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7 février 2013[modifier le code]

Site historique de La Grave, Havre-Aubert
Site historique de La Grave, Havre-Aubert

Havre-Aubert est une localité des îles de la Madeleine, située sur l'Île du Havre Aubert. On y retrouve deux principaux secteurs, le Portage-du-Cap, vers Bassin, à l'ouest, et le Havre-Aubert, à l'est. Ce dernier comprend la pointe de La Grave et la plage du Sandy Hook.

La Grave est une mince bande de terre s'avançant dans la mer, refermant le havre naturel où sont le port et la marina avec la dune du Sandy Hook. On y trouve, parmi des nombreux sites historiques et commerciaux, l'aquarium des îles et le musée de la Mer.

Le Bout du banc est le crochet de l'hameçon situé à l'extrémité de la dune du Havre-Aubert. Cette dune compte parmi les plus belles plages de l'archipel. Surmontée en bonne partie de buttereaux, elle se termine par une pointe de sable, le Bout du Banc (que l'on appelle Sandy Hook en anglais). Cette pointe est un refuge pour les oiseaux; elle se prolonge sous l'eau vers l'île d'Entrée. On voit les vagues venir de deux directions opposées se fondre au bout de la pointe de sable.

3 novembre 2012[modifier le code]

Saint-Elzéar est une municipalité du Québec située dans la MRC de Bonaventure en Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.

Saint-Elzéar est à 35 km à l'est de New Richmond, au nord de Bonaventure, et de New Carlisle. Y coule la rivière Hall.

La paroisse de Saint-Elzéar, fondée en 1924, est érigée canoniquement en 1935. Son territoire est issu de ceux de Bonaventure, New Carlisle et Paspébiac-Ouest. La municipalité est incorporée en 1965.

Son nom honore la mémoire de celui qui, le premier, a incité des colons à s'établir à cet endroit, monseigneur Elzéar Matte.

L'économie de Saint-Elzéar tourne principalement autour du secteur forestier et de l'agriculture.

Saint-Elzéar a sur son territoire une grotte âgée de plus de 230 000 ans; ce qui la qualifie ainsi de plus vieille grotte du Québec découverte à ce jour. Découverte en 1974, elle est ouverte au public depuis 1990.

Depuis quelque temps, la tendance de la population est à la baisse. Le recensement de 2011 y dénombre 467 habitants.

23 septembre 2012[modifier le code]

Grande-Rivière vue de l'est, vers 1910
Grande-Rivière vue de l'est, vers 1910

Grande-Rivière est une ville située dans la MRC du Rocher-Percé, à 32 km au sud-ouest de Percé et à 16 km au nord-est de Chandler, près de la baie des Chaleurs. Elle est traversée par la route 132.

La municipalité de Grande-Rivière a été créée en 1845, abolie en 1847 et rétablie en 1855. La municipalité de village de Grande-Rivière s'en est détachée en 1931. Les deux ont fusionné en 1967. Grande-Rivière-Ouest, érigée en 1932, et Petit-Pabos, érigée en 1955, ont fusionné avec Grande-Rivière en 1974.

Cette ville est nommée ainsi à cause de son long cours d'eau qui à l'époque parcourait la seigneurie sur 40 kilomètres.

Le recensement de 2011 y dénombre 3 456 habitants.

Construite en 1893, l'église de L'Assomption-De-Notre-Dame de Grande-Rivière est la plus grande église de la MRC du Rocher-Percé. Ayant son aspect cathédrale, elle peut contenir une capacité maximale de 1500 personnes; 1000 places au niveau inférieur et 500 dans les jubés. L'édifice religieux possède un orgue Casavant de 1954.

La principale industrie de la ville c'est son havre de pêche et aussi l'usine « Poissons salés gaspésiens » qui se trouvent dans la zone industrielle. Grande-Rivière est l'un des plus importants importateur de morues au Canada, elle fait également l'asséchement des harengs sur des vigneaux qui sont parmi les plus anciens toujours en opération au Québec.

