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Moselle (AOC)

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Moselle
Désignation(s) Moselle
Appellation(s) principale(s) moselle[1]
Type d'appellation(s) AOC-AOP
Reconnue depuis 2010 (1951 pour l’AOVDQS)
Pays Drapeau de la France France
Région parente vignoble de Lorraine
Sous-région(s) Pays messin, val de Seille et val de Sierck
Localisation Moselle (dix-huit communes), Meurthe-et-Moselle (une commune)
Climat océanique à influence continentale
Sol argilo-calcaire plus ou moins caillouteux
Superficie totale 35 hectares
Cépages dominants pinot noir N
auxerrois B
pinot gris G[2]
Vins produits rouges, rosés, blancs
Production 1 719 hectolitres
Rendement moyen à l'hectare maximum 60 hectolitres par hectare

Le moselle[1], ou vin de Moselle, est un vin français d'appellation d'origine contrôlée. Il constitue le vignoble le plus septentrional de France.

Auparavant une appellation d'origine VDQS par l’INAO était en vigueur sous le nom « Moselle ». La dénomination antérieure « vins de Moselle » qui avait vu le jour après la Seconde Guerre mondiale avec l'arrêté du , avait été remplacée par « Moselle » le . Un classement en AOC à la suite de l'ouverture d’une procédure[3] a abouti favorablement le [4]. L’appellation d’origine contrôlée Moselle entre en vigueur avec le décret du abrogeant l'arrêté de 1951[5].

Il s’agit de vins tranquilles blancs, rouges ou rosés, qualifiés couramment de « secs ». Les cépages majoritairement utilisés sont l’auxerrois (cépage originaire de cette région[6]) et le pinot noir.

Présence du vignoble lorrain sur la carte d’occupation des sols.

Période antique

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C'est la cité de Trèves, située cent treize kilomètres plus au nord sur la rivière de la Moselle, choisie au IIIe siècle comme capitale de l’Empire romain d'Occident qui joua un rôle moteur dans l’expansion de la vigne dans le pays messin (Divodurum)[7].

Au IVe siècle, le poète latin Ausone chante la beauté des coteaux mosellans couverts de vignes[8] :

« Quand l’azur du fleuve répète les ombrages de la colline, l’eau paraît avoir des feuilles, la rivière semble plantée de vignes[9]. »

Période médiévale et moderne

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Travaux des mois ; octobre : vendange et pressurage du raisin. Détail d'enluminure du XVe siècle, les Heures de Toul, atelier messin.

La culture de la vigne nécessitant une importante main d’œuvre, elle s'est implantée à la périphérie de zones urbaines comme ce fut le cas à Metz où la toponymie en conserve la trace[10]. Le vin utile au culte est symbole de cohésion sociale et de pouvoir ; aussi les évêques de Metz, Toul et Verdun étaient les premiers viticulteurs.

Les communautés religieuses comme l'abbaye que fonda à Gorze l'évêque de Metz Chrodegang, en 749 ou l'abbaye Saint-Vincent fondée à Metz au Xe siècle propagèrent la culture et le savoir-faire de la vigne dans la région. Les familles nobles, telles les comtes de Vaudémont et les ducs de Lorraine furent également de grands propriétaires viticoles qui participèrent à étendre la réputation des vins de Lorraine par-delà les frontières.

Aux environs de Metz, parmi les vignobles en grand nombre, ceux de Lorry, de Longeville, de Lessy, d’Ancy et d’Augny étaient les plus réputés. Il y avait à Ars un canton appelé de Varennes, qui fournissait un vin excellent qui avait été jugé « digne de la table du roi »[réf. nécessaire][11].

Période contemporaine

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XIXe siècle

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En 1833, la vigne occupait en Lorraine 34 000 hectares. Avec l’annexion de l’Alsace-Lorraine en 1871, le vignoble mosellan devient la « Champagne allemande[8] ». En 1894, à Metz et ses alentours[12], 57 600 hectolitres sortent des « champagneraies » (domaines spécialisés dans les vins effervescents) 6 000 hectares sont exploités pour une production d'environ 400 000 hectolitres.

