Angola

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République d'Angola

(pt) República de Angola

(kg) Repubilika ya Ngola

Drapeau
Drapeau de l'Angola
Blason
Emblème de l'Angola
Devise en latin : Virtus Unita Fortior (« L'union fait la force »)
Hymne Angola Avante
Description de l'image Angola (orthographic projection).svg.
Description de l'image Angola carte.png.
Administration
Forme de l'État République présidentielle
Président de la République João Lourenço
Vice-président de la République Bornito de Sousa
Langue officielle Portugais
Capitale Luanda

8° 50′ 18″ S, 13° 14′ 04″ E

Géographie
Plus grande ville Luanda
Superficie totale 1 246 700 km2
(classé 23e)
Superficie en eau négligeable
Fuseau horaire UTC + 1
Histoire
Entité précédente
Indépendance du Portugal[1]
date [2]
Démographie
Gentilé Angolais
Population totale (2020[3]) 32 522 339 hab.
(classé 43e)
Densité 26 hab./km2
Économie
PIB nominal (2014) 175,54 milliards de dollar américain
Monnaie Kwanza (AOA)
Développement
IDH (2017) 0,581 (moyen ; 150)
Divers
Code ISO 3166-1 AGO, AO
Domaine Internet .ao
Indicatif téléphonique +244
Organisations internationales CGG
CEEAC
SADC
APO
OPEP
FPEG (observateur)
CPLP
CIRGL
ZPCAS
CICIBA

L’Angola, en forme longue la république d'Angola, en portugais República de Angola, en kikongo Repubilika ya Ngola, est un pays du Sud-Ouest de l'Afrique, limitrophe de la république démocratique du Congo au nord et au nord-est, de la république du Congo au nord-ouest (par l'enclave de Cabinda), de la Zambie à l'est-sud-est et de la Namibie au sud.

Le pays est un quadrilatère situé entre l’Afrique centrale francophone et l’Afrique australe anglophone. Il est le deuxième pays lusophone par son étendue et le troisième par sa population. Cette ancienne colonie portugaise est membre de la communauté des pays de langue portugaise. Les frontières actuelles résultent de la colonisation européenne.

Histoire

L'Angola a été, avec le Ghana et le Mozambique, une des trois principales régions de départ du commerce triangulaire qui emmenait des esclaves vers l'Amérique. Après des années de guérilla contre la métropole coloniale, l’Angola est devenu indépendant en 1975, comme État communiste appelé république populaire d'Angola. Le , jour de l'indépendance, Agostinho Neto devient le premier chef de l'État. À sa mort en 1979, José Eduardo dos Santos prend le pouvoir, même si la guerre civile limite de fait son contrôle sur le pays pendant 26 ans.

Une guerre civile, qui va durer vingt-cinq ans, s'est en effet déclenchée. Les forces de l'UNITA - appuyée par l’Afrique du Sud (qui a tenu la Namibie jusqu'en 1989) - et du FNLA, s'affrontent au MPLA d'Agostinho Neto. Cette guerre civile, marquée par l'implication d'États étrangers comme Cuba, et attisée par le contexte de la guerre froide et par les rivalités autour des ressources minières du pays, fait à peu près 1 million de morts et laisse des millions de mines anti-personnel qui tuent encore[4].

Le Mouvement populaire de libération de l'Angola, remportent toutes les élections depuis le cessez-le-feu de 1992 ; Dos Santos reste alors président de l'Angola sans discontinuer pendant 38 ans et quelques jours. Les identités sociales ethniques se maintiennent, mais depuis la paix un sentiment national s'est développé.

Des élections générales se tiennent le . Ces élections se déroulent dans le contexte de l'annonce par le président lui-même de sa renonciation au pouvoir. La victoire du MPLA lors de ces élections amène au pouvoir son successeur désigné, João Lourenço, en septembre de la même année[5],[6].

En septembre 2018, le président de la République João Lourenço, est élu chef du parti MPLA, à la suite de la décision de José Eduardo dos Santos de prendre sa retraite[7].

