Aller au contenu

Momordica charantia

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 19 juillet 2022 à 11:48 et modifiée en dernier par VirguloMane (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Margose, melon amer

La margose, ou le melon amer / momordique (momordica charantia), est une plante potagère grimpante de la famille des cucurbitaceae, cultivée dans les climats chauds ou tempérés en plante annuelle. Le terme "margose" désigne la plante et le fruit, la plante est parfois nommée improprement margosier qui désigne en créole de l'Océan indien le mélia (Melia azedarach. L)[1].

Le fruit, la feuille et les graines sont comestibles et amers (le mucilage rouge qui entoure la graine est la seule partie douce de la plante). Cette amertume provient des momordicines, substances proches de la quinine. La margose est connue pour ses qualités culinaires et pour ses propriétés thérapeutiques en médecine traditionnelle, notamment dans le traitement du diabète et de certains cancers.

Dénomination

Un margose complet avec deux sections coupées en deux et deux transversales
Graine de margose

Momordica proviendrait du latin momordi : je mors, en référence à la forme des graines rugueuses et échancrées qui donnent l'impression d'avoir été grignotées[2].

Jeunes fruits spontanés
Couleur orange du fruit mûr

Charantia : origine incertaine. Charantia est donné comme mot italien par Rembert Dodoens[3] (de l'italien arancia, orange, couleur du fruit mûr)[4], l’hypothèse d'un nom donné par Hendrik Van Reed — largement postérieur à Dodoens — à partir du vocabulaire du Kerala : Karandakai, Karandakata[5] (repris plus tard par Linné) n'est pas soutenable. Au XIXe siècle l'orthographe M. charentia est fréquente.

Margose de l'indo-portugais amargosa, margosa (amer)[6], dont il reste momordica amarga, pepino amargo en espagnol[7], la plante et le fruit ont de nombreuses autres dénominations.

  • Pour ce qui est du français: concombre amer, momordique, margose à piquant[8], pomme de merveille, poire balsamique, concombre africain, courge amère, melon amer, paroka, mangé coolie aux Antilles françaises, sorossi en Guyane, assowossi à Haïti[9], fausse gombo (vernaculaire Kua ni un : boisson du serpent) en Nouvelle Calédonie[10], anyanran chez les Guins-Minas du sud-est du Togo, mbeurbeuf au Sénégal, margouézi à Mayotte. Margose est un mot féminin mais parfois masculin chez certains auteurs[11]. Auguste Paillieux et Désiré Bois donnent en 1899 la liste de noms suivante : Margose à piquant, Pandipane, Gatole, Caïquadu Pérou, Momordique à feuilles de vigne, Momordique Papaieb, Papareh Herya, Melon de San-Gaëtano, Karela (Hiiidostani), Karala (Bengalais)[12].
  • Dans les autres langues : Bitter gourd (anglais) équivalent à Bittermelone en allemand, 苦瓜, kǔguā ( = amer, =cucurbitacée, courge, melon) en chinois, qui a donné khổ qua en vietnamien et via l'okinawaïen gōya parlé au Royaume de Ryūkyū a donné en japonais gōyā (japonais ゴーヤー) en japonais[13] et en prononciation kun'yomi, typiquement japonaise des caractères chinois, nigauri. nom qui se retrouve au Brésil avec celui de nigauri et de melão de São Caetano, balsamina longa, erva de lavadiera en portugais continental, fun-kua au Pérou, cundeamor en Amérique Centrale, karela (hindi करेला), məreəh (ម្រះ) en khmer, máráʔ (มะระ) en thaï[14],[15].

À noter que concombre amer prête à confusion puisqu'il désigne également la coloquinte [16]. Quant à margose, le mot est aussi utilisé pour désigner la concombre balsamite Momordica balsamina et la pomme de Merveille Momordica vulgaris [17]. Le portugais margosa est un faux ami, il désigne le margousier (Azadirachta indica) .

Historique et domestication

Diverses espèces de Momordica sont récoltées et utilisées en Asie et en Afrique : M. charantia (riche en minéraux et vitamines), M. subangulata subsp. renigera, M. dioica (cultivée en Inde, et au Japon sous le nom de kakuroru カックロール[18]) et M. sahyadrica (les plus nutritives des courges), M. cochinchinensis (Gac, courge de la longévité et de la vitalité)[19] pour l'Asie, M. foetida, M. rostrata et autres espèces sauvages pour l'Afrique[20]. M. charantia et M. balsamina sont monoïques, alors que M. dioica, M. sahyadrica, M. cochhinchinensis et M. subangulata sont dioïques. M. charantia est la seule espèce domestiquée, son origine serait africaine et ancienne, une longue migration l'a conduite en Asie[21].

Selon une étude du génome de 43 échantillons de M. charantia du sud chinois, du Népal et du Laos, la domestication aurait été faite en un centre unique, les anciens cultivars népalais sont plus éloignés du type sauvage que les chinois[22]. Un centre de primo-domestication à l'est de l'Inde serait confirmé par la forte biodiversité locale. L'arbre phylogénétique de 36 cultivars indiens montre l'existence de 3 groupes principaux (2021) [23].

Les mentions de Cucurbitaceae sont nombreuses en sanscrit depuis 2000 AEC puis M. charantia est documentée en Chine début XIVe siècle dans le Guangdong[24], attestée en 1370[25], largement confirmée au XVIe siècle[24]. En 1775, Jean Baptiste Fusée-Aublet dans son Histoire des plantes de la Guiane Françoise dit avoir cultivé cette plante à l'Ile de France (Maurice) («les Malabares la mange dans leur caris»)[26]. L'introduction dans le Nouveau Monde commence au Brésil[27] et se termine dans les années 1930 à Hawaï[28].

La plante est aujourd'hui cultivée dans presque tous les pays de la ceinture tropicale asiatique jusqu'au Japon, africaine et américaine, et en Océanie. Pour ce qui concerne le climat tempéré elle est cultivée en Nouvelle-Zélande et en Roumanie[29].

Cultivars

La diversité génétique des populations de margose cultivées en Inde et en Chine est importante. Une étude chinoise réalisé sur un plasma germinatif de 154 échantillons différencie 46 groupes de base[30], de même une publication indienne (2018) confirme une forte variabilité génétique en climat subtropical[31].

Deux morphologies du fruit sont distinguées :

  • les types chinois sont cylindriques à gros diamètre et à épiderme peu verruqueux ;
  • les types indiens sont pointus aux extrémités, à faible diamètre et à peau en « dos de crocodile ». Ils sont soit longs, soit très courts et sont destinés à être farcis.

Des semences de variétés ayant des fruits de toutes tailles sont proposées à la vente dans les pays d'Asie du Sud-Est et au Japon. On trouve des cultivars blancs, charnus et plus doux.

La résistance au fusarium a été améliorée dans les cultivars actuels. Le cultivar indien Heatset résiste aux hautes températures.

Les hybrides F1 ont permis d'augmenter le nombre de fleurs femelles[32], ils sont recommandés par la FAO[33].

Description

Aspect général

Cette espèce se présente comme une plante annuelle grimpante et tapissante dont la hauteur peut atteindre 5 m. Les tiges sont délicates et munies de vrilles simples. Les racines peuvent présenter des nodosités.

Feuilles

Feuille de momordica charentia

Les feuilles alternes sont de forme comparable aux feuilles de vigne, les limbes ont 3, 5 ou 7 lobes. Les feuilles ont une forte odeur et ont un goût amer.

Fleurs

Fleur femelle avec fruit.

Les fleurs sont petites et jaunâtres, portées par des pédoncules frêles. Les fleurs mâles ont trois étamines et les fleurs femelles ont un stigmate à trois lobes et un ovaire infère.

Fruits

Fruit à maturité.

Selon les cultivars, la surface des fruits est plus ou moins tuberculée, leurs longueurs varient de 8 à 35 cm.

À maturité le fruit est orange lumineux et se divise du bas vers le haut en 2 ou 3 segments qui laissent voir les graines dans leur mucilage rouge, transparent et gélatineux.

Le fruit est décoratif, mais répand rapidement ses graines.

Jeunes feuilles, fruits plus ou moins mûrs, tige et racines présentant des nodosités, prélevés à Nouméa.

Caractère invasif

Le Monordica charantia est invasif sur l'île de La Réunion[34], dans les Philippines, à Taïwan, sur l'Île Maurice, au Mexique, en Floride, à Hawaii, au Belize, sur les Îles Vierges britanniques, au Costa Rica, en Haïti à Cuba, au Salvador, au Honduras, au Nicaragua, au Panama, à Porto Rico, à Sainte-Lucie, aux Îles Vierges des États-Unis, au Brésil (dans les États de Bahia, Ceará, Paraïba et Pernambouc), en Colombie, en Équateur, sur les Îles Galapagos, au Paraguay, dans les Samoa américaines, dans les Îles Cook, à Guam (sévèrement), en Micronésie, en Nouvelle-Calédonie, à Niue, dans les Îles Marianne du Nord, aux Palaos, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, aux Samoa, dans les Îles Salomon, à Tonga, aux Îles mineures éloignées des États-Unis et au Vanuatu[35]. Sa liane représente un danger pour les écosystèmes des îles du Pacifique[36].

Culture

La culture demande des températures comprises entre 24 et 35 °C[37], un sol frais mais non détrempé, une altitude inférieure à 1 700 m. Le forçage des jeunes plants en milieu protégé est conseillé en climat tempéré. La floraison intervient deux mois après le semis. Au-delà de 14 heures de jour la floraison est ralentie. La fructification peut être prolongée jusqu'à 6 mois par une récolte régulière des fruits verts. Elle serait quasiment indifférente à la longueur du jour[37].

En culture, on prévoit un tuteurage à 2,5 m avec filet et une plante tous les 50 cm. La paillage permet de tenir le sol humide. La fertilisation doit être riche en azote et prévenir la carence en bore à laquelle la margose est sensible. Des apports de micronutriments sont favorables à la croissance et la fructification, une pulvérisation foliaire de ZnSO4+ FeSO4+ MgSO4 en solution à 0,5 %, 35 et 45 jours après le semis a été expérimentée avec succès[38] en 2017. Une étude roumaine démontre que la conduite de la plante sur 2 branches augmente la production et la précocité des fruits[29].

Un sol couvert de paillis favorise une récolte abondante et de bonne qualité, plus précoce d'une semaine avec un paillis plastique. Une meilleure humidité du sol est observée sous paillis plastique ou sous paillis minéral, d'après une comparaison de paillis systématique indienne (2018)[39]. En hydroponie, les substrats perlite + vermiculite et vermiculite + fibre de coco donnent les meilleurs rendements[40].

Les maladies fongiques (fusarium, mildiou et oïdium) causent des dommages, les virus (Geminiviridae, virus mosaïques…) également, ainsi que le flétrissement bactérien. 3 gènes de résistance à l'oïdium ont été identifiés en 2021[41].

En climat tropical, la mouche du melon est avec les pucerons le principal ravageur. En climat tempéré chaud, la culture est facile pour autant que la température plafond n'est pas dépassée.

Sélection des cultivars en culture

Le fruit est climactérique, sensible à l'éthylène, il doit être récolté et stocké avec précaution. La conservation est de 4 semaines au froid, entre 2 et 5°[20].

De nombreux pays asiatiques, dont l'Inde, cultivent des progéniteurs sauvages à petits fruits. Or la morphologie des fruits influence la productivité des cultures et leur qualités commerciales (longueur, diamètre, épaisseur de la chair, poids du fruit, nombre de fruits par plante). La sélection est contrariée par des introgressions entre sauvage et cultivé. La carte génétique dressée par séquençage systématique de variétés indiennes a ouvert la possibilité d'une détection QTL des traits de rendement (principalement 3) qui ouvre (2021) la voie à une sélection plus rapide assistée par marqueurs et la sélection moléculaire[42].

Greffe

La margose employée comme porte greffe améliore la tolérance à la chaleur du concombre [43].

La greffe de margose sur Cucurbita pepo, Cucurbita maxima, Cucurbita moschata, Cucurbita ficifolia, et. Lagenaria siceraria a été expérimentée avec succès (2021) par des chercheurs russes en vue de sa culture en serre en climat chaud : le taux de survie des greffons le plus élevéé est sur C. maxima. Ils ont noté par rapport au franc : une augmentation sensible de la matière sèche et la teneur totale en glucides dans les fruits de margose [44].

culture de margoses à San Rafael, Philippines

Plante invasive

Momordica charantia est référencée dans le ISC (Invasive Species Compendium). Elle est très envahissante à Guam et envahissante dans d'autres parties du Pacifique, au Brésil et dans les Caraïbes. Elle constituer un problème de culture dans les champs de canne à sucre. La probabilité qu'elle échappe aux parcelles cultivées, se naturalise et colonise devenant une menace sérieuse est qualifiée de très élevée [45].