Depuis la fin du XIXe siècle, un échange commercial et technique avait lieu entre le vignoble champenois et le vignoble de Moselle. Les Champenois venaient en Lorraine acheter du vin sous pressoir qu'ils transformaient en Champagne, jusqu'à la création de l'appellation « Champagne » en 1910. Un échange technique a néanmoins pu se poursuivre grâce à la présence, en Lorraine, de grands domaines produisant un vin mousseux dont l'Allemagne était friand importateur.

Le phylloxéra fait son apparition en 1866 dans la région de Metz, puis atteint progressivement les autres régions lorraines qui subissent à leur tour ce fléau. En 1902, les autorités allemandes créent la station d’expérimentation viticole de Laquenexy afin de tenter de résoudre les problèmes de phylloxera.

XXe siècle

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L’essor de l’industrie et la guerre provoquent une pénurie de main-d’œuvre. Jusqu'à la fin de la Première Guerre mondiale, la Moselle était annexée par l’Empire allemand qui ne protégeait guère les vins tranquilles, au profit des vins mousseux. Le vignoble de Rombas périclite en 1916. À la fin de la guerre en 1919, les vins locaux se retrouvent bien incapables de rivaliser avec les autres vins français, notamment les vignobles méridionaux pour lesquels le chemin de fer ouvre de nouveaux débouchés. En 1924, les Allemands concluent un traité préférentiel avec l’Espagne pour l’achat des vins, privant la région de son principal client. La perte du marché allemand ne sera jamais compensée par le marché français.

Les vignerons introduisent alors[Quand ?] de nouveaux cépages, en provenance des régions voisines : müller-thurgau du Jura suisse, gamay et pinot de Bourgogne. L’auxerrois, issu d’une recherche locale au centre de Laquenexy, est une création du docteur Werner, contrairement à ce que laisse croire son nom[6],[13]. Un lent travail d’acclimatation, de nouvelles techniques de vinification, permirent, au fil du temps, de reconstituer le vignoble, puis de retrouver progressivement un niveau de qualité reconnu par l’obtention d’une appellation d’origine délimitée vin de qualité supérieure au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

L’arrêté du classe les vins de Moselle en VDQS dans le cadre de la réglementation des prix. Le statut d’appellation d'origine vin de qualité supérieure (AOVDQS) est créé le . Mais le nombre de vignerons continue de décroître, malgré l'action continue du centre viticole de Laquenexy qui a créé des cépages depuis 1904[14], et continuera de fournir des pieds de vignes aux producteurs locaux jusqu'en 1992.

Les experts lui redonnant une partie de son aura d’antan, les meilleures sélections des producteurs luxembourgeois apparaissent dans les guides. Une partie de cette production provient en fait de la région de Sierck, en Moselle.

En 1986, bien que le département compte une surface de 900 hectares délimités en zone VDQS « Vin de Moselle », seuls une dizaine d'hectares sont alors en mesure de produire du vin de Moselle VDQS. La mobilisation des viticulteurs mosellans organisés en un Syndicat des viticulteurs de la Moselle va se conjuguer à l’action d'une commission départementale d’encouragement à la production viticole qui est créée dans un objectif de diversification agricole et de valorisation de l’image touristique du département. Des essais sur les cépages, les porte-greffes et les modes de conduite de la vigne sont ainsi menés par le centre viticole de Laquenexy en collaboration avec les viticulteurs, l'INRA de Colmar, le Centre technique interprofessionnel de la vigne et du vin (ITV) et l'INAO, sur une parcelle acquise à Scy-Chazelles par le Conseil général[14].

Depuis cette renaissance des vins de Moselle, le vignoble est en extension, malgré l'imbroglio cadastral que soulève la remise en exploitation des anciennes parcelles en lanière souvent à l’état de friche.

XXIe siècle

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Le , l’Institut national de l'origine et de la qualité (INAO) a validé la demande en cours et ainsi accordé la nouvelle appellation d’origine contrôlée « Moselle »[4].

Étymologie

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L'appellation s'appuie sur la rivière de la Moselle qui donne son nom au département français.

Situation géographique

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La vigne mosellane occupe les pentes les mieux exposées (sud et sud-est) profitant des conditions optimales d’ensoleillement. La pente amplifie l’insolation du fait d'une incidence des rayons du soleil plus propice à une maturation optimale. En outre les cépages utilisés dans la région sont de nature précoce.