Politique

Depuis l'indépendance, c'est le Mouvement populaire de libération de l'Angola (MPLA) qui est au pouvoir. Les années de guerre civile, jusqu'au cessez-le-feu de 1992, n'ont pas été favorables à une ouverture du régime, appuyé par Cuba et par l'Union des républiques socialistes soviétiques. Suite à la fin de cette guerre civile, mais aussi à l’effondrement du Bloc de l'Est (fin des années 1980 et début des années 1990), et, en face, du régime d’apartheid en Afrique du Sud en 1991, qui soutenait les opposants au MPLA[8], une évolution vers un régime un peu plus démocratique s'est amorcée. Les premières élections générales démocratiques et pluripartites ont eu lieu en Angola les 29 et 30 septembre 1992. José Eduardo dos Santos et le MPLA, de même qu'Isaías Samakuva, successeur de Jonas Savimbi à la tête de l’UNITA, ont renoncé à la lutte armée et se montrent désormais favorables à un processus démocratique. Aux élections de 2017, les deux principaux partis dans l'opposition, l’Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (Unita) et la CASA-CE, ont obtenu respectivement 24,04 % et 8,56 % des voix exprimées. Le MPLA a récolté plus de 64 % des suffrages exprimés[6].

Pour autant, le maintien au pouvoir depuis 1975 de ce parti, la mainmise du dirigeant de l'équipe dirigeante de ce parti sur le pays, son contrôle de la magistrature et de la presse, les intimidations des opposants, tous ces éléments limitent le fonctionnement démocratique[9]. Les équipes dirigeantes ont également la mainmise sur les ressources naturelles du pays, notamment le pétrole, et sur les principales entreprises. Cette mainmise était le fait de José Eduardo dos Santos et de sa famille, notamment de sa fille Isabel dos Santos et de son frère José Filomena dos Santos. José Eduardo dos Santos « a franchi une ligne rouge au milieu des années 2000 lorsqu’il a substitué son clan “biologique”, sa famille directe, au clan politique au sein duquel s’étaient jusque-là répartis des postes-clés de l’Etat et de l’économie »[10].

Depuis l'avènement de João Lourenço, le pouvoir de ce clan familial est remis en cause. Un effort anti-corruption doit être mené, mais des caciques du parti MPLA tiennent encore l'essentiel des manettes[11],[10].

Géographie

La superficie de l'Angola est de 1 246 700 km2. Sa densité de population est de 20 hab./km2. Ses frontières terrestres mesurent 5 198 km. Celle avec la république démocratique du Congo mesure 2 511 km, celle avec la Namibie mesure 1 376 km, celle avec la Zambie 1 110 km et celle avec la république du Congo 201 km. Le littoral d'Angola a une longueur de 1 600 km. Le point le plus haut d'Angola correspond à une altitude de 2 620 m. La frontière avec la république du Congo comprend celle de l'enclave de Cabinda – séparée du reste du pays par le couloir de Moanda – à l'embouchure du fleuve Congo – où la république démocratique du Congo possède un accès maritime.

Relief

Deux régions s’opposent sur le plan orographique. Un relief varié s’élevant en gradins (revers de plateau) depuis l’étroite plaine côtière (200 km maximum de large) vers des plateaux et massifs intérieurs. Le point culminant est le Môco à 2 620 mètres[12]. L’ensemble le plus massif est le plateau angolais qui déborde à l’Est les frontières de l’État. L'altitude moyenne y est de 1 000 m. À l’Est, se trouve le bassin de très grands fleuves tributaires de l’océan Indien. Le plateau est situé directement sur le bouclier granitique qui contient très peu de structure sédimentaire.

Climat

Situé entre le tropique du Capricorne et l’équateur, l'Angola est le pays le plus étendu au sud du Sahara après la république démocratique du Congo. L'Angola connaît de fortes variations de températures. Plus on avance vers le nord, plus les précipitations sont importantes. Au nord, le climat est tropical humide avec la présence d'une saison sèche qui s'étend de juin à septembre où le temps est très voilé. Les Angolais parlent « d’hivernage ».