Production

Les données sur la production sont rares et peu cohérentes, on peut estimer le niveau actuel entre 10 et 20 millions de tonnes par année. Par pays producteur : 75 % de la production intensive serait asiatique, dont Inde 31 %, Chine 22 %, Pakistan 9 %, Vietnam 6%[46]. En 2003, la production indienne serait de 4.57 millions de t. sur 448 000 ha. (soit 10 t/ha)[47]. La culture intensive occuperait au total 340 000 ha[48] avec 32 % ensemencé de graines hybrides dont le rendement est double de la graine traditionnelle[49].

En , la possibilité d'amélioration génétique de la plante en vue de la grande culture est évoquée en Inde[50]. En Europe, la Roumanie a réalisé des essais positifs de mise en culture jusqu'en 2015[51].

Plant de margose sur treille

Nutrition et propriétés thérapeutiques

La feuille, la tige, le fruit immature et la graine sont utilisés en médecine traditionnelle et en alimentation..

Nutrition

La page d'information nutritionnelle de l'administration américaine[52] donne des moyennes pour le légume cru, la publication indienne pour le légume cuit[53] : la margose est peu calorique (17 calories pour 100 g) avec un niveau élevé dans sa catégorie de protéines et d'hydrates de carbone. Les fruits immatures sont une bonne source de minéraux, de fer, de vitamines A, B, C.

Le niveau de vitamine C (acide ascorbique) varie selon les cultivars entre 60 et 122 mg/100 g[54], autrement dit d'un bon niveau comparable au poivron dans les climats tempérés[55]. Le niveau de vitamine B9 (70 µg/100 g) est également élevé.

Excepté la lysine et la méthionine, les principaux acides aminés sont présents dans le fruit. Les triterpènes et saponines sont très nombreux, 196 triterpénoïdes ont été isolés (2020) [56].

Toxicité

Abortif démontré

Utilisée comme abortif en médecine traditionnelle, la consommation de margose est déconseillée pendant la grossesse. Une communication brésilienne (2018) note des effets indésirables (perte de poids, baisse de consommation d'eau, signes cliniques de toxicité) chez les rates quelle que soit la dose de feuilles sèches administrée pendant 22 jours de gestation[57]. Un cas de recrudescence des contractions utérines pendant 5 heures suivant la consommation de margose par une femme enceinte de 6 mois est décrit à la Réunion (2018)[58].

La tératogénicité des extraits de graines et toxicité cardiaque (hypertrophie sévère) de l'extrait de fruit ont été démontrées (2019, Université de Riyad) chez l’embryon de poisson zèbre (Danio rerio)[59]. La graine contient une alpha-momorcharine aux propriétés inflammatoires cytotoxiques démontrées in vitro et qui stimule la réaction inflammatoire des monocytes (2019)[60].

On trouve souvent reproduits les conseils de prudence de Tori Hudson[61] (deux cas d'hypoglycémie chez des enfants, risque d'allergie à la vicine — un hétéroside toxique — contenu dans la graine), mais on ne signale pas de toxicité chez l'homme pour les doses normalement consommées. L'expérimentation animale va dans le même sens[62]. Certains effets indésirables sont signalés à partir de 4 essais cliniques non randomisés et non contrôlés versus placebo, dont des effets additifs en présence d'autres agents abaissant le glucose sanguin[63]. Les allergies sont rares, et aucun cas de favisme n'a été signalé. La consommation du jus à forte doses peut majorer les effets des médicaments hypoglycémiants oraux (metformine, glibenclamide…) et entrainer une hypoglycémie chez les diabétiques [64].

Hypoglycémique

Une hypoglycémie sévère et un coma hypoglycémique ont été rapportés chez les enfants ayant consommé du thé de melon amer[65].

Influence des conditions de culture

Une étude béninoise publiée en 2016 donne, sur les plantes consommée à Cotonou, des teneurs en plomb et cadmium respectivement 9 fois et 6,3 fois supérieures aux normes de l’OMS[66]. La même année (publication des résultats en 2019), un ensemble de mesure de présence de métaux lourds sauf cadmium a été effectué sur divers sites de production malais, les concentrations mesurées montraient que la consommation usuelle était sans danger[67].

Risque phyto-sanitaire

Les margoses sont connues comme vecteur du ravageur Thrips palmi Karny. A la demande de la Commission européenne, l'EFSA va évaluer les risques présentés par les fruits de Momordica charantia originaires de pays où la présence de Thrips palmi est signalée. Parmi les expertises rendues Sri Lanka (probabilité très faible), Honduras, Thailande, Mexique (faible), Suriname [68].

Margose : cultivar blanc.

Propriétés préventives et thérapeutiques

La margose fait l'objet de publications scientifiques régulières et abondantes majoritairement asiatiques. Depuis 2016, sur 1310 publications académiques le thème culture-transformation-composition est dominant (environ 26% des publications), avec celui de l'activité antidiabétique-glycémie-obésité (25%), puis l'activité antioxydante et en progression les études génétiques de la plante [69]. En 2020, 250 publications académiques confirment l'intérêt soutenu des chercheurs pour M. charantia [70]. Périodiquement paraissent des synthèses en anglais, le texte de T. K. Lim en 2012[71] est toujours une référence, parmi les synthèses récentes (2020) accessibles en ligne une revue turque avec de bonnes références [72],[73]. La première méta-analyse (2018) conclu que la margose peut améliorer le niveau de glucose sanguin à jeun, le profil lipidique, ou le poids corporel sur les patients humains[74]. Une méta-analyse (2020) de 60 expérimentations animales note la même amélioration y compris de l'hémoglobine glyquée, des effets protecteurs du foie et des reins et une faiblesse de la méthodologie des études animales[75].

Le fruit, la feuille et leurs extraits, la graine et son huile, font partie de la pharmacopée traditionnelle chinoise et ayurveda. L'infusion de feuille est utilisée contre le diabète aux Antilles françaises, pour « purifier le sang » et pour les démangeaisons en Haïti. Au Sénégal, elle est incorporée dans le savon[76] contre les affections cutanées. À Mayotte, elle est utilisée contre les maux de ventre, la diarrhée ou les coliques des enfants. À Cotonou, l'usage thérapeutique (plante entière en décoction dans 60 % des cas) est dominant, elle est la 4e plante médicinale la plus utilisée[66].

Outre les propriétés détaillées ci-dessous, la plante est reconnue pour ses potentiels anti-bactérien[77],[78], antiviral[79] et immunomodulateur[80]. Des hétérosides spécifiques à la margose, les karavilosides[81], sont souvent citées[82]. Le patch antipyrétique à partir d'extrait alcoolique de feuille ont été expérimentés avec succès (dilution 1%) en Indonésie (2021)[83].

Activité antidiabétique

vente de jus de margose à Taïpei

Il s'agit d'un usage fréquent en médecine traditionnelle qui est en train de déboucher vers une médication du diabète humain[84]. Les recherches visent spécialement le diabète de type 2, le degré de maturité du fruit importe peu[85]. Une synthèse exhaustive des publications a été faite en 2020 par une équipe brésilienne: Momordica charantia L. no tratamento de diabetes melittus [86]. En 2021, les mécanismes d'action des saponines de Momordica charantia dans les cellules β pancréatiques (augmentation les taux d'ARNm et de protéines de l'IRS-2, inhibition de phosphorylation) conduisant à la sécrétion d'insuline ont été décrits à l'échelle des protéines par une équipe de chercheurs de Shandong[87].

chez l'animal

Les expérimentations animales ont montré que les extraits de margose augmentent la sécrétion d'insuline du pancréas[88], diminuent l'absorption intestinale du glucose, augmentent l'absorption et l'utilisation du glucose dans les tissus périphériques[89],[90] et augmentent la sécrétion de GLP-1[91]. Le corpus d'essais sur animaux démontre un effet préventif et curatif d'une alimentation comprenant la margose ; outre les propriétés hypoglycémiques on a observé une atténuation des effets indésirables liés au diabète[92] dont une activité de néphro-protectrice[93], une perte de poids[94]. Chez le rat, l'administration de jus de margose à forte dose (10 ml par kg. de poids corporel) a un effet antidiabétique rapide (4 jours) supérieur à celui de la décoction[94], à 400 mg d'extrait de margose par kg une perte de poids est rapidement induite, dès une semaine, accompagnée d'un baisse des triglycérides sanguins[95]. Les substances actives font l'objet d'un inventaire quasi complet[53],[96] dont certains tri-terpénoïdes spécifiques[97] et 3 saponines : charantine, cucurbitacine et momordicoside D qui agissent directement sur GLP-1 et l'inhibiteur DPP-4 [98], acide gentisique 5-O-β-D-xylosidel qui supprime l'expression de Cox-2 et IL-6 (2019)[96]. En 2019, les composés 3β,7β,25-trihydroxycucurbita-5,23(E)-dien-19-al, charantal, charantoside XI, et 25ξ-isopropenylchole-5, 6-ene-3-O-D-glucopyranoside extraits de la plante ont été isolés, purifiés, contrôlés et testés : ils inhibent tous significativement α-amylase et α-glucosidas et ont une activité anti-inflammatoire par régulation négative de l'expression des gènes du macrophage lipopolysaccharide[99]. Une étude indonésienne (2021) met en évidence le rôle de PR-3, bactérie endophyte de Momordica charantia, dans la production de l'enzyme alpha-glucosidase, inhibitrice de la glucosidase (elle empêcher la digestion des glucides, en particulier de l'amidon en glucose) [100]. Selon une publication taïwanaise (2021) le chauffage à 70 °C pendant 12 jours des margoses améliore l'effet inhibiteur de l'α-glucosidase [101].

La compatibilité entre le jus de margose et la metformine a été mesurée chez la souris diabétique, l'action des métabolites de la margose s'additionne à celle de l'antidiabétique usuel, complémentaire à faible dose, elle induit une hypoglycémie quand les animaux consomment du jus de margose 2 fois par jour[102]. En étudiant in vitro l'activité régulatrice de l'alpha-amylase de la feuille des chercheurs Philippins concluent à l'existence de mécanismes synergiques amplificateurs [103].

chez l'homme

Chez l'homme, un essai clinique de 3 mois (2018), double aveugle contrôlé par placebo, chez 24 patients atteints de diabète type 2 montre que l'administration de 2 g/jour a une action sur la sécrétion d'insuline, «une diminution significative de poids, de l'indice de masse corporelle, du pourcentage de graisse, du tour de taille, de l'hémoglobine glyquée...»[104]. Un autre essai de 8 semaines (2018) réalisé dans les mêmes conditions et chez 75 patients atteint de diabète type 2, permet aux auteurs de conclure : « un traitement avec 1,5 g / jour de Momordica charantia est efficient pour le contrôle de la glycémie, réduit le cholestérol total et le stress oxydatif, améliore la résistance aux HDLc et à l'insuline»[105]. D'autres essais sont mentionnés dans un inventaire incomplet publié en 2020 au Royaume-Uni [106].

La méthode d'amarrage moléculaire a permis à des chercheurs de l'Université d'Hanoi (2021) d'isoler 2 composés organiques de la margose: la lutéoline-7-O-glycoside, le δ-cadinène qui ont des propriétés similaires à celles d'un médicament inhibiteur de Protein tyrosin phosphatase 1B (bonne absorption intestinale, non métabolisés dans le foie, excrétion par les reins et faible toxicité), autrement dit potentiellement utiles pour le traitement du diabète de type 2 [107].

Amertume et glycogenèse hépatique

Pour répondre à la question: est-ce amertume qui agit sur la glycogenèse hépatique ? une équipe chinoise a isolé les 18 triterpénoïdes du fruit et dosé la glyconéogenèse linguale et hépatique de chacun. 6 d'entre elles étaient amers, dont 3 (karaviloside III, goyaglycoside C, momordicoside F2) plus amers que la caféine. Ils ne font pas parties des 4 les plus actifs pour inhiber la glycogenèse hépatique (momordicoside Y, charantoside C, momordicoside F1 et momordicoside G). Les auteurs concluent «l'activité hypoglycémiante des triterpénoïdes n'est pas corrélée à leur amertume»[108].

Culture de margoses aux Philippines

Les hétérosides antioxydants de la margose ont des propriétés protectrices et thérapeutiques démontrées chez l'animal et pour certaines chez l'homme in vitro. Une peptide de la graine a démontré un effet anti-inflammatoire sur le macrophage humain[109]. Une équipe indonésio-malaise écrit (2013) que les extraits de M. charantia ont « a plus haute activité réductrice et anti-α-glucosidides: 692,56 ± 43,38 mM d'extrait AscAE / g; 66,64 ± 2,94%, respectivement[110]».

Protection contre le stress oxydatif et divers polluants

L'extrait du fruit protège les souris atteintes de cirrhose graisseuse, atténuent le stress oxydatif [111]. Pour l'hyperammoniémie[112], une protection cardiaque des souris diabétiques a été démontrée[113]. Chez la levure (2018), l'un de ces hétérosides agit sur la régulation de l'expression des gènes impliqués le vieillissement[114].