La structure géologique des terrains mosellans fait se succéder des affleurements orientés nord-sud, produisant un paysage rythmé de côtes. On voit se répéter plusieurs fois trois éléments topographiques d’ouest en est : la plaine, la côte, le plateau, (relief de cuesta). Ces séquences sont très favorables aux vignes qui jouissent d’un ensoleillement matinal optimal. Le substratum géologique de l’aire délimitée des vins de Moselle comprend principalement les plateaux liasique, jurassique et triasique qui forment la bordure orientale du plateau lorrain.

Géographiquement cette région se répartit suivant trois secteurs :

Val de Seille, région de Vic

Le coteau principal repose sur un substrat du Keuper supérieur de Marsal composé de marnolites et de marnes irisées supérieures. Une petite partie du haut de la côte repose sur le Rhétien (Lias inférieur) composé de marnes roses et de grès interstratifié. Le bas de la côte se rattacha au Keuper moyen de Marsal avec dolomies, marnes et grès. La présence d’éboulis calcaires du Sinémurien et Hettangien (Lias inférieur) présente des marnes et calcaires à gryphées. Aussi les terrains sont-ils lourds, argileux et calcaires, mais leur forte pente supprime tout risque d'hydromorphie.

Pays messin

Le versant à l'est de la Moselle où domine le Bajocien inférieur abrite les communes de Lorry-Mardigny, Marieulles, Vezon et Féy. Les coteaux plantés de vigne sont orientés à l'est, au sud-est et au sud. Le substrat est essentiellement constitué de Lias.

Les coteaux à l'ouest de la Moselle sont surmontés d'un substrat du Dogger datant du Bajocien supérieur et inférieur et, en allant vers l’ouest, du Bathonien.

Les vignes sont situées sur la pente est des coteaux. Elles reposent essentiellement sur le replat du Toarcien au bas de la falaise de l’Aalénien. La structure du sol se manifeste par des terrasses pierreuses et des sols plus argileux vers le bas. Ces sols sont en fait constitués d’un mélange d’argiles et d’éboulis calcaires qui en font un milieu très favorable pour la vigne. La proportion d’argiles augmente vers le bas de la pente.

Sur la commune de Lessy, le vignoble est plutôt assis sur un substrat de l’Aalenien, ce qui donne des sols argilo-calcaires. Du fait de l’existence du vallon, l’aire tourne son exposition davantage vers le sud-ouest[15],[16].

Val de Sierck

Au nord de la Moselle, à la frontière franco-luxembourgeoise, le vignoble est situé sur la rive gauche de la Moselle, sur les communes de Haute-Kontz, Contz-les-Bains et Sierck-les-Bains. Dans ce secteur, les couches sont plus anciennes du fait de l’inflexion de la Moselle vers l’est. Les substrats du Trias et du Lias composent le sous-sol. Les sols appartiennent généralement à la catégorie des sols hydromorphes alluviaux. Leur texture est fine sur les alluvions récentes et plus grossière sur les alluvions anciennes. Le substrat est toujours constitué par des grèves.

Le vignoble de Moselle est principalement installé sur le plateau liasique et triasique, à la bordure orientale du bassin parisien. Les sols du vignoble sont généralement argilo-calcaires, plus ou moins caillouteux.

Les expositions sud et sud-est établies sur de très bonnes pentes caractérisent la majeure partie du parcellaire viticole. L’altitude dépasse rarement 250 mètres

Climatologie

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Le climat se caractérise par la combinaison d’influences continentales et océaniques, occasionnant des contrastes thermiques accusés entre été et hiver, la vallée de la Moselle bénéficiant de températures légèrement plus douces.

