Abergement-la-Ronce

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Abergement-la-Ronce
Abergement-la-Ronce
La mairie et l'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Dole
Intercommunalité Grand Dole
Maire
Mandat
Joëlle Lepetz
2020-2026
Code postal 39500
Code commune 39001
Démographie
Gentilé Abergeois
Population
municipale
841 hab. (2021 en augmentation de 1,69 % par rapport à 2015)
Densité 118 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 04′ 15″ nord, 5° 22′ 11″ est
Altitude Min. 186 m
Max. 195 m
Superficie 7,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dole
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tavaux
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Abergement-la-Ronce
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Liens
Site web ville-abergement-la-ronce.fr

Abergement-la-Ronce est une commune française située dans le département du Jura en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle fait partie de la région culturelle et historique de Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune d'Abergement-la-Ronce, délimitée au nord par la frontalière du département de la Côte-d'Or (Bourgogne-Franche-Comté) et au sud par le Bief Noir, fait partie du Pays Dolois, région naturelle du Nord-Ouest de la plaine jurassienne, et plus précisément de sa partie ouest dite le Finage[1].

Les villes les plus proches sont Damparis (4,5 km), Tavaux (6,4 km), et Dole, sous-préfecture du département (11 km).

Cours d'eau et forêts[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le canal du Rhône au Rhin ainsi que les ruisseaux Turlurot, Bief-Salé, Bief-Noir et La Blaine. Forêt et bois couvrent 91 ha de son territoire.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 712 hectares ; l'altitude varie entre 186 et 195 mètres[2].

Située dans la plaine du Finage, la commune dispose de sols profonds et bruns favorables aux céréales (maïs, blé), au colza, à la betterave sucrière et aux cultures légumières[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 889 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tavaux Sa », sur la commune de Tavaux à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 868,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,2 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Abergement-la-Ronce est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dole, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 87 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (39,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (42,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (30,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (28,2 %), forêts (22,9 %), zones urbanisées (11,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), prairies (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 331, alors qu'il était de 283 en 1999[a 1].

Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 8,0 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 87,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,9 % des appartements[a 2].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 82,3 %, en légère hausse sensible par rapport à 1999 (80,7 %). La part de logements HLM loués vides était de 2,6 % contre 0,0 %[a 3].

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies[modifier | modifier le code]

27 Odonymes recensés à Abergement-la-Ronce
Allée Avenue Boulevard Chemin Impasse Montée Passage Place Route Rue Ruelle Autres Total
0 0 0 2 2 0 0 2 0 21 0 0 27

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est accessible par les routes D 220 (Saint-Aubin - Dole) et D 220E (Abergement-la-Ronce - Saint-Symphorien-sur-Saône), ainsi que par l'EuroVelo 6 et le canal du Rhône au Rhin, qui la traversent. Les autres infrastructures de transport les plus proches sont l'échangeur de Dole-Choisey (A39, sortie no 6), à 13 km, la gare TGV de Dole-Ville, à 12 km, ainsi que l'aéroport de Dole-Jura, à 5,6 km[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Abergement-la-Ronce est composé du nom Abergement, issu de l'ancien français Albergement, évoquant un lieu d'accueil pour les voyageurs, auquel est adjointe la-Ronce, en référence aux broussailles épineuses qui jonchaient le terrain, avant que le village n'y soit construit[17]. Selon la période et le scribe, le toponyme est aussi orthographié Albergement, Labergement, L'Abergement de la Ronce, Abergement de la Ronce, ou Labergement-la-Ronce.

Histoire[modifier | modifier le code]

Monographie historique[modifier | modifier le code]

Mairie (photographie infrarouge).

Bien que la voie romaine reliant Dijon à Monts-Jura traverse son territoire, le village n'est fondé qu'au XIIIe siècle.

Sous l'Ancien Régime, le village appartient au comté de Bourgogne, alors territoire du Saint-Empire romain germanique. Il dépendait pour les affaires temporelles de la seigneurie de Gevry, dans le bailliage de Dole, et pour les affaires spirituelles de la paroisse de Tavaux[18], du doyenné de Neublans, de l’archidiaconé de Gray, du pagus d’Amous et du diocèse de Besançon[17].

De par sa proximité avec le duché de Bourgogne et le royaume de France, le village n'est pas épargné par les nombreuses guerres, qui opposent les Comtois aux Bourguignons, puis aux Français, depuis sa fondation jusqu'à la conquête définitive de la Franche-Comté, par Louis XIV, en 1674.