Les effets protecteurs des polysaccharides de M. charantia dans l'infarctus du myocarde ont été analysés à partir d'une expérimentation chez le rat, qui montre notamment l'amélioration de la cholestérolémie[115]. Partant de l'association démontrée entre le métabolisme du cholestérol et la maladie d’Alzheimer[116] une équipe indienne a administré à des rats rendus amnésiques par la scopolamine une pâte de M. charantia pendant 2 semaines: à partir de 300 mg/kg/jour les animaux recouvrent la mémoire[117]. Une seconde équipe indienne donne des résultats convergents chez la souris rendue amnésique par le même moyen en utilisant une forme pulvérulente d'extrait[118].

Chez l'homme, l'administration pendant 3 mois de 1.5g/jour d'extrait sec de margose, réduit significativement la douleur causée par l'arthrose du genou[119]. L'extrait de margose protège les cellules neuronales de l'hippocampe contre la neurotoxicité induite par les poluants de type hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) grâce à son stigmastérol et sa vitamine E, en modèle murin et in vitro (2021)[120].

Protection contre la réponse inflammatoire

En bloquant l’induction de cytokines et d'oxyde nitrique synthase les triterpenoïdes extraits de la margose limitent le processus inflammatoire d'après expérimentation in vitro sur des hépatocytes de rat (2019)[121]. L'action anti-inflammatoire de l'extrait alcoolique de margose est décrite (2018) à l'échelle des protéines: la régulation du stress-oxydatif et les cibles sont inventoriées[122].

Au niveau génétique, l'effet anti-oxydant a été observé par la régulation de l'expression de 4 gènes de la levure K6001 (expression réduite chez UTH1 et SKN7, accrue chez SOD1 et SOD2)[123].

Goya chanpurū: au tofu et aux oeufs

Activité anti-obésité

En 2004 est publié le travail de Qixuan Chen : Anti-obesity Effect of Bitter Melon[124]. L'effet inhibiteur de la lipogenèse et la stimulation de la lipolyse dans les adipocytes humains[125] sont décrits in vitro en 2010 par une équipe américaine. En 2013, il est démontré que l'extrait de margose atténue l'inflammation du tissu adipeux causé par l'obésité chez la souris[126]. Les mécanismes de réduction des taux de lipide et d'insuline sont décrits en 2016 dans le modèle murin pour un traitement de 8 semaines de souris obèses, dont les effets sont qualifiés de spectaculaires par les auteurs[127]. L'obésité touchant la Corée et la Chine, dès 2014 des études sont réalisées en vue de produire des compléments alimentaires à base d'extraits de margose[128]. Les premiers compléments alimentaires apparaissent sur le marché la même année. À ce jour, tandis que se généralise la commercialisation de compléments alimentaires extraits de margose, la démonstration de l'effet anti-obésité selon les protocoles standardisés n'a pas été réalisée chez l'humain.

feuille de margose

Activité anticancéreuse

Les expérimentations animales ont démontré une action sur divers cancers[53]: pancréas[129], à noter une atténuation des effets de la chimiothérapie pour ce cancer (2018)[130], foie, peau, cerveau, carcinome adrénocortical, estomac[131], langue, pharynx, etc[53]. Parmi les cancers les plus fréquemment cités :

  • Cancer de la bouche : L'extrait de margose régule la surexpression des gènes du système immunitaire et prévient ou retarde la progression du cancer de la bouche dans le modèle murin[132],[133]. Son action sur les cellules OSCC Cal27 humaines implantées chez la souris est décrite : inhibition du cycle cellulaire, de la signalisation et induction de l'apoptose, dans ces cellules il inhibe le métabolisme du glucose et des lipides et module le système immunitaire pour prévenir le cancer de la bouche[134]. Cancer de la langue: démonstration in vitro de l'apoptose des cellules du cancer humain A549 sous l'effet d'extraits de margose chinoise[135].
  • Cancer du côlon : L'incidence du cancer du colon est faible en Asie du Sud-Est, où la margose est consommée, un effet préventif du cancer du colon est suspecté et démontré chez l'animal. Les extraits de margose induisent une apoptose dans les cellules cancéreuses humaines. La consommation de margose pendant une chimiothérapie de ce cancer est recommandée par divers auteurs[53].
  • Cancer de la prostate : Il s'agit d'un usage thérapeutique traditionnelle[136], l'action antitumorale in vitro a été démontrée chez l'homme[137] et chez l'animal.
  • Cancer du sein : Les effets préventifs et curatifs sur l'homme sont de mieux en mieux documents depuis 2009, les agents anti-prolifération et les mécanismes d'action sont décrits[138],[139],[140].
  • Cancer du foie et fibrose hépatique : Un glycosides triterpéniques de la margose (karaviloside III) a été identifié par une équipe chinoise[141] comme un agent de chimiothérapie pour traitement et la prévention de la fibrose hépatique ou cancer du foie chez la souris (2018).
  • Cancer du pancréas d'autres triterpènes de type cucurbitane ont été identités, en 2019 par une autre équipe chinoise, avec une importante cytotoxicité contre des cellules HeLa et une activité cytoprotectrice est démontrée in vitro sur trois lignées cellulaires de cancer pancréatique humain, HeLa, Caco2 et U87[142].
  • Cancer du poumon : L'extrait de M. charantia n'induit pas directement l'apopthose des cellules cancéreuses du poumon A549 mais perturbe leur métabolisme énergétique: perte de la respiration, perte de la fonction mitochondriale ce qui conduit à la mort cellulaire [143].

Cicatrisation

Chez le lapin, l'application cutanée directe de pâte ou crème de margose améliore la cicatrisation (2012) [144], de même chez le rat diabétique (2009)[145],[146]. Chez le rat encore, le macérat de margose dans l'huile d'olive aide à la guérison des blessures[147] (2015). Après une série d'études, Srijit Das a publié en 2017 sur les modes d'administration, il a été récompensé pour ses travaux sur les lésions cutanées associées au diabète par le prix IRPF et Phytochemical Society of Europe pour les résultats prometteurs de ses recherches[148].

Une communication indonésienne (2018) montre que chez le rat atteint d'une brûlure au second degré l'extrait alcoolique de fruit broyé réduit la durée d’inflammation de la plaie et sa surface en comparaison d'un groupe témoins[149]. Dans la muqueuse interne l’extrait de margose améliore la gastrite induite par l'éthanol chez la souris[150].

Améliore les symptômes de l'andropause des rats vieillissants

Une équipe chinoise a administré extraits fermentés de margose à des rats mâles vieillissants (2021). Les taux de testostérone totale et libre, la masse musculaire, le temps de nage forcé et le nombre de spermatozoïdes totaux et mobiles ont «considérablement augmenté», et ont réduit la Sex hormone-binding globulin, la graisse abdominale, de cholestérol sérique et de triglycérides[151].

fruit nettoyé et tranché avant cuisson

Cuisine, boissons et recettes

Le péricarpe du fruit est consommé vert car le fruit mûr n'a pas de tenue. Après avoir ouvert le fruit en deux, on élimine l'endocarpe cotonneux et les graines, puis on tranche plus ou moins finement. La désamérisation se fait soit en blanchissant les tranches de margose dans l'eau bouillante non salée (goûter jusqu'à obtenir une agréable amertume résiduelle sans perdre la texture, arrêter la cuisson à l'eau froide), soit au sel pendant une demi-heure. Le péricarpe peut aussi être conservé sec puis réhydraté.

Les feuilles, consommées crues, ont une légère amertume, qui disparaît en infusion. Les effets des méthodes de séchages des feuilles sont encore discutés [152].

Concernant la durée de cuisson, une publication malaise conclut que « le meilleur choix pour obtenir les meilleures propriétés antioxydantes et anti-glycémiques est une cuisson courte, entre 5 et 10 minutes »[153]. Une publication polonaise (2019) privilégie la cuissons à la vapeur, tandis qu'une publication philippine (2020) précise que la cuisson à la vapeur est recommandée pour conserver les principes nutritionnels alors que la margose bouillie puis sautée a la plus forte teneur en pectine[154],[155].

La margose est souvent cuisinée avec des œufs en Chine (de même en cuisine malaisienne) par exemple en omelette[156], cuite à la vapeur ou à la poêle, ajoutée aux potages chinois, servie avec du porc, des oignons, du gingembre, de la sauce aux haricots noirs ; sautée à la poêle, avec du tofu et de la viande. Elle est utilisée dans les marinades. Elle est souvent servie avec des goji. Une présentation colorée est de la farcir au chou rouge[157].

Une bloggeuse chinoise renommée préconise de faire tremper les margoses coupées en morceaux dans l'eau salée, puis de les laisser égoutter 10 min pour en retirer l'amertume [158].

L'eau de margose se fait soit par infusion 12 heures de margose finement coupée dans de l'eau[159] soit en broyant le fruit dans l'eau[160].

cultivar indien de Momordica charantia

Pas nécessairement désamérisée, la margose la plupart du temps bien assaisonnée est mangée en curry, farcie, en saumure, frite en rondelles, en salade, cuite à la vapeur, en pickles au vinaigre (lesquels peuvent être frits)… Le dal (purée de lentilles cassées) au concombre amer se sert avec du riz.

Appelé peria en indonésien et pare en javanais, on le prépare dans différents plats, dont le gado-gado, frit, cuit dans du lait de coco ou à la vapeur. Dans les régions non musulmanes, on le cuit avec du porc et du piment, la douceur du porc compensant l'amertume du fruit.

En chanpurū (avec du porc) dans la cuisine d'Okinawa, elle est consommée partout au Japon avec le riz, du poisson séché et un bon ponzu (en Europe, utiliser de la poutargue), excellente en tempura, en salade, en tsukemono

Canh khổ qua nhồi thịt, soupe de margose farcie (à la viande, au poisson, aux fruits etc.), une spécialité vietnamienne appréciée[161]

Aux Philippines, c'est l'ingrédient principal pour les plats traditionnels des ilocanos, surtout le pinakbet et le dinengdeng ; des recettes philippines utilisent les feuilles à la manière d'épinards ou d'oseille[162].

La soupe de margose (Súp mướp đắng) est une spécialité de la région du lac Lak[163], partout on en trouve de nombreuses versions, au porc, au bœuf, aux grenouilles, à la tête de serpent... cette soupe avec des tranches de margose farcies[164] est un plat porte-bonheur du nouvel an au sud du pays.

fruits secs pour infusion

Tisane, ou thé de courge amère

Au Viet Nam, le fruit ou la feuille sont séchés pour faire des infusions : trà khổ qua ou thé de margose, bues chaudes ou froides. T. K. Lim signale un thé de margose fermentée à Okinawa [165].

En français l'expression thé de courge amère pour désigner l'infusion ou la décoction de concombre amer feuilles ou fruit est la plus usuelle (équivalente à bitter gourd tea, 4000 et 17000 occurrences google respectivement). Il est commercialisée avec les produits asiatiques, en sachets prêts à infuser [166]. On lui prête nombre d'effets favorables, et la RTBF en met (2016) dans sa boisson miracle pour perdre son tour de taille en 4 jours seulement[167].

La composition chimique

Une étude taïwanaise (2017) sur la teneur en caroténoïdes, acide ascorbique et tocophérols des margoses commerciales montre des variations considérables selon les cultivars et les maturités des fruits[168].

Les compositions sont variables selon les sources, USDA[169] et T.K. Lim[71] selon les stades de maturité du fruit.

Le fruit vert est peu calorique : pour 100 g,  17 à 19 kcal, riche en eau (93 à 94 g), pauvre en graisses (0,17 g), en protéines (0.84 à 1,0 g) et en hydrates de carbone (3.7 à 4,2 g). Il contient les quantités usuelles recommandées par les nutritionnistes des minéraux et acides aminés[170]. Le péricarpe du fruit vert contient 6 caroténoïdes, lutéine et α-carotène qui évoluent rapidement pendant le murissement[171].

margose verte

De nombreux composés ont été isolés dont les terpénoïdes constituent les principaux constituants actifs : triterpènes, dont 8 dans les margoses japonaises[172], stérol et d'un alcool mono hydroxy-diméthyl (momordol)[173], vincine, momordicoside A et B[174]. 18 composés phénoliques ont été identifiés (dont naringine, chrysine, apigénine et lutéoline dans les fruits immatures, et apigénine et chrysine dans toutes les parties du fruit mûr) par des chercheurs brésiliens (2020) [175].

Les kuguacines sont des triterpénoïdes qui ont été extraites de toutes les parties de la plantes activités ses propriétés antidiabétiques, anticancéreuses (kugacine J), antigrippales, anti-VIH et antituberculeuses. Leurs propriétés, principalement étudiées in vitro, ont fait l'objet au Brésil d'une synthèse en 2021[176],[177].