12 août 2012[modifier le code]

Rive nord du centre-ville de Gaspé
Rive nord du centre-ville de Gaspé

Gaspé est le chef-lieu de la MRC de La Côte-de-Gaspé. Le recensement de 2011 y dénombre 15 163 habitants.

« Gaspé » serait la transposition française du micmac gespeg, qui veut dire « bout » ou « extrémité », une allusion à la fin des terres.

Depuis le , avec les fusions municipales, Gaspé comprend plusieurs villages, notamment Rivière-au-Renard, Douglastown, L'Anse-au-Griffon, Cap-des-Rosiers, Cap-aux-Os, Saint-Majorique, Petit-Cap et Haldimand.

Le parc national de Forillon, créé en 1970, est entièrement compris dans les limites de la ville. Sur 244 km2, on peut y admirer la mer, les falaises, les montagnes, la flore et la faune de la péninsule. Le site de Grande-Grave offre un aperçu du mode de vie des familles de pêcheurs d'antan.

Trois rivières à saumon arrosent la ville et sont prisées des pêcheurs sportifs durant l'été.

C'est le , lors de son premier voyage en Amérique, que le navigateur Jacques Cartier se réfugie dans la baie de Gaspé et y érige une croix pour indiquer la prise de possession du territoire au nom du roi de France, François Ier. C'est pour cette raison qu'on attribue à Gaspé le titre de « Berceau de l'Amérique française ».

21 mai 2012[modifier le code]

Falaise du parc national de Miguasha, dans laquelle affleurent les couches dévoniennes riches en fossiles de poisson
Falaise du parc national de Miguasha, dans laquelle affleurent les couches dévoniennes riches en fossiles de poisson

Nouvelle est le chef-lieu de la MRC d'Avignon. Elle est à l'embouchure de la rivière Nouvelle, sur la rive nord de la baie des Chaleurs. Le recensement de 2011 y dénombre 1 689 habitants.

Les premiers habitants de Nouvelle furent les Acadiens prenant fuite suite à la déportation des Acadiens de 1755. Plus tard arrivèrent des loyalistes Américains du Jersey cherchant à demeurer fidèles à la reine lors de révolution américaine. Le toponyme « Nouvelle » fit son apparition aussi tôt qu'à la fin du XVIIIe siècle, désignant les nouvelles terres et les nouvelles gens s'établissant à l'ouest de Carleton-sur-Mer et on le retrouvait sur des documents envoyés par l'homme d'affaires du Jersey Charles Robin, et l'Abbé Joseph, le premier curé Acadien.

18 mars 2012[modifier le code]

L'Ascension-de-Patapédia est une municipalité située dans la MRC d'Avignon. Le recensement de 2006 y dénombre 214 habitants. Elle est surtout reconnu pour son belvédère de la rivière Ristigouche, le Soleil d'or.

Accessible par la route 132, L'Ascension est un plateau se retrouvant entre Amqui et Matapédia.

À sa fondation, en 1937, L'Ascension-de-Patapédia se nommait L'Ascension-de-notre-Seigneur. En 1968, l'appartenance à l'une des rivières des environs, la Patapédia, fut appliquée. « Patapédia » est un mot du langage amérindien signifiant courant capricieux.

L'Ascension-de-Patapédia est un endroit peu peuplé, mais bien connu des habitants de sa région, pour se terminer sur la frontière Nouveau-Brunswick-Québec, la rivière Restigouche. Cette dernière est très prisée pour une activité typique et fort appréciée dans la Vallée de la Matapédia, la pêche au saumon.

19 février 2012[modifier le code]

Le phare rouge de la Martre
Le phare rouge de la Martre

La Martre est une municipalité située dans la MRC de La Haute-Gaspésie. Le recensement de 2006 y dénombre 253 habitants.