En 1736, Abergement-la-Ronce devient une paroisse indépendante[17], et l'église Saint-Jean-Baptiste actuelle est édifiée sur une ancienne. Vers 1800 est creusé le canal du Rhône au Rhin traversant le village. Cette réalisation a nécessité la déviation sur sa rive droite du ruisseau La Blaine, alimentant le moulin du Turlurot, contraint de cesser son activité.

Entre 1875 et 1878, la filature et fabrique de feutre Châtelet est construite au nord du village, avant d'être reprise par la famille Strüver de 1895 à 1960, puis par la S.C.I. d'Abergement-la-Ronce, créée l'année même entre P.A.V. et E.J. Monnoyeur, qui en fait une blanchisserie industrielle du chiffon d'essuyage, en proie aux flammes en 1972, 1977 et 1984, puis reprise par Michel Falconnet, en 1998.

En 1889, une première compagnie de pompiers est fondée, dissoute puis reconstituée en 1934. Entre 1926 et 1978, 215 ha de l'usine d'industrie chimique Solvay, est construite au nord-est du village. Ces deux sites industriels figurent tous deux à l'Inventaire général du patrimoine culturel (IGPC), depuis le [19].

Dans les années 1970, le centre administratif Georges-Fèvre est érigé à l'emplacement de l'ancien presbytère. Depuis 1997, Abergement dépend pour les affaires spirituelles, avec Aumur et Damparis, de la paroisse Abbaye de la Trinité, placée sous le vocable de Saint-Sébastien.

Au début des années 2000, une halte-nautique est construite sur l'une des rives du canal. En 2005, la compagnie de sapeurs-pompiers est dissoute au profit de celle de Saint-Aubin[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire actuel
Période Identité Étiquette Qualité
2008 juin 2020 Jean-Louis Bouchard SE Retraité, réélu en 2014[21]
juin 2020 En cours Joëlle Lepetz    

Parti=SE

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections européennes de 2019, Abergement-la Ronce possède un taux de participation supérieur à la moyenne (56,00 % contre 50,12 % au niveau national). La liste du Rassemblement National y arrive en tête, avec 33,83 % des suffrages exprimés, contre 23,31 % au niveau national. La liste de La République en Marche obtient 12,57 % des voix, contre 22,41 % au niveau national. Debout la France, obtient 8,38 % des votes contre 3,51 % au niveau national. La liste des Républicains obtient 7,78 % des suffrages, contre 8,48 % au niveau national. La liste d'Europe-Ecologie-Les Verts réalise un score de 7,49 % des voix, contre 13,48 % au niveau national. La liste de la France Insoumise obtient 7,19 % des votes, contre 6,31 % au niveau national. La liste du Parti Socialiste obtient 6,29 % des voix contre 6,13 % au niveau national. Les autres listes obtiennent des sores inferieurs à 5 %[22].

Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[23] :

Candidat Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Marine Le Pen (FN) 162 31,76
François Hollande (PS) 115 22,55 218 46,48
Nicolas Sarkozy (UMP) 107 20,98 251 53,52
Jean-Luc Mélenchon (FG) 49 9,61
François Bayrou (MoDem) 42 8,24
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) 20 3,92
Philippe Poutou (NPA) 8 1,57
Jacques Cheminade (SP) 3 0,59
Eva Joly (EÉLV) 3 0,59
Nathalie Arthaud (LO) 1 0,20
Inscrits 601 100,00 601 100,00
Abstentions 83 13,81 87 14,48
Votants 518 86,19 514 85,52
Blancs et nuls 8 1,54 45 8,75
Exprimés 510 98,46 469 91,25

Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[24] :

Candidat Premier tour Deuxième tour
% Voix % Voix
Marine Le Pen (FN) 33,58 179 51,70 243
Emmanuel Macron (EM) 16,89 90 48,30 227
Jean-Luc Mélenchon (LFI) 16,70 89
François Fillon (LR) 15,01 80
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) 9,76 52
Benoît Hamon (PS) 3,75 20
Jean Lassalle (RES) 1,69 9
Philippe Poutou (NPA) 1,50 8
François Asselineau (UPR) 0,94 5
Nathalie Arthaud (LO) 0,19 1
Jacques Cheminade (SP) 0,00 0
Inscrits 639 100,00 639 100,00
Abstentions 97 15,18 105 16,43
Votants 542 84,82 534 83,57
Blancs 8 1,48 47 8,80
Nuls 1 0,18 17 3,18
Exprimés 533 98,34 470 88,01

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 841 habitants[Note 4], en augmentation de 1,69 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
254218291283365331335316303
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
324326333326383397375391370
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
346334332295277358297322351
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
417454610677667735744775845
2021 - - - - - - - -
841--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Abergement-la-Ronce dispose d'une grande école primaire publique, accueillant une centaine d'élèves. Le collège public du secteur est le collège Jean-Jaurès de Damparis. Les lycées publics les plus proches sont Jacques-Duhamel et Charles-Nodier, à Dole.

