Neuf-Marché

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Neuf-Marché
Neuf-Marché
La mairie.
Blason de Neuf-Marché
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes des 4 rivières
Maire
Mandat
Dominique But
2020-2026
Code postal 76220
Code commune 76463
Démographie
Gentilé Novomarquiens
Population
municipale
656 hab. (2021 en diminution de 4,09 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 28″ nord, 1° 42′ 59″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 210 m
Superficie 17,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Neuf-Marché
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Neuf-Marché

Neuf-Marché est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Neuf-Marché est située dans la vallée de l'Epte.

Le territoire de la commune est limitrophe des ceux de 6 communes :

Hameau

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 762 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Étrépagny à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 774,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Neuf-Marché est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,8 %), terres arables (29,9 %), prairies (25,7 %), zones urbanisées (2 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Neuf-Marché[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Novo mercato vers 1060[14], Novo Mercato en 1113, Novum Mercatum vers 1135, Novum Mercatum en 1172-1178, 1189, Novo Mercato vers 1240, Novum Mercatum en 1251, Novum Mercatum en 1363 et romanes Neufmarché en 1458-1459, Neufmarché en 1716, Neufmarché XVIIIe siècle, Neufmarché en 1757, Neufmarché en 1953[15],[16],[14],[17].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale évoquant un « marché neuf »[16],[14],[18],[17],[Note 3]. Ce type toponymique est bien attesté en France (et plus généralement, en Europe), à de très nombreuses reprises (cf. Newmarket, Neumarkt). cf. Bernard de Neuf-Marché, appelé parfois Bernard de Newmarket ou de Newmarch en anglais.

La prononciation traditionnelle, en voie de disparition, est « Neu-mar-ché » [nømaʁ'ʃe][18]. Jusqu'aux années 1950, la graphie était Neufmarché.

Vardes[modifier | modifier le code]

Vardes est attesté sous les formes Warandra en 1152, ad Gardes en 1210 et Wardres vers 1240[19]. C'est une ancienne paroisse réunie à Neuf-Marché en 1823. François de Beaurepaire considère qu’il s'agit du normand vardes (anciennement wardes) signifiant « gardes »[19], malgré la forme contradictoire de 1152, mais cette hypothèse est confirmée par la mention de 1210 et par la localisation sur la frontière normande de l'Epte qui passe à cet endroit[19].

En 1823, la paroisse de Vardes est absorbée par Neuf-Marché[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte postale du village vers 1920.

Le nom de « Neufmarché » est attesté en 1060, et en 1065, le lieu, qu'Orderic Vital note un siècle plus tard castrum quod Novus-Mercatus dicitur[20], était déjà fortifié[21].

Une voie gallo-romaine y passait, reliant Lyons-la-Forêt à Espaubourg pour la communication de Beauvais à Rouen en passant l'Epte au pont de Bretel situé sur la commune de Saint-Pierre-es-Champs.

En 1064, le duc Guillaume, qui allait prendre le surnom de Conquérant, retira Neuf-Marché des mains de la famille de Geoffroy de Neuf-Marché et le fils de celui-ci, Bernard dont la mère est une cousine éloigné du Conquérant, finira par s'exiler en Angleterre, puis au pays de Galles. Guillaume, constatant que les habitants de Beauvais faisaient tous leurs efforts pour ravager les frontières du duché, confia à plusieurs de ses barons, pour le défendre, le château de Neuf-Marché, après en avoir expulsé, pour une légère offense, Geoffroi qui en était l'héritier naturel. L'entreprise des barons ne réussit guère qu'une année, à cause des habitants de Milly et de Gerberoy et d'autres lieux voisins qui infestaient le pays.
Il confie alors le fort à Hugues de Grandmesnil et Gérold, le Sénéchal. En l'espace d'un an, ils firent prisonniers les deux principaux seigneurs du Beauvaisis, et rétablirent dans le pays une tranquillité parfaite, après avoir battu les autres ennemis.

En 1088, Hugues de Grandmesnil décide de remplacer les chanoines de la collégiale par des moines bénédictins[22].