Génomique

Le projet de séquençage progresse activement depuis 2021[178]. Nature a publié en février 2021 une cartographie des locus de 6 caractères quantitatifs (LCQ) contribuant au rendement (longueur, diamètre, poids du fruit, épaisseur de la pulpe, le nombre de fruits et rendement par plante) cartographiés avec 19 LCQ. Cette avancée devrait permettre la sélection assistée par marqueurs et la sélection moléculaire dans l'amélioration variétale[179]. Simultanément l'Université agricole du Pendjab a établi un carte de liaison génétique (3144 marqueurs de polymorphisme nucléotidique unique) des phénotypes résistant au virus de la mosaïque jaune de la margose[180].

La détection des polymorphismes d'insertion-délétion à l'échelle du génome d'une population de 67 courges amères chinoises a donné lieu à une première publication en mars 2021. Les marqueurs polymorphes ont permis de construire la première carte génétique InDel[181]. Une seconde étude (aout 2021) qui porte sur 53 variétés chinoises a établi les marqueurs efficients de diversité et dresse un arbre phylogénétique[182].

Le futur du concombre amer

Les gains de productivité et de qualité qui restent à faire sont énormes, le rendement maximum à l'hectare est encore limité à 30 t/an et les cultures se font en plein champ. Une coopération universitaire a publié une plaquette pour l'amélioration de la culture[183] Les conditions de production - micro filtration - de jus de margose sont étudiées en détail (2018)[184]..

Le séquençage du génome (M. charantia ; 2 n = 2 x = 22), dont la biodiversité est importante[185]. Elle permet d'établir des cartes de populations et des ouvre (2021) des perspectives de sélection assistée par marqueurs[186]. En Europe, la "Vegetable Research and Development Station" de Buzău (Roumanie) a sélectionné 4 cultivars adaptés aux conditions pédoclimatiques en vue d'une production locale[187].

Le jus de margose (Bitter gourd juice, Karela juice) est vendu sous forme de boisson en Inde, forme prête à consommer qui devrait se mondialiser. Les connaissances sur la kuguacine - triterpénoïde actif extrait de la plante - sont synthétisées (2021)[188].

Que ce soit le nombre de publication, l'avancée des recherches concernant le traitement des maladies non transmissibles, il est indubitable que la margose est appelée à devenir un légume de plus en plus utilisé.

Miscellanées

  • « Il est intéressant d'apprendre que les feuilles du Momordica charantia ont été pendant quelque temps employées en Belgique à cause de leur amertume, dans la fabrication de la bière, en remplacement du houblon, et de là on les nommait en flamand : Groot-Bierblad. » (La Belgique horticole, 1861)[189]
  • La margose se porte en collier par les Guins-Minas dans les cérémonies religieuses traditionnelles, désormais célèbres, d'Ekpe Soso ou « levée de La Pierre », qui se tiennent au siège du royaume Guin, à Glidji. Les clans Lakpan, d'Anecho et des localités environnantes, la portent également en collier, durant Ekpan Tcho Tcho, cérémonies qui suivent Ekpe Soso et signalent le début des manifestations, rites et invocations marquant le « renouvellement de l'année » (Epe Ekpe). Certains autres clans de la même communauté utilisent l'anyanran en ablutions purificatrices avant des invocations.
  • En Chine, le village de Huidong (惠东)[190] est spécialisé depuis 4 siècles dans la culture de la courge amère, grâce à son climat idéal la production est élevée (4 t. par mu = 60 t/ha = 24 t/acre), la presse locale se fait souvent l’écho du faible prix de vente (5 yuans par kg en 2018) qui laisse un goût amer aux agriculteurs[191].
  • En chinois, tête de melon amer, face momordique (苦瓜臉) est une expression imagée pour une figure sérieuse ou triste[192].
  • Un produit homonyme mais sans rapport: en 2018, le brasseur artisanal Birranova di Triggianello (Bari) a mis sur le marché une bière à fermentation spontanée (Gose) faite à partir d'eau de mer (Mar en italien) dessalée qui porte le nom de Margose, mais n'en a pas le goût, puisqu'elle est légèrement épicée à la coriandre[193].
  • Au Togo, une promotion agressive de la culture des margoses (2019) à partir de l'expérience roumaine (Castravetele amar de la station de Buzău) promet qu'un hectare de margose peut apporter un revenu de 250 000 € par an [194].
Paysage de montagne par le peintre de la margose - Shitao (avec une certaine amertume) [195]

Anthologie

  • Inspection générale de l'agriculture coloniale. L'Agriculture pratique des pays chauds : Cucurbitacées tropicales III. Paris bulletin du Jardin colonial et des jardins d'essai des colonies françaises. 1907[196].

« La margose (fruit) se consomme en salade ou en cari avec de la morue. Le cari ou kari se fait comme la bouillabaisse marseillaise. Pour l'utiliser, il faut enlever ses parties internes ou trifes (fig. 5) qui ont un mauvais goût. Tout le temps que le fruit ne commence pas à mûrir, on peut le consommer. Le légume étant amer — à Bourbon, on dit : amer comme margose — on lave les tranches avant de les faire cuire ou de faire la salade, avec de l'eau salée pour enlever un peu de son amertume. En enlevant les aspérités qui le recouvrent, on obtient aussi ce résultat.

Non seulement la margose sert à l'alimentation de l'homme, mais cette plante devrait être connue d'une façon toute particulière par les habitants des pays fiévreux. Le principe amer de la margose agit comme la quinine. De vieilles familles créoles qui s'en servent contre le paludisme en disent beaucoup de bien. »

Shitao, moine (ou peintre) de la courge amère

Le moine chinois Shitoa (1642-1708) s'est lui même donné le nom de peintre de la margose, le plus souvent traduit peintre de la gourde-amère. L'origine de ce mon est confuse dans les sources chinoises : il n'aurait pris aucun repas qui ne comporte de la margose, il avait un pied de margose sur son bureau, il avait le sens de la margose dans sa peinture un charme similaire à la margose : la subtile amertume des coups de pinceau [197].

Galerie

La plante

Plats cuisinés

Bibliographie

  • (en) Akbar S. Momordica charantia L. (Cucurbitacées), dans Handbook of 200 Medicinal Plants. Springer, Cham. 2020. (important travail sur les références) [198]
  • Christophe Casazza et Virginie Descure, Le Cabinet des curiosités culinaires, Éditions Hors Collection, 2005.
  • (en) L.K. Bharathi, K Joseph John, Momordica genus in Asia - An Overview, Springer Science & Business Media, - 147 pages magistrales
  • (en) Pushpa Karale, S. C. Dhawale et M. A. Karale, Antiobesity Potential and Complex Phytochemistry of Momordica charantia Linn. with Promising Molecular Targets, Indian Journal of Pharmaceutical Sciences, juin juillet 2020 - 14 pages sur l'obésité [1]
  • (pt) Edite Maria Morais do Nascimento et al. Efeito da suplementação do Momordica charantia L. em pacientes com Diabetes mellitus: Uma revisão sistemática, Research, Society and Development, v. 10, n° 6, 2021. Revue systématique bien construite, en portugais, mention des rares expérimentations cliniques chez l'homme («Il a été observé que Momordica charantia L. a des effets antidiabétiques bénéfiques agissant sur la résistance à l'insuline, la glycémie à jeun, ainsi que d'autres paramètres importants tels que l'hémoglobine glyquée et HOMA-IR chez les personnes atteintes de diabète sucré»)[199].