Moyenne des relevés à Metz-Frescaty 1961-1990[17]

Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année
Températures moyennes (°C) 1,5 2,8 5,8 9,1 13,2 16,4 18,4 18,0 15,0 10,6 5,4 2,4 9,9
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 64 58 63 53 69 72 61 62 60 63 67 73 765
Ville Ensoleillement Pluie Neige Orage Brouillard
Paris 1 797 h/an 642 mm/an 15 j/an 19 j/an 13 j/an
Strasbourg 1 637 h/an 610 mm/an 30 j/an 29 j/an 65 j/an
Metz 1 638 h/an 765 mm/an 31 j/an 26 j/an 54 j/an
Moyenne nationale 1 973 h/an 770 mm/an 14 j/an 22 j/an 40 j/an

Présentation

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La chapelle des Vignes (1875) et la croix de Mission, dans le vignoble de Marange.

Depuis le classement en AOC, le vignoble s’étend sur dix-neuf communes, soit les dix-huit communes du département de la Moselle suivantes[18]: Ancy-sur-Moselle, Ars-sur-Moselle, Contz-les-Bains, Dornot, Féy, Haute-Kontz, Jussy, Lessy, Lorry-Mardigny, Marange-Silvange, Marieulles, Novéant-sur-Moselle, Plappeville, Rozérieulles, Scy-Chazelles, Sierck-les-Bains, Vaux, Vic-sur-Seille, auxquelles s’est adjointe Arnaville, commune limitrophe en Meurthe-et-Moselle.

Encépagement

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Les vins d’appellation « Moselle » sont produits à partir de huit cépages autorisés. Le pinot noir, l’auxerrois, et le pinot gris constituent 83 % de l’encépagement. S’y ajoutent pour la complexité des vins : gamay, gewurztraminer, meunier, müller-thurgau, pinot blanc et riesling.

Les vins blancs sont issus des cépages suivants :

  • en monocépage : auxerrois, pinot gris et müller-thurgau.
  • en assemblage : cépage principal : auxerrois et pinot gris.

En cépages accessoires on trouve alors : müller-thurgau, pinot blanc, gewurztraminer et riesling.

Les vins rouges sont issus du pinot noir.

Les vins rosés sont issus des cépages suivants : du pinot noir en cépage principal, le gamay en tant que cépage accessoire.

Méthodes culturales et réglementaires

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Le vignoble est en taille en guyot simple ou double. L’on trouve également quelques conduites en lyre.

L’appellation d’origine « Moselle » requiert que le raisin récolté à bonne maturité présente un titre alcoométrique volumique naturel minimal de 8,5 %.

Suivant l’article 5 du décret du , le rendement est fixé à 60 hectolitres par hectare de vigne en production.

Terroir et vins

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Structure des exploitations

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Les parcelles sont des surfaces peu étendues.

Type de vins et gastronomie

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Les vins de l’appellation Moselle, vins tranquilles, peuvent être des vins blancs ou rosés qui sont des vins secs présentés usuellement en cépage pur avec mention du cépage ou issus d’assemblages de cépages sous l’appellation Moselle, et des vins rouges qui sont généralement assez souples et peu tanniques, présentés également en cépage pur ou en assemblages. Les rosés sont habituellement qualifiés de vin gris du fait de leur robe d’un rose pâle souvent saumoné. Elle est due à la méthode de fabrication.

Commercialisation

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Le vin de Moselle dans le monde des arts et les productions culturelles

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  • Jacques Brel évoque le vin de Moselle dans Jef en 1966[19] et Pierre Perret, en 1979 dans la chanson Mon p’tit loup.
  • Dans sa correspondance Wolfgang Amadeus Mozart écrit qu’il appréciait particulièrement le vin de Moselle[20],[21].
  • Dans Ondine, de Jean Giraudoux, acte I scène 7, Auguste indique que le vin qu'il a servi au chevalier est "un petit moselle bien loyal"[22].
  • Dans la version originale de l'épisode de Columbo intitulé « Quand le vin est tiré », l'assassin reconnaît la grande connaissance de l'inspecteur en matière de vins, signalant l'excellent choix d'un « Mosel » pour accompagner les huîtres. La version française parle de Sylvaner, lequel est produit en Alsace.

Notes et références

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  1. a et b Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine.
  2. Le code international d'écriture des cépages mentionne la couleur du raisin de la manière suivante : B = blanc, N = noir, Rs = rose, G = gris.
  3. Avis d'ouverture d'une procédure nationale en demande d’opposition d’une appellation d’origine contrôlée JORF no 0253 du 29 octobre 2008 p. 16455 texte no 79.
  4. a et b INAO, « Principales conclusions du Comité national AOC viticoles »,
  5. Légifrance.fr, « Décret n° 2011-1532 du 14 novembre 2011 relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Moselle » », consulté le 20 décembre 2011
  6. a et b Jardins fruitiers de Laquenexy, « 1902-1918 Les premières activités de la station viticole » (consulté le )
  7. Bernard Glanois, Les Vosges, Club Vosgien : Numéro spécial Eurorando 2016, Sensibiliser aux énergies alternatives, Fédération du Club Vosgien, (lire en ligne), Les vignobles des coteaux messins de Moselle, pages 22 et 23
  8. a et b Jean-Marie Diligent, « Histoire de vignes, le vignoble mosellan », Vieilles maisons françaises, no 195,‎ , p. 54, 55
  9. Ausone, La Moselle (Wikisource), traduction Étienne-François Corpet.
  10. Notamment la rue de la Vignotte sur l'île Chambière, à proximité de l'abbaye Saint-Vincent à Metz.
  11. Voir l'article Le Pays messin au Moyen Âge.
  12. Château de Vaux, vins de Moselle
  13. www.vin-de-moselle.com, « Un vignoble plus que millénaire » (consulté le )
  14. a et b Jardins fruitiers de Laquenexy, « Histoire du centre » (consulté le )
  15. Rapport d’expertise délimitation parcellaire, Inao, 1984
  16. Projet de cahier des charges présenté à la commission permanente du Comité national des vins, eaux-de-vie et autres boissons alcoolisées à la séance du 11 juin 2008
  17. Quid 2004, page 619
  18. Le vignoble en appellation s’étendait auparavant sur dix-neuf communes du département mosellan (arrêté du ) : Ancy-sur-Moselle, Châtel-Saint-Germain, Contz-les-Bains, Dornot, Féy, Haute-Kontz, Jussy, Laquenexy, Lessy, Lorry-Mardigny, Marange-Silvange, Marieulles, Novéant-sur-Moselle, Plappeville, Sainte-Ruffine, Scy-Chazelles, Sierck-les-Bains, Vaux, Vic-sur-Seille.
    La demande de classement en AOC prévoyait initialement d'étendre le conditionnement et la vinification à neuf communes de proximité immédiate : Rozérieulles, Ars-sur-Moselle, Hettange-Petite, Malling, Marsal, Berg-sur-Moselle, Ay-sur-Moselle, Lorry-lès-Metz et Moulins-lès-Metz.
  19. Youtube.com, « Jacques Brel - Jef (live) » (consulté le )
  20. Regensburg Tourismus GmbH, « Art, fêtes, congrès à Ratisbonne » (consulté le ) Wolfgang Amadeus Mozart à sa femme Constance le 28 septembre 1790 : « À Ratisbonne, nous avons somptueusement déjeuné, nous avions une musique de table divine, un service à l’anglaise et un vin de Moselle excellent ».
  21. « L’alcool coule à flots dans son œuvre ainsi que dans sa correspondance : que ce soit le vin (il aimait particulièrement le tokay et les vins de Moselle), la bière, le punch ou le champagne. » in Nathalie Krafft, « Mozart à table, un gros gourmand plutôt qu’un fin gourmet », Rue89, nouvelobs.com,
  22. « Ondine » (consulté le )

Bibliographie

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  • J. Barthel, Vignerons, Vignes et Vins en Pays messin, Metz, éd. Serpenoise, , 323 p..
  • R. Dion, Histoire de la vigne et du vin en France des origines au XIXe siècle, Paris, , 768 p..
  • Laure Gasparotto, « Le bel envol du vignoble de Moselle », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne Accès payant).

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Articles connexes

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Liens externes

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Site internet officiel de l'AOC Vins de Moselle : https://www.vins-aocmoselle.fr/

  • Dossier réalisé par Claire Pavot (Chambre régionale d'agriculture de Lorraine) Demande de reconnaissance en appellation d’origine contrôlée «Moselle».
  • « Fiche de l'AOVDQS Moselle » sur le site de l’Inao.
  • Cahier des charges proposé pour la création d’une AOC « Moselle ».