Il y a eu d'abord une rivière à proximité que l'on a appelé la « Rivière à la Martre » en raison de la présence de martre, ce petit mammifère carnivore, au corps allongé. Le bureau de poste local, entre 1877 et 1931, était celui de « Rivière-à-la-Martre ».

La municipalité, lors de sa création en 1923, a pris le nom du canton, « Christie ». En 1971, elle devint « La Martre ».

Le phare actuel, avec sa structure octogonale en bois aux côtés inclinés, a été construit en 1906.

11 janvier 2012[modifier le code]

Vue d'une partie du village de Cap-des-Rosiers en 2006
Vue d'une partie du village de Cap-des-Rosiers en 2006

Le village de Cap-des-Rosiers est situé sur le littoral de la pointe Forillon, non loin au nord de Gaspé, située entre les localités de L'Anse-au-Griffon et de Cap-aux-Os. C'est aujourd'hui une porte d'entrée du parc national Forillon, en Gaspésie. Il fait aujourd'hui partie de la ville de Gaspé, mais constituait avant 1971 une municipalité appelée Saint-Alban-du-Cap-des-Rosiers.

Le tourisme et la pêche sont importants pour l'économie. Les gens de Cap-des-Rosiers organisent des excursions de pêche en mer et des croisières.

7 décembre 2011[modifier le code]

Église de Bonaventure
Église de Bonaventure

Bonaventure est une ville située dans la MRC de Bonaventure. La majorité des habitants sont d'ascendance acadienne, qui y ont trouvé refuge après la déportation des Acadiens en 1755. Ils y sont arrivés en 1760 ; Bonaventure a fêté ses 250 ans en 2010. Le recensement de 2006 y dénombre 2 673 habitants.

La ville est desservie par la gare de Bonaventure, à partir duquel le train Le Chaleur permet d'atteindre Gaspé et Montréal trois fois par semaines dans chaque direction. L'aéroport de Bonaventure dessert le tiers de la population gaspésienne. Il sert de base satellite aux avions-citernes de la SOPFEU et est desservi par des vols réguliers de Pascan Aviation.

22 octobre 2011[modifier le code]

Grand-Pabos vers 1900
Grand-Pabos vers 1900

Chandler est une ville située dans la MRC du Rocher-Percé. Le recensement de 2006 y dénombre 7 914 habitants.

La ville de Chandler prend forme au milieu des années 1910 quand une grande scierie et une pulperie sont construites à l'embouchure de la rivière du Grand Pabos. On lui donne le nom du premier président de la compagnie, Percy Milton Chandler. La majeure partie de la population est composée d'ouvriers de la scierie et de la pulperie (usine de pâtes et papiers).

La ville connaît une lente expansion jusqu'en 1931 où l'usine fait faillite conséquemment à la crise économique de 1929 (voir la Grande Dépression), l'entreprise est rachetée en 1937 par la firme Anglo-Newfoundland qui la baptise L'usine Gaspésia ltée.

24 septembre 2011[modifier le code]

Église Saint-Pierre, à Lavernière (Étang-du-Nord), sur l'île du Cap-aux-Meules
Église Saint-Pierre, à Lavernière (Étang-du-Nord), sur l'île du Cap-aux-Meules

L'Étang-du-Nord est le premier village établi sur l'Île du Cap aux Meules, aux îles de la Madeleine, où l'on retrouve aussi les villages de Cap-aux-Meules et de Fatima.

Le secteur de l'Étang-du-Nord près de Cap-aux-Meules, est historiquement le canton de La Vernière, qui comprend l'école et l'église Saint-Pierre et la polyvalente des îles et le centre collégial des îles. Non loin de l'église s'élève le point culminant de l'archipel après le Big Hill à l'Île d'Entrée, la Butte du Vent, revêtue de pâturages et d'une petite vallée où sont installées des yourtes.