Notes et références

  1. Annegret Bollée, Dictionnaire étymologique des créoles français de l'Océan Indien : ptie. Mots d'origine non-française ou inconnue, Buske Verlag, , 596 p. (ISBN 978-3-87548-051-1, lire en ligne).
  2. François Couplan, Les plantes et leurs noms. Histoires insolite, Éditions Quae, (lire en ligne), p. 85.
  3. Rembert Dodoens et Carolus Clusius, Histoire des plantes, en laquelle est contenue l'histoire entière des herbes..., de l'imprimerie de Iean Loë, (lire en ligne).
  4. Flore des serres et des jardins de l'Europe : annales générales d'horticulture, Houtte & Gyselnyck, (lire en ligne).
  5. (en) John K. Joseph et V. T. Antony, « Ethnobotanical investigations in the genus Momordica L. in the Southern Western Ghats of India », Genetic Resources and Crop Evolution, vol. 55,‎ , p. 713–721 (ISSN 0925-9864 et 1573-5109, DOI 10.1007/s10722-007-9279-5, lire en ligne, consulté le ).
  6. Annegret Bollée, Dictionnaire étymologique des créoles français de l'Océan Indien : ptie. Mots d'origine non-française ou inconnue, Buske Verlag, , 596 p. (ISBN 978-3-87548-051-1, lire en ligne).
  7. « Dr Giuseppe MAZZA Journalist - Scientific photographer > Momordica charantia », sur www.photomazza.com (consulté le ).
  8. Auguste Paillieux et Désiré Bois, Le potager d'un curieux : histoire, culture et usages de 250 plantes comestibles peu connues ou inconnues (3e édition, entièrement refaite...), (lire en ligne), p. 24
  9. Mots d’origine non-française ou inconnue, uni-bamberg.de (lire en ligne), p. 23.
  10. Nicolas Lormée, Pierre Cabalion et Édouard Hnawia, Hommes et plantes de Maré : Îles Loyauté, Nouvelle-Calédonie : nodei ngom ne yeserei ri node Nengone, IRD Editions, , 358 p. (ISBN 978-2-7099-1705-6, lire en ligne).
  11. « L'Alimentation moderne et les industries annexes / directeur G.T. Hamel », sur Gallica, (consulté le ).
  12. Auguste Paillieux et Désiré Bois, Le potager d'un curieux : histoire, culture et usages de 250 plantes comestibles peu connues ou inconnues (3e édition, entièrement refaite...), (lire en ligne), p. 368.
  13. (ja) CHANOYU, « ゴーヤ茶ってどんな味?苦みの成分や美味しい飲み方もあわせてご紹介 », sur CHANOYU,‎ (consulté le )
  14. (pt-BR) William Antonio Sagastegui Guarniz, « Melão-de-são-caetano do Nordeste do Brasil (Momordica charantia l.): estudo farmacognóstico e microbiológico integrado ao estudo químico », Université fédérale du Ceará (thèse),‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. Mozaniel Oliveira, Wanessa Almeida, Fernanda Wariss et Fernanda Bezerra, « Phytochemical profile and biological activities of Momordica charantia L. (Cucurbitaceae): A review », AFRICAN JOURNAL OF BIOTECHNOLOGY, vol. 17(26),‎ (DOI 10.5897/AJB2017.16374, lire en ligne, consulté le ).
  16. Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle, appliquée aux arts, principalement à l'agriculture et à l'économie rurale et domestique. Tome 6 COC-CUB / : Par une société de naturalistes et d'agriculteurs..., 1803-1804 (lire en ligne), page 120
  17. Auguste Paillieux et Désiré Bois, Le potager d'un curieux : histoire, culture et usages de 250 plantes comestibles peu connues ou inconnues (3e édition, entièrement refaite...), (lire en ligne), p. 374
  18. (ja) « Kakuroru », sur takki.co.jp.
  19. (en) L. K. Bharathi et K. Joseph John, Momordica genus in Asia : An Overview, Springer Science & Business Media, , 147 p. (ISBN 978-81-322-1032-0, lire en ligne).
  20. a et b G. J. H. Grubben, Légumes, PROTA, , 737 p. (ISBN 978-90-5782-149-3, lire en ligne).
  21. Hanno Schaefer et Susanne S. Renner, « A three-genome phylogeny of Momordica (Cucurbitaceae) suggests seven returns from dioecy to monoecy and recent long-distance dispersal to Asia », Molecular Phylogenetics and Evolution, vol. 54,‎ , p. 553–560 (DOI 10.1016/j.ympev.2009.08.006, lire en ligne, consulté le ).
  22. (en) « Allozyme, morphological and nutritional analysis bearing on the domestication of Momordica charantia L. (Cucurbitaceae) », sur https://link.springer.com, .
  23. (en) Gurleen Kaur Sidhu et Mamta Pathak, « Genetic Diversity Analysis of Bitter Gourd (Momordica Charantia l.) Germplasm Based on RAPD and SSR Markers », International Journal of Agriculture Innovations and Research Vol 8,, no 6,‎ , p. 6 (lire en ligne).
  24. a et b « 广东人曾称“苦瓜”作“蒲突”- 新华网 », sur www.gd.xinhuanet.com (consulté le )
  25. (en) DeenaS. Decker-Walters, « Cucurbits, Sanskrit, and the Indo-Aryas 1 », Economic Botany, vol. 53,‎ , p. 98–112 (ISSN 0013-0001, DOI 10.1007/BF02860800, lire en ligne, consulté le ).
  26. (en) 1147227, « Histoire des plantes de la Guiane Françoise », sur Issuu (consulté le )
  27. Terrence W. Walters et Deena S. Decker-Walters, « Balsam-Pear (Momordica charantia, Cucurbitaceae) », Economic Botany, vol. 42,‎ , p. 286–288 (lire en ligne, consulté le ).
  28. (en) Timothy J. Motley, Nyree Zerega et Hugh B. Cross, Darwin's Harvest : New Approaches to the Origins, Evolution, and Conservation of Crops, Columbia University Press, , 384 p. (ISBN 978-0-231-50809-4, lire en ligne).
  29. a et b (en) Attila KESERÜ et al., « The Influence of Cultivation Method on Crop Production of Bitter Gourd », BulletinUASVM Horticulture 73,‎ , p. 4 (ISSN 1843-5394, lire en ligne).
  30. (en) « CAB Direct », sur www.cabdirect.org (consulté le ).
  31. (en) Vivek Singh, D.K. Rana and K.N. Shah, « Evaluation of Genetic Diversity in Bitter Gourd (Momordica charantia L.) under Subtropical Conditions of Garhwal Himalaya », International Journal of Advanced Scientific Research and Management,‎ , p. 31 à 34 (ISSN 2455-6378, lire en ligne).
  32. (en) D. Ram et al., « Developing Bitter Gourd (Momordica charantia L.) Populations with a Very High Proportion of Pistillate Flowers », Indian Institute of Vegetable Research, 1 Gandhinagar (Naria),‎ (lire en ligne).
  33. C. Thangamani, L. Pugalendhi, T. Sumathi, C. Kavitha and V. Rajashree, « Estimation of combining ability and heterosis for yield and quality characters in bitter gourd (Momordica charantia L.) », Electronic Journal of Plant Breeding,‎ (ISSN 0975-928X, lire en ligne, consulté le ).
  34. « Momordica charantia L », sur https://www.especesinvasives.re, (consulté le )
  35. « Momordica charantia (bitter gourd) », sur https://www.cabi.org, dernière modification le 14 juillet 2018 (consulté le )
  36. « Plant Threats to Pacific Ecosystems », sur http://www.hear.org (consulté le )
  37. a et b « Momordica charantia L », sur www.prota4u.org (consulté le )
  38. (en) Karthick R, GV Rajalingam, S Praneetha et KB Sujatha, « Effect of micronutrients on growth, flowering and yield of bitter gourd (Momordica charantia) cv. co 1 », International Journal of Chemical Studies, vol. 6, no 1,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. (en) Lovepreet Singh et Sukhwinder Singh Aulakh, « Effect of mulching on cultivation, weed control and moisture conservation in Bitter Gourd », International Journal of Current Microbiology and Applied Sciences,‎ 2018 volume 7 n°7, p. 10 pages (ISSN 2319-7706, lire en ligne)
  40. (en) محمد حیدری, بهروز اسماعیل‌پور, موسی ترابی گیگلو et مرتضی شیخعلی پور, « The effect of different media (Perlite, vermiculite, soil, cocopite) on vegetative growth, yield of medicinal plant Carla (Momordica charantia L.). », 2nd International and 6th National Iranian Congress on Organic vs. Conventional Agriculture (conférence),‎ (lire en ligne, consulté le )
  41. (en) « Genome-wide identification and analysis of the MLO gene family for candidate powdery mildew susceptibility factors in Momordica charantia », Scientia Horticulturae, vol. 283,‎ , p. 110119 (ISSN 0304-4238, DOI 10.1016/j.scienta.2021.110119, lire en ligne, consulté le )
  42. (en) P. Gangadhara Rao, T. K. Behera, Ambika B. Gaikwad et A. D. Munshi, « Genetic analysis and QTL mapping of yield and fruit traits in bitter gourd ( Momordica charantia L.) », Scientific Reports, vol. 11, no 1,‎ , p. 4109 (ISSN 2045-2322, DOI 10.1038/s41598-021-83548-8, lire en ligne, consulté le )
  43. (en) Mei-Qi Tao, Mohammad Shah Jahan, Kun Hou et Sheng Shu, « Bitter Melon (Momordica charantia L.) Rootstock Improves the Heat Tolerance of Cucumber by Regulating Photosynthetic and Antioxidant Defense Pathways », Plants, vol. 9, no 6,‎ , p. 692 (DOI 10.3390/plants9060692, lire en ligne, consulté le )
  44. (ru) Musikhin S. A., Fedorov A. V. , Ardasheva O. A., « РЕЗУЛЬТАТЫ ИНТРОДУКЦИИ MOMORDICA CHARANTIA L. ПРИ ПРИВИВКЕ НА ВИДЫ ТЫКВ В УСЛОВИЯХ СРЕДНЕГО ПРЕДУРАЛЬЯ (Résultat de la greffe de M. charentia sur diverses espèces de citrouilles) », АГРОНОМИЯ – ОВОЩЕВОДСТВО (СЕЛЬСКОХОЗЯЙСТВЕННЫЕ НАУКИ),‎ , p. 5 (lire en ligne)
  45. (en) Invasive Species Compendium, « Momordica charantia », sur https://www.cabi.org/isc
  46. (en) « Current status of bitter gourd production and marketing in Asia / Ric M. Reyes », sur icrisat.org.
  47. (en) Ram Krishna Pandey et Prayank Kumar, Drying Kinetics of Green Bitter Gourd (Momordica charantia L.) Slices in a Fluidized Bed Dryer, GRIN Verlag, (ISBN 978-3-668-01149-6, lire en ligne).
  48. selon une estimation du semencier philippin East-West Seed.
  49. (en) zacsarian, « RIC REYES Talks At International Bittergourd Conference - zac b. sarian », sur zac b. sarian, (consulté le ).
  50. (en) Zahoor Ahmad Parray, Shabir Ahmad Parray, Asimul Islam, « Bitter Gourd (Momordica charantia) : A Natural Gift in Support of the Research in Medicine and Biotechnology », Research & Reviews: A Journal of Biotechnology,‎ , p. 1 à 13 (ISSN 2231-3826, lire en ligne)
  51. (en) Viorica Lagunovschi-Luchian et al., « Studies and research regarding acclimatization and breeding of new vegetable plant, Momordica charantia at V.R.D.S. Buzău, România », The EuroBiotech Journal 82, vol1, ed. 1,‎ , p. 82 à 84 (lire en ligne).
  52. « Show Foods », sur ndb.nal.usda.gov (consulté le ).
  53. a b c d et e (en) Deep Kwatra, Prasad Dandawate, Subhash Padhye et Shrikant Anant, « Bitter Melon as a Therapy for Diabetes, Inflammation, and Cancer : a Panacea? », Current Pharmacology Reports, vol. 2,‎ , p. 34–44 (ISSN 2198-641X, DOI 10.1007/s40495-016-0045-2, lire en ligne, consulté le ).
  54. (en) S.S.Dey et al., « Genetic Variability in Ascorbic Acid and Carotenoids Content in Indian Bitter Gourd (Momordica charantia L.) Germplasm », Cucurbit Genetics Cooperative Report 28-29: 91-93,‎ .
  55. http://sante.journaldesfemmes.com/calories/classement/aliments/vitamine-c.
  56. (en) Le Sun, Xiaopo Zhang, Lin Dong et Caiyun Zhang, « The triterpenoids of the bitter gourd (Momordica Charantia) and their pharmacological activities: A review », Journal of Food Composition and Analysis, vol. 96,‎ , p. 103726 (ISSN 0889-1575, DOI 10.1016/j.jfca.2020.103726, lire en ligne, consulté le )
  57. (pt) Jonathan de Almeida Soares et al., « Avaliação da toxicidade do extrato seco das folhas de Momordica charantia durante a gestação de ratas Wistar », IV Congresso de Ensino, Pesquisa e Extensão da UEG,‎ (lire en ligne).
  58. (en) « Effets de Momordica charantia sur la grossesse : à propos d’un cas », Toxicologie Analytique et Clinique, vol. 30, no 3,‎ , p. 183–184 (ISSN 2352-0078, DOI 10.1016/j.toxac.2018.07.065, lire en ligne, consulté le )
  59. Muhammad Farooq Khan, Nael Abutaha, Fahd A. Nasr et Ali S. Alqahtani, « Bitter gourd (Momordica charantia) possess developmental toxicity as revealed by screening the seeds and fruit extracts in zebrafish embryos », BMC Complementary and Alternative Medicine, vol. 19, no 1,‎ , p. 184 (ISSN 1472-6882, PMID 31340810, PMCID PMC6657154, DOI 10.1186/s12906-019-2599-0, lire en ligne, consulté le )
  60. (en) Ying-Jie Chen, Jia-Qian Zhu, Xiu-Qiong Fu et Tao Su, « Ribosome-Inactivating Protein α-Momorcharin Derived from Edible Plant Momordica charantia Induces Inflammatory Responses by Activating the NF-kappaB and JNK Pathways », Toxins, vol. 11, no 12,‎ , p. 694 (DOI 10.3390/toxins11120694, lire en ligne, consulté le )
