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Saint-Front-la-Rivière

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Saint-Front-la-Rivière
Saint-Front-la-Rivière
L'église de Saint-Front-la-Rivière.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle)
Maire
Mandat
Maurice Francis Guinot
2020-2026
Code postal 24300
Code commune 24410
Démographie
Gentilé Saint-Frontais
Population
municipale
497 hab. (2021 en évolution de −5,87 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 28′ 23″ nord, 0° 43′ 38″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 233 m
Superficie 17,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nontron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Front-la-Rivière
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Saint-Front-la-Rivière
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Saint-Front-la-Rivière

Saint-Front-la-Rivière est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

Géographie

Généralités

Huit kilomètres au sud-est de Nontron et quatorze kilomètres au nord-nord-est de Brantôme, le bourg de Saint-Front-la-Rivière est implanté dans la vallée de la Dronne, en rive gauche. Il est traversé par la route départementale 83 qui longe la vallée.

La route départementale 3 dessert également la commune, de l'ouest au sud-est.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

Carte de Saint-Front-la-Rivière et des communes avoisinantes.

Saint-Front-la-Rivière est limitrophe de cinq autres communes.

Communes limitrophes de Saint-Front-la-Rivière
Sceau-Saint-Angel Saint-Pardoux-la-Rivière
Saint-Front-la-Rivière Milhac-de-Nontron
Quinsac Villars

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Front-la-Rivière est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j2-3, date du Bajocien supérieur au Bathonien inférieur, composée de calcaires oolithiques blancs à ciment cristallin et à stratifications planes, entrecroisées ou obliques, évoluant en alternance avec un calcaire bioclastique beige oolithique à pelletoïdes, calcaire blanc crayeux. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 734 - Nontron » et « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Saint-Front-la-Rivière.

Relief et paysages

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 125 mètres et 233 mètres[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,89 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,38 km2[3].

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dronne et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de plus de 7 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons[16],[17]. Elle traverse la commune du nord au sud sur six kilomètres.

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Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

  • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 932 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[26] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 58 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 11,4 °C pour 1981-2010[31], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[32].

Urbanisme

Typologie

Saint-Front-la-Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nontron, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[36],[37].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,9 %), zones agricoles hétérogènes (29 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[38].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Prévention des risques

Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2014 pour la Dronne — qui traverse la commune du nord au sud — à Saint-Front-la-Rivière, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant atteindre 450 mètres au niveau du bourg[39],[40].

Toponymie

Le lieu tire son nom de saint Front, légendaire évangélisateur du Périgord[41]. La seconde partie du nom évoque la plaine alluviale de la Dronne qui arrose la commune[41].

En occitan, la commune porte le nom de Sent Front la Ribiera[42].

Histoire

Évoquant son église, la première mention écrite connue du lieu apparaît en 1192 dans une bulle de Célestin III[43] sous la forme latine Ecclesia S. Frontonis de Riparia[41]. Au siècle suivant, le lieu est cité comme Sanctus Fronto de Ripperia[41]. Au XIIIe siècle, Saint-Front était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[44].

La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Front-sur-Dronne[41].

Politique et administration

Intercommunalité

Fin 1995, Saint-Front-la-Rivière intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[45],[46].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
? mai 1816 Jean Dubut, alias Jean Dubut de Saint Paul[Note 9]    
         
? (fin 1887 ou janvier 1888) Degorsse du Genest[Note 9]    
janvier 1888 février 1889 Sarrazin[Note 10]    
février 1889 mai 1900 Louis Moreau    
mai 1900 1902 Henri du Genest[Note 9]    
juin 1902 mai 1935 Durand de Ramefort    
mai 1935[Note 11] 1944 Jean Ortal   Docteur
1944 mai 1945 Jean Ribieras    
mai 1945 1955 Pierre Guichard    
juillet 1955[Note 12] mars 1977 Henri Lacour    
mars 1977 novembre 1981 Yvan Breteau    
novembre 1981 mars 2008 Pierre Dubuisson    
mars 2008[47]
(réélu en mai 2020)
En cours Maurice Francis Guinot SE[48] Maître ouvrier maçon

Juridictions

Dans le domaine judiciaire, Saint-Front-la-Rivière relève[49] :

Démographie

Après avoir connu son maximum au milieu du XIXe siècle avec plus de 1 000 habitants, la population communale a ensuite régulièrement baissé, atteignant son plus bas niveau lors des recensements du XXIe siècle, passant même en 2019 sous la barre des 500 habitants.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].

En 2021, la commune comptait 497 habitants[Note 13], en évolution de −5,87 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9209058989159979869809801 015
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
972964940930957975980945864
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
837837809749775716671650674
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
639570586541559543522534527
2014 2019 2021 - - - - - -
514497497------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 227 personnes, soit 43,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-deux) a fortement augmenté par rapport à 2010 (neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,5 %.

Établissements

Au , la commune compte trente-quatre établissements[54], dont dix-neuf au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans la construction, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux dans l'industrie[55].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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Patrimoine naturel

La Dronne en aval de Pombol.

Entre les hameaux de Pombol et Chazelles, une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I s'étend sur 115 hectares et 4 kilomètres de long. Elle est principalement composée de prairies humides et abrite une flore intéressante notamment liée aux parois calcaires qui la délimitent[56],[57].

Personnalités liées à la commune

Jean du Barry, chef protestant de la conjuration d'Amboise, était seigneur du Château de la Renaudie.

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
  4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
  6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. a b et c Décédé en fonctions.
  10. Démissionnaire.
  11. Jean Ortal est élu au 2e tour après que, au 1er tour, Durand de Ramefort a refusé le poste de maire.
  12. Henri Lacour est élu au 2e tour après que, au 1er tour, Jean Ribieras a refusé le poste de maire.
  13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Front-la-Rivière » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Saint-Front-la-Rivière » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Front-la-Rivière », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
  4. « Notice associée à la feuille no 734 - Nontron de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  5. « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  6. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Front-la-Rivière », sur le site de l'Insee (consulté le )
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  15. « Fiche communale de Saint-Front-la-Rivière », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
  16. « Confluence Dronne-Isle à la Fourchée » sur Géoportail (consulté le 18 septembre 2022)..
  17. Sandre, « la Dronne »
  18. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  20. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  21. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  22. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  23. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  24. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  25. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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  30. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  31. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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  37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  38. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  39. PPR inondation - 24DDT20120001 - Dronne, DREAL Aquitaine, consulté le 14 avril 2019.
  40. [PDF] Rivière la Dronne - Saint-Front-la-Rivière - Plan de prévention du risque inondation, p. 13, DREAL Aquitaine, consulté le 14 avril 2019.
  41. a b c d et e Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 320.
  42. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Front la Ribiera sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 22 septembre 2021.
  43. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 241.
  44. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
  45. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.
  46. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.
  47. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 28 août 2014.
  48. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 21.
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