Lycée François-Ier (Fontainebleau)
Devise | Varis Verbis Vox Una[réf. nécessaire] |
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Fondation | 1882 |
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Type | Lycée public |
Composante | Académie de Créteil |
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Proviseur | Christophe Carton |
Niveaux délivrés | Bac+2 |
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Formation |
Lycée général CPGE scientifiques |
Ville | Fontainebleau |
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Pays | France |
Site web | lyceefrancois1.net |
Coordonnées | 48° 24′ 33″ nord, 2° 41′ 43″ est |
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Le lycée François-Ier, en forme longue lycée international François-Ier, est un établissement d'enseignement secondaire et supérieur public à Fontainebleau, en France.
Le lycée accueille les élèves de la classe de seconde jusqu'aux classes préparatoires aux grandes écoles. Il est notamment réputé pour ses sections internationales anglophone[1] et germanophone qui permettent l'obtention de l'option internationale du baccalauréat (OIB).
Plus largement, il fait partie du campus international de Fontainebleau, inauguré en 2016 par Valérie Pécresse, un label qui réunit complémentairement l’école élémentaire internationale Léonard-de-Vinci et le Collège international.
Situation et accès
L'établissement est situé au nord de la ville de Fontainebleau, elle-même au sud-ouest du département de Seine-et-Marne. À proximité de la lisière de la forêt de Fontainebleau, qui a depuis reculée, il est encadré par les rues Guérin, Victor-Hugo et de la Paroisse ; le côté septentrional de sa surface est attenant à celui du Collège international qui lui est pratiquement mitoyen.
Historiquement, son point d'accès principal — celui de la cour d'Honneur, devenu occasionnel — était situé au no 11 de la rue Victor-Hugo. De nos jours, l'accès principal est situé au niveau de la rue Guérin.
Origine du nom
Anciennement Collège municipal, collège Carnot en 1888, puis lycée de garçons en 1948, ce n'est qu'en 1960 que le lycée prend son nom actuel[2].
L'appelation d'antan « collège Carnot » fait référence à Lazare Carnot, mathématicien, physicien, officier et homme d'État français, né en 1753 et mort en 1823. Actuellement, le lycée tient son nom de François Ier, roi de France, né en 1494 et mort en 1547, ayant fréquemment séjourné au château de Fontainebleau et l'ayant notablement amélioré.
Histoire
Collège communal
Prémices
Le , le président de la République, Patrice de Mac Mahon, et le ministre de l'Instruction publique, des Cultes et des Beaux-arts, Arthur de Cumont, promulgent le décret portant création d'un collège communal à Fontainebleau[3].
« La ville de Fontainebleau est autorisée à créer, en vue de l'enseignement secondaire classique et secondaire spécial, un collège communal, aux clauses et conditions énoncées dans la délibération du conseil municipal susvisée. »
— Article 1er du décret portant création d'un collège communal à Fontainebleau
En 1877, un concours est organisé par la ville de Fontainebleau et présidé par Joseph-Louis Duc, architecte du palais de justice de Paris. L'objectif est la construction d'un collège pour les fils d'officiers[4].
Fondation
En 1880, des plans pour le collège municipal de Fontainebleau sont confiés à Henri Proust. Il conçoit un édifice scolaire moderne s'ouvrant sur son quatrième côté, s'affranchissant ainsi des cours carrées renfermées sur elles-mêmes[5]. Le projet est mandaté par le maire et le conseil municipal acceptant ces plans ambitieux et onéreux. Ceux-ci sont alors persuadés que le collège se verra décerner la promotion pour le titre de « lycée » : cela permettrait à la mairie d'incomber la charge de l'entretien à l'autorité de Paris.
L'établissement est prévu sur l'emplacement de la maison construite en 1840 et dite « Le Clos de Bel-Air »[6], alors propriété Vallot[7]. Le ministre de l'Instruction publique, Jules Ferry, accorde une somme de 342 000 francs pour la construction du collège en [8], qui sera initiée par la Ville de Fontainebleau en 1882.