  61. « Nutrient Profile : Bitter melon (Momordica charantia) » (consulté le ).
  62. « Acute Oral Toxicity Effects of Momordica Charantia in Sprague Dawley Rats - Volume 3 Number 4 (Jul. 2013) - IJBBB », sur www.ijbbb.org (consulté le ).
  63. (en) E. Basch, S. Gabardi et C. Ulbricht, « Bitter melon (Momordica charantia): a review of efficacy and safety », American Journal of Health-System Pharmacy, vol. 60, no 4,‎ , p. 356–359 (ISSN 1079-2082 et 1535-2900, PMID 12625217, lire en ligne, consulté le ).
  64. Pr. Pierre Aubry, Intoxications par les plantes toxiques dans les zones tropicales et inter tropicales, Bordeaux, , 11 p. (lire en ligne), p. 7.3 page 7
  65. (en) Allison Sarubin-Fragakis et American Dietetic Association, The Health Professional's Guide to Popular Dietary Supplements, American Dietetic Associati, (ISBN 978-0-88091-363-8, lire en ligne)
  66. a et b Johnson et al., « Étude ethnobotanique et phytochimique de Momordica charantia Linn (Cucurbitaceae) à Cotonou au Bénin », Journal of Applied Biosciences 106: pp 10249 10257,‎ (ISSN 1997-5902, lire en ligne).
  67. (en) Chee Kong Yap et al., « Heavy Metals in Bitter Gourd (Momordica charantia): Human Health Risk Assessment », ARC Journal of Nutrition and Growth Volume 5,‎ , p. 6 p. (ISSN 2455-2550, lire en ligne)
  68. (en) Claude Bragard, Katharina Dehnen‐Schmutz, Francesco Di Serio et Paolo Gonthier, « Commodity risk assessment of Momordica charantia fruits from Suriname », EFSA Journal, vol. 19, no 2,‎ , e06396 (ISSN 1831-4732, PMID 33613739, PMCID PMC7881711, DOI 10.2903/j.efsa.2021.6396, lire en ligne, consulté le )
  69. « Google Scholar », sur scholar.google.com (consulté le )
  70. « Google Scholar », sur scholar.google.com (consulté le )
  71. a et b (en) Lim T. K, Edible Medicinal And Non-Medicinal Plants : Volume 2, Fruits, Springer Science & Business Media, , 1100 p. (ISBN 978-94-007-1764-0, lire en ligne).
  72. (tr) Gülşah Aydin et Ertuğrul Kaya, « A Review: Momordica charantia L.'s Biological Active Components and Its Potential Use in Traditional Therapies », International Journal of Traditional and Complementary Medicine Research, vol. 1, no 2,‎ , p. 79–95 (ISSN 2717-7491, lire en ligne, consulté le )
  73. (en) Alicia Lagarto Parra et al., « Antidiabetic, hypolipidemic, antioxidant and anti-inflammatory effects of Momordica charantia L. foliage extract », Journal of Pharmacy & Pharmacognosy Research, 9 (4),‎ , p. 537-548 (lire en ligne)
  74. (en) Wiraphol Phimarn, Bunleu Sungthong, Kritsanee Saramunee et Wanida Caichompoo, « Efficacy of Momordica charantia L. on blood glucose, blood lipid, and body weight: A meta-analysis of randomized controlled trials », Pharmacognosy Magazine, vol. 14, no 56,‎ (lire en ligne, consulté le )
  75. Emanuel L. Peter, Prakash B. Nagendrappa, Anita Kaligirwa et Patrick Engeu Ogwang, « The safety and efficacy of Momordica charantia L. in animal models of type 2 diabetes mellitus: A systematic review and meta‐analysis », Phytotherapy Research,‎ (ISSN 0951-418X et 1099-1573, DOI 10.1002/ptr.6853, lire en ligne, consulté le )
  76. « Union Nationale des Femmes Coopératrices du Sénégal » (consulté le ).
  77. (en) Deepak Ku. Birla et al., « Evaluation of Antibacterial activity of Momordica Charantia », PharmaTutor 4(11),‎ , p. 37-42 (ISSN 2347-7881, lire en ligne).
  78. (en) Houéto E E. et al. ., « Antimicrobial potency and reversion of the bacterial resistance of ethanolic extract of Momordica charantia linn. », Internat. Journal Biol. Biotech. 16 (1),‎ , p. 79 à 93 (lire en ligne)
  79. M. Yasir Naeem, Senay Ozgen, Khazina Amin et Zeliha Selamoglu, « Antidotic Potency of Bitter Gourd (Momordica charantia L) », Journal of Traditional Medicine & Clinical Naturopathy, vol. 7, no 2,‎ (ISSN 2573-4555, DOI 10.4172/2573-4555.1000268, lire en ligne, consulté le ).
  80. Prasad R. Dandawate, Dharmalingam Subramaniam, Subhash B. Padhye et Shrikant Anant, « Bitter melon: a panacea for inflammation and cancer », Chinese Journal of Natural Medicines, vol. 14,‎ , p. 81–100 (ISSN 1875-5364, PMID 26968675, DOI 10.1016/S1875-5364(16)60002-X, lire en ligne, consulté le ).
  81. (en) PubChem, « PubChem Search », sur pubchem.ncbi.nlm.nih.gov (consulté le )
  82. Pooja Agrahari, « A Review on Salient Pharmacological Features of Momordica charantia », International journal of Pharmacology,‎ (lire en ligne, consulté le )
  83. (en) Radhia Riski, Akbar Awaluddin et Alisa Riko, « Formulation and Effectivity Study of Antipyretic Patch from Ethanol Extract of Bitter Melon Leaf (Momordica charantia L.) », Journal of Pharmaceutical and Medicinal Sciences, vol. 5, no 1,‎ (ISSN 2580-328X, DOI 10.32814/jpms.v5i1.111, lire en ligne, consulté le )
  84. (en) Zar Chi Thent, Srijit Das et Nurul Hannim Zaidun, « Emerging Trends On Drug Delivery Strategy of Momordica charantia against Diabetes and its Complications », Current Drug Delivery, vol. 15, no 4,‎ , p. 453–460 (ISSN 1567-2018, DOI 10.2174/1567201814666170525122224, lire en ligne, consulté le ).
  85. « Abstracts », sur waset.org (consulté le ).
  86. (pt) Renata Ranielly Pedroza Cruz, Ana Izabella Freire, Ariana Mota Pereira et Ricardo Pires Ribeiro, « Momordica charantia L. in the treatment of diabetes melittus », Research, Society and Development, vol. 9, no 7,‎ , p. 15973769 (ISSN 2525-3409, DOI 10.33448/rsd-v9i7.3769, lire en ligne, consulté le )
  87. Yufan Liu, Shumin Mu, Wenbin Chen et Shiyin Liu, « Saponins of Momordica charantia increase insulin secretion in INS-1 pancreatic β-cells via the PI3K/Akt/FoxO1 signaling pathway », Endocrinologia, Diabetes Y Nutricion, vol. 68, no 5,‎ , p. 329–337 (ISSN 2530-0172, PMID 33069631, DOI 10.1016/j.endinu.2020.05.005, lire en ligne, consulté le )
  88. Yoon Sin Oh, « Plant-Derived Compounds Targeting Pancreatic Beta Cells for the Treatment of Diabetes », Evidence-based Complementary and Alternative Medicine : eCAM, vol. 2015,‎ (ISSN 1741-427X, PMID 26587047, PMCID 4637477, DOI 10.1155/2015/629863, lire en ligne, consulté le ).
  89. Sandra D. Habicht, Christine Ludwig, Ray-yu Yang et Michael B. Krawinkel, « Momordica charantia and type 2 diabetes: from in vitro to human studies », Current Diabetes Reviews, vol. 10,‎ , p. 48–60 (ISSN 1875-6417, PMID 24295371, lire en ligne, consulté le ).
  90. D. Jini et Baby Joseph, « Antidiabetic effects of Momordica charantia (bitter melon) and its medicinal potency », Asian Pac J Trop Dis., vol. 3,‎ (ISSN 2222-1808, DOI 10.1016/S2222-1808(13)60020-1, lire en ligne, consulté le ).
  91. Gulzar Ahmad Bhat, Haseeb A. Khan, Abdullah S. Alhomida et Poonam Sharma, « GLP-I secretion in healthy and diabetic Wistar rats in response to aqueous extract of Momordica charantia », BMC Complementary and Alternative Medicine, vol. 18,‎ , p. 162 (ISSN 1472-6882, DOI 10.1186/s12906-018-2227-4, lire en ligne, consulté le )
  92. Padmaja Chaturvedi et Saramma George, « Momordica charantia Maintains Normal Glucose Levels and Lipid Profiles and Prevents Oxidative Stress in Diabetic Rats Subjected to Chronic Sucrose Load », Journal of Medicinal Food, vol. 13,‎ , p. 520–527 (ISSN 1096-620X, DOI 10.1089/jmf.2009.0151, lire en ligne, consulté le ).
  93. S. L. Teoh, Azian Abd Latiff et S. Das, « Histological changes in the kidneys of experimental diabetic rats fed with Momordica charantia (bitter gourd) extract », Romanian Journal of Morphology and Embryology = Revue Roumaine De Morphologie Et Embryologie, vol. 51,‎ , p. 91–95 (ISSN 1220-0522, PMID 20191126, lire en ligne, consulté le ).
  94. a et b (en) F. E. D. Surawan et Z. Efendi, « THE EFFECT OF BITTER MELON (Momordica charantia L.) JUICE AND BOILED EXTRACTON DIABETIC RATS », Jurnal Agroindustri, vol. 2, no 1,‎ (ISSN 2613-9952, lire en ligne, consulté le ).
  95. (en) Ali Imran et al., « Hypolipidemic perspectives of bittergourd ethalonic extracts in rat model », SYLWAN., 162(2),‎ , p. 151 to 163 (lire en ligne).
  96. a et b Siddanagouda R. Shivanagoudra, Wilmer H. Perera, Jose L. Perez et Giridhar Athrey, « In vitro and in silico elucidation of antidiabetic and anti-inflammatory activities of bioactive compounds from Momordica charantia », Bioorganic & Medicinal Chemistry,‎ (ISSN 0968-0896, DOI 10.1016/j.bmc.2019.05.035, lire en ligne, consulté le )
  97. (en) Joo-Hui Han, Nguyen Quoc Tuan, Min-Ho Park et Khong Trong Quan, « Cucurbitane Triterpenoids from the Fruits of Momordica Charantia Improve Insulin Sensitivity and Glucose Homeostasis in Streptozotocin-Induced Diabetic Mice », Molecular Nutrition & Food Research, vol. 62, no 7,‎ , p. 1700769 (ISSN 1613-4125, DOI 10.1002/mnfr.201700769, lire en ligne, consulté le ).
  98. (en) Olusola Olalekan Elekofehinti, Esther Opeyemi Ariyo, Moses Orimoloye Akinjiyan et Olanrewaju Sam Olayeriju, « Potential use of bitter melon (Momordica charantia) derived compounds as antidiabetics: In silico and in vivo studies », Pathophysiology, vol. 0, no 0,‎ , p. 7 (ISSN 0928-4680, DOI 10.1016/j.pathophys.2018.05.003, lire en ligne, consulté le ).
  99. « ScienceDirect », sur www.sciencedirect.com (consulté le )
  100. (id) Sri Pujiyanto dan Rejeki Siti Ferniah, « Aktifitas Inhibitor Alpha-Glukosidase Bakteri Endofit PR-3 yang Diisolasi dari Tanaman Pare (momordica charantia) », BIOMA,‎ , p. 6 pages (lire en ligne)
  101. (en) Hsin-Jung Hsieh, Jer-An Lin, Kai-Ting Chen et Kuan-Chen Cheng, « Thermal treatment enhances the α-glucosidase inhibitory activity of bitter melon (Momordica charantia) by increasing the free form of phenolic compounds and the contents of Maillard reaction products », Journal of Food Science (prépublication), vol. n/a, no n/a,‎ (ISSN 1750-3841, DOI 10.1111/1750-3841.15798, lire en ligne, consulté le )
  102. (en) Asri Dwi Endah Dewi Pramesth, Mirhansyah Ardana, Niken Indriyanti, « Drug-Herb Interaction between Metformin and Momordica charantia in Diabetic Mice », Molecular and Cellular Biomedical Sciences, Vol.3 No.2,‎ , p. 81-87 (ISSN 2527-4384, lire en ligne).
  103. (en) Arra B. Asejo, Patrick G. Moreno, Junie Billones, Ruel Nacario, Francisco M. Heralde III1, « Preliminary characterization and in silico studies on the alpha-amylase inhibitors from Momordica charantia AMP06 methanolic leaf extract », Philippine Journal of Biochemistry and Molecular Biology,‎ , p. 10 (lire en ligne)
  104. (en) Marisol Cortez-Navarrete, Esperanza Martínez-Abundis, Karina G. Pérez-Rubio et Manuel González-Ortiz, « Momordica charantia Administration Improves Insulin Secretion in Type 2 Diabetes Mellitus », Journal of Medicinal Food,‎ (ISSN 1096-620X et 1557-7600, DOI 10.1089/jmf.2017.0114, lire en ligne, consulté le )
  105. (en) Suchitra Kumari, Ipsita Dash, Kishore Kumar Behera, « Therapeutic Effect of Momordica charantia on Blood Glucose, Lipid Profile and Oxidative Stress in Type 2 Diabetes Mellitus Patients: A Randomised Controlled Trial », Journal of Clinical and Diagnostic Research.Sep, Vol-12(9):,‎ , BC21-BC25 (lire en ligne)
  106. (en) Smail, Manal M. A., Howarth, Frank. C., Abdulkhalek, Samar, Ismail, Abla Mohamed, Singh, Ram B., anoman, Carlin, Rupee, Khemraj, Rupee, Sunil, Cummings, Emanuel and Singh, Jaipaul, « Medicinal and anti-oxidant effects of Bitter Melon (Momordica charantia) in the treatment of diabetic cardiomyopathy », World Heart Journal vol 12 N°3,‎ , p. 10 pages (ISSN 1556-4002, lire en ligne)
  107. (en) Nguyen Hong Nhung, Ta Thi Thu Hang, Vu Khanh Linh, Nguyen Bao Kim, Pham The Hai, Phan Hong Minh, Bui Thanh Tung, « Evaluating Protein Tyrosine Phosphatase 1B Inhibitory Activity of Bioactive Compounds from Momordica charantia for Diabetes Treatment Type 2 by using Molecular Docking Method », Vietnam National University Journal of Science: Medical and Pharmaceutical Sciences, Vol. 37, No. 2,‎ , p. 39 à 49 (lire en ligne)
