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Albas (Aude)

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Albas
Albas (Aude)
Blason de Albas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Narbonne
Intercommunalité Communauté de communes Région Lézignanaise, Corbières et Minervois
Maire
Mandat
Jean Claude Montlaur
2020-2026
Code postal 11360
Code commune 11006
Démographie
Gentilé Albassiens (albasenc en occitan)
Population
municipale
78 hab. (2021 en évolution de +2,63 % par rapport à 2015)
Densité 3,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 00′ 25″ nord, 2° 44′ 06″ est
Altitude Min. 189 m
Max. 533 m
Superficie 22,69 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Corbières
Législatives Première circonscription
Localisation
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Albas
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Albas
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Albas
Liens
Site web albas-corbieres.fr

Albas Écouter est une commune française des Corbières, située dans le département de l'Aude, en région Occitanie.

Devise d'Albas : « qual va a Albas se'n tòrna pas ».

Géographie

Localisation

Albas est une commune des Corbières située au pied du mont Tauch, sur le terroir Corbières (AOC).

Situation de la commune.

Communes limitrophes

Géologie et relief

La série sédimentaire d'Albas fait l'objet de nombreuses études géologiques, les différentes couches s'étendant du secondaire au quaternaire, dans lesquelles on a trouvé des fossiles d'œufs de dinosaures. Le paysage va de la garrigue aux chênes verts.

Le village ancien est construit à une altitude moyenne de 270 mètres, la mairie est située à 250 m d'altitude.

Albas se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Voies de communication et transports

Hydrographie

La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par la Berre, le ruisseau de Moure, le ruisseau des Vals, le ruisseau de Guèguinte, le ruisseau de la Mayré, le ruisseau de la Pinède, le ruisseau de la Pinède, le ruisseau de la Roubine, le ruisseau des Quiés, le ruisseau du Bois Nègre et le ruisseau du Prat, constituant un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[5],[Carte 1].

La Berre, d'une longueur totale de 52,7 km, prend sa source dans la commune de Quintillan et s'écoule d'ouest en est. Elle effleure la commune sur son flanc sud et se jette dans le golfe du Lion à Port-la-Nouvelle, après avoir traversé 10 communes[6].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[8].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 14 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 712 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Durban-Corbières », sur la commune de Durban-Corbières, mise en service en 1989[12] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 670 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à 37 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[16], à 15,7 °C pour 1981-2010[17], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[18].

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « corbières orientales »[20], d'une superficie de 25 371 ha, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire[21].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22] : le « castillou Roumanissa et pinède de Durban » (870 ha), couvrant 4 communes du département[23], et le « cours amont de la rivière de la Berre » (188 ha), couvrant 8 communes du département[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] : les « Corbières centrales » (68 810 ha), couvrant 56 communes dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales[25].

Urbanisme

Typologie

Albas est une commune rurale[Note 7],[26]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (67,9 %), forêts (20,5 %), cultures permanentes (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[28].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Albaret : désigne un lieu où pousse le peuplier blanc ou le saule blanc (occitan albar).[réf. nécessaire]

Histoire

Datant du second âge du fer, on trouve sur le Roc de Carla un modeste oppidum. Exploitation de ferrières (extraction du fer) dès le IVe et IIIe siècle avant notre ère. Les Romains ont probablement nommé l’endroit « Albares » à cause des peupliers aux feuilles argentées qu’ils ont trouvé aux abords de l’actuel village.

Dans un acte de 963 concernant la donation du village voisin de Fontjoncouse à Aymeric, archevêque de Narbonne, on trouve pour la première fois écrite la mention « Villa Albares (Albas) ».

En 1226, Guillaume de Laroque de Carcassonne cède les biens qu’il possède à Albas à l’abbaye de Lagrasse. Dans le courant du XIIIe siècle, le comte de Foix en est le seigneur, puis en 1271, Aymeric, vicomte de Narbonne redevient le seigneur légitime du Castrum d’Albaribus Ferreriarum (Albas les Ferrières).

L'église est consacrée à saint Paul, qui aurait été évangélisateur de Narbonne.

En 1503, Jean de Cascastel (village voisin) est cité comme seigneur du lieu. En 1523, Jean de Narbonne dit tenir du roi la seigneurie d’Albas. Au cours de ce siècle, Rogier de Lubès, baille d’Albas, organise une association intercommunale pour défendre les intérêts de la population ruinée par les guerres franco-espagnoles. Le village de pisé est détruit, les habitants s’installent dans le castrum.