En 1118-1120, le château de Neuf-Marché est reconstruit par Henri Ier d'Angleterre pour défendre le passage de l'Epte et mettre la Normandie à couvert des hostilités des rois de France. Guillaume de Roumare en devient le gardien. Cependant en 1122, il entre dans la conjuration de la Croix-Saint-Leufroy[23] avec Galéran de Beaumont comte de Meulan, Hugues III de Montfort, Hugues de Neufchâtel, Guillaume Louvel, Baudry de Bray[24], Thibaud Ier dit Payen de Gisors[25], et plusieurs autres qui se prononcèrent ouvertement contre l'usurpation de Henri Ier d'Angleterre, avec lesquels, pendant deux ans, il mène des raids dévastateurs depuis Neuf-Marché[26].

Après avoir maté la rébellion, Henri Ier d'Angleterre remanie la collégiale en 1128.
Après un accord de paix, en 1154, entre Henri II et Louis VII par lequel le roi d'Angleterre récupère Vernon et Neuf-Marché[27], c'est dans la collégiale Saint-Pierre de Neuf-Marché que, le , Henri d'Angleterre, âgé de trois ans, fils de Henri II Plantagenêt est fiancé à Marguerite de France, âgée de quelques mois, fille de Louis VII de France.
C'est dans cette même collégiale, en , qu'a lieu le concile validant l'élection du pape Alexandre III et annulant l'élection de l'antipape Victor IV.

En 1195, Philippe Auguste prend Neuf-Marché à Richard Cœur de Lion et le donne à Guillaume III de Garlande en 1198. En 1200, Philippe Auguste, donna à un seigneur de la Lande[28], Tourville-la-Campagne en échange de Neuf-Marché.

En janvier 1290, à Rouen, Isabeau de Beaumont-Gâtinais fait un échange de son château et garenne de Neufmarché-sur-Epte, avec Philippe le Bel[29],[30].

En 1419, Henri V d'Angleterre assiège et reprend Neuf-Marché et détruit la forteresse.

Aux lieux-dits les Flamants de Neuf-Marché et la Rougemare commune de Mainneville, eut lieu le le surprenant combat de la Rougemare et des Flamants entre un commando allemand et la gendarmerie française[31].

En 1823, la paroisse de Vardes est absorbée par Neuf-Marché.

Le plus ancien seigneur connu de Vardes est Germer de Fly (mort entre 658 et 664), fils de Rigobert qui est un allié du roi Clotaire, est né à Vardes. Après avoir été courtisan et ministre, il devint moine et saint. Il fut premier abbé de l'abbaye Saint-Germer-de-Fly et conseiller des rois Dagobert et Clovis II[21].

En 1485, il y avait à Vardes une église paroissiale dédiée à la Sainte-Vierge qui fut désaffectée à la Révolution[21].

Au XVIe siècle, la seigneurie passe aux mains du vice-amiral de France Charles Crespin du Bec et de la famille Crespin du Bec.

On sait que le château de Vardes était existant au XIe siècle, en raison de la présence actuelle d'une tour d'angle datée de cette époque. Il a été ensuite remanié aux XVe, XVIe et XVIIe siècles[32]. L'allée de châtaigniers a été plantée en 1805. Le parc comporte des poiriers dont le plus ancien aurait 400 ans[33]. Jacqueline de Bueil maîtresse officielle d'Henri IV puis épouse de René II Crespin du Bec, marquis de Vardes, y serait morte empoisonnée[34],[35].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1936 octobre 1947 Georges Heuillard Radical Directeur de coopérative agricole
Député de la Seine-Inférieure (1951 → 1952)
Conseiller général de Gournay-en-Bray (1937 → 1940 et 1945 → 1952)
octobre 1947 mai 1953 Louis Dumont DVD  
mai 1953 1972 Claude Heuillard Parti radical Fils de Georges Heuillard, négociant en grains
Député de la Seine-Maritime (10e circ.) (1958 → 1962)
Conseiller général de Gournay-en-Bray (1952 → 1987)
1972 mars 1977 Jacques Heuillard RPR  
mars 1977 1982 Claude Heuillard UDF Négociant en grains
Conseiller général de Gournay-en-Bray (1952 → 1987)
1982 mars 1989 Marcel Fasquelles DVD  
mars 1989 juin 1995 Françoise Châtel de Brancion DVD  
juin 1995 mai 2020[36] Didier Degry UMP  
juillet 2020[37],[38] En cours
(au 10 août 2020)
M. Dominique But   Retraité