Plus on avance vers le tropique, plus le climat est désertique ; le désert de Namibie est l’un des plus anciens et les plus secs du monde. Ce n’est pas un désert de sable mais d’ergs. L’orographie, ici le plateau de climat tempéré, modifie ces données[13]. Le long de la côte passe le courant de Benguela. Depuis la côte Angola – Namibie, un brouillard se dessine au-dessus de la mer quand la plage elle-même est dégagée. La côte est ainsi très sèche. La présence du plateau suscite des précipitations au sud, dans la région de Huambo. Les plaines côtières sont relativement sèches et reçoivent annuellement environ 300 millimètres de précipitation. Le climat est particulièrement humide dans l’enclave équatoriale de Cabinda. Les plateaux reçoivent 1 000 à 1 800 millimètres par an[14].

Subdivisions

Carte des subdivisions numérotées de l'Angola.

L'Angola est divisé en dix-huit provinces.

Économie

La république d'Angola est un producteur de matières premières, notamment des hydrocarbures et des pierres précieuses.

Son PIB par habitant était de 3 514 dollars en 2016 selon le FMI[15].

L'Angola est à la huitième place au palmarès des producteurs OPEP pendant la décennie 2010, derrière l'Arabie saoudite et l'Irak, l'Iran et les Emirats, mais aussi le Koweït, le Nigéria et le Venezuela. Il est le deuxième producteur africain après le Nigeria. Le pétrole fournit à l'État angolais 70 % de ses revenus[16].

Le marché noir est important et, en 2018, pourrait représenter 90 % de l’activité économique du pays[16].

Comme le reste de l’Afrique australe, le pays est exposé depuis plusieurs années à des épisodes de sécheresse qui affectent la production agricole et menacent la sécurité alimentaire des populations. Les petits éleveurs sont en outre chassés de leurs terres par les grands propriétaires et se retrouvent dans une situation de grande pauvreté, exposés à la faim et aux maladies (en étant souvent contraints de se nourrir de plantes sauvages)[17].

Démographie

Centre de formation dans la province de Moxico[18].

Le dernier recensement du pays a eu lieu en (Il n'y en avait pas eu depuis 1970). Les résultats définitifs ont été publiés en . Selon ces données, la population de l'Angola est de 25 789 024 habitants, dont 12 499 041 hommes et 13 289 983 femmes, soit 100 femmes pour 94 hommes. Avec 6 945 386 habitants, on compte 26,9 % de la population du pays résidant dans la province de Luanda[19].

En 2014, toujours selon les résultats du recensement de , la pyramide des âges comprend 47,2 % de 0-14 ans ; 50,3 % de 15-64 ans et 2,3 % de plus de 65 ans. 65 % de la population a moins de 24 ans[19].

Les groupes ethniques les plus importants sont les Ovimbundu (37 % de la population), les Ambundu (25 %) et les Bakongo (13 %). On compte également 2 % de métis et 1 % de Blancs.

Éducation

Une minorité importante de la population adulte se constitue d'analphabètes[20].

Le recensement de annonce que 66 % des plus de 15 ans sait lire et écrire et que 48 % de la population de plus de 18 ans n'a aucun diplôme[19].

15 % des dépenses du gouvernement du pays de la période 1998-2007 étaient destinées à l'éducation[20]. Le pays est confronté au défi de l'enseignement supérieur[21].

Langues

La Constitution du a été révisée le , le , le (loi de , pluralisme), le en juillet 1995 ainsi que le . Jusqu'à la dernière version, les constitutions ne contenaient pas de disposition à caractère linguistique. Le portugais était la langue officielle de facto, puisqu’il n’était proclamé dans aucun texte juridique. Dans les lois ordinaires, quelques-unes contiennent une ou quelques rares dispositions d'ordre linguistique, que ce soit au sujet du portugais ou des langues nationales[22].

Dès la proclamation de l’indépendance, les dirigeants politiques angolais ont privilégié la langue qui leur paraissait la seule immédiatement disponible et opérationnelle : la langue du colonisateur, le portugais. Ce n'est qu'en 2010 que la Constitution du a inclus des dispositions d'ordre linguistique. En effet, l'article 19 de la Constitution proclame pour la première fois que le portugais est la langue officielle de la république d'Angola.