  108. (en) Yuanyuan Deng, Yongxuan Ma, Huijuan Liu et Yan Zhang, « Structure determination, bitterness evaluation and hepatic gluconeogenesis inhibitory activity of triterpenoids from the Momordica charantia fruit », Food Chemistry,‎ , p. 131224 (ISSN 0308-8146, DOI 10.1016/j.foodchem.2021.131224, lire en ligne, consulté le )
  109. (en) Lynsey Jones, « BG-4, a novel bio active peptide from Momordica charantia, inhibits lipopolysaccharide-induced inflammation in THP-1 human macrophages », University of Tennessee, Knoxville,‎ , p. 23 pages (lire en ligne).
  110. (en) Shaida Fariza Sulaiman, Kheng Leong Ooi et Supriatno, « Antioxidant and α-Glucosidase Inhibitory Activities of Cucurbit Fruit Vegetables and Identification of Active and Major Constituents from Phenolic-rich Extracts of Lagenaria siceraria and Sechium edule », Journal of Agricultural and Food Chemistry, vol. 61,‎ , p. 10080–10090 (DOI 10.1021/jf4031037, lire en ligne, consulté le ).
  111. (en) Kuan-Hung Lu, Hui-Chun Tseng, Chun-Ting Liu et Ching-Jang Huang, « Wild bitter gourd protects against alcoholic fatty liver in mice by attenuating oxidative stress and inflammatory responses », Food & Function, vol. 5,‎ (ISSN 2042-650X, DOI 10.1039/C3FO60449G, lire en ligne, consulté le ).
  112. (en) Thenmozhi AJ, Subramanian P., « Le potentiel Antioxydant de Momordica charantia en chlorure d'ammonium induite par les rats hyperammonemic. Evidence-Based Complement », Alternat Medecin,‎ .
  113. (en) Uma Nath Tripathi and Deepak Chandra, « The plant Extracts of Momordica Charantia and Trigonella Foenum Graecum Have Antioxidant and Anti-Hyperglycemic Properties for Cardiac Tissue During Diabetes Mellitus », Hindawi Publishing Corporation,‎ (lire en ligne).
  114. (en) Xueli Cao, Yujuan Sun, Yanfei Lin et Yanjun Pan, « Antiaging of Cucurbitane Glycosides from Fruits of Momordica charantia L. », Oxidative Medicine and Cellular Longevity, vol. 2018,‎ , p. 1–10 (ISSN 1942-0900 et 1942-0994, DOI 10.1155/2018/1538632, lire en ligne, consulté le )
  115. Mohammad Raish, « Momordica charantia polysaccharides ameliorate oxidative stress, hyperlipidemia, inflammation, and apoptosis during myocardial infarction by inhibiting the NF-κB signaling pathway », International Journal of Biological Macromolecules, vol. 97,‎ , p. 544–551 (DOI 10.1016/j.ijbiomac.2017.01.074, lire en ligne, consulté le ).
  116. (en) Marianne Benn, Børge G. Nordestgaard, Ruth Frikke-Schmidt et Anne Tybjærg-Hansen, « Low LDL cholesterol, PCSK9 and HMGCR genetic variation, and risk of Alzheimer’s disease and Parkinson’s disease: Mendelian randomisation study », BMJ, vol. 357,‎ , j1648 (ISSN 0959-8138 et 1756-1833, PMID 28438747, PMCID PMC5421439, DOI 10.1136/bmj.j1648, lire en ligne, consulté le ).
  117. (en) Ankur Joshi et al., « Memory enhancing activity of Momordica charantia by scopolamine induced amnesia in rats », International Journal of Comprehensive and Advanced Pharmacology,‎ janvier-mars 2017; 2(1):, p. 11 à 18 (lire en ligne).
  118. (en) Roja Pathakota et al., « Neuroprotective effects of Momordica charantia on scopolamine induced Alzheimer's desease. », World Journal of Pharmacy and pharmaceutical sciences,‎ , p. 2141 à 2155 (lire en ligne).
  119. (en) « The effects of Momordica charantia (bitter melon) supplementation in patients with primary knee osteoarthritis: A single-blinded, randomized controlled trial », Complementary Therapies in Clinical Practice,‎ (ISSN 1744-3881, DOI 10.1016/j.ctcp.2018.06.012, lire en ligne, consulté le ).
  120. (en) Nattaporn Pattarachotanant, Anchalee Prasansuklab et Tewin Tencomnao, « Momordica charantia L. Extract Protects Hippocampal Neuronal Cells against PAHs-Induced Neurotoxicity: Possible Active Constituents Include Stigmasterol and Vitamin E », Nutrients, vol. 13, no 7,‎ , p. 2368 (DOI 10.3390/nu13072368, lire en ligne, consulté le )
  121. (en) Mikio Nishizawa, Yukinobu Ikeya, Tadayoshi Okumura et Tetsuya Okuyama, « The anti-inflammatory effects of Indonesian and Japanese bitter melon (Momordica charantia L.) fruit extracts on interleukin-1β-treated hepatocytes », Functional Foods in Health and Disease, vol. 9, no 1,‎ , p. 16–33–33 (ISSN 2160-3855, DOI 10.31989/ffhd.v9i1.560, lire en ligne, consulté le )
  122. Woo Seok Yang, Eunju Yang, Min-Jeong Kim et Deok Jeong, « Momordica charantia Inhibits Inflammatory Responses in Murine Macrophages via Suppression of TAK1 », The American Journal of Chinese Medicine,‎ , p. 1–18 (ISSN 0192-415X, DOI 10.1142/S0192415X18500222, lire en ligne, consulté le ).
  123. (en) Xueli Cao et al. cor. Lan Xiang et Jianhua Qi, « Antiaging of Cucurbitane Glycosides from Fruits of Momordica charantia L. », Hindawi - Oxidative Medicine and Cellular Longevity,‎ , p. 10 (lire en ligne).
  124. Qixuan Chen, « Anti-obesity effect of bitter melon (Momordica charantia) », http://sunzi.lib.hku.hk/hkuto/record/B31048778,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  125. Pratibha V Nerurkar, Yun-Kung Lee et Vivek R Nerurkar, « Momordica charantia (bitter melon) inhibits primary human adipocyte differentiation by modulating adipogenic genes », BMC Complementary and Alternative Medicine, vol. 10,‎ , p. 34 (ISSN 1472-6882, PMID 20587058, PMCID PMC2911406, DOI 10.1186/1472-6882-10-34, lire en ligne, consulté le ).
  126. Bin Bao, Yan-Guang Chen, Lei Zhang et Yan Lin Na Xu, « Momordica charantia (Bitter Melon) reduces obesity-associated macrophage and mast cell infiltration as well as inflammatory cytokine expression in adipose tissues », PloS One, vol. 8, no 12,‎ , e84075 (ISSN 1932-6203, PMID 24358329, PMCID PMC3866167, DOI 10.1371/journal.pone.0084075, lire en ligne, consulté le ).
  127. (en) Zhi-gang Gong, Jianbing Zhang et Yong-Jiang Xu, « Metabolomics Reveals thatMomordica charantiaAttenuates Metabolic Changes in Experimental Obesity », Phytotherapy Research, vol. 31, no 2,‎ , p. 296–302 (ISSN 0951-418X, DOI 10.1002/ptr.5748, lire en ligne, consulté le ).
  128. (en) Wang, Jun et Ryu, Ho Kyung, « The effects of Momordica charantia on obesity and lipid profiles of mice fed a high-fat diet », Nutrition Research and Practice, vol. 9, no 5,‎ (ISSN 1976-1457, DOI 10.4162/nrp.2015.9.5.489&code=0161nrp&vmode=full, lire en ligne, consulté le ).
  129. « Protective effect of Momordica charantia in experimentally induced pancreatic atypical acinar cell tumor in male wistar rats through estimation of lipid peroxidation and antioxidant profile - ProQuest », sur search.proquest.com (consulté le ).
  130. (en) R Saahithya, R Sridhar, S Hemalatha et P Sriram, « Haematological changes in experimentally induced pancreatic atypical acinar cell tumor in male wistar rats and its alleviation by Momordica charantia », The Pharma Innovation Journal, vol. 7, no 4,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  131. Article intitulé « Bittermelone beugt Krebs vor » dans le quotidien autrichien Salzburger Nachrichten, 21 mars 2013, p. 19.
  132. (en) Chinthalapally V. Rao, « Immunomodulatory Effects of Momordica charantia Extract in the Prevention of Oral Cancer », Cancer Prevention Research,‎ (ISSN 1940-6207 et 1940-6215, PMID 29559516, DOI 10.1158/1940-6207.CAPR-17-0379, lire en ligne, consulté le ).
  133. (en) Chinthalapally V. Rao, « Immunomodulatory Effects of Momordica charantia Extract in the Prevention of Oral Cancer », Cancer Prevention Research, vol. 11, no 4,‎ , p. 185–186 (ISSN 1940-6207 et 1940-6215, PMID 29559516, DOI 10.1158/1940-6207.CAPR-17-0379, lire en ligne, consulté le ).
  134. (en-US) Subhayan Sur et Ratna B. Ray, « Diverse roles of bitter melon ( Momordica charantia ) in prevention of oral cancer », Journal of Cancer Metastasis and Treatment, vol. 7,‎ (ISSN 2394-4722, DOI 10.20517/2394-4722.2020.126, lire en ligne, consulté le )
  135. (en) Thandar Ei et Zainah Adam, « Momordica charantia (Indian and Chinese Bitter Melon) Extracts Inducing Apoptosis in Human Lung Cancer Cell Line A549 via ROS-Mediated Mitochodria Injury », sur Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine, (consulté le )
  136. Prasan Bhandari, « Dietary Botanicals for Chemoprevention of Prostate Cancer », Journal of Traditional and Complementary Medicine, vol. 4,‎ , p. 75–76 (PMID 24860728, PMCID 4003704, DOI 10.4103/2225-4110.130371, lire en ligne, consulté le ).
  137. Su Dao Xiong, Kang Yu, Xin Hua Liu et Li Hui Yin, « Ribosome-inactivating proteins isolated from dietary bitter melon induce apoptosis and inhibit histone deacetylase-1 selectively in premalignant and malignant prostate cancer cells », International journal of cancer. Journal international du cancer, vol. 125,‎ , p. 774–782 (ISSN 0020-7136, PMID 19384952, PMCID 3778503, DOI 10.1002/ijc.24325, lire en ligne, consulté le ).
  138. Chia-Jung Li, Shih-Fang Tsang, Chun-Hao Tsai et Hsin-Yi Tsai, « Momordica charantia Extract Induces Apoptosis in Human Cancer Cells through Caspase- and Mitochondria-Dependent Pathways », Evidence-based Complementary and Alternative Medicine : eCAM, vol. 2012,‎ (ISSN 1741-427X, PMID 23091557, PMCID 3471438, DOI 10.1155/2012/261971, lire en ligne, consulté le ).
  139. (en) Ratna B. Ray, Amit Raychoudhuri, Robert Steele et Pratibha Nerurkar, « Bitter Melon (Momordica charantia) Extract Inhibits Breast Cancer Cell Proliferation by Modulating Cell Cycle Regulatory Genes and Promotes Apoptosis », Cancer Research, vol. 70,‎ , p. 1925–1931 (ISSN 0008-5472 et 1538-7445, PMID 20179194, DOI 10.1158/0008-5472.CAN-09-3438, lire en ligne, consulté le ).
  140. (en) EvandroFei Fang, ChrisZhiYi Zhang, WingPing Fong et TziBun Ng, « RNase MC2: a new Momordica charantia ribonuclease that induces apoptosis in breast cancer cells associated with activation of MAPKs and induction of caspase pathways », Apoptosis, vol. 17,‎ , p. 377–387 (ISSN 1360-8185, DOI 10.1007/s10495-011-0684-z, lire en ligne, consulté le ).
  141. (en) « Cucurbitane triterpenoids from the fruit of Momordica charantia L. and their anti-hepatic fibrosis and anti-hepatoma activities », Phytochemistry, vol. 157,‎ , p. 21–27 (ISSN 0031-9422, DOI 10.1016/j.phytochem.2018.10.009, lire en ligne, consulté le )
  142. (en) Jiayin Yue, Yuanyuan Sun, Jing Xu et Xiaoshu Zhang, « Four new cucurbitane-type triterpenes from Momordica charantia L. with their cytotoxic activities and protective effects on H2O2-damaged pancreatic cells », Journal of Natural Medicines,‎ (ISSN 1861-0293, DOI 10.1007/s11418-019-01336-1, lire en ligne, consulté le )
  143. (en) « Momordica charantia L. Induces Non-Apoptotic Cell Death in Human MDA-MB-436 Breast and A549 Lung Cancer Cells by Disrupting Energy Metabolism and Exacerbating Reactive Oxygen Species’ Generation », Journal of Ethnopharmacology,‎ , p. 114036 (ISSN 0378-8741, DOI 10.1016/j.jep.2021.114036, lire en ligne, consulté le )
  144. Ahmet Pişkin, Berrin Zuhal Altunkaynak, Gamze Tümentemur et Süleyman Kaplan, « The beneficial effects of Momordica charantia (bitter gourd) on wound healing of rabbit skin », Journal of Dermatological Treatment, vol. 25, no 4,‎ , p. 350–357 (ISSN 0954-6634, DOI 10.3109/09546634.2012.713459, lire en ligne, consulté le ).
  145. (en) S. L. Teoh, A. A. Latiff et S. Das, « The effect of topical extract of Momordica charantia (bitter gourd) on wound healing in nondiabetic rats and in rats with diabetes induced by streptozotocin », Clinical and Experimental Dermatology, vol. 34, no 7,‎ , p. 815–822 (ISSN 1365-2230, DOI 10.1111/j.1365-2230.2008.03117.x, lire en ligne, consulté le ).
