Les Ogres de Barback
Autre nom | Les Ogres |
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Pays d'origine | France |
Genre musical | Chanson française, musique tzigane |
Années actives | Depuis 1994 |
Labels | Irfan |
Site officiel | www.lesogres.com |
Membres |
Fred Burguière Sam Burguière Alice Burguière Mathilde Burguière |
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Les Ogres de Barback, souvent dénommés Les Ogres, est un groupe de musique français. Formé en 1994, les membres sont quatre frères et sœurs, chacun multi-instrumentiste. La couleur des chansons est très variée. Les Ogres ont grandi à Jouy-le-Moutier, dans le Val-d'Oise. D'origine arménienne, ils sont des descendants de rescapés du génocide arménien.
Dès l'hiver 1998, le groupe qui est attiré par le théâtre de rue et le monde du cirque envisage l'achat d'un chapiteau pour pouvoir organiser des tournées avec le maximum d'autonomie. Pour cela est lancé le projet Latcho Drom (du nom du film de Tony Gatlif). Le groupe fait ses débuts en auto-produit. C'est au cours de l'année 2000 que le groupe reprend en main la distribution de ses disques[1]. En début 2019, le groupe annonce la sortie d'un nouvel album, Amours grises et Colères rouges.
Biographie
Origines et débuts (1994—1997)
Fred, Sam, Alice et Mathilde Burguière sont nés dans une famille de musiciens, leur père ayant été pianiste de concert, notamment avec le groupe Il était une fois à ses débuts[2]. Dès 1992, Sam commence à jouer dans un groupe influencé par des formations telles que Mano Negra et Bérurier noir : « les Minoritaires ». Il est bientôt rejoint par son frère Fred qui prend l'accordéon[3]. En parallèle, les deux frères jouent en duo dans les bars ou le RER[4]. De leur côté, Alice et Mathilde créent aussi des groupes avec lesquels elles jouent dans la rue et en 1994, les quatre frères et sœurs font leurs premières répétitions ensemble avant de donner le premier concert des Ogres de Barback le à La Dame Bleue, le bar du CAES, un squat de Ris-Orangis[5].
Les Ogres ont grandi à Jouy-le-Moutier, dans le Val-d'Oise. D'origine arménienne, ils sont des descendants de rescapés du génocide arménien[6]. La famille Burguière compte un cinquième enfant, Léo, né après les débuts du groupe et qui accompagne parfois ses frères et sœurs, que ce soit sur scène pour le concert des 10 ans[7] ou sur album, comme batteur sur Comment je suis devenu voyageur[8] par exemple.
Après le premier concert de , les Ogres de Barback continuent à jouer régulièrement dans des bars, petites salles et dans la rue. Puis après trois ans, ils envisagent la sortie d'un album. Ce disque auto-produit, Rue du temps, sera financé en partie par une souscription auprès du public et enregistré par François Vacher (qui travaille alors avec Têtes raides) au studio Ornano à Paris. La pochette est illustrée par Aurélia Grandin qui continuera à travailler avec le groupe par la suite[9]. Après avoir vendu les trois mille premiers exemplaires de Rue du temps à la fin des concerts et par dépôt-vente chez les disquaires, le groupe confie la distribution de l'album à Pias[10]. Au total ce premier disque se vend à dix mille exemplaires[11]. Parmi les chansons de ce premier album se trouve la chanson Rue de Paname qui deviendra un des hymnes fédérateurs du public du groupe, et que ce dernier continue à interpréter sur scène après plus de vingt ans[1]. Le titre apparaît ainsi sur l'album live 20 ans ! sorti en 2015.
Latcho Drom et Irfan (1998—2002)
Dès l'hiver 1998, le groupe qui est attiré par le théâtre de rue et le monde du cirque envisage l'achat d'un chapiteau pour pouvoir organiser des tournées avec le maximum d'autonomie. Pour cela est lancé le projet Latcho Drom (du nom du film de Tony Gatlif) : organisation d'un concert de soutien au Glazart (avec Les Matchboxx, Bénabar, K2R Riddim ...), création d'une association et achat du premier chapiteau et organisation d'une tournée[12],[13].
