Vimines

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Vimines
Vimines
Chef-lieu de Vimines devant la chaîne de Belledonne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Grand Chambéry
Maire
Mandat
Corine Wolff
2020-2026
Code postal 73160
Code commune 73326
Démographie
Gentilé Vimenais
Population
municipale
2 236 hab. (2021 en augmentation de 13,79 % par rapport à 2015)
Densité 157 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 47″ nord, 5° 51′ 56″ est
Altitude Min. 320 m
Max. 1 378 m
Superficie 14,23 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chambéry
(banlieue)
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pont-de-Beauvoisin (Savoie)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web vimines.com

Vimines est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Elle est située à l'ouest de l'agglomération de Chambéry, sur le versant est de la chaîne de l'Épine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Situation[modifier | modifier le code]

Vimines vue depuis Montagnole.

Vimines est une commune de 1 423 hectares située à 6 km au sud-ouest de Chambéry, préfecture du département de la Savoie.

Elle est composée d'un chef-lieu et de plusieurs hameaux et lieux-dits répartis sur les premiers reliefs de la chaîne de l'Épine, chaînon méridional du massif du Jura, ce qui lui vaut une altitude minimale de 320 mètres contre 245 mètres pour Chambéry.

En outre, le territoire de la commune s'étend jusqu'à la crête du massif de l’Épine, lui conférant ainsi un dénivelé de plus de 1 000 mètres, pour une altitude maximale de 1 378 mètres.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune de Vimines n’a pas de limite partagée avec celle de Chambéry, les deux communes étant séparées par celle de Cognin (au nord-est). Elle possède en outre une limite avec Saint-Cassin dans le massif de la Chartreuse, Saint-Sulpice sur le versant est de la chaîne de l'Épine, et Saint-Thibaud-de-Couz dans le val de Couz. Pour l’autre versant de l’Épine, la principale commune limitrophe est Aiguebelette-le-Lac, mais Vimines connaît également une courte limite commune avec Lépin-le-Lac et Attignat-Oncin.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

L'accès principal pour se rendre sur la commune de Vimines est la D 1006 (ex-nationale 6). La route, axe principal venant de Lyon et rejoignant l’Italie via le col du Mont-Cenis, longe Vimines au niveau de sa limite commune avec Saint-Cassin dans le val de Couz, du sud-ouest au nord-est. Elle passe ainsi en contrebas du chef-lieu et des principaux hameaux, situés plus hauts sur les reliefs du massif de l'Épine. Des routes départementales et communales permettent donc de rejoindre directement les zones habitées de la commune au départ de la D 1006.

Côté autoroutier, l'autoroute A43 liant Lyon aux vallées alpines passe par Aiguebelette-le-Lac à l'ouest de l’Épine, et la Motte-Servolex et Chambéry à l'est. L'autoroute traverse la chaîne à environ 3 km au nord de Vimines.

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune de Vimines voit passer la ligne de Saint-André-le-Gaz à Chambéry reliant notamment Lyon à Chambéry via le nord-Isère. La ligne est toutefois couverte sur l’ensemble du territoire car son passage sur la commune correspond à la majeure partie du tunnel ferroviaire de l’Épine dont l’entrée du versant est débute, à quelques mètres près, au niveau de l'entrée dans la commune (en arrivant de Chambéry). L'entrée ouest se situe pour sa part sur la commune d'Aiguebelette-le-Lac.

Bus[modifier | modifier le code]
Un bus circulant sur la ligne 17 du réseau STAC, ici à Cognin, en mai 2017.

Le territoire communal est desservi par une ligne du réseau de Synchro bus. Il s’agit de la ligne  17 , qui dispose de son terminus dans la commune après y être entré par le sud-est. Elle relie Vimines au collège Henry Bordeaux, situé à Cognin, et dessert dix arrêts sur le territoire désertier ("Monzin",“Stade Vimines”, “Le Thêt”, “Plantées Dessus”, “Le Château”, “Vimines Chef-Lieu”, “Pierre Baisse”, “Jovinal”, “Les Perriers”, “Montée Vimines” et “Autrain”).