Collège Carnot
Le , le conseil municipal de Fontainebleau décide que l'établissement soit nommé « collège Carnot ». Bien que certains conseillers proposaient « collège Lazare-Carnot », la majorité a opté pour le nom court[9],[10]. Le nom est officialisé le par le décret portant dénomination du collège de Fontainebleau, signé par président de la République, Sadi Carnot, et le ministre de l'Instruction publique, des Cultes et des Beaux-arts, Édouard Lockroy[11].
« Le collège communal de Fontainebleau prendra désormais le nom de « collège Carnot ». »
— Article 1er du décret portant création d'un collège communal à Fontainebleau
Dans l'après-midi du , le président de la République, Sadi Carnot, en déplacement à Fontainebleau, effectue une visite de l'établissement. Reçu par le principal, Bordereau, par les professeurs et les membres du conseil d'administration, il examine longuement les bâtiments en détail et exprime son souhait que l'établissement attire de nombreux élèves[12] ,[13].
Sadi Carnot, président de la République, est assassiné le , à Lyon. Le , le principal, les professeurs et les élèves du collège lui rendent hommage en souscrivant 500 francs afin d'envoyer une couronne funéraire pour les obsèques qui se tiennent le [14],[15],[16].
Aux débuts des années 1910, sur la demande du nouveau principal, M. Boinet, des travaux d'appropriation sont executés avec le concours de la Ville et de l'État : divers services d'internat y sont installés, notamment un réfectoire, des dortoirs et une infirmerie[17].
Après la Grande Guerre, une plaque commémorative en l'honneur des élèves morts pour la France est inaugurée le [18], en présence de l'inspecteur de l'Académie, Berteloot, du sous-préfet, Fragnaud, du maire de Fontainebleau, Narcisse Bonnet, des députés de Seine-et-Marne, Albert Ouvré et Jacques-Louis Dumesnil, du principal du collège, Crébessac, ainsi que du corps des professeurs et des élèves avec leurs familles[19]. Cette plaque est apposée dans le hall central du rez-de-chaussée du bâtiment F.
À la suite de l'entrée de la France dans le second conflit mondial, le , les locaux de l'internat sont réquisitionnés. La mobilisation entraîne l'absence du principal, M. Bitry, laissant provisoirement la direction administrative à M. Bongard, professeur d'anglais et membre du bureau d'administration[20]. Une fois la France sous l'Occupation, l'institution, inopérante un certain temps, est transférée au 193 rue Grande, ancienne maison Sauvager, et rouvre le sous la direction de M. Albric ; elle ne reçoit que des élèves externes[21]. Les locaux du collège deviennent occupés par un hôpital de campagne établi par les Allemands[22].
Campus international
Le matin du , le « campus international de Fontainebleau » est inauguré par Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d'Île-de-France. Il s'agit d'un label qui reconnaît le caractère international de l'entité réunissant l'école primaire, le collège et le lycée (tous compris dans un même îlot urbain), qui sont pourtant les mêmes historiquement. À partir de ce jour, l'école est ainsi officiellement renommée école élémentaire internationale Léonard-de-Vinci ; le lycée, lycée international François-Ier ; le collège garde son nom inchangé de collège International[23],[24],[25],[26],[27]. Pécresse déclare par ailleurs que « cela a l'air purement symbolique, mais ça ne l’est pas. Ce campus part d’une initiative bellifontaine, et cela montre que les enseignants et les parents peuvent ensemble porter des projets puissamment attractifs »[25] et qu'elle croit également « au fait de mettre un campus dans les lycées. En Seine-et-Marne, seulement un jeune sur deux suit des études supérieures car l'offre n'est pas là et il y a les distances »[27].
Éducation
Effectif
Élèves
Enseignants
Classes préparatoires
La première classe préparatoire, une prépa « véto », ouvre en 1948[30]. D'autres filières ouvriront par la suite, de telle sorte qu'aujourd'hui, le lycée François-Ier compte 7 classes de CPGE scientifique : une 1re année de BCBST, une MPSI et une PCSI ainsi que des classes de PC, MP, PSI et une deuxième année de BCPST. Environ 260 élèves sont inscrits en classes préparatoires et obtiennent à la fin de leur cycle préparatoire des écoles sur l'ensemble des concours[31].
