien).

En fond de vallée, notamment au niveau de la falaise d'Être, mais aussi dans l'axe érodé de l'anticlinal de Chérel, les calcaires jurassiques d'âge tithonien apparaissent[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Sur les bordures sud et est du territoire communal ou à proximité, coule le Chéran, principale rivière des Bauges. Plusieurs affluents venant de Jarsy viennent en gonfler le cours, principalement d'ouest en est : les ruisseaux (ou nants) de Chérel, de Jarsy, des Molines, de l'Enfer et d'Orgeval[2].

Habitats naturels[modifier | modifier le code]

L'étagement altitudinal, la diversité des expositions, les pratiques pastorales et sylvicoles, l'exode rural et la mise en protection de certains territoires ont assuré le maintien d'habitats naturels remarquables et variés. Quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 sont en partie situées sur le territoire de Jarsy :

  • la ZNIEFF no 820031333[3] des « pelouses sèches d'Être », couvrant aussi une partie des territoires d'École et de la Compôte, située à 800 m d'altitude, constituée d'une petite falaise couverte de forêts thermophiles et de pelouses à orchidées ;
  • la ZNIEFF no 820031339[4] des « bois de Pré Poirier et du Pré Lamy », qui correspond à la combe entre la Montagne du Charbon et les Hautes-Bauges ;
  • la ZNIEFF no 820031340[5] de la « Montagne du Charbon », notamment autour des reliefs de la dent de Pleuven et du Trélod ;
  • la ZNIEFF no 820031346[6] des « Hautes-Bauges », qui correspond aux plus hauts sommets du massif.

Les forêts occupent les versants des montagnes. Ce sont majoritairement des forêts publiques dont notamment la forêt communale de Jarsy (279 ha)[7], la forêt sectionale de Carlet Très Roche (96 ha environ), la forêt départementale de Coutarce (126 ha)[8] et une grande partie de la forêt domaniale de Bellevaux (600 ha sur 1679)[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 530 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lescheraines », sur la commune de Lescheraines à 8 km à vol d'oiseau[12], est de 9,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 363,4 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Jarsy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (11,8 %), prairies (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), terres arables (0,5 %), zones urbanisées (0,1 %)[21],[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Jarsy dérive de Jarsiacum (mentionné dès le XIIe siècle) et de ses variantes, et pourrait se rapporter au nom ou surnom romain de Gercius[22]. Le nom de la commune, comme celui de ses habitants (les Jarselains), se prononce avec le son [z] pour le « s » central. En francoprovençal, selon la graphie de Conflans, il s'écrit d'ailleurs Jarzi[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

D'après les recherches de l'historien Léon Menabrea, Jarsy aurait été au Xe siècle le lieu de retranchement d'un groupe de Sarrasins qui y aurait fondé une colonie avant de se convertir au christianisme. Le souvenir de cette origine aurait persisté jusqu'au XIXe siècle chez les baujus[24].

Jarsy est aussi l'un des premiers lieux où les moines de l'abbaye d'Hautecombe se constituent un domaine dans les Bauges. Ils y reçoivent, en 1192, une importante donation suivie par d'autres[25]. Et c'est ainsi que lors du recensement cadastral de 1738, les possessions de l'abbaye sur la commune actuelle de Jarsy s'élèvent à plus de cinq cents hectares (525 exactement, ce qui en fait la plus importante possession en surface de l'abbaye)[26].

La paroisse de Jarsy reçoit la visite d'inspection de l'évêque François de Sales, le lundi .

Le 4, 5 et , une division allemande entre dans le massif des Bauges en passant par les crêtes à la recherche des maquisards et des réfugiés juifs. Cinq personnes sont fusillées à Jarsy.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie est installée dans l'ancien bâtiment du presbytère.

Le premier maire de Jarsy après l'annexion de la Savoie en 1860 fut Louis-Marie Jaccaz. Celui-ci avait cependant déjà exercé la fonction de premier magistrat de la commune, en tant que “syndic” en 1855 et en 1859 sous l'administration sarde[27]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1860   Louis-Marie Jaccaz    
[...]   [...]    
mars 1965 mars 1977 Ulrich Burgos    
1977 1989 Édouard Péguet PCF  
1989 2001 Guy Jay    
mars 2001 En cours
(au 30 juin 2020)
Pierre Dupérier    

La commune dépend de l'arrondissement de Chambéry.