17 juillet 2011[modifier le code]

Manche-d'Épée
Manche-d'Épée

Sainte-Madeleine-de-la-Rivière-Madeleine est une municipalité située dans la MRC de La Haute-Gaspésie. Le recensement de 2006 y dénombre 373 habitants.

Située à 90 km à l'est de Sainte-Anne-des-Monts, elle est composée du village de Madeleine-Centre et des hameaux de Manche-d'Épée et de Rivière-la-Madeleine. Le nom de la municipalité provient de la seigneurie de la Rivière-de-la-Madeleine, qui a été concédée en 1679.

Le territoire est surtout habité sur la côte du Saint-Laurent. L'intérieur est parcouru par les vallées des rivières Madeleine et de Manche-d'Épée, la première étant une rivière à saumon qui est gérée par la zec de la Rivière-Madeleine.

19 juin 2011[modifier le code]

Port de New Carlisle, Gaspésie, vers 1890
Port de New Carlisle, Gaspésie, vers 1890

New Carlisle est le chef-lieu de la MRC de Bonaventure.

Son nom rappelle la vieille cité de Carlisle, dans le comté de Cumberland en Angleterre.

Le recensement de 2006 y dénombre 1 370 habitants, à majorité anglophones.

New Carlisle est le village natal de l'ancien premier ministre du Québec René Lévesque.

9 mai 2011[modifier le code]

Port-Daniel, vers 1900
Port-Daniel, vers 1900

Port-Daniel–Gascons est une municipalité située dans la MRC du Rocher-Percé. Le recensement de 2006 y dénombre 2 586 habitants.

Elle est née de la fusion de Port-Daniel et d'Anse-aux-Gascons le 17 janvier 2001.

« Port-Daniel » vient du marchand français Charles Daniel, frère du jésuite Antoine Daniel. Les habitants de Port-Daniel sont appelés les port-daniélois.

« Gascons » provient de la paroisse Sainte-Germaine-de-l'Anse-aux-Gascons, nommée en l'honneur de la sainte Gasconne Germaine Cousin. Les habitants de Gascons sont appelée les gasconnais.

Port-Daniel–Gascons est située entre Shigawake et Chandler. À Port-Daniel se trouve un tunnel ferroviaire.

9 avril 2011[modifier le code]

Église Kateri-Tekakwitha de Gesgapegiag
Église Kateri-Tekakwitha de Gesgapegiag

Gesgapegiag une réserve indienne canadienne située sur la rive sud de la péninsule gaspésienne. Elle est l'une des trois communautés micmaque gaspésiennes. Avant d'être officiellement constituée en réserve, l'endroit faisait partie du territoire de Maria. L'endroit vit l'ouverture de la première école micmaque du Québec en 1864.

Gesgapegiag est la forme originelle micmaque de Cascapédia. Ce nom signifiant « rivière large » est porté par la rivière Cascapédia.

La population de la réserve est d'environ 500 habitants. La réserve a connu une croissance démographique au cours des dernières années. De plus, la nation de Gesgapegiag comprend environ 600 membres vivant en dehors de la réserve.

5 mars 2011[modifier le code]

Gare de New Richmond vers 1910
Gare de New Richmond vers 1910

New Richmond est une ville située dans la MRC de Bonaventure. Le recensement de 2006 y dénombre 3 748 habitants.

New Richmond identifie d'abord un canton proclamé en 1842, puis une municipalité de canton érigée en 1845 et rétablie en 1855, laquelle allait obtenir son statut actuel de ville en 1969.

New Richmond fut fondée par des loyalistes fuyant les États-Unis après la guerre d'indépendance. De nos jours, la population compte une majorité de francophones.

L'une des attractions de la ville est le village loyaliste, composé d'habitations de l'époque des loyalistes.

En 2010, la maire Nicole Appleby s'entend avec le festival d'été international de Québec pour présenter un festival d'envergure pour la région. La première édition du Festival a accueilli des artistes tels: Simple Plan, Ginette Reno et Kenny Rogers.