Les classes préparatoires possèdent un internat de 91 places ouvert le week-end[32].
Sections internationales
Section anglophone
À la suite d'un accord entre le ministère de l'Éducation nationale et le Grand Quartier général des puissances alliées en Europe (SHAPE), siège des opérations du commandement allié de l'OTAN, l'École internationale de Fontainebleau est créée en 1959. Elle est installée dans l'annexe nouvellement construite du lycée. Environ 1000 élèves, de 5 à 18 ans, enfants des officiers de l'OTAN basés à Fontainebleau, fréquentent l'école qui accueille une dizaine de sections linguistiques.
Le , la section anglophone de Fontainebleau est créée avec la signature d'un accord entre l'Inspecteur d'académie, représentant de l'Éducation nationale, le directeur de l'école primaire et le comité de parents, l'Association des parents d'élèves anglophones du Collège international. Cette création a été approuvée par le ministre de l'Éducation nationale, Alain Savary et le sénateur de Seine-et-Marne, Paul Séramy. Elle ouvre ses portes avec deux professeurs à temps partiel, Avril Bateman et Mary McNally et une trentaine d'élèves anglophones, principalement dans les classes primaires. L'arrêté officiel relatif à la création des sections internationales anglophones, au primaire et au collège, sera publié au Journal officiel le . Le , sur décision de l'Inspecteur d'académie, et afin de rectifier la situation administrative du collège international de Fontainebleau qui gérait également les classes primaires, une école primaire indépendante est créée[33].
Section germanophone
Direction
Liste des principaux du collège (1874-1948)
No | Nom | Début de fonction | Fin de fonction | Date de naissance | Date de décès | Décorations |
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1 | M. Péquignat | [35] | 1883 | Officier d'Académie[36] | ||
2 | M. Bordereau | 1883 | 1891 | |||
3 | Auguste Brepsant[37] | 1891 | 1896 | Officier de l'Instruction publique[38] | ||
4 | M. Gateau | 1896 | 1911 | |||
5 | M. Boinet | 1911 | [39] | |||
6 | M. Crébessac | 1920 | 1925 | |||
7 | M. Laurent | 1925 | 1931 | |||
8 | Clément Touzé (né Pierre-Marie-Clément[40]) | 1931 | 1937 | |||
9 | Georges Bitry[41] | 1937 | 1945 | |||
10 | Camille Bruneteau | 1945 | 1948 |
Liste des proviseurs du lycée (depuis 1948)
No | Nom | Début de fonction | Fin de fonction | Date de naissance | Date de décès |
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1 | Camille Bruneteau | ||||
Intérim | Mme Solon | 1955 | |||
2 | Paul Raulic | ||||
3 | Roger Houdret | ||||
4 | Pierre Bour | ||||
5 | Jean Tandé | ||||
6 | Jean Marche | ||||
7 | Monique Ferretti | ||||
8 | Jean Ardillon | 2002 | |||
9 | François Distinguin | 2002 | 2009 | ||
10 | Jean-Michel Domenech | 2009 | 2016 | ||
11 | Patrick Berthelot | 2016 | 2020 | ||
12 | Christophe Carton | 2020 | En cours |
Structure
Le lycée comporte les bâtiments suivants[42] :
Plan des bâtiments du lycée |
|
Les bâtiments, actuellement nommés C et D et F, constituent le premier ensemble. Dans cet ensemble, est aussi compris un prolongement axial du bâtiment F, au niveau des actuels bâtiments B et G. Deux autres bâtiments à l'ouest et à l'est sont construits dans les années 1930. Enfin, les bâtiments de l'internat sont construits dans les années 2000[43].