En heures creuses, cette ligne est assurée en Transport à la demande, ce qui permet, en réservant son trajet jusqu’à deux heures avant l’heure souhaitée, d’être récupéré par un bus et déposé à l’arrêt ForgerieCognin), d’où la ligne D assure des départs vers le centre-ville de Chambéry.

Le dimanche et les jours fériés, aucun bus ne circule dans la commune.

Transport aérien[modifier | modifier le code]

L'aéroport le plus proche de Vimines est l'aéroport de Chambéry - Savoie situé à une dizaine de kilomètres plus au nord près du Bourget-du-Lac. Un aérodrome, l'aérodrome de Chambéry - Challes-les-Eaux est également situé à Challes-les-Eaux à une dizaine de kilomètres plus au sud.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vimines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chambéry, une agglomération intra-départementale regroupant 35 communes[4] et 190 279 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,1 %), zones agricoles hétérogènes (29 %), prairies (25,9 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes pour Vimines sont Viminis ou Vimenis[10],[11]. On trouve ainsi dans les actes Ecclesia de Vimenis (vers 1100, dans les cartulaires de l'église Cathédrale de Grenoble), de Viminis (1199), Parochia de Vimenis, Curatus de Vimenes, Ecclesia de Vimenis (1340), Ecclesia de Vimenes (1356), Curatus Vimenarum (1414), Vimines (1546) ou encore Vimène (1573)[12]. Le chanoine Gros souligne que le toponyme est toujours au pluriel dans les anciens textes[12].

L'origine du toponyme est le mot latin Vimen qui désigne l'osier, et qui donné localement vimina, soit l'oseraie, là où il y a beaucoup d'osiers[10],[11],[12].

Certains auteurs ont pu voir dans le toponyme la perpétuation de la qualification de voie mineure (via minor) d'un chemin passant par ce territoire. L'abbé Ducis, dans son Mémoire sur les voies romaines de la Savoie (1861), précise « Quelle que soit la valeur très contestable de cette étymologie »[13]. L'abbé Gros n'aborde pas cette hypothèse. Plus récemment cependant, Bernard Kaminski (2017), érudit local, indique dans un article que la Via Minime, en note, « a donné son nom au village éponyme »[14].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Vemene, selon la graphie de Conflans[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Parmi les nombreuses théories sur le passage des Alpes par Hannibal en 218 av. J.-C., Aimé Bocquet, tenant du franchissement par le col du Petit-Saint-Bernard, fait passer l'armée d'Hannibal par le défilé de Vimines-Saint Cassin, et y situe le premier combat contre des Gaulois[16].

Les chevaux et les éléphants eurent de grosses difficultés comme le souligne Polybe : « Le passage était, en effet, non seulement étroit et rocailleux, mais encore escarpé. » Les Gaulois du bassin de Chambéry et de l'oppidum de Saint-Saturnin auraient profité du désordre pour piller la colonne. Hannibal les combattit puis les détruisit dans la plaine. Cela lui permit selon Polybe de mettre la main sur des vivres et du bétail qui assurèrent deux à trois jours de ravitaillement mais l'armée dut se reposer un jour entier pour récupérer ses forces.

Une église est mentionnée dès le XIIe siècle, dédiée à l'Assomption de la Vierge. L'église actuelle a été reconstruite à proximité en 1873.

Cette commune est essentiellement agricole ; culture des céréales et de la vigne, puis élevage de bovins. Au début du XXe siècle, meuniers et carrière ferment. Ces carrières dont était extrait du marbre à coloration rouge et jaune, semblaient exploitées depuis l'Antiquité, et avaient fourni les pierres de la façade de l'hôtel de ville de Lyon[17].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Vimines se compose du maire, de cinq adjoints et de 13 conseillers municipaux.

Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du conseil municipal :

Groupe Président Effectif Statut
Vimines, un avenir à dessiner ensemble Lionel Mithieux 19 Majorité

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Résultats des derniers scrutins électoraux
1er score 2e score Participation
Élections européennes de 2014 24,10 % pour Renaud Muselier (UMP) 19,97 % pour Jean-Marie Le Pen (FN) 47,59 %
Élections municipales de 2014 100,00 % pour Lionel Mithieux (SE) - 55,83 %
Élections législatives de 2012 51,16 % pour Bernadette Laclais (PS) 48,84 % pour Christiane Brunet (DVD) 58,39 %
Élection présidentielle de 2012 56,31 % pour Nicolas Sarkozy (UMP) 43,69 % pour François Hollande (PS) 87,10 %
Élections régionales de 2010 51,85 % pour Jean-Jack Queyranne (PS) 36,40 % pour Françoise Grossetête (UMP) 57,22 %
Élections cantonales de 2008 62,02 % pour Lionel Mithieux (MoDem) 37,98 % pour Paul Chevallier (PS) 63,58 %

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avril 1900 mai 1904 Claude Perrier    
mai 1904 avril 1905 Antoine Mithieux   Minotier
avril 1905 juin 1906 Pierre Berlioz    
juin 1906 mai 1908 Antoine Mithieux   Minotier
mai 1908 août 1914 Pierre Curtet    
août 1914 novembre 1915 Auguste Berlioz    
novembre 1915 février 1919 Jules Perrier    
février 1919 mai 1925 Pierre Curtet    
mai 1925 mai 1929 Antoine Mithieux   Minotier
mai 1929 mai 1935 Pierre Curtet    
Les données manquantes sont à compléter.
octobre 1944 1953 François Perrier    
mars 1957 mars 1959 Jean Reboton    
mars 1959 mars 1971 Pierre Bisillat-Donnet    
mars 1971 mars 1983 André Mithieux UDF-PR  
mars 1983 juin 1995 François Cometto PS  
juin 1995 mars 2001 Louis Eynard-Machet RPR  
mars 2001 mars 2020 Lionel Mithieux UDF puis
MoDem puis
UDI
Technicien
Conseiller général du canton de Cognin (2008 → 2015)
Conseiller départemental du canton de Chambéry-3 (2015 → )
Vice-président du conseil départemental (2015 → )
Vice-président de Chambéry métropole
Conseiller municipal à Cognin (2020 → )
mars 2020 En cours
(au 30 juin 2020[18])
Corine Wolff DVD Architecte urbaniste, ancienne adjointe
Conseillère départementale du canton du Pont-de-Beauvoisin (2015 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Vimenaises et les Vimenais[10],[11].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 2 236 habitants[Note 3], en augmentation de 13,79 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
9551 1251 1361 4001 3581 3411 2061 2091 186
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 1591 1501 0901 0211 004907914850778
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
655670689726700649681640862
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
1 1711 3511 4961 6341 6751 8842 0592 236-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[23],[24].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du parc naturel régional de Chartreuse.

Festivités[modifier | modifier le code]

  • Bal du 15 août
  • Fête de la Pressée de pommes
  • Fête du pain
  • Feu de la Saint Jean

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Ségolène Malleret (1921-1987), résistante et femme politique française, y est enterrée.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
  5. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. a b et c Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 164, Présentation.
  11. a b et c « Vimines », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
  12. a b et c Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 504..
  13. Claude-Antoine Ducis, Mémoire sur les voies romaines de la Savoie (1861), éd. Louis Thésio, Annecy, p. 148 (lire en ligne)
  14. Bernard Kaminski, « La voie impériale romaine de Labiscone au col Saint-Michel », juin 2017, 14 pages (article accessible sur le [PDF] site grehcognin.fr ou sur le site docplayer.fr).
  15. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 23
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  16. site personnel de Bocquet
  17. Site de la mairie de Vimines
  18. « Qui sont les 38 maires des communes de Grand Chambéry ? », Le Dauphiné libéré, édition Savoie, (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  24. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).