Le , le parlement de Toulouse attribue des biens de la famille Bellisens, dont Albas, à Pons Thomas Joseph Dadvisard.

Au XVIIe siècle, Richelieu décide de reconquérir le Roussillon, Narbonne devient la place forte du dispositif français. Dans une ordonnance du , Louis XII place Albas dans la liste des localités dépendant de Narbonne.

À la Révolution, les biens de la famille Dadvisard sont confisqués, Albas les Ferrières devient une commune.

En 1830, la culture de la garouille (chêne nain qui fournissait le colorant vermillon) et la fabrication du charbon constituent l’activité économique principale d’Albas, avec la culture de la luzerne et l’élevage (chèvres pour le lait, ovins pour la viande, mulets pour les déplacements).

L’exploitation du fer qui se bornait à recueillir le minerai à fleur de roche (ferrières) au Moyen Âge, laisse place au début du XXe siècle à des mines sur le plateau de Lacamp. Le fer était emporté par chariots et par la petite voie ferrée reliant Durban à Tuchan, jusqu’en 1930. La voie ferrée est délaissée au profit des premiers camions, les mines deviennent trop coûteuses, elles sont abandonnées en 1930. Les puits de mine ont été fermés, seuls quelques initiés savent y pénétrer par des galeries discrètes. On peut apercevoir les restes d’une carrière de marbre rose sur la route de Cascastel, près du village.

Les Templiers et les Hospitaliers

En 1196, la vicomtesse Ermengarde de Narbonne fait don dans son testament du castrum (lieu fortifié) d’Albas, aux ordres militaires. Mais son neveu, Pierre de Lara, ne donnera qu’une partie d’Albas aux ordres Templiers et Hospitaliers. Une commanderie Saint Jean est mentionnée à Albas en 1243.

Au début du XVIIIe siècle, Albas fait partie de la baronnie de Talairan, et se place sous l’autorité spirituelle de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. C’est pourquoi l’actuel blason d’Albas représente une croix de Malte blanche sur fond rouge.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune d'Albas est membre de la communauté de communes de la Région Lézignanaise, Corbières et Minervois[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Lézignan-Corbières. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[29].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Narbonne, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 4].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Corbières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la première circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[30].

Liste des maires

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Jean-Claude Montlaur PS  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 78 habitants[Note 8], en évolution de +2,63 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
197210241296346391387357328
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
269274240243228269231191184
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
170164174153136175161125112
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
887259727059757976
2014 2019 2021 - - - - - -
767978------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Population : viticulteurs, éleveurs, maçons, retraités de divers pays d'Europe, familles en vacances l'été.

Enseignement

Manifestations culturelles et festivités

Santé

Sports

Économie

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 5] 2 % 10 % 9,8 %
Département[I 6] 10,2 % 12,8 % 12,6 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 40 personnes, parmi lesquelles on compte 58,5 % d'actifs (48,8 % ayant un emploi et 9,8 % de chômeurs) et 41,5 % d'inactifs[Note 9],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 8]. Elle compte 12 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 21, soit un indicateur de concentration d'emploi de 57,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 34,7 %[I 9].

Sur ces 21 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 52 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 71,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture

11 établissements[Note 10] sont implantés à Albas au [I 12]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,4 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 11 entreprises implantées à Albas), contre 14 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture

1988 2000 2010
Exploitations 17 6 7
Superficie agricole utilisée (ha) 114 79 262

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région viticole »[35]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[36]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 12] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 262 ha[36].

Deux troupeaux de moutons ouvrent une alternative à la viticulture qui était l'activité dominante du XXe siècle.

À la fin du XIXe siècle, le village comptait 600 habitants, 1 école et 3 curés habitaient la capélagne (presbytère). Avant la vigne, on y cultivait les céréales et la luzerne d'Albas était renommée.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason Blasonnement :
De gueules, à la croix de Malte d'argent bordée d'or.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Albas » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Albas » (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Albas » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Albas » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Albas » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
  4. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
  5. « Fiche communale d'Albas », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  6. Sandre, « la Berre »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  12. « Station Météo-France Durban-Corbières - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Orthodromie entre Albas et Durban-Corbières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France Durban-Corbières - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Orthodromie entre Albas et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  17. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Albas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR9112008 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  22. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune d'Albas », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF le « castillou Roumanissa et pinède de Durban » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF le « cours amont de la rivière de la Berre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF les « Corbières centrales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  29. « communauté de communes de la Région Lézignanaise, Corbières et Minervois - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  30. « Découpage électoral de l'Aude (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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