Arbin

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Arbin
Arbin
Vue depuis hauteurs de Montmélian.
Blason de Arbin
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Savoie
Maire
Mandat
Carlo Appratti
2020-2026
Code postal 73800
Code commune 73018
Démographie
Population
municipale
791 hab. (2021 en diminution de 0,75 % par rapport à 2015)
Densité 463 hab./km2
Population
agglomération
220 118 hab. (2013)
Géographie
Coordonnées 45° 30′ 33″ nord, 6° 04′ 03″ est
Altitude Min. 271 m
Max. 499 m
Superficie 1,71 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montmélian
(banlieue)
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montmélian
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Arbin

Arbin est une commune française située dans le département de la Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Territoire de la commune, entre l'Isère et les pentes du massif des Bauges.

Arbin est une petite commune (moins de 200 hectares) située tout près de la petite ville de Montmélian, dans cette partie de la vallée de l'Isère connue sous le nom de combe de Savoie. Cette commune est sur un versant exposé au sud. La combe de Savoie est située dans le sillon alpin géologique et est connue pour la qualité des vins qu'elle produit.

Arbin avait une population de 790 habitants en 2011 (recensement et INSEE). Ce village a été bâti au pied de la montagne de la Thuile, sur les derniers contreforts du massif préalpin des Bauges. Son église domine d'une façon pittoresque les vieilles maisons de la partie ancienne de la commune. En face d'Arbin, de l'autre côté de la rivière Isère, se dressent les sommets neigeux des Alpes de Maurienne et de la chaîne de Belledonne.

Le Grésivaudan et la combe de Savoie forment une seule et même vallée, dans le sillon alpin géologique. Ces deux régions sont simplement séparées par 1000 ans d'histoire : le Grésivaudan (province du Dauphiné) était en France et la Combe de Savoie dans le duché de Savoie jusqu'en 1860 (année durant laquelle la Savoie est devenue française).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 229 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montmelian », sur la commune de Montmélian à 1 km à vol d'oiseau[3], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 987,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Arbin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montmélian, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[10] et 5 938 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (31,2 %), zones urbanisées (26,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,9 %), cultures permanentes (18,8 %), eaux continentales[Note 3] (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Anciennes formes Erbins (XIe siècle), Albinum (XIIe siècle) ou encore Arbino (XIVe siècle)[16].

Le toponyme dérive du nom d'Albinus, ayant passé à celui de la villa[16].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Arbin, selon la graphie de Conflans[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'histoire de la région et notamment d'Arbin ont été approfondies par deux érudits locaux, l'abbé Félix Bernard[18], qui fut curé d'Arbin (1949-1956)[19], et l'abbé Philibert Falcoz[20].

La combe de Savoie appartient est peuplée par les Celtes « Allobroges » (âge du fer). Avec la conquête romaine de l'Allobrogie, la région devint romaine, puis gallo-romaine.

De la période celte Allobroge, la vallée a conservé sa vocation viticole. En revanche sa vocation minotière, créée sous les Romains, s'est éteinte vers 1940-1945.

Selon l'historien local Félix Bernard, les villages fortifiés sans ciment, étaient appelés « meillans »[21]. Ces villages étaient établis tous les 5 à 6 kilomètres environ, le long des plus anciens chemins. Certains ont gardé leur nom antique. Le « meillan d'Arbin » a pu transmettre ce qualificatif à la petite ville limitrophe de Montmélian. Le nom d'une autre commune voisine Myans, viendrait aussi de ce vocable. Les « meillans » et les cités lacustres du lac du Bourget (Savoie) ou du Léman (France et Suisse) étaient contemporains.

Antiquité[modifier | modifier le code]

Dès 121 av. J.-C., les Romains soumettent les Allobroges et les incorporent à la « Provincia Romana ». La future Savoie forme alors un important nœud routier conduisant d'Italie à Genève et à Vienne. Les Allobroges et les Romains se sont fondus ensemble dans une culture gallo-romaine. Les Allobroges connaissaient la culture de la vigne et le travail du fer.

À Arbin existait une des stations romaines qui s'échelonnaient tout le long de la voie romaine secondaire reliant les cités de Mediolanum (Milan) à Vienna (Vienne), en passant par le col du Petit-Saint-Bernard[22]. Les Romains avaient apporté le principe de la roue hydraulique, ainsi des moulins sont construits à Arbin où coule une rivière nommée Crousaz (ou Crousa).