  146. S. L. Teoh, A. A. Latiff et S. Das, « The effect of topical extract of Momordica charantia (bitter gourd) on wound healing in nondiabetic rats and in rats with diabetes induced by streptozotocin », Clinical and Experimental Dermatology, vol. 34, no 7,‎ , p. 815–822 (ISSN 1365-2230, PMID 19508570, DOI 10.1111/j.1365-2230.2008.03117.x, lire en ligne, consulté le ).
  147. Mert İlhan, Ismail Eser Bolat, İpek Süntar et Harika Kutluay Köklü, « Topical application of olive oil macerate of Momordica charantia L. promotes healing of excisional and incisional wounds in rat buccal mucosa », Archives of Oral Biology, vol. 60,‎ , p. 1708–1713 (ISSN 1879-1506, PMID 26431827, DOI 10.1016/j.archoralbio.2015.09.006, lire en ligne, consulté le ).
  148. (en) « L’IRPF et la Phytochemical Society of Europe annoncent les lauréats des Prix IRPF-PSE | Pierre Fabre », sur www.pierre-fabre.com (consulté le ).
  149. (en) Miftakhul Ulfa et Fariz Aditya Paditya, « The effect of Bitter gourd melon extracts on shortened inflammation phase of degree 2 burn wounds in wistar strain rat », International conference on nursing (2017),‎ , p. 325 à 321 (ISBN 978-979-796-276-0, lire en ligne).
  150. (en) « Momordica charantia polysaccharides ameliorate oxidative stress, inflammation, and apoptosis in ethanol-induced gastritis in mucosa through NF-kB signaling pathway inhibition », International Journal of Biological Macromolecules, vol. 111,‎ , p. 193–199 (ISSN 0141-8130, DOI 10.1016/j.ijbiomac.2018.01.008, lire en ligne, consulté le ).
  151. (en) Kyeong Soo Lee, Hyun Pyo Kim, Hyun Jin Park et Young Geol Yoon, « Improvement of testosterone deficiency by fermented Momordica charantia extracts in aging male rats », Food Science and Biotechnology, vol. 30, no 3,‎ , p. 443–454 (ISSN 2092-6456, PMID 33868755, PMCID PMC8017075, DOI 10.1007/s10068-020-00872-x, lire en ligne, consulté le )
  152. (en) Aabhishek As, Archana Singh, Chidanand Dv et Sunil Ck, « Comparative evaluation on effect of drying methods on physicochemical characterization of wild bitter gourds Momordica charantia var. Muricata », International Journal of Chemical Studies, vol. 9, no 1,‎ , p. 1972–1978 (ISSN 2321-4902, DOI 10.22271/chemi.2021.v9.i1ab.11508, lire en ligne, consulté le )
  153. (en) Sarasvathy Subramaniam, Muhammad Hafiz B. Rosdi, et Umah Rani Kuppusamy, « Customized Cooking Methods Enhance Antioxidant, Antiglycemic, and Insulin-Like Properties of Momordica charantia and Moringa oleifera », Journal of Food Quality - Vol 2017, Article ID 9561325,‎ , p. 9 pages (lire en ligne).
  154. « ScienceDirect », sur www.sciencedirect.com (consulté le )
  155. (en) Ummi Rohajatien, Mazarina Devi, Titi Mutiara K., « Culinary Model Innovation on Some Bitter Melon Cultivar (Momordica Charantia L.) Cultivar with High Pectin, Protein, and Diosgenin Characteristics », Advances in Social Science, Education and Humanities Research, volume 406,‎ , p. 3 pages (lire en ligne)
  156. « Omelette au kugua (courge amère) 苦瓜煎蛋 kǔguā jiāndàn », sur blogspot.pt (consulté le ).
  157. http://www.xiangha.com/caipu/657985.html.
  158. (en) « 炒苦瓜时,只会泡水就错了!忽略了这1步,难怪苦瓜又苦又涩_加入适量 », sur www.sohu.com (consulté le )
  159. http://food.yxlady.com/cookzuofa/9197.shtml.
  160. http://www.xgchelizi.com/yinshijiankang/02_15999.html.
  161. (vi) « Đa dạng món ngon với khổ qua », sur Báo Thanh Niên, (consulté le )
  162. http://www.magluto.com/filipino-recipe-black-beans-with-bittermelon-leaves.
  163. Truong Giang, « À la découverte du lac Lak », Le Courrier du Vietnam,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  164. Sự kiện NÓNG, « Canh khổ qua nhồi thịt thơm ngon bổ dưỡng », VietNamNet,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  165. (en) Lim T. K, Edible Medicinal And Non-Medicinal Plants: Volume 2, Fruits, Springer Science & Business Media, (ISBN 978-94-007-1763-3, lire en ligne)
  166. « Infusion au Concombre amer (苦瓜茶) CAU TRE - Épicerie sucrée et salée, Thés, Infusions, Instantanés », sur Tang Frères (consulté le )
  167. « Une boisson miracle pour perdre son tour de taille en 4 jours seulement, c'est possible ? », sur RTBF Info, (consulté le )
  168. Narinder P. S. Dhillon, Chung-Cheng Lin, Zhanyong Sun et Peter M. Hanson, « Varietal and harvesting stage variation in the content of carotenoids, ascorbic acid and tocopherols in the fruit of bitter gourd (Momordica charantia L.) », Plant Genetic Resources, vol. 15, no 3,‎ , p. 248–259 (ISSN 1479-2621 et 1479-263X, DOI 10.1017/S147926211500057X, lire en ligne, consulté le ).
  169. (en) « Food Composition Databases Show Foods -- Balsam-pear (bitter gourd), pods, cooked, boiled, drained, without salt », sur ndb.nal.usda.gov (consulté le ).
  170. Kuri E. Yuwai, Koyyalamudi Sundar Rao, Chalapan Kaluwin et Gwyn P. Jones, « Chemical composition of Momordica charantia L. fruits », Journal of Agricultural and Food Chemistry, vol. 39, no 10,‎ , p. 1762–1763 (ISSN 0021-8561, DOI 10.1021/jf00010a013, lire en ligne, consulté le )
  171. (en) « Carotenoid Pigment Changes in Ripening Momordica charantia Fruits* », sur ResearchGate (consulté le )
  172. T. Murakami, A. Emoto, H. Matsuda et M. Yoshikawa, « Medicinal foodstuffs. XXI. Structures of new cucurbitane-type triterpene glycosides, goyaglycosides-a, -b, -c, -d, -e, -f, -g, and -h, and new oleanane-type triterpene saponins, goyasaponins I, II, and III, from the fresh fruit of Japanese Momordica charantia L », Chemical & Pharmaceutical Bulletin, vol. 49, no 1,‎ , p. 54–63 (ISSN 0009-2363, PMID 11201226, lire en ligne, consulté le )
  173. Sabira Begum, Mansoor Ahmed, Bina S. Siddiqui et Abdullah Khan, « Triterpenes, A sterol and A monocyclic alcohol from Momordica charantia », Phytochemistry, vol. 44, no 7,‎ , p. 1313–1320 (DOI 10.1016/S0031-9422(96)00615-2, lire en ligne, consulté le ).
  174. (en) « [Study on Chemical Components of Momordica Charantia] », sur PubMed Journals (consulté le ).
  175. (en) Ana Paula Lopes, Marília Bellanda Galuch, Maria Eugênia Petenuci et Jean Halison Oliveira, « Quantification of phenolic compounds in ripe and unripe bitter melons (Momordica charantia) and evaluation of the distribution of phenolic compounds in different parts of the fruit by UPLC–MS/MS », Chemical Papers,‎ (ISSN 1336-9075, DOI 10.1007/s11696-020-01094-5, lire en ligne, consulté le )
  176. (en) Pedro Henrique Sette-de-Souza, Brenda Alencar Araújo Souza, Moan Jéfter Fernandes Costa et Fábio Andrey da Costa Araújo, « Kuguacin: biological activities of triterpenoid from Momordica charantia—a scoping review », Advances in Traditional Medicine,‎ (ISSN 2662-4060, DOI 10.1007/s13596-021-00587-2, lire en ligne, consulté le )
  177. (en) « Kuguacin J isolated from Momordica charantia leaves inhibits P-glycoprotein (ABCB1)-mediated multidrug resistance », The Journal of Nutritional Biochemistry, vol. 23, no 1,‎ , p. 76–84 (ISSN 0955-2863, DOI 10.1016/j.jnutbio.2010.11.005, lire en ligne, consulté le )
  178. (en) Pulipati Gangadhara Rao, « Recent Advances in Breeding of Bitter Gourd (Momordica charantia L.) », dans Advances in Plant Breeding Strategies: Vegetable Crops: Volume 9: Fruits and Young Shoots, Springer International Publishing, (ISBN 978-3-030-66961-4, DOI 10.1007/978-3-030-66961-4_3, lire en ligne), p. 87–121
  179. (en) P. Gangadhara Rao, T. K. Behera, Ambika B. Gaikwad et A. D. Munshi, « Genetic analysis and QTL mapping of yield and fruit traits in bitter gourd (Momordica charantia L.) », Scientific Reports, vol. 11, no 1,‎ , p. 4109 (ISSN 2045-2322, DOI 10.1038/s41598-021-83548-8, lire en ligne, consulté le )
  180. (en) Gurpreet Kaur, Mamta Pathak, Deepak Singla et Abhishek Sharma, « High-Density GBS-Based Genetic Linkage Map Construction and QTL Identification Associated With Yellow Mosaic Disease Resistance in Bitter Gourd (Momordica charantia L.) », Frontiers in Plant Science, vol. 0,‎ (ISSN 1664-462X, DOI 10.3389/fpls.2021.671620, lire en ligne, consulté le )
  181. Junjie Cui, Jiazhu Peng, Jiaowen Cheng et Kailin Hu, « Development and validation of genome-wide InDel markers with high levels of polymorphism in bitter gourd (Momordica charantia) », BMC Genomics, vol. 22, no 1,‎ , p. 190 (ISSN 1471-2164, PMID 33726664, PMCID PMC7968231, DOI 10.1186/s12864-021-07499-0, lire en ligne, consulté le )
  182. (en) « Development of InDel Markers and Fingerprinting of Bitter Gourd (Momordica Charantia) Based on Whole Genome Re-sequencing », sur www.researchsquare.com, (consulté le ) : « https://assets.researchsquare.com/files/rs-810603/v1/a2701b42-3651-43bc-a293-150c4136f84d.pdf?c=1629743841 »
  183. (en) Narinder P.S. Dhillon, et al., Suggested Cultural Practices for Bitter Gourd, Taïwan, World Vegetable Center, , 14 p. (lire en ligne).
  184. (en) Amit Jain, Sourav Sengupta et Sirshendu De, « Fundamental Understanding of Fouling Mechanisms During Microfiltration of Bitter Gourd (Momordica charantia) Extract and Their Dependence on Operating Conditions », Food and Bioprocess Technology, vol. 11, no 5,‎ , p. 1012–1026 (ISSN 1935-5130 et 1935-5149, DOI 10.1007/s11947-018-2074-9, lire en ligne, consulté le ).
  185. Dr.M.Prakash,M.Sc.,M.Phil.,Ph.D.,, « International Journal of Current Microbiology and Applied Sciences (IJCMAS)-Current Issues Volume 5 Number 7 July 2016 », sur www.ijcmas.com (consulté le ).
  186. (en) Junjie Cui, Shaobo Luo, Yu Niu et Rukui Huang, « A RAD-Based Genetic Map for Anchoring Scaffold Sequences and Identifying QTLs in Bitter Gourd (Momordica charantia) », Frontiers in Plant Science, vol. 9,‎ (ISSN 1664-462X, DOI 10.3389/fpls.2018.00477, lire en ligne, consulté le ).
  187. (en) Viorica Lagunovschi-Luchian et al., « Studies and research regarding acclimatization and breeding of new vegetable plant, Momordica charantia at V.R.D.S. Buzău, România », The EuroBiotech Journal,‎ , p. 89 à 91 (lire en ligne).
  188. (en) Pedro Henrique Sette-de-Souza, Brenda Alencar Araújo Souza, Moan Jéfter Fernandes Costa et Fábio Andrey da Costa Araújo, « Kuguacin: biological activities of triterpenoid from Momordica charantia—a scoping review », Advances in Traditional Medicine,‎ (ISSN 2662-4060, DOI 10.1007/s13596-021-00587-2, lire en ligne, consulté le )
  189. La Belgique horticole : journal des jardins, des serres et des vergers, Direction générale, (lire en ligne).
  190. « 惠州惠东大顶苦瓜甜了菜农 », sur jiuban.moa.gov.cn (consulté le ).
  191. 糜朝霞, « 种苦瓜尝“甜头”!惠东这个村种了近400年_惠州新闻_南方网 », sur hz.southcn.com (consulté le ).
  192. « 天生苦瓜脸?那是面部肌肉在作怪,打一顿就好! », sur www.sohu.com,‎ (consulté le ).
  193. (it) « Margose di Birranova: la birra con il mare dentro », Horecanews.it,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  194. « Castravetele amar sau momordica charantia - afacere simpla cu profit generos », sur ideideafaceri.manager.ro (consulté le )
  195. « 苦瓜之美 », sur m.yunnan.cn (consulté le )
  196. Jardin d'agronomie tropicale (Paris) texte et France Inspection générale de l'agriculture coloniale texte, « L'Agriculture pratique des pays chauds : bulletin du Jardin colonial et des jardins d'essai des colonies françaises (p.324) », sur Gallica, (consulté le )
  197. (zh) « 石涛 (明末清初著名画家) », sur baike.baidu,‎ (consulté le )
  198. (en) Shahid Akbar, « Momordica charantia L. (Cucurbitaceae) », dans Handbook of 200 Medicinal Plants: A Comprehensive Review of Their Traditional Medical Uses and Scientific Justifications, Springer International Publishing, (ISBN 978-3-030-16807-0, DOI 10.1007/978-3-030-16807-0_128, lire en ligne), p. 1195–1219
  199. (pt) EM Morais do Nascimento, G Lima de Araujo, BE Pereira Cardoso, S Rodrigues de Sousa Melo, MJ Bezerra Leal Rios, PV de Lima Sousa, GG Santos Cardoso, T Milany da Silva Dias, JB Silva Morais, « Efeito da suplementação do Momordica charantia L. em pacientes com Diabetes mellitus: Uma revisão sistemática », Research, Society and Development, v. 10, n. 6,,‎ , p. 10 pages (lire en ligne)

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :