Olympiakós (football)

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Olympiakós (football)

Généralités
Site web www.olympiakos.gr

Maillots

Domicile

Extérieur

Neutre

L’Olympiakós Le Pirée (en grec : Ολυμπιακός Σύνδεσμος Φιλάθλων Πειραιώς - Olympiakós Sýndesmos Filáthlon Pireós) est un club grec omnisports basé au Pirée et comprenant une section football de premier plan. Cet article concerne cette section football ; voir Olympiakós (basket-ball) pour la section basket-ball, Olympiakos (volley-ball) pour la section volley-ball et Olympiakós (water-polo) pour la section water-polo.

L'équipe de football est souvent appelée familièrement Thrylos (« Légende » en grec).

Ses supporters se recrutent traditionnellement dans la classe ouvrière, au Pirée et dans les îles (d'où sa rivalité classique avec le Panathinaikos, considéré comme le club des classes aisées d'Athènes).

L'Olympiakos est considéré comme le plus grand club de football en Grèce et est l'un des 4 clubs grecs à n'être jamais descendu à l'échelon inférieur. C'est aussi le club de football grec le plus titré avec 41 titres de champion de Grèce, 26 Coupes de Grèce et 3 Supercoupes de Grèce.

En 1981, 21 de ses fans sont morts écrasés dans le stade suite à un mouvement de foule dans l'escalier de la Porte 7 (Gate 7, θύρα 7) restée fermée par erreur. Cette tragédie est commémorée chaque année et les supporters y font très souvent allusion.

Histoire

Premières années

Fondateurs de l'Olympiakos

L'Olympiakos est fondé le 10 mars 1925 lors d'une assemblée historique au port du Pirée durant laquelle les membres du "Piraikos Podosfairokos Omilos FC" (Club de sport et de football du Pirée) et le "Piraeus Fans Cub FC" décident de dissoudre les deux clubs de la ville afin de créer une équipe unifiée[1].

Les frères Andrianopoulos, membres d'une famille prospère, font ensuite connaitre le nom de l'Olympiakos dans toute la Grèce. Yiannis, Dinos, Giorgos et Vassilis sont les premiers joueurs de l'équipe[1].

En 1926, la Fédération Hellénique de Football est créée et organise le championnat panhellénique durant la saison 1927-1928. C'est le premier championnat national de football réunissant les équipes régionales de la ligue EPSA (Athènes), EPSP (Le Pirée) et EPSM (Thessaloniki).

En 1940, l'Olympiakos a déjà gagné 6 championnats en 11 saisons. Vingt ans plus tard, ils en sont à 15 victoires en championnat sur 23 saisons. De 1954 à 1959, le club remporte la Coupe de Grèce six fois consécutive[2].

Nikos Goulandris (1972-1975)

Un nouveau chapitre s'ouvre pour l'Olympiakos en 1972, quand Nikos Goulandris deveitn président du club. Il choisit Lakis Petropoulos comme entraîneur et signe avec des joueurs tels que Giorgos Delikaris, Yves Triantafyllos, Julio Losada, Milton Viera, Michalis Kritikopoulos, Romain Argyroudis, Maik Galakos, Lakis Glekos, Kostas Davourlis, Giannis Kyrastas et Dimitris Persidis.

Sous la présidence de Goulandris, l'Olympiakos remporte trois fois la ligue grecque de 1973 à 1975 et deux fois la Coupe de Grèce en 1973 et en 1975. Durant la saison 1973-1974, le club de football grec gagne la ligue avec un nombre record de points (59) et de buts marqués (102)[1].

Stavris Daifas (1979-1986 et 1992-1994)

Jusqu'au début des années 80, après la résiliation de Nikos Goulandris, qui sera succédé par Kostas Thanopoulos (1975-1978), Periklis Lanaras (1975) et Iraklis Tsitsalis (1978-1979), le club de football traverse une période durant laquelle les succès de font plus rares. Il faut attendre 1980 et l'arrivée à la présidence du club de Stavros Daifas pour voir le club reprendre des couleurs. Le championnat grec est alors devenu professionnel et l'Olympiakos remporte 4 fois consécutives le titre de champion, en 1980, 1981, 1982 et 1983. Les joueurs clés de cette période sont Nikos Anastopoulos, Tasos Mitropoulos et le gardien de but Nikos Sarganis. Alketas Panagoulias, qui a également été entraîneur de l'équipe nationale de football grecque et de l'équipe nationale de football américaine, entraîne alors l'équipe de 1981 à 1983 puis de 1986 à 1987.

Sokratis Kokkalis (1993-2010)

De 1987 au milieu des années 90, L'Olympiakos connait sa pire période en termes de résultats. La saison 1987-1988 sera même la pire que le club ait jouée depuis sa création, terminant 8ème du classement. Le Club est alors dirigé par George Koskotas, un homme d'affaires grec qui sera accusé de détournement de fonds et condamné, laissant l'Olympiakos profondément endetté[3]. Se succèderont ensuite à la présidence du club Argiris Saliarelis et Giorgos Banasakis qui ne parviendront pas à redresser la barre.

En 1993, Sokratis Kokkalis prend les rênes de l'Olympiakos et signe avec plusieurs joueurs à la renommée internationale : Zlatko Zahovic, Giovanni ou encore Christian Karembeu. Le club remporte le championnat 7 fois de suite, battant ainsi son propre record de six victoires consécutives. Leur meilleure saison est la saison 1998-1999. Alors qu'ils sont entraînés par Dusan Bajevic, il célèbre un doublet et de qualifient pour les quarts de final de l'UEFA.

De 1999 à 2004, huit entraîneurs se succèdent au sein de l'Olympiakos, les plus connus étant Ioannis Matzourakis, Takis Lemonis, Trond Sollied, Oleg Protasov et Sinisa Gogic[4].

En 2007, l'Olympiakos réalise des transferts très coûteux comme ceux de Darko Kovačević et de Luciano Galletti. Le club réalise alors le transfert le plus lucratif de l'histoire du football grec en vendant le milieu de terrain Nery Castillo à un club de football ukrainien pour la somme record de 20 millions d'euros (soit 27,5 millions de dollars)[5]. Grâce à une clause du contrat de Castillo, celui-ci remportera 5 millions de cette somme tandis que l'Olympiakos touchera les 15 millions restant[6].

Le club recrute l'ancienne légende de football brésilienne Zico en tant qu'entraîneur durant l'été 2009 et entame la saison 2009-2010 avec plusieurs réussites. Ils sa qualifient pour les 16ème de final de l'UEFA et finissent deuxième de leur groupe, seulement 3 points derrière Arsenal[7]. Ceci malgré l'absence de plusieurs joueurs de l'équipe 1, bléssés.

Evángelos Marinákis

En 2011, l'homme d'affaires grec Evángelos Marinákis rachète l'Olympiakos. Le club de football remporte la Super League grecque cette année-là, malgré une vaste affaire de corruption entourant Evángelos Marinákis. L'équipe est impliquée dans le scandale de Koriopolis : 80 suspects, dont son président, sont accusés d'avoir truqués des matches et d'incitation à la violence[8]. Evángelos Marinákis est personnellement accusé d'avoir usé de ses relations privilégiées avec Georgios Sarris, le président de la Fédération Hellénique de Football , qu'il a auparavant aidé pour son accession à ce poste[9], afin de choisir des arbitres favorables à l'Olympiakos lors de leurs matches. Il ne sera cependant pas arrêté, mais des enregistrements téléphoniques semant le doute quant à sa culpabilité seront plus tard diffusés dans la presse grecque[10].

Le 13 mars 2011, des supporters de l'Olympiakos provoquent une émeute dans les tribunes durant un match du club de football du Pirée. Evángelos Marinákis sera ensuite accusé d'avoir préparé cette émeute, enregistrements téléphoniques à l'appui[11]. Selon le procureur qui a enregistré ses conversations téléphoniques, ainsi que celles de plusieurs haut responsable du football grec, on peut y entendre "Tsakogiannis informer Ioannis Papadopoulos qu'il a tout arrangé et qu'Evángelos Marinákis est au courant de plan selon lequel les supporters de l'Olympiakos vont provoquer une émeute"[11].

En mai 2013, alors que l'Olympiakos s'apprête à gagner le championnat grec pour la troisième fois consécutive depuis l'accession au poste de président du club d'Evángelos Marinákis (2011, 2012 et 2013), le club est accusé de bénéficier d'un traitement de faveur de la part des arbitres[12]. Selon l'arbitre Thanasis Yiachos, qui était en poste à la finale de la Coupe entre Asteras Tripolis et l'Olympiakos, Evángelos Marinákis serait entré dans ses vestiaires durant la mi-temps[13] (ce qui est interdit par la Fédération hellénique de football) pour, selon Evángelos Marinákis, dire "bonne chance" à l'arbitre. Alors qu'à la première mi-temps du match, l'Olympiakos était à égalité avec l'Asteras Tripolis (1-1), le club du Pirée marque deux buts durant la seconde mi-temps. Les médias voient en ce match un match truqué, mais aucune action ne sera lancée contre l'Olympiakos[14].

Rivalités

Panathinaikos

Le principal rival de l'Olympiakos est traditionnellement le club du Panathinaikos. Les deux équipes sont celles qui enchaînent le plus de succès parmi les clubs de football grecs et leur rivalité est également symptomatique de différences sociales et culturelles entre les deux régions.

L'Olympiakos est traditionnellement considéré comme un club représentatif de la classe ouvrière de la ville portuaire du Pirée, tandis que le Panathinaikos est considéré comme le club de la classe supérieure de la société d'Athènes. De nos jours, ces différenciations sont nettement moins marquées et les supporters des deux clubs proviennent de milieux similaires[15][16].

Les rivalités sont si marquées que de nombreux incidents violents ont eu lieu dans la région d'Athènes avant ou après les derbies des deux équipes.

Le 29 mars 2007, lors d'un affrontement organisé par différents supporters, un supporter de 22 ans du Panathinaikos est poignardé à mort à Paiania, une ville proche d'Athènes alors qu'un match de volleyball féminin opposant les équipes de l'Olympiakos et du Panathinaikos devait avoir lieu ce jour-là. L'incident provoque un bouleversement majeur en Grèce et déclenche une enquête de police. Les évènements sportifs en Grèce sont suspendus pendant deux semaines.

Un derby entre les deux équipes est annulé[17] en 2012 alors que des bombes à essence, des fusées et des missiles sont jetés sur les supporters et la police au Stade Olympique, qui prendra ensuite feu. En mars 2014, une rencontre entre les deux équipes est le théâtre d'incendies allumés par des supporters des deux camps[18]. L'entraîneur du Panathinaïkos est laissé sur un banc de touche après avoir été frappé par un objet depuis les tribunes. La même année, après un match lors duquel l'Olympiakos l'emporte face au Panathinaikos 1-0, le propriétaire du Panathinaikos, Yiannis Alafouzos, fait des commentaires controversés déclarant que les arbitres ont favorisé l'Olympiakos, "incapable de gagner sans nounou"[19].

PAOK Salonique

Un autre concurrent majeur de l'Olympiakos est le PAOK Salonique. La rivalité entre les deux clubs remonte aux années 1960, lorsque l'Olympiakos négocie l'achat du joueur vedette du PAOK, Giorgos Koudas. Leur concurrence vient également de la rivalité entre Athènes et Thessalonique, les deux grandes villes du pays[20].

Palmarès

Effectif professionnel actuel

Effectif de la saison 2014-2015
Joueurs Encadrement technique
No  P. Nat.[21] Nom Date de naissance Sélection[22] Club précédent
16 G Drapeau de l'Espagne Roberto, Roberto 10/02/1986 (38 ans) Espagne espoirs Atlético Madrid
33 G Drapeau de la Grèce Choutetsiotis, EleftheriosEleftherios Choutetsiotis 20/07/1994 (29 ans) Grèce espoirs Formé au club
42 G Drapeau de la Hongrie Megyeri, BalázsBalázs Megyeri 31/03/1990 (34 ans) Hongrie Ferencváros TC
3 D Drapeau de l'Espagne Botía, AlbertoAlberto Botía 27/01/1989 (35 ans) Espagne Séville FC
14 D Drapeau de la Norvège Elabdellaoui, OmarOmar Elabdellaoui 05/12/1991 (32 ans) Norvège Eintracht Brunswick
20 D Drapeau de la Grèce Giannoulis, KostasKostas Giannoulis 09/12/1987 (36 ans) Grèce Atromitos FC
23 D Drapeau de la Grèce Sióvas, DimítrisDimítris Sióvas 16/09/1988 (35 ans) Grèce Paniónios
24 D Drapeau de la Grèce Avlonitis, TasosTasos Avlonitis 01/01/1990 (34 ans) Grèce espoirs Paniónios
26 D Drapeau de la France Masuaku, ArthurArthur Masuaku 07/11/1993 (30 ans) France - 19 ans Valenciennes FC
30 D Drapeau du Brésil Salino, LeandroLeandro Salino 22/04/1985 (39 ans) SC Braga
2 M Drapeau de la Grèce Maniátis, IoánnisIoánnis Maniátis Capitaine 12/10/1986 (37 ans) Grèce Paniónios
5 M Drapeau de la Serbie flèche vers la droite Milivojević, LukaLuka Milivojević 07/04/1991 (33 ans) Serbie RSC Anderlecht
6 M Drapeau des Pays-Bas flèche vers la droite Afellay, IbrahimIbrahim Afellay 02/04/1986 (38 ans) Pays-Bas FC Barcelone
8 M Drapeau de la république du Congo flèche vers la droite Ndinga, DelvinDelvin Ndinga 14/03/1988 (36 ans) Congo AS Monaco
9 M Drapeau de la Suède Durmaz, JimmyJimmy Durmaz 22/03/1989 (35 ans) Suède Gençlerbirliği
10 M Drapeau de l'Argentine Domínguez, AlejandroAlejandro Domínguez 10/06/1981 (42 ans) Argentine Rayo Vallecano
11 M Drapeau de la Suisse Kasami, PajtimPajtim Kasami 02/06/1992 (31 ans) Suisse Fulham FC
18 M Drapeau de la Grèce Bouchalákis, AndréasAndréas Bouchalákis 05/04/1993 (31 ans) Grèce espoirs PAE Ergotelis
19 M Drapeau de l'Espagne Fuster, DavidDavid Fuster 03/02/1982 (42 ans) Villarreal CF
25 M Drapeau de la Grèce Fortounis, KostasKostas Fortounis 16/10/1992 (31 ans) Grèce 1. FC Kaiserslautern
55 M Drapeau de l'Arménie Ghazarian, GeorgGeorg Ghazarian 05/04/1988 (36 ans) Arménie Metalurg Donetsk
77 M Drapeau du Togo Dossevi, MatthieuMatthieu Dossevi 12/02/1988 (36 ans) Togo Valenciennes FC
7 A Drapeau de la Grèce flèche vers la droite Mitroglou, KonstantinosKonstantinos Mitroglou 12/03/1988 (36 ans) Grèce Fulham FC
17 A Drapeau de la Grèce Diamantákos, DimitriosDimitrios Diamantákos 05/03/1993 (31 ans) Grèce Formé au club
27 A Drapeau du Paraguay Benítez, JorgeJorge Benítez 02/09/1992 (31 ans) Paraguay Club Guaraní
28 A Drapeau de la Grèce Vérgos, NikólaosNikólaos Vérgos 13/01/1996 (28 ans) Grèce - 19 ans Formé au club
99 A Drapeau du Nigeria Olaitan, MichaelMichael Olaitan 01/01/1993 (31 ans) Nigeria - 20 ans PAE Veria
Entraîneur(s)

Légende

Consultez la documentation du modèle

Joueurs prêtés

Maillots

Maillots actuels (2012-2013)

Domicile

Extérieur

Troisième

Maillots historiques

1971

1978

1979

1985

2008

Joueurs emblématiques

Grèce
Algérie
Argentine
Australie
Belgique
Brésil
Côte d’Ivoire
Chili
Colombie
Chypre
France
Hongrie
Maroc
Mexique
Pologne
Roumanie
Russie
Serbie
Slovénie
Suède
Ukraine
Uruguay

Entraîneurs

Dates Nom Nationalité
Janvier 2013 (intérim) - Antónios Nikopolídis Drapeau de la Grèce
Juin 2012-janvier 2013 Leonardo Jardim Drapeau du Portugal
Août 2010-avril 2012 Ernesto Valverde Drapeau de l'Espagne
Juil. 2010-août 2010 Ewald Lienen Drapeau de l'Allemagne
Janv. 2010-juil. 2010 Božidar Bandović Drapeau de la Serbie
Sept. 2009-janv. 2010 Zico Drapeau du Brésil
2009-sept. 2009 Temuri Ketsbaia Drapeau de la Géorgie
2008-2009 Ernesto Valverde Drapeau de l'Espagne
2007-2008 José Segura Drapeau de l'Espagne
2006-2008 Takis Lemonis Drapeau de la Grèce
2005-2006 Trond Sollied Drapeau de la Norvège
2004-2005 Dušan Bajević Drapeau de la Serbie
2004-2005 Nikos Alefantos Drapeau de la Grèce
2004-2005 Siniša Gogić Drapeau de la SerbieDrapeau de Chypre
2003-2004 Oleg Protasov Drapeau de l'Ukraine
2002-2003 Srečko Katanec Drapeau de la Slovénie
2000-2002 Takis Lemonis Drapeau de la Grèce
1999-2000 Ioannis Matzourakis Drapeau de la GrèceDrapeau de la Roumanie
1999-2000 Alberto Bigon Drapeau de l'Italie
1996-1999 Dušan Bajević Drapeau de la Serbie
1995-1996 Kazimierz Górski Drapeau de la Pologne
1994-1995 Nikos Alefantos Drapeau de la Grèce
1994-1995 Thijs Libregts Drapeau des Pays-Bas
1993-1994 Ljupko Petrović Drapeau de la Serbie
1990-1993 Oleg Blokhin Drapeau de l'Ukraine
1989-1990 Imre Komora Drapeau de la Hongrie
1988-1989 Jacek Gmoch Drapeau de la Pologne
1987-1988 Thijs Libregts Drapeau des Pays-Bas
1986-1987 Alkétas Panagoúlias Drapeau de la Grèce
1984-1985 Georg Keßler Drapeau de l'Allemagne
1983-1984 Nikos Alefantos Drapeau de la Grèce
1983-1984 Heinz Höher Drapeau de l'Allemagne
1981-1983 Alkétas Panagoúlias Drapeau de la Grèce
1981-1982 Helmut Senekowitsch Drapeau de l'Autriche
1980-1981 Kazimierz Górski Drapeau de la Pologne
1977-1980 Todor Veselinović Drapeau de la Serbie
1958-1977
1957-1958 Tibor Kemény
1927-1957
1925-1927 Yiannis Andrianopoulos Drapeau de la Grèce