Selon les données du recensement de , la langue portugaise est utilisée par 71 % des Angolais comme langue principale du foyer[19]. Le portugais d'Angola est proche du portugais du Portugal, mais présente des caractéristiques propres aussi bien dans le vocabulaire et la syntaxe que dans la prononciation.

Six langues bantoues ont le statut de langue nationale[23] : umbundu (23 %), kikongo (8 %), kimbundu (8 %), tchokwé (7 %), nganguela (3 %) et kwanyama (2 %)[19],[23],[1]. Au total, 38 langues bantoues sont parlées comme langue maternelle ou seconde langue par les Angolais[24],[23]. Le lingala est aussi présent depuis les années 1970 avec les quelque 400 000 Angolais de l'ethnie kongo qui ont fui du Nord-Ouest de l'Angola à la suite de la répression coloniale, réponse à l'insurrection anti-coloniale de l'UPA, en 1961, et qui se sont installés en république démocratique du Congo (ancien Zaïre). Surtout dans la région de Kinshasa, ces Angolais ont très souvent abandonné leur langue d'origine, le kikongo, pour passer au lingala, et en retournant en Angola ils ont « importé » cette langue. Il y a déjà une génération d'enfants, et de jeunes de plus de 25 ans, qui sont nés lingalophones en Angola sans avoir jamais été au Zaïre ou au Congo[25].

Religions

La religion principale en Angola est le christianisme[26]. On dénombre près de 1 000 églises ou organisations / institutions religieuses officiellement reconnues[27]. Un peu plus de la moitié de la population est constituée par les membres de l'Église catholique introduite par les Portugais dès le XVe siècle. Environ un quart appartient aux Églises protestantes fondées pendant la période coloniale, aux XIXe et XXe siècles, surtout à l'Église évangélique congrégationnelle, concentrée dans le Plateau Central et les villes côtières avoisinantes, à l'Église méthodiste dont le fief est une région allant de Luanda jusqu'à Malange, ainsi que l'Église baptiste au Nord-Ouest, mais aussi les Églises luthériennes et reformées[28],[29]. À ces Églises chrétiennes « traditionnelles » s'ajoutent les adventistes, les néo-apostoliques mais à partir de l'indépendance, souvent sous influence brésilienne, surtout d'innombrables communautés pentecôtistes ou semblables (y compris les Témoins de Jéhovah), qui surgissent en général dans les grandes villes où elles suscitent des adhésions massives. Il y a encore deux Églises chrétiennes-syncrétiques, l'Église kimbanguiste dont le centre se trouve en république démocratique du Congo, et l'Église tocoïste que s'est formée en Angola, toutes les deux des créations datant du temps colonial. Une proportion faible de la population, certainement inférieure à 5 %, se dit croyante d'une religion « animiste », mais il y a parmi les chrétiens, plus spécialement en milieu rural, un certain nombre qui maintient des croyances et pratiques « traditionnelles ». La proportion des musulmans, tous sunnites, est inférieure à 1 %. Il s'agit principalement d'immigrés de l'Afrique de l'Ouest.

Culture

Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques
1er janvier Nouvel An Ano Novo
Jours des martyrs de la répression coloniale Dia dos mártires da repressão colonial
Jour de Luanda Dia de Luanda Seulement à Luanda
Début de la lutte armée Início da luta armada
Jour de la Femme africaine Dia da Mulher africana
Fête de la Victoire Festa da Vitória
Jour de la paix et de la réconciliation nationale Dia da Paz e da Reconciliação Nacional
Vendredi saint Sexta-feira Santa
1er mai Fête du Travail Dia do Trabalho
Fête de l'Afrique Dia de África Le jour de la fondation en 1963 de l'Organisation de l'unité africaine
1er juin Fête des Enfants Dia das Crianças
Anniversaire du Président Neto Aniversário do nascimento do Presidente Neto Agostinho Neto est le fondateur de la république d'Angola
2 novembre Jour des Morts Festa de Finados
11 novembre Fête de l'Indépendance Dia da Independência Fête nationale
25 décembre Noël Natal

Lorsqu'un jour férié tombe un dimanche, le lundi suivant est chômé.

La culture d'Angola est mélangée avec la culture portugaise et la culture bantoue, qui est d'origine angolaise[réf. nécessaire].