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

L'animation du village est assurée par le Foyer rural qui propose de nombreuses activités récréatives (chorale, pétanque etc.), l'Amicale des Anciens Sapeurs-Pompiers, l'Association Communale de Chasse Agréée, le Football Club, l'Union Sportive Tavaux Damparis Abergement, ainsi que les associations de parents d'élèves, "De fil en aiguilles" et "Les bons vivants"[29].

Concernant les infrastructures, la commune met à disposition les salles du centre administratif et culturel Georges Fèvre, un terrain de pétanque, un stade de football et rugby avec ses terrains d'entrainement, un court de tennis, un skatepark et deux aires de jeux.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 31 994 , ce qui plaçait Abergement-la-Ronce au 10 713e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[30].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 466 personnes, parmi lesquelles on comptait 72,0 % d'actifs dont 67,4 % ayant un emploi et 4,6 % de chômeurs[a 4].

Abergement appartient au bassin d'emploi de Dole. On comptait 53 emplois dans la zone d'emploi, contre 131 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 316, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 5] est de 16,8 %, ce qui signifie que la zone d'emploi n'offre qu'un emploi pour six habitants actifs[a 5].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Au , Abergement-la-Ronce comptait 36 établissements : cinq dans l’agriculture-sylviculture-pêche, huit dans l'industrie, quatre dans la construction, quinze dans le commerce-transports-services divers et quatre étaient relatifs au secteur administratif[a 6].

En 2011, 8 entreprises ont été créées à Abergement-la-Ronce[a 7], dont 7 par des autoentrepreneurs[a 8].

En dehors des structures administratives et publiques, la commune accueille sur son territoire trois exploitations agricoles, l'usine Solvay, la blanchisserie Monnoyeur, une boulangerie, un salon de coiffure (Coiffellia), ainsi que les entreprises Michel Wawrzyniak (travaux publics et balayage), Olivier Travaux (travaux publics), Canault père et fils (plâtrerie, peinture, vitrerie) et Dominique Chalumeau (tapisserie, rideaux).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint Jean-Baptiste, début XVIIIe siècle (1707). Son clocher abrite deux cloches, baptisées en 1872 (une Richebourg-Petifourt et une Jacob Holtzer et Cie).
  • L'usine Strüver (auj. S.A. Monnoyeur), mi-XIXe siècle (IGPC depuis 1995). Ancienne filature.
  • L'usine Solvay, début XXe siècle (IGPC depuis 1995)[19].
  • Croix du cimetière (1862).
  • Monument aux morts. Sis rue du Centre, il comporte 16 individus (12 morts pendant la Première Guerre mondiale et 4 pendant le Seconde Guerre mondiale).
  • Sentier de la Ronce (arboretum avec des panneaux réalisés par l'ONF de Côte-d'Or).
  • Place Joseph-Gaudillier.
  • Pont bascule (ancien poids public).
  • Pont sur le canal du Rhône au Rhin.
  • Ecluse.
  • Halte nautique.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Insee[modifier | modifier le code]

  1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  5. EMP T5 - Emploi et activité.
  6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

Autres références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Article le Dolois sur www.keldelice.com
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Abergement-la-Ronce et Tavaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Tavaux Sa », sur la commune de Tavaux - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Tavaux Sa », sur la commune de Tavaux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Carte topographique mappy
  17. a b et c A. Rousset, Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent, Tome 1 Département du Jura, Bintot, Besançon, 1853.
  18. Et non de celle de Saint-Aubin comme le prétend Rousset.
  19. a et b Base Mérimée du ministère de la Culture
  20. a et b Abergement la Ronce, un certain standing... in Pays Dolois, no 142, Dole, octobre 2012.
  21. « Résultats de l'élection municipale de 2014 à Abergement-la-Ronce », sur leprogres.fr (consulté le ).
  22. « Abère : Découvrez les résultats des élections Européennes 2019 », sur LCI (consulté le ).
  23. Ministère de l'Intérieur - Jura (Franche-Comté), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Abergement-la-Ronce » (consulté le ).
  24. Ministère de l'Intérieur - Jura (Bourgogne-Franche-Comté), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Abergement-la-Ronce » (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Les associations d'Abergement-la-Ronce sur le site de la Communauté d'Agglomération du Grand Dole
  30. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).