6 février 2011[modifier le code]

Mont-Louis à l'automne 2003
Mont-Louis à l'automne 2003

Saint-Maxime-du-Mont-Louis est une municipalité située dans la MRC de La Haute-Gaspésie. Elle comprend 3 localités : Mont-Louis, L'Anse-Pleureuse et Gros-Morne.

Son nom tirerait son origine de l'abbé Maxime Tardif (1821-1850), secrétaire de monseigneur Pierre-Flavien Turgeon lors de la fondation de la paroisse, ainsi que du nom de la seigneurie de Mont-Louis.

Le recensement de 2006 y dénombre 1 194 habitants.

Son économie repose sur la forêt, la pêche et les services. Mont-Louis a 2 usines de transformation du poisson. Ses deux anses peuvent accueillir tous les types de bateaux.

La municipalité est l'hôte de 2 parcs éoliens et s'active pour devenir un village-relais.

S'y trouve une rivière à saumon et des lacs à truite.

4 janvier 2011[modifier le code]

Panorama de l'île du Havre-aux-Maisons pris depuis le sommet de la Butte Ronde
Panorama de l'île du Havre-aux-Maisons pris depuis le sommet de la Butte Ronde

Les Îles-de-la-Madeleine est une municipalité du Québec située dans la région administrative de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine. Elle comprend la plus grande partie de l'archipel appelé les îles de la Madeleine. Ses habitants sont les Madelinots et les Madeliniennes. Elle a une population de 12 654 habitants.

L'archipel est devenu une municipalité à la suite des réorganisation des municipalités du Québec.

Elle comprend les anciennes municipalités de Cap-aux-Meules (1 685 hab.), Fatima (2 809), Grande-Entrée (624), Île du Havre aux Maisons (2 078), L'Étang-du-Nord (3 126) et Île du Havre Aubert (2 238).

Au nord, Grosse-Île (531 hab.) est la seule partie de l'archipel qui ne fasse pas partie de la municipalité des Îles-de-la-Madeleine.

5 décembre 2010[modifier le code]

Vue de Pointe-à-la-Croix
Vue de Pointe-à-la-Croix

Pointe-à-la-Croix ou Cross Point (en anglais) est une municipalité du Québec située sur la rive sud de la Gaspésie. Elle fait partie de la MRC d'Avignon. Le recensement de 2006 y dénombre 1 587 habitants.

Le secteur de Pointe-à-la-Croix a connu historiquement une importante activité migratoire avec le passage des Micmacs, des Récollets en 1620 et des Acadiens en 1758. Après la conquête britannique de 1760, l'endroit a tour à tour porté le nom de «Repulse Point» et de «Pleasant Point». On utilisait davantage le toponyme anglais Cross Point, porté d'ailleurs par le bureau de poste entre 1846 et 1952.

En 1845, le territoire est érigé sous le nom de «municipalité du canton de Mann» en hommage à Edward Isaac Mann qui possédait de grandes concessions de terre à cet endroit en 1788.

3 novembre 2010[modifier le code]

Vue nord de la ville (mont Miller)
Vue nord de la ville (mont Miller)

Murdochville est une ville minière située dans la MRC de La Côte-de-Gaspé. La ville est à 580 mètres d'altitude, à 40 km de la côte, au nord. Murdochville se trouve en pleine forêt mixte et est entourée de montagnes. Le recensement de 2006 y dénombre 812 habitants, 30,7% de moins qu'en 2001.

La ville de Murdochville fût fondée en 1953, il s'agit d'une des plus jeunes localités de la Gaspésie. Son histoire débute en 1921 lorsque les frères Miller découvrent, en suivant les cours d'eau, un important gisement de cuivre sur le territoire actuel de Murdochville. Plus tard, au début des années 50, la Noranda Mines s'y intéresse et en 1955, la mine sort sa première coulée de cuivre. James Y. Murdoch, un des fondateurs de la ville, propriétaire de la mine et premier président de la Noranda Mines, donne son nom à la municipalité

4 octobre 2010[modifier le code]

Marina de Sainte-Anne-des-Monts
Marina de Sainte-Anne-des-Monts

Sainte-Anne-des-Monts est une ville du Québec, située dans la MRC de La Haute-Gaspésie dans la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine. La municipalité est née de la fusion de l'ancienne municipalité de Sainte-Anne-des-Monts avec celle de Tourelle le 2 février 2000. Le recensement de 2006 y dénombre 6 772 habitants.