Jusqu'aux élections départementales de 2015, les électeurs inscrits à Jarsy votaient pour l'élection du conseiller général du canton du Châtelard. En , ils ont été appelés à voter pour les deux conseillers départementaux du nouveau canton de Saint-Alban-Leysse.

La commune de Jarsy adhère à la communauté d'agglomération de Chambéry Métropole - Cœur des Bauges, devenue Grand Chambéry, où elle est représentée par un conseiller communautaire.

Jarsy fait également partie du syndicat mixte du parc naturel régional du Massif des Bauges.

Les élèves de maternelle et du primaire sont scolarisés au groupe scolaire des Hautes Bauges associant les communes de la Compôte, Doucy, École, Jarsy et Sainte-Reine et installé depuis 2013 dans des locaux neufs à École-en-Bauges[28].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 260 habitants[Note 2], en diminution de 3,7 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Le maximum de la population a été atteint en 1838 avec 1 215 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
8598959161 1181 2151 1971 0381 037953
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
943946899861810804766704670
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
540513466424374294247208196
1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - -
166172247294287265260--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (33,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,3 % la même année, alors qu'il est de 26,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 135 hommes pour 134 femmes, soit un taux de 50,19 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,96 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,3 
6,8 
75-89 ans
8,3 
19,5 
60-74 ans
19,7 
31,6 
45-59 ans
26,5 
12,8 
30-44 ans
18,9 
16,5 
15-29 ans
9,1 
12,8 
0-14 ans
15,2 
Pyramide des âges du département de la Savoie en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,9 
7,1 
75-89 ans
9,8 
16,9 
60-74 ans
17,8 
21,2 
45-59 ans
20,5 
18,9 
30-44 ans
18,4 
17,1 
15-29 ans
15,2 
18 
0-14 ans
16,4 

Économie[modifier | modifier le code]

Les chalets du Chargieu avec le mont de la Coche en arrière-plan : un territoire d'estive, de randonnée, de chasse, de forêt et de protection de la nature.

L'activité économique est dominée par l'élevage laitier traditionnel et par le tourisme.

Productions agricoles et forestières[modifier | modifier le code]

Jarsy est entièrement inclus dans l'aire de production de l'AOP “tome des Bauges[35]. Pendant la saison d'estive, le lait produit dans les alpages est transformé directement en tomes sur place, en particulier dans les chalets d'Orgeval[36] ou d'Allant[37]. Quant au lait produit en vallée, il peut également être transformé sur place par un producteur local[38] ou collecté pour la fruitière coopérative de la Compôte qui fabrique de la tome ainsi que du gruyère gras des Bauges[39].

La production agricole n'a cependant pas été toujours exclusivement tournée vers l'élevage. Au XIXe siècle, les cultures occupaient une superficie importante, l'exposition ensoleillée des terroirs étant considérée comme favorable. Ainsi en 1869, on recensait quatre-vingt dix hectares en céréales et vingt hectares en pommes de terre[40]. Jarsy était également réputé pour ses « vergers de plein vent » et sa production de cidre[41].

Les forêts, traitées en futaie irrégulière, procurent une récolte régulière de bois d'œuvre résineux (de l'ordre d'un millier de m3 par an) de sapin pectiné et d'épicéa commun et de bois de chauffage de hêtre.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Situé dans la partie centrale du parc naturel régional des Bauges, Jarsy est un important site de départ de randonnées vers les plus hauts sommets des Bauges. La présence d'une faune sauvage abondante et assez facilement observable, notamment grâce à la réserve nationale de chasse et de faune sauvage des Bauges[42], apporte un attrait supplémentaire.

La chasse elle-même, pratiquée en tir encadré dans la réserve ou en périphérie sur le territoire de l'Association communale de chasse agréée de Jarsy, constitue une forme de « récréotourisme faunique »[43].

Structures touristiques[modifier | modifier le code]

  • 1 hôtel-restaurant[44],
  • 2 gîtes de France[45].

Commerce et artisanat[modifier | modifier le code]

La commune compte :

  • une boulangerie,
  • un atelier de maquettes professionnelles.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Les pierres levées, extraites de l'ancienne carrière de la Lésine, marquent les bordures des chemins ou les limites des propriétés.