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

En 2021, la commune comptait 656 habitants[Note 4], en diminution de 4,09 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
816709716616792766801811745
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
697718724720657656629621623
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
586559588592620602619646565
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
600569536514568635671676696
2017 2021 - - - - - - -
667656-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Neuf-Marché

Les armes de la commune de Neuf-Marché se blasonnent ainsi :

D'azur au château de trois tours d'or ouvertes de sable, celle du centre plus haute, posées sur une burelle ondée d'argent ; au chef cousu de gueules chargé d'un léopard d'or.

Devise : "Novus mercatum potentissimum poene inexpugnabile" (Neuf Marché puissance presque imprenable).


Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armes de la Normandie.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les sources non spécialisées en toponymie qui cherchent à faire correspondre la situation géographique avec la nature du toponyme en y voyant une marche au sens de « frontière », ne tiennent pas compte des formes anciennes impliquant le sens de « nouveau marché », ni du fait que la forme normande de marche au nord de la ligne Joret est marque, comme pour Marques, commune située à 47 km au nord de Neuf-Marché. Neuf-Marché est effectivement située au nord de cette isoglosse.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Neuf-Marché et Étrépagny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 115.
  15. Charles de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984, p. 715. [1]
  16. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 993a.
  17. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II, chapitre IX « commerce, circulation » I « Marchés », p. 1359, n° 25236 [2]
  18. a et b René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 186a
  19. a b c et d François de Beaurepaire, op. cit., p. 159
  20. Orderic Vital, Historiæ ecclesiasticæ, 1123/1141, éd. Auguste Le Prévost et Léopold Delisle, Jules Renouard, Paris, t. II, 1840, p. 112.
  21. a b et c Nicolas René Potin de la Mairie : Recherches historiques sur la ville de Gournay-en-Bray (suppléments) page 489 et suivantes Gournay, Veuve Folloppe, 1844.
  22. Vincent Bernard et Frédéric Épaud, Une charpente sculptée du XIe siècle : l'église Saint-Pierre de Neufmarché-en-Lyons
  23. Nobiliaire universel de France Volume 2 page 43
  24. François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, volume 3, page 147
  25. Seigneurs de Gisors sur racineshistoire.free.fr page 2
  26. François Farin, Histoire de la ville de Rouen, volume 1, page 63
  27. Gillingham 1984, p. 21.
  28. Famille des Landes sur racineshistoire.free.fr
  29. Gilles André de la Roque, Histoire généalogique de la maison de Harcourt, t. 1, Paris, 1662, p. 278
  30. Bertrand Pâris, Mémoriaux de la Chambre des comptes de Normandie, T2, p. 29-30
  31. La Normandie dans la Grande Guerre
  32. Notice no PA76000059, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. Le poirier du château de Vardes, Neuf-Marché (Seine-Maritime)
  34. Les Historiettes/Tome 1/15
  35. Henri Pigaillem, Dictionnaire des favorites
  36. « Municipales 2020. Maire depuis 25 ans à Neuf-Marché, Didier Degry a décidé de passer la main : Lors de ses vœux à la population, le maire Didier Degry a annoncé qu'après 48 années de vie municipale dont 25 en tant que maire, il a pris la décision de ne pas se représenter », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Sébastien Aliome, « Municipales 2020. Dominique But souhaite apporter un souffle nouveau à Neuf-Marché : 1er adjoint au maire de Neuf-Marché (près de Gournay-en-Bray), Dominique But a décidé d'être candidat et tête de liste lors des élections municipales de mars prochain. Rencontre », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Frédéric Épaud, De la charpente romane à la charpente gothique en Normandie, CRAHM, 2007 (ISBN 978-2-902685-39-4) p. 251-264
  44. Notice sur le site de l'Assemblée nationale
  45. Notice sur le site de l'Assemblée nationale