Le nom de la rivière Sainte-Anne figure déjà sur les cartes depuis 1709. L'appellation vient de la seigneurie de Sainte-Anne-des-Monts concédée à Denis Riverin en 1688. Les premiers Annemontois s'y installent en 1815 principalement pour la pêche. La ville est un haut lieu de pèlerinage au début du XXe siècle. Elle est en partie détruite par un incendie en 1915.

4 septembre 2010[modifier le code]

Vue aérienne de Percé
Vue aérienne de Percé

Percé est une ville du Québec située à la pointe de la péninsule gaspésienne en face du célèbre rocher Percé et de l’île Bonaventure au Canada. Percé s'étend sur environ trois kilomètres entre le Pic de l'Aurore et la Côte Surprise et est reconnu mondialement pour la beauté de son paysage et de son patrimoine bâti.

Percé fait partie de la MRC Le Rocher-Percé, dans la région administrative Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.

Elle doit son nom au rocher Percé. Samuel de Champlain mentionne cette merveille dès 1603 sous l'appellation « Isle Percée ». Percé est membre de l'Association des plus beaux villages du Québec.

Percé donne accès au Parc national de l'Île-Bonaventure-et-du-Rocher-Percé, refuge d'une colonie de fous de Bassan accueillant plus de 110 000 de ces oiseaux du mois d'avril au mois d'octobre, faisant de cette colonie la plus importante au monde, en plus d'être facile d'accès.

8 août 2010[modifier le code]

Vue sur le village de Carleton-sur-Mer
Vue sur le village de Carleton-sur-Mer

Carleton-sur-Mer est une ville québécoise de la rive sud de la Gaspésie qui est depuis longtemps une destination touristique importante de par ses belles plages donnant sur la baie des Chaleurs, ses eaux baignables et le mont Saint-Joseph avec son oratoire, destination historique de pèlerinages. La partie riveraine du centre de Carleton est caractérisée par deux bancs de sable se rejoignant pour créer un barachois où l'on retrouve, en plus des nombreux hérons, une des plus importantes aires nidifiantes de sternes en Amérique du Nord, protégées par un sanctuaire.

En août, le Festival International Maximum Blues attire des foules nombreuses.

30 mai 2010[modifier le code]

Entrée de Listuguj
Entrée de Listuguj

Listuguj est une des trois communautés Mi'gmag gaspésiennes et la plus historique des deux réserves indiennes fédérales de la rive sud de la Gaspésie dans le sud-est du Québec au (Canada). Jusqu'en 1994, la toponymie officielle était Restigouche, après quoi on lui a préféré l'orthographe Mi'gmag.

Le territoire traditionnel des membres de Listiguj est appelé district de Gespegewagi. La nation Mi'gmag de Listuguj comptait en 2003, 3152 membres, dont plusieurs ne résident pas sur la réserve mais éparpillés dans l'Est des États-Unis et un peu partout au Canada. De ce nombre, seulement 1879 vivaient en 2003 sur la réserve même, qui leur avait été assignée exclusivement par le gouvernement du Bas-Canada en 1853.

1er mai 2010[modifier le code]

Grande-Vallée est une municipalité du Québec située dans la municipalité régionale de comté de La Côte-de-Gaspé et dans la région administrative de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine. Le recensement de 2006 y dénombre 1 230 habitants.