Partenaires internationaux
Ville | Pays | ||
---|---|---|---|
lycée Adam-Mickiewicz de Cracovie (d)[44] | Pologne | ||
North London Collegiate School[44] | Royaume-Uni | ||
Office franco-allemand pour la jeunesse[44] | France | ||
école Alexander-von-Humboldt (en)[44] | Allemagne | ||
école autonome de Wilmington (en)[44] | États-Unis | ||
école française de Stockholm (en)[44] | Suède | ||
école Saint-Philippe (en)[44] | Australie |
Personnalités notables
Élèves notables
- Nicolas Esquillan (1902-1989), ingénieur français[45] ;
- Edgar Faure (1908-1988), homme politique français[46] ;
- Roger Rabiniaux (1914-1986), écrivain et poète[47] ;
- Claude de Kémoularia (1922-2016), élève de 1932 à 1937 ;
- Jean Charbonnel (1927-2014), élève de 1930 à 1942[47] ;
- Philippe Lemaire (1927-2004) acteur[47] ;
- Jean-Pierre Desagnat (né en 1934), réalisateur[47] ;
- Enrico Macias (né en 1938), chanteur, musicien, compositeur et acteur[47] ;
- Jean-François Robinet (né en 1939) journaliste et homme politique[47] ;
- Jean-Jacques Hyest (né en 1943), homme politique [47] ;
- Olivier Orban (né en 1944), éditeur français ;
- Pascal Thomas (né en 1944), acteur, réalisateur, scénariste et producteur[47] ;
- Bernard Pêcheur (né en 1950), haut fonctionnaire français, membre du Conseil d'État ;
- Philippe Boyer (né en 1956), coureur cycliste français sur piste et route ;
- Philippe Mahut (1956-2014), footballeur international ;
- Pascal Lecocq (né en 1958), peintre et scénographe français ;
- Antoine de Maximy (né en 1959), élève de 1970 à 1971[48],[49] ;
- Frédéric Valletoux (né en 1966), journaliste et personnalité politique ;
- Laurent Tirard (né en 1967). Il est s'est rendu au lycée en 2019 pour raconter sa scolarité[50],[51] ;
- Benoît Julliard (né en 1975), bassiste du groupe de nu metal Pleymo[52] ;
- Mark Maggiori (né en 1977), peintre, graphiste, réalisateur et chanteur du groupe de nu metal Pleymo[53] ;
- Mickey Mahut (né en 1977), skateur et acteur ;
- Pierre Venayre (né en 1979), joueur de rugby à XV français ;
- Marie Reno (né en 1986), humoriste et musicienne ;
- Pierre Casiraghi (né en 1987), membre de la famille princière de Monaco ;
- Luke Thompson (né en 1988), acteur franco-britannique, interprète de Benedict Bridgerton dans La Chronique des Bridgerton[54] ;
- Antoine Frisch (né en 1996), joueur de rugby à XV franco-britannique ;
- Paul Ji (né en 2004), pianiste sino-américain[55].
Par ailleurs, certains anciens élèves sont devenus les éponymes de quelques salles de cours du lycée.
-
Salle Henri-Flon. -
Salle Jean-Charbonnel. -
Salle Claude-de-Kemoularia. -
Salle Docteur-Jacques-Aulong.
Professeurs notables
- Éliane Montel (1898-1993), physicienne et chimiste ;
- Alfred Georges Regner (1902-1987), peintre et graveur surréaliste. Il est nominé au collège Carnot en 1941 et l'établissement devenu lycée international SHAPE, il enseigne le dessin technique aux classes préparatoires[56] ;
- Joseph Zobel (1915-2006), romancier et un poète martiniquais, professeur adjoint de à l'. Il écrit notamment La Rue Cases-Nègres durant cette période[57] ;
- Paul Séramy (1920-1992), professeur d’allemand de 1946 à 1966, sénateur de Seine-et-Marne et maire de Fontainebleau[58] ;
- Catherine Vigourt (1956-), écrivaine, professeur de français jusqu'en 2018[réf. souhaitée].