Pour l'abbé Bernard, le toponyme Mérande aurait une consonance celte[22]. En 1869 et en 1870, des fouilles ont fait apparaître des traces d'une villa gallo-romaine, comprenant environ 70 pièces. Des grandes mosaïques furent retrouvées dans cette villa. Plus récemment, de 1970 à 1972, de nouvelles fouilles ont mis au jour un abondant matériel : monnaies, céramiques, fragments de verre, objets en fer, objets de parure. De nouvelles fouilles systématiques sont reprises de 1977 à 1981 par le club d'archéologie Vaugelas de Chambéry, sous la direction de Jacques Pernon. Elles ont permis la découverte de nouveaux bâtiments et le tracé d'un réseau hydraulique complexe et bien conservé (adductions, bassins, évacuations). Cette villa gallo-romaine a été datée du IIe siècle. De nouvelles constructions gallo-romaines ont été découvertes lors de la création d'un lotissement à Mérande en 2002.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, Arbin comprend : le prieuré de Saint-Nicolas d'Arbin fondé en 1011 par Evrard, évêque de Maurienne, la maison forte du Crest, centre de la seigneurie du Crest, citée en 1310[réf. nécessaire], celle de Mérande, centre de la seigneurie de Mérande, citée en 1262[réf. nécessaire], celle de La Candia (dépendante du Crest).

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Le prieuré Saint-Nicolas a disparu. Le château fortifié du Crest, démantelé sur ordre des Français est devenu une gentilhommière. Une ferme du XVe siècle a remplacé le manoir féodal de Mérande.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Arbin conserve ses vocations antérieures, à l'exception de l'industrie minotière qui disparaît entre 1940 et 1945. En revanche la vocation résidentielle s'accentue et de très nombreuses maisons sont construites. Des industries s'installent dans le fond de la vallée. La viticulture se dynamise et se modernise. Le vin rouge « Mondeuse d'Arbin » est appréciée par les connaisseurs.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Bâtiment de la mairie.

La commune est membre de la Communauté de communes Cœur de Savoie. Elle appartient au Territoire du Cœur de Savoie, qui regroupe une quarantaine de communes de la Combe de Savoie et du Val Gelon[23].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 ? Pierre Magnin DVD Conseiller général du canton de Montmélian (2001-2004)
mars 2001 En cours
(au avril 2014)
Carlo Apprati    

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Résultats des derniers scrutins électoraux dans la commune
1er score 2e score Participation
Élections municipales de 2020 95,71 % pour Louis Roget (SE) 92,50 % pour Alain Dupont (SE) 47,56 %
Élections départementales de 2021 51,48 % pour Jean-François Duc et Béatrice Santais (DVG) 48,52 % pour Jean-Pierre Guillaud et Nadège Jay (DVD) 38,41 %
Élections régionales de 2021 54,80 % pour Laurent Wauquiez (UD) 31,20 % pour Fabienne Grebert (UG) 40,52 %
Élections européennes de 2019 24,86 % pour Jordan Bardella (FN) 21,04 % pour Nathalie Loiseau (LREM) 62,25 %
Élections législatives de 2022 65,53 % pour Émilie Bonnivard (LR) 34,47 % pour Nathalie Krawezynski (NUP) 59,02 %
Élection présidentielle de 2022 53,72 % pour Emmanuel Macron (LREM) 46,28 % pour Marine Le Pen (RN) 79,27 %

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 791 habitants[Note 4], en diminution de 0,75 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
439517518566639704606597606
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
565557519485447440453468429
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
371337318296318375363322553
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
732815713752757797777791-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Les vignobles d'Arbin au pied des Bauges.

Arbin est une commune viticole dont les coteaux sont situés sur les pentes du massif des Bauges.

Le commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[28],[29].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Nicolas.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Association de l'Histoire en Cœur de Savoie, 1000 ans d'histoire en Cœur de Savoie, Neva Éditions, , 1027 p. (ISBN 2-3505-5281-0 et 978-2-35055-281-1, OCLC 1202710836), « Arbin », p. 72-103
  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 284-286. ([PDF] lire en ligne)
  • Philibert Falcoz, Notice sur la Commune d'Arbin, 1911, 38 pages (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Arbin et Montmélian », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Montmelian », sur la commune de Montmélian - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Montmelian », sur la commune de Montmélian - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Montmélian », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Chambéry », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 31..
  17. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  18. Notice sur data.bnf.fr.
  19. Bulletin de l'Académie delphinale, Grenoble, p. 63, notice « Félix Bernard ».
  20. Notice sur data.bnf.fr.
  21. Félix Bernard, « Enceintes préceltiques : Trois clos, trois enceintes préceltiques ou Meillan : d'Arbin, de Cruet, de St-Pierre-d'Albigny. », paru dans Société dauphinoise d'ethnologie et d'archéologie de Grenoble, 1962, pp. 77-80.
  22. a et b Histoire de communes savoyardes 1984, p. 284.
  23. Direction départementale des Territoires de la Savoie, « Territoire du Coeur de Savoie », sur le site de la Direction départementale des Territoires - observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr (consulté en ), Observatoire des Territoires de la Savoie.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  29. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  30. Françoise Dantzer, Les Bauges : Terre d'art sacré, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 251 p. (ISBN 978-2-84206-272-9), p. 74.