Un deuxième album, lui aussi auto-produit, sort en 1999 : Irfan, le Héros. C'est le dernier album à sortir avant que les Ogres ne montent leur propre structure pour assurer la production et par la suite la distribution de leur musique pour, comme le revendique le groupe : « évoluer à [son] rythme. Rester dans l'artisanat, en somme »[9].
En 2000, le groupe sort son troisième album, Fausses Notes et Repris de justesse, constitué de deux disques, un enregistré en studio, l'autre en public. Pour fêter la sortie de l'album, le groupe organise une tournée dans une dizaine de villes françaises avec à chaque étape une série de trois concerts en compagnie d'un groupe différent[14].
C'est aussi au cours de l'année 2000 que le groupe reprend en main la distribution de ses disques[1]. Ceux-ci sont dans un premier temps distribués par une structure associative gérée par le groupe, avant que le format associatif ne s'avère trop contraignant et que la nécessité de créer un label ne s'impose. En , le label Irfan est finalement lancé, dans un premier temps autour des productions du groupe avant d'étendre son activité à des groupes amis. Cette volonté d'indépendance se traduit en 2004 par la participation du label au projet CD1D initié avec 6 autres labels indépendants et qui vise à proposer aux labels de ce type une plateforme de diffusion dédiée (vente en ligne de supports physiques et de fichiers numériques sans DRM).
Le , quelques semaines après le lancement du label, sort le premier album diffusé par Irfan : Croc'Noces. En parallèle, le groupe a travaillé sur un projet avec les Hurlements d'Léo rencontrés quelques années plus tôt : Un air, deux familles. Une dizaine de chansons sont créées en commun et une tournée est organisée en France. Puis, à l'initiative des Hurlements d'Léo, les deux groupes envisagent une tournée sous chapiteaux à travers l'Europe. Le financement du projet se fait par la vente d'un album live enregistré sous chapiteaux : Un air, deux familles, écoulé à cinquante mille exemplaires. Entre avril et , la tournée passe par la Belgique, l'Allemagne, la Pologne, la Roumanie et la Suisse. Les images tournées à cette occasion donnent lieu à un DVD sorti en 2003, vendu à dix mille copies et désormais épuisé[15].
Affirmation de l'indépendance (depuis 2003)
Après une tournée courant 2010, où ils firent une centaine de concerts dans un spectacle monté en trois actes, ils publièrent sur internet plusieurs titres inédits, produits d'une fusion entre leurs chansons et des créations existantes. Ces titres librement téléchargeables sont regroupés sous le nom de Stéréo pirate[16]. Le projet donne lieu à la sortie d'un vinyle commercialisé en 2011. Les titres des ogres y sont mixés avec des compositions de Noir Désir, Mano Negra, Suprême NTM et The Specials.
En 2011 sort leur douzième album, Comment je suis devenu voyageur. Il s'ensuit une tournée d'un an et demi, baptisée La Fabrique à chanson. Avec un décor imposant, sorte de grue amovible à souhait, et orientée autour du thème du voyage, des oiseaux et des cartes postales, la tournée des Ogres sillonne la France jusqu'en . La tournée est accompagnée d'un blog, Sur la route où le groupe publie régulièrement des articles relatant leurs concerts et s'achève avec la publication d'un DVD/album, La Fabrique à chansons.
Début 2019, le groupe annonce la sortie d'un nouvel album pour le : Amours grises et Colères rouges.
Pitt Ocha
Avec l'arrivée de leurs premiers enfants, les Ogres commencent à composer des chansons pour enfants qui se concrétisent par la sortie d'un album en 2003 : La pittoresque histoire de Pitt Ocha[17]. Malgré les avertissements des professionnels du disque pour enfant qui avaient prévenu le groupe que le marché était saturé[18], ce premier album jeunesse est un succès avec plus de cent quarante mille exemplaires vendus[19]. À cette occasion, le groupe s'engage auprès de Handicap International en choisissant de reverser à l'association un euro pour chaque album vendu[20].