Représentations culturelles
Cinéma
- 1972 : Les Zozos de Pascal Thomas. Le lycée apparaît aussi sur la couverture de la bande originale du film.
Publicité
- 2019 : Magazine Rétroviseur de , p. 16-17. Illustration sur une double-page faisant apparaître deux personnes et une voiture dans la cour principale.
Références
- (en) « Anglophone Section Fontainebleau », sur The Good Schools Guide (consulté le ).
- Grimaldi-Hierholtz 2000, p. 3.
- Bulletin administratif du ministère de l'instruction publique, des cultes et des beaux-arts : Nouvelle série, t. XVII : Année 1874. — no 326 à 352, 41 rue Jean-Jacques-Rousseau (Paris), Paris, Imprimerie Paul Dupont et Cie (no 326-352), (lire en ligne), p. 457-458
- Jean-Luc Flohic, Le Patrimoine des communes de la Seine et Marne, t. 1, Paris, Éditions Flohic, , 1500 p. (ISBN 2-84234-100-7), Fontainebleau, « Lycée Carnot (façade) », p. 578
- Grimaldi-Hierholtz 2000, p. 8.
- Félix Herbet, Eugène Thoison et Maurice Bourges, Les Enseignes de Fontainebleau, 32 rue de l'Arbre-Sec, Fontainebleau, Maurice Bourges, , 159 p. (lire en ligne ), Les Enseignes de Fontainebleau au XIXe siècle, « Le Clos de Bel-Air. », p. 20-21
- Patrick Daguenet, Fontainebleau, et ses villages d'art (1850-1950): le tout-Paris dans la forêt, Les Presses du Village, (ISBN 978-2-914700-08-5, lire en ligne), p. 161
- « Chronique locale : Collège de Fontainebleau », L'Abeille de Fontainebleau, no 34 de la 42e année, , p. 2 (lire en ligne)
- « Chronique locale », L'Abeille de Fontainebleau, no 33 de la 54e année, , p. 1 (lire en ligne)
- « À Fontainebleau », La Justice, , p. 3 (lire en ligne)
- Bulletin administratif du ministère de l'instruction publique, des cultes et des beaux-arts, t. XLIV : Année 1888. — no 810 à 835, Imprimerie nationale (no 827), (lire en ligne), « Enseignement secondaire », p. 610
- « Autour de la présidence », L'Abeille de Fontainebleau, no 36 de la 54e année, , p. 1 (lire en ligne)
- Bitry 1925, p. 61.
- « La mort de M. Carnot », La Liberté, no 11013, , p. 1 (lire en ligne)
- Louis Plauchut, « Hommage à M. Carnot », La Petite Presse, no 10186, , p. 1 (lire en ligne)
- « Les funéraille de M. Carnot - À Paris », Le Rappel, no 8876, , p. 2 (lire en ligne)
- « Collège Carnot à Fontainebleau », L'Abeille de Fontainebleau, no 35 de la 79e année, , p. 1 (lire en ligne)
- « Chronique locale », L'Abeille de Fontainebleau, no 42 de la 88e année, , p. 1 (lire en ligne)
- Bitry 1925, p. 72.
- « Chronique locale : Au Collège Carnot », L'Abeille de Fontainebleau, no 39 de la 104e année, , p. 1 (lire en ligne)
- « La vie reprend : écoles », L'Abeille de Fontainebleau, no 23 de la 105e année, , p. 2 (lire en ligne , consulté le )
- René-Charles Plancke, La Seine-et-Marne, 1939-1945: L'Été de la liberté. La libération 23-31 août 1944, Éditions Amatteis, (ISBN 978-2-86849-041-4, lire en ligne), p. 69
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- « Résultats », sur www.lyceefrancois1.net (consulté le )
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- (en-US) « Our history | The Anglophone Section of Fontainebleau »
- Grimaldi-Hierholtz 2000, p. 24.