C'est en 1691 que Louis de Buade, comte de Frontenac, gouverneur de la Nouvelle-France, céda à un riche marchand de la haute-ville de Québec nommé François Hazeur, la seigneurie de Grande-Vallée-des-monts-Notre-Dame. Celle-ci s'étendait alors jusqu’à la seigneurie de la Rivière-Magdeleine à l'ouest, et à l'est jusqu’à celle de l'anse de l'étang (portage Saint-Hélier). À sa mort, François Hazeur donna comme héritage la seigneurie de Grande-Vallée-des-monts à Michel Sarazin, chirurgien du roi, marié à sa fille.

30 mars 2010[modifier le code]

Sainte-Anne-des-Monts est une ville du Québec, située dans la municipalité régionale de comté de La Haute-Gaspésie et de la région administrative de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine. Elle est située en rive droite de l'estuaire du fleuve Saint-Laurent.

Cette ville est située entre mer et montagnes. Un peu d'histoire sur cette ville. Premièrement, le nom de la rivière Sainte-Anne figure déjà sur les cartes depuis de 1709. L'appellation vient de la seigneurie de Sainte-Anne-des-Monts concédée à Denis Riverin en 1688. Les premiers Annemontois s'y installent en 1815 principalement pour la pêche. La ville est un haut lieu de pèlerinage au début du XXe siècle. Elle est en partie détruite par un incendie en 1915.

Aujourd'hui, le tourisme est l'une des industries locales. D'un côté, il y a la mer, et Exploramer, un complexe d'activités sur le milieu marin du Saint-Laurent, où l'ont retrouve un aquarium présentant 21 bassins de poissons et d'organismes marins, des expositions thématique sur la mer, des excursions en mer et plusieurs événements culturels. De l'autre côté, les montagnes, où est niché le Parc national de la Gaspésie qui ouvre les portes vers les monts McGerrigle et Chic-Chocs. Ils donnent une vue de panorama sur le sommet du Mont Jacques-Cartier, qui est le deuxième plus haut sommet du Québec.

3 mars 2010[modifier le code]

Paspébiac est une ville du Québec, située dans la municipalité régionale de comté de Bonaventure, dans la région administrative de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.

Le nom Paspébiac provient du mot micmac « ipsigiag », qui signifie barachois, faisant ainsi allusion au port naturel existant à cet endroit. D'autres théories tentent par contre d'expliquer l'origine micmaque du nom, comme l'expression « papgeg ipsigiag », qui signifie batture fendue, ou que la signification du toponyme serait plutôt « qui brille à distance ». Nicolas Denys est le premier à mentionner Paspébiac en 1672 dans sa Description géographique et historique des costes de l'Amérique septentrionale: «un cap que l'on nomme le petit Paspec-biac : il y a une rivière où les chaloupes se mettent à l'abry lorsqu'ils viennent faire leur degrat du grand Paspec-biac qui est à quatre lieues de là.»

Paspébiac est situé à 177 kilomètres de route à l'ouest de Gaspé, en Gaspésie. La ville a une superficie de 94,59 km2.

La ville est bordée par la baie des Chaleurs au sud. Au delà de la baie se trouve la Péninsule acadienne, au Nouveau-Brunswick.

22 janvier 2010[modifier le code]

Éoliennes de Cap-Chat

Cap-Chat est une municipalité du Québec, fondé en 1884 et située dans la municipalité régionale de comté de La Haute-Gaspésie, dans la région administrative de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.

Il existe deux théories quant à l'origine du nom de la localité. La première est toute simple : le Cap-Chat, rocher ressemblant à un chat selon certains, en serait la souche. D'ailleurs, selon une légende, un chat se promenant sur la grève, tuait et dévorait de nombreux animaux. La fée-chat, passant par là, l'accuse d'avoir dévoré sa progéniture et le transforme en rocher pour l'éternité. Par contre, l'hypothèse la plus plausible y voit la déformation du nom d'Aymar de Chaste, lieutenant général de la Nouvelle-France en 1603.