Monuments et constructions[modifier | modifier le code]

  • L'église de Jarsy, placée sous le patronage de Saint André, construite en 1867 dans le style néogothique selon les plans de l'architecte des Bâtiments du département et architecte diocésain, Joseph Samuel Revel, consacrée en 1895[46].
  • La « chapelle de la Lésine », édifice du XVIIe siècle tombé en ruines et restauré en 2015[47].
  • Les clôtures de pierres levées (ou palets) qui délimitent les propriétés ou les bords de chemins[41].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Divers[modifier | modifier le code]

  • Le documentaire "Contre le mur de ma maison", produit par Pierre Beccu et co-écrit avec Isabelle Dupérier, retrace l'histoire des deux filles juives dont le père a été fusillé au hameau de Belleville en 1944.
  • L'épisode n°2, saison 7 de la série télévisée Cassandre, intitulé "Zone blanche" prend le village de Jarsy, renommé en Saint-Falcon, comme cadre de l'intrigue.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 138-139. ([PDF] lire en ligne)
  • Laurent Morand, Les Bauges : histoire et documents : Peuple et Clergé (IIIe volume), Chambéry, Imprimerie savoisienne, , 684 p. (lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. L'IGN met à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Geol-Alp, Les Bauges orientales
  2. geoportail, carte IGN
  3. fiche descriptive de la ZNIEFF n°820031333
  4. fiche descriptive de la ZNIEFF n°820031339
  5. fiche descriptive de la ZNIEFF n°820031340
  6. fiche descriptive de la ZNIEFF n°820031346
  7. Forêt communale de Jarsy : Révision d'aménagement forestier (2005-2019), Chambéry, Office national des forêts (lire en ligne).
  8. Forêt départementale de Coutarce : Révision d'aménagement forestier (2004-2018), Chambéry, Office national des forêts (lire en ligne).
  9. Forêt domaniale de Bellevaux : Révision d'aménagement forestier (2008-2022), Chambéry, Office national des forêts (lire en ligne).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Jarsy et Lescheraines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Lescheraines », sur la commune de Lescheraines - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « Lescheraines », sur la commune de Lescheraines - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 236..
  23. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 21
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  24. Léon Menabrea, « Montmélian et les Alpes, étude historique », dans Mémoires de la société royale historique de Savoie, t. X, Chambéry, Puthod, (lire en ligne), p. 183-184.
  25. Claudius Blanchard, Histoire de l'abbaye d'Hautecombe en Savoie avec pièces justificatives inédites, Chambéry, Chatelain, (lire en ligne), p. 114.
  26. Dom Romain Clair, Hautecombe, Aix-les-Bains, Société d’art et d’histoire d'Aix-les-Bains, , 320 p. (ISBN 978-2-9519691-7-9), p. 60.
  27. Louis Morand, Les Bauges : histoire et documents, t.3, Peuple et clergé, p.153
  28. Pierre Beccu, film documentaire : écoles pour tous
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Jarsy (73139) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Savoie (73) », (consulté le ).
  35. Tome des Bauges A.O.P. : L'aire géographique
  36. gites-bauges.com : Orgeval et son alpage, depuis Ecole en Bauges
  37. « La croix d'Allant », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne).
  38. Tome des Bauges A.O.P. : Tous les producteurs
  39. Les coopératives laitières et viticoles de la Savoie : Coopérative laitière de la Compôte
  40. p;110
  41. a et b Savoie le département, le patrimoine, IR8 Au cœur des Bauges
  42. Réserve nationale de chasse et de faune sauvage des Bauges :Rapport d'activité 2011
  43. Laine Chanteloup, Thèse pour obtenir le grade de docteure de l'université de Grenoble et de l'Université de Montréal : À la rencontre de l’animal sauvage : dynamiques, usages et enjeux du récréotourisme faunique
  44. Hôtel l'Arcalod, à Jarsy
  45. Gites de France localisés sur Jarsy
  46. Françoise Dantzer, Les Bauges : Terre d'art sacré, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 251 p. (ISBN 978-2-84206-272-9, lire en ligne), p. 80.
  47. Fondation du patrimoine : Une nouvelle cloche pour la chapelle de la Lésine
  48. La Savoie littéraire et scientifique, 14e année (1919), 1er trimestre : Quelques Lettres de Mgr Chartaz à l'Abbé Bonnefoy, recteur à Jarsy-en-Bauges, de 1833 à 1844.