- Ministère de l'Éducation nationale, Bulletin officiel, vol. 17, Imprimerie Nationale (no 340), (lire en ligne), Partie officielle, « Du 6 août. », p. 598
- Frères Delalain, Annuaire de l'instruction publique et des beaux-arts pour l'année 1878, (lire en ligne), Académie de Paris - Département de Seine-et-Marne, « Enseignements secondaires - Collèges communaux »
- Association amicale des anciens élèves du Collège de Fontainebleau, « Assemblée générale du : Mairie de Fontainebleau (salle des Mariages) », Bulletin de l'Association amicale des anciens élèves du Collège de Fontainebleau (actuellement Collège Carnot), , p. 12 (lire en ligne )
- Frères Delalain, Annuaire de l'instruction publique et des beaux-arts : Année 1895., 56 rue des Écoles, Paris, Typographie de Delalain frères, , 322 p. (lire en ligne), « Collège communal « Carnot » à Fontainebleau », p. 148
- « Chronique locale », L'Abeille de Fontainebleau, no 26 de la 86e année, , p. 1/4 (lire en ligne , consulté le )
- « Grade de chevalier », Journal officiel de la République française, , p. 3324 (lire en ligne , consulté le )
- J. Guerrapin, « Entre nous - Nécrologie », Bulletin d'informations du Syndicat du personnel de l'enseignement secondaire SPES, no 8, , p. 135-136 (lire en ligne)
- Plan à l'entrée du lycée.
- Orthophotographies disponibles sur remonterletemps.ign.fr.
- Alain Guyot, « Nos partenaires à l'étranger », (consulté le )
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- « Edgar FAURE », sur www.economie.gouv.fr (consulté le )
- Collège international de Fontainebleau, « Présentation historique - Comment l’histoire du Collège International est étroitement liée à celle du Lycée François 1er », sur https://college-international-fontainebleau.org/, (consulté le )
- « Les souvenirs du bahut d'Antoine de Maximy », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne)
- Emmanuelle Dasque, « L'aventure sur un plateau. Antoine de Maximy présente « les Nouveaux Mondes » sur France 2. Le look globe-trotteur comme caution d'image », sur http://www.liberation.fr/, Libération, (consulté le )
- Yoann Vallier, « Quand le papa du Petit Nicolas faisait des bêtises au Collège International », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne)
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- « Pleymo, le néométal de Fontainebleau - https://www.leparisien.fr/ » (consulté le )
- « Pleymo, le néométal de Fontainebleau Pleymo, le néométal de Fontainebleau », sur leparisien.fr, Le Parisien, (consulté le ) : mention d'un « lycée Henri-IV de Fontainebleau » mais inexistant en réalité, très probablement une erreur renvoyant vers le lycée François-Ier.
- url=https://www.ntav.fr/pratiquer-le-th%C3%A9%C3%A2tre/english-section/
- Rédaction Melun, « À 15 ans, Paul Ji impressionne la France en remportant l'émission Prodiges », sur actu.fr, La République de Seine-et-Marne, (consulté le )
- Alfred Georges Regner, Alfred-Georges Regner: peintre-graveur, 1902-1987 : catalogue raisonné, AAAGR, (ISBN 978-2-85056-578-6, lire en ligne), p. 21, 215, 231
- Charles W. Scheel, La Forge de Zobel, Scitep, (ISBN 979-10-93143-37-8, lire en ligne), « Appendice »
- « Anciens sénateurs Vème République : SERAMY Paul », sur www.senat.fr (consulté le )
Annexes
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- [Bitry 1925] Georges Bitry, L'enseignement secondaire à Fontainebleau : histoire d'un collège, Imprimerie Cuenot-Bourges, (lire en ligne)
- [Grimaldi-Hierholtz 2000] Roseline Grimaldi-Hierholtz, Collège Carnot, Lycée François Ier, Fontainebleau, Maury, , 158 p. (ISBN 2-9509815-1-8)
Articles connexes
- Fontainebleau
- Système éducatif en France
- Cimetière de Fontainebleau (situé à proximité)
- Institut européen d'administration des affaires
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives aux organisations :
- Fiche d'entreprise ayant réalisé une réhabilitation des bâtiments