Sport

L'équipe d'Angola de football se qualifie pour la première fois de son histoire pour les phases finales de la coupe du monde de 2006 en Allemagne.

Le lundi , l'Angola est désigné pour organiser la Coupe d'Afrique des nations de football en 2010.

Du 20 au , l'Angola a organisé la 41e édition du championnat du monde de rink hockey à Luanda et Namibe.

Du au , l'Angola organise la CAN 2016 de handball féminin à Luanda où l'équipe d'Angola, onze fois vainqueur de l'épreuve et organisateur, est l'un des pays favoris à la victoire finale.

Codes

L'Angola a pour codes :

Notes et références

  1. a et b (en) « Info-Angola », sur www.info-angola.ao (consulté le )
  2. (pt) « Constituição da República de Angola », sur governo.gov.ao, (consulté le ).
  3. (en) « The World Factbook — Central Intelligence Agency », sur www.cia.gov (consulté le ).
  4. Koné, De la guerre d'indépendance à la guerre civile et internationale en Angola : 1961-1991, Paris, Connaissances et savoirs, 252 p. (ISBN 978-2-7539-0228-2 et 2753902283, OCLC 862806117, BNF 43769809, lire en ligne).
  5. « José Eduardo dos Santos confirme sa retraite après trente-sept ans de pouvoir en Angola », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  6. a et b « Angola : le parti au pouvoir remporte les élections générales », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  7. Joan Tilouine, « En Angola, Joao Lourenço désormais seul maître à bord », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  8. « Nelson Mandela et Cuba: une amitié basée sur la lutte anti-apartheid », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. « Angola: l'opposition presse le président de garantir la régularité des élections », Le Point,‎ (lire en ligne)
  10. a et b Joan Tilouine, « Luanda Leaks  : la croisade sélective du président angolais Lourenço contre la corruption », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  11. Joan Tilouine, « En Angola, la chute de la « princesse » Isabel met à mal le clan dos Santos », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  12. (en) Merriam-Webster, Geographical Dictionary, Third Edition, Springfield, Massachusetts, Merriam-Webster, 1997 (ISBN 9780877795469).
  13. Gérard Sournia (sous la direction de), Atlas de l'Afrique, 2000, Éditions du Jaguar, Paris.
  14. « Le climat de l'Angola: Quand y aller? », sur Guide Voyages, (consulté le )
  15. Présentation de l’Angola, sur France diplomatie, consulté le 26 juin 2017
  16. a et b En Angola, le gouvernement déclare la guerre au marché noir, lemonde.fr, 21 novembre 2018
  17. « En Angola, des milliers de petits éleveurs menacés par la sécheresse », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  18. Bénéficiant du fonds de la campagne « Ta journée pour l'Afrique » de l'organisation humanitaire allemande Aktion Tagwerk.
  19. a b c d et e (pt) « Instituto Nacional de Estatística », sur www.ine.gov.ao (consulté le ).
  20. a et b (en) « Angola », sur www.unicef.org (consulté le )
  21. Geo, no 403, septembre 2012, p. 116.
  22. « Angola », sur www.axl.cefan.ulaval.ca (consulté le ).
  23. a b et c http://poing.me/layar/Colombia/brochuranoCrop.pdf
  24. (en) « Languages of Angola », sur ethnologue.com.
  25. Angolan People + United States Committee for Refugees and Immigrants, World Refugee Survey 2008 - Angola « Copie archivée » (version du sur Internet Archive), .
  26. (en) Angola
  27. Fátima Viegas : Panorama das Religiões em Angola Independente (1975 - 2008). Ministério da Cultura / Instituto Nacional para os Assuntos Religiosos, Luanda, 2008
  28. Lawrence W. Henderson, The Church in Angola: A river of many currents, Cleveland / Ohio, Pilgrim Press,
  29. (de) Benedict Schubert, Der Krieg und die Kirchen: Angola 1961 - 1991, Luzerne, Exodus, .

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Nuno Vidal & Justino Pinto de Andrade (éd.)(2008): Sociedade civil e política em Angola: Enquadramento regional e internacional, Luanda

Filmographie

Articles connexes

Liens externes