Présidents

PAOK-Olympiakos 1-0
Président Période
Drapeau de la Grèce Michalis Manouskos 1925-1928, 1937-1939, 1945-1950
Drapeau de la Grèce Thanassis Mermingas 1929-1931, 1953-1954
Drapeau de la Grèce Takis Zakkas 1931, 1936
Drapeau de la Grèce Giannis Andrianopoulos 1932, 1933-1935
Drapeau de la Grèce Giannis Barbaressos 1946-
Drapeau de la Grèce Giorgos Andrianopoulos 1954-1967
Drapeau de la Grèce Kostas Bousakis 1967-1969
Drapeau de la Grèce Tassos Ikonomou 1969-1970
Drapeau de la Grèce Eftichios Goumas 1970-1971
Drapeau de la Grèce Aristidis Skilitsis 1971
Drapeau de la Grèce Dimitris Vardanis 1971-1972
Drapeau de la Grèce Nikolaos Goulandris 1972-1975
Drapeau de la Grèce Kostas Thanopoulos 1975, 1976-1978
Drapeau de la Grèce Periklis Lanaras 1975
Drapeau de la Grèce Iraklis Tsitsalis 1978-1979
Drapeau de la Grèce Stavros Daifas 1979-1985, 1986, 1992-1994
Drapeau de la Grèce Nikos Efthimiou 1986
Drapeau de la Grèce Giorgos Koskotas 1987-1988
Drapeau de la Grèce Argiris Saliarelis 1988-1992
Drapeau de la Grèce Giorgos Banasakis 1992
Drapeau de la Grèce Sokratis Kokkalis 1993-2010
Drapeau de la Grèce Evángelos Marinákis 2011-

Notes et références

Sur les autres projets Wikimedia :

  1. a b et c « Olympiakos FC : Histoire », sur olympiakos.org
  2. (en) « Olympiakos (Greece) », sur Soccer-athems.com
  3. (en) « End of an era as Kokkalis retires », sur Athensnews.gr,
  4. (en) « Olympiakos name Sollied as coach », sur BBC,
  5. (en) « Soccer-Big spending Shakhtar eager to make splash in Europe », sur Reuters,
  6. (en) « El mexicano Nery Castillo, del Olympiakos, al Shakhtar Donetsk », sur Soccerway,
  7. (en) « Olympiakos 1 - 0 Arsenal », sur BBC,
  8. (en) « Fifa’s “Mafia family” just got bigger », sur Descrier,
  9. (en) « Europe’s Football Battlefield », sur International Policy digest,
  10. (en) « How Soccer Club Owners Have Become Kingmakers in Greek Politics », sur Truth out,
  11. a et b (en) « Vangelis Marinakis in fresh trouble », sur Ekathimerini,
  12. (en) « Cup Final referee says Olympiakos chairman entered his locker room at halftime », sur Ekathimerini,
  13. (en) « Greek corruption undermining recovery », sur EU Observer,
  14. (en) « Broken promises – the sad tale of Greek football », sur The Epoch Times,
  15. (en) « Football First 11 : Do or die derbies », sur CNN,
  16. (en) « Olympiakos Piraeus vs. Panathinaikos », sur Football Derbies
  17. (en) « Flares are thrown like confetti, explosions make you jump out of your seat... As Panathinaikos meet Olimpiacos in Europe's fiercest derby on El Clasico weekend, expect a battle of epic proportions », sur Dailymail,
  18. (en) « Olympiakos-Panathinaikos: Europe's maddest derby? », sur BBC,
  19. (en) « Video highlights: Olympiacos – Panathinaikos 1-0 », sur The Times of Change,
  20. (en) « PAOK Saloniki vs. Olympiakos Piraeus », sur Football Derbies
  21. Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
  22. Seule la sélection la plus importante est indiquée.

Liens externes