Pour La Pittoresque histoire de Pitt Ocha, le groupe s'entoure d'artistes parmi lesquels Tryo, Les Hurlements d'Léo ou encore Pierre Perret. Les illustrations sont réalisées par les partenaires habituels des Ogres que sont Éric Fleury et Aurélia Grandin. Cette dernière, après avoir illustré les premiers albums du groupe s'est spécialisée dans la littérature jeunesse et au cours de cette même année 2003, elle publie chez Rue du monde Raymond, pêcheur d'amour et de sardines qui est mis en musique par les Ogres de Barback[21]. En 2010, ce premier épisode des aventures de Pitt Ocha bénéficie d'une nouvelle sortie sous la forme d'un livre accompagné d'un CD, destiné à mettre en valeur les illustrations dans un plus grand format[22].
Les aventures de Pitt Ocha se poursuivent à travers deux autres albums, toujours constitués de collaborations : Pitt Ocha au Pays des Mille Collines en 2009, et Pitt Ocha et la Tisane de couleurs en 2013. Sur le même principe que pour le premier opus, pour chaque album vendu, un euro est reversé à une association.
En 2020, les trois albums de la série totalisent plus de 400 000 ventes et le groupe annonce préparer un quatrième album[23].
Collaborations
Dès les débuts du groupe, celui-ci s'affirme à travers ses nombreuses collaborations avec d'autres artistes. Ainsi, dans la chanson 3-0 (sur Terrain vague), chaque couplet évoque une série de clichés liés à une ville de France et comporte un invité différent (Sanseverino pour Paris, Fanch du groupe Matmatah pour Rennes, Les Hurlements d'Léo pour Bordeaux, les frères Amokrane de Zebda et les Fabulous Trobadors pour Toulouse, Massilia Sound System pour Marseille, La Tropa pour Lyon, Weepers Circus pour Strasbourg, et Loïc Lantoine pour Lille). Ils ont également étroitement collaboré à l'album Çui-là de Pierre Perret sorti en 2003 sur lequel ils participent à la musique ainsi qu'aux arrangements. Ils ont aussi joué avec Tryo sur trois chansons : La Première fois, Accordéon pour les cons et Mam'zelle Bulle (sur l'album live Tryo au Cabaret Sauvage).
Durant l'été 2016, le groupe engage une tournée avec le bal Brotto-Lopez, un duo de musiciens renommés dans les bals folk pour une musique à la fois créative et ancrée dans la tradition languedocienne. Les deux groupes s'étaient déjà fréquentés (apparition de Guillaume Lopez sur la scène des Ogres lors de leur tournée des 20 ans, apparitions de Sam Burguière avec le bal Brotto Lopez...) et s'invitent mutuellement sur scène[24].
Le 20 (ou 24) , les Ogres de Barback publient l'album collaboratif La Tribu de Pierre Perret constitué de reprises de chansons de Pierre Perret. L'album qui réunit 15 titres est le fruit de la collaboration du groupe avec de nombreux chanteurs et musiciens tels que Magyd Cherfi, Massilia Sound System, Didier Wampas, Idir, Lionel Suarez, Tryo, Olivia Ruiz[25],[26],[27], etc.
Engagement
Les Ogres organisent entre et une tournée sous les chapiteaux Latcho Drom intitulée Aux Urnes Etc. Cette tournée n'a pas pour seul but de faire des concerts, mais de sensibiliser le public à l'action citoyenne et aux élections présidentielles à venir. Les concerts n'étant qu'un attrait, mais l'essentiel du programme est constitué de débats, projections, discussion et autres animations citoyennes[28],[29].
À la veille du second tour de l'élection présidentielle française de 2007, le groupe se produit à Oyonnax et diffuse une vidéo qui fait alors partie de leur spectacle et est constituée d'images d'actualités, parmi lesquelles certaines incluant les deux candidats Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal. Quelques jours après ce concert, le maire de la ville envoie un courrier au groupe en mentionnant un « incident au cours duquel le spectacle a servi de prétexte à une action de propagande politique dirigée contre l'un des candidats à l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy, et en faveur de son adversaire, Ségolène Royal »[30]. Les Ogres répondent alors point par point aux récriminations du maire dans une lettre ironique diffusée en ligne[31].
Le , dans le cadre du débat législatif à l'Assemblée nationale au sujet de l'ouverture du mariage à tous les couples, le député Olivier Dussopt appuie son discours sur leur chanson Jérôme[32].
Style et influences
Les Ogres indiquent être influencés à la fois par la chanson française (Georges Brassens, Renaud, Pierre Perret...), le rock alternatif des années 1980 (Les VRP, Bérurier noir ou encore Mano Negra dont ils reprennent La Ventura sur la compilation Mano Negra Illegal...) et par ce qu'ils dénomment la « musique du voyage » et en particulier la musique des pays de l’Est (Les Yeux Noirs, Bratsch et les musiques des films de Tony Gatlif ou Emir Kusturica, à qui ils doivent le nom de leur propre label : Irfan)[33].
Discographie
Albums studios
- Tchayuskov
- Les voyageurs
- Grand-père
- P'tit gars
- Ces tonnes de gens
- Femme du guerrier
- Accordéon pour les cons
- Valkovitch
- Le délire de deux alcooliques
- Kolyn
- Le voyageur
- P'tit bonhomme
- Tout perdu
- Rue de panam
- Contes, vents et marées
- Little Gentleman
- Yo squatt bel
- Peuple du moment
- Printemps
- Lahoyasrha
- De rien !
- Grand-mère
- Matelot
- Banan
- Irfan le héros
- Solène de Grenoble
- Rêve d'enfant
- Niev Nietch Nievitch
- Petite hypocrite
- Voyageur
- Femme du guerrier
- Printemps
- Les Voyageurs
- Grand-père
- Provençal Live
Repris de justesse
- Salut à toi (des Béruriers Noirs)
- Cozette (des Têtes Raides)
- Au café du canal (de Pierre Perret)
- Pour me rendre à mon bureau (de Jean Boyer)
- La Ventura (de Mano Negra)
- Buffalo Débile (de Renaud)
- La manche
- Monde en or
- Avril et toi
- Grosse tortue
- Allez !
- Rue du temps
- Vue d'ensemble
- Fainéant
- Sue
- Latchoska
- Tatie
- Jeanette
- Flûte
- Vieux temps
- Assassins
- Les amants sans nuits
- L'éducation du corps des porcs
- L'air bête
- Angélique
- Même pas mal
- L'Arménienne
- Azadoutioune
- Flamme and'co
- 3-0
- Madame Solène svp
- Petite société
- Moi je
- 15 ans
- Une de plus
- Monsieur perd ses copains
- Rue Mazarine
- Sous le pont
- Salut à vous
- Violoncelles
- Ma fille
- Marée basse
- Et oui !
- Pardon Madjid
- 50 ans
- Pour tant qu'il y aura des hommes
- Jérôme
- Brebis galeuses
- C'est beau
- Corinna
- Destin artificiel
- Vieux
- Con et blasé
- Pas bien
- Ni dieu, ni dieue
- Il ne restera rien
- Comment je suis devenu voyageur
- Nos vies en couleurs
- Entre tes saints
- Marcelle de Sarcelles
- Graine de brigand
- Je n'suis pas courageux
- Elle fait du zèle (pauvre France)
- Ma tête en mendiant
- Petite fleur
- Je m'élance
- Donc je fuis
- Cœur arrangé
- Palestine confession
- Le daron
- L'ennui et le jour
- Non remontant
- Carlos Mervil
- Pages de ma vie
- Crache
- Ohm
- Vous m'emmerdez !
- Murabeho Imana
- Expression de sentiments
- Condkoï
- Morsure de mots
- Sacré fils
- A cœur battant
- Amarisi amari
- Sadique et sévère
- Dos miné
- Coups d'poids dans la gueule
- Ma guinguette préférée
Albums live
- Mostari
- Jojo
- Mytho
- Rue du temps
- Grand-mère
- Carcarès
- Stari Most
- Rue de panam
- Cirrhose
- La ruelle
- La gare de Caen
- Salut à toi (Reprise des Béruriers Noirs)
- Angélique
- Accordéon pour les cons
- Solène
- Dubrovnic
- Grand-mère
- Les Voyageurs
- Rue Mazarine
- P'tit chat
- Petite société
- Salut à vous
- Salut à toi
- Pom pom pom
- Monde en or
- Même pas mal
- Grand-père
- Au café du canal
- Jésus
- Contes, vents et marées
- Avril et toi
- Vue d'ensemble
- Tatie
- Pour me rendre à mon bureau
- Jérôme
- Peuple du moment
- Le temps
- Tout perdu
- L'air bête
- Monsieur perd ses copains
- La belle flambée
- Madame Solène s.v.p.
- Les amants sans nuits
- Comment je suis devenu voyageur
- Le daron
- Entre tes Saints
- Je ne suis pas courageux
- Solène de Grenoble
- Madame Solène SVP
- Jojo
- Marcelle de Sarcelle
- Petite fleur
- Le roi des kongs
- Ni dieu ni dieue
- Cœur arrangé
- NLT
- Salut à toi
- Non remontant
- Moliendo café
- Sacré fils
- Accordéon pour les cons
- Grand-mère
- Wanyiyi
- Togbelgbe
- Ces tonnes de gens
- Sadjou Saturne
- Murabeho imana
- Pour me rendre à mon bureau
- Bouquet d'ogres à la sauce béninoise (medley)
- Rue de Panam
- Africa night
- Oklounon
Cd2 (Les Ogres et leurs invités):
- SDF (Reprise d’Allain Leprest) (avec Guillaume Lopez, La Rue Ketanou et Melissmell)
- Journal (avec Têtes Raides)
- Aminata (avec Timike)
- Les brebis (avec Melissmell)
- J'ai tout plein d'amis au Medef (avec Frédéric Fromet)
- Au creux de ton bras (Reprise de Mano Solo) (avec Les Hurlements d'Léo)
- Jour de lessive (avec Loïc Lantoine)
- Les mots d'amour (avec Debout sur le zinc)
- Où va-t-on ? (avec Benoît Morel)
- Garden of love (avec Winston McAnuff et Fixi)
- Le lac Saint-Sébastien (avec Anne Sylvestre)
- Société tu m'auras pas (Reprise de Renaud) (avec Tryo)
- Ces petits riens (avec Les Ogrillons et Léo)
- Deux enterrements (avec Daniel Mermet)
- Ma France (Reprise de Jean Ferrat) (avec Francesca Solleville)
- Une valse pour rien (Reprise d’Allain Leprest) (avec Camille Simeray)
- Le daron (avec Têtes Raides, HK, Les Tit' Nassels, Tryo, Timike, Loic Lantoine, Melissmell, Debout sur le zinc, Les Hurlements d'Léo, Saidou, Anne Sylvestre, La Rue Ketanou, Frédéric Fromet, Camille Simeray, Benoît Morel)
- Jojo
- Une idée passe
- Mytho
- La malle en mai
- Grand mère
- La Ventura
- Les Cigales
- Les Mots
- Pages de ma vie
- Quand tu seras là-bas
- La Piave
- Le Café des jours heureux
- Poil aux yeux
- Pas du gâteau
- Cor adobat (Cœur arrangé)
- Vous m'emmerder ! (Que m'emmerdatz !)
- Dejol pont
- Latchoska / Dos miné / Lo rainal e lo merle
- Femme du guerrier
- Toi jamais / La Thouxéenne / Luquejada
- Ieu soi perdut sense tu
- Mon pays
- C'est peut-être
- Condkoï
- Adam / Pas bien
- Lo pont de Nantas / Amazone
- Pas ma haine
- Carnaval de Redonfaud 1
- Accordéon pour les cons
- La Rochelle
- P'tit cœur
- Vous m'emmerdez !
- La nuit des adieux / Femme du guerrier / La mystérieuse
- Toi jamais / La thouxéenne / La scottish des balcons
- 3-0 / Vira la fuelha / Rue des roziers
- C'est peut-être
- Marcelle de Sarcelles
- Wanyiyi
- Invitation
CD2 :
- Je ne sais pas
- Pour me rendre à mon bureau
- Grand-mère
- Hé papa
- Intro Panam
- Rue de Panam
- Carnaval de Redonfaud 2
- Chanson pour dans 2000 ans
- NLT
- Ayaya
- Si tu restes
Pitt'Ocha
Collaborations
- 1998 : K2R Riddim - Carnet de Roots
- 2001 : K2R Riddim - Decaphonik
- 2001 : Debout sur le Zinc - L'homme à tue-tête
- 2001 : Les Hurlements d'Léo - La Belle affaire
- 2002 : Pierre Perret - Çui-là
- 2003 : Les Hurlements d'Léo - Ouest terne
- 2005 : Mam'zelle Bulle + La Première Fois + Accordéon pour les Cons / Tryo - DVD Tryo au Cabaret Sauvage
- 2006 : Un million d'enfants [Fredo] / L'Air de rien - Luttopie
- 2007 : Dimanche soir [Fredo] / Jules - Les années douces
- 2008 : Les Saints Écrits / Les Barbeaux - No Friture
- 2008 : Pour louper l'école + La remueuse / Aldebert - Enfantillages
- 2009 : Bleus [Fredo] / Syrano - Le Goût du sans
- 2010 : La route du rom / L'Air de rien - La route du rom
- 2010 : Morphée [scie musicale, Alice] + La Petite mort [violoncelle, Alice] / La Mine de Rien - La tête allant vers
- 2011 : Je m'suis fait tout petit + Les sabots d'Hélène / Brassens chanté par Les Ogres de Barback, Debout sur le zinc, Aldebert, Agnès Bihl, Weepers Circus, Yves Jamait
- 2011 : L’hôtel de Parmes [Fredo] / La Meute Rieuse - Les yeux des fesses
- 2012 : Roumanie / La Mine de rien - Live
- 2013 : Barbara du bout des lèvres [Camille Simeray (La Meute rieuse) et Sam Burguière (Les Ogres de Barback)]
- 2013 : Les Ogres (au complet) sont invités sur un titre du livre-album Le grand bazar du groupe de rock français Weepers Circus.
- 2014 : Mélodie [Fredo] + Avec des si [violoncelle, Alice] / La Mine de Rien - Avec des si
- 2017 : Les Ogres de Barback présentent Au café du canal par La Tribu de Pierre Perret (label : Irfan Le Label / durée : 60 min) (avec Magyd Cherfi, Massilia Sound System, Didier Wampas, Idir, Tryo, Olivia Ruiz, Mouss & Hakim, François Morel, Danyèl Waro, Loïc Lantoine, Rosemary Standley, Féfé, Christian Olivier, Benoît Morel, Alexis HK, Flavia Coelho, Eyo'nlé, Jidé Hoareau, Didier Hoareau, René Lacaille, Lionel Suarez, Lo Barrut, Alex Leitao[25],[26],[27]
DVD
- Concert à Saffre
- Jojo
- Starimost
- Mytho
- La malle en mai
- Avril et toi
- Carcarès
- Cinquième demi-tour
- La gare de Caen
- Concert sous Chapiteau en Suisse
- Vieux temps
- Sue
- Rue du temps
- Rue de Panam
- Mytho
- La malle en mai
- Louise
- Le mort
- Documentaire de 52 minutes
- Bonus Divers
- Vracologie - 26 minutes
- Croc' secondes - Le portrait des 23 membres de l'équipe
- Livret, deux familles - Galerie de photos
Membres
Les membres sont tous multi-instrumentistes :
- Fred Burguière — accordéon chromatique, trombone, guitares, chant, cornet à pistons, accordéon diatonique, contrebasse, grosse caisse
- Sam Burguière — violon, trompette, guitares, bugle, épinette des Vosges, accordéon
- Alice Burguière — violoncelle, contrebasse, scie musicale, trombone, chœurs, guitare, accordéon, tuba, erhu, violon
- Mathilde Burguière — piano, tuba, flûte traversière, clarinette, chœurs, guitare, accordéon, soubassophone, percussions, violoncelle
Galerie
-
Fredo (né en 1976).
-
Sam (né en 1975).
-
Alice (née en 1979).
-
Mathilde (née en 1979).
Notes et références
- « Les Ogres de Barback - Biographie », sur radioneo.org, (consulté le ).
- Bertrand Dicale, « Le bel appétit des Ogres de Barback », Le Figaro, , p. 29
- Les Ogres de Barback 2008, p. 3.
- Marc Dazy, « Les anges débarqués », Le Progrès, .
- Les Ogres de Barback 2008, p. 7.
- Sébastien Homer, « Les Ogres aiment les marionnettes, pas les pantins », L'Humanité, (lire en ligne).
- « 10 ans d'Ogres et de Barback », sur cd1d.com (consulté le )
- Bertrand Dicale, « Le voyage enraciné des Ogres de Barback », sur www.rfimusique.com, (consulté le ).
- Les Ogres de Barback 2008, p. 75
- Les Ogres de Barback 2008, p. 54.
- Laura Trocmé et Daniel Ferrat, « Rencontre avec Fred des Ogres de Barback, le 22 septembre, centre de la chanson », sur centredelachanson.com, (consulté le ).
- Les Ogres de Barback 2008, p. 29.
- Frédéric Durscaso, « Les musiciens nomades », L'Humanité, (lire en ligne).
- Les Ogres de Barback 2008, p. 32.
- « Un air, deux familles », sur www.lesogres.com (consulté le ).
- Erwan Le Nagard, « Les Ogres de Barback en Stéréo Pirate », sur Vacarm.net, (consulté le ).
- Gaëlle Farre, « Pitt Ocha et la tisane de couleurs », sur www.ricochet-jeunes.org (consulté le ).
- [vidéo] Fred Burguière - Pitt Ocha et ses papas chanteurs - L'invité du jour - Les Maternelles sur YouTube.
- Jean-Yves Dana, « La jeunesse retrouvée du disque pour enfants », La Croix, (lire en ligne).
- Meryem Driouch, « Eric Fleury, l'illustrateur fantaisiste des Ogres de Barback », sur Culturebox, (consulté le ).
- Philippe-Jean Catinchi, « Délirante épopée et périple agité », Le Monde des livres, , p. 5.
- Irfan Le label, « Le 1er tome de Pitt Ocha en librairie », sur lesogres.com, (consulté le ).
- Bastien Brun, « Une nouvelle chanson pour enfants entre en piste », sur RFI Musique, (consulté le ).
- Tiria - www.tiria.fr, « Ogres de Barback & Bal Brotto Lopez - Le Camom », (consulté le ).
- « Les Ogres de Barback et Pierre Perret : Album de reprise », sur lordsofrock.net, (consulté le ).
- « Les Ogres de Barback présentent La Tribu de Pierre Perret », sur lesogres.com, (consulté le )
- « Soixante ans, une tribu, et beaucoup de coeur pour Pierre Perret ! », sur lemusicodrome.com, (consulté le ).
- Claire Guédon et Christophe Lefèvre, « Les artistes incitent les citoyens à s'exprimer », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- Christelle Chabaud, « Les artistes réveillent l'utopie citoyenne », L'Humanité, , p. 3.
- Alexandre Piquard, « Une polémique entre Les Ogres de Barback et la mairie d'Oyonnax circule par e-mail », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- Mathilde Blottière, « Délit de grande gueule », sur www.telerama.fr, (consulté le ).
- Julien Massillon, « Olivier Dussopt: «Vous n’arrêterez pas l’histoire et vous n’empêcherez pas l’égalité» », sur Yagg.com (consulté le ).
- Les Ogres de Barback 2008, p. 10.
- Odile Faure, « La faim musicale des Ogres », Sud Ouest,
Annexes
Bibliographie
- Les Ogres de Barback, Convoi exceptionnel, Paris, Éditions Textuel, , 94 p. (ISBN 978-2-84597-311-4, ISSN 1775-0814)
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la musique :
- Ressource relative à plusieurs domaines :