Coulombs (Eure-et-Loir)

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Coulombs
Coulombs (Eure-et-Loir)
La mairie de Coulombs.
Blason de Coulombs
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Jean-Noël Marie
2020-2026
Code postal 28210
Code commune 28113
Démographie
Population
municipale
1 331 hab. (2021 en diminution de 3,34 % par rapport à 2015)
Densité 107 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 13″ nord, 1° 32′ 42″ est
Altitude Min. 91 m
Max. 148 m
Superficie 12,48 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nogent-le-Roi
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Épernon
Législatives Première circonscription
Localisation
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Coulombs
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Coulombs
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Coulombs
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Coulombs

Coulombs est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Coulombs est située sur la rive droite de l'Eure.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lieu-dit et écart[modifier | modifier le code]

  • Chandelles

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Longueur de la voirie : 26 169 km.

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

Les gares SNCF les plus proches sont celles de Maintenon et d'Épernon, situées respectivement à 9 et 12 km.

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne 8 Dreux - Nogent-le-Roi - Maintenon du Réseau de mobilité interurbaine (Rémi).

Les arrêts sont : Église - Haut Murger - Chandelles

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 651 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Houx à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 622,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Coulombs est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Elle appartient à l'unité urbaine de Nogent-le-Roi, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[10] et 9 122 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), forêts (14,1 %), zones urbanisées (10,2 %), prairies (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Coulombs est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Maltorne et l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1999 et 2016[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coulombs.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[19]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 621 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 614 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Coulomb. n. m. milieu XIIIe siècle. Variante : Coulon. Latin Colombus = pigeon. Columbum aboutit régulièrement en français à coulon = le pigeon. Coulomb en est la forme savante. Coulomb ou Coulon : éleveur de pigeons. Nom de personne dès 1292.
  • Colombas, 1028 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Columbensibus, 1184 (Actes de Philippe II Auguste, n° 125) ; Columbae, 1243 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Colons, 1331 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Coulons, 1381 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Coulon, juillet 1398 (Archives nationales-JJ 153, n° 376, fol. 256 v°) ; Coulomb, janvier 1410 (Archives nationales-JJ 164, n° 85, fol. 53 v°) ; Coulons, août 1416 (Archives nationales-JJ 169, n° 344, fol. 231) ; Coulomb, octobre 1489 (Archives nationales-JJ 225, n° 977, fol. 205 v°) ; Coullombs, mars 1501 (Archives nationales-JJ 234, n° 236, fol. 134 v°) ; Coullombz, 1589 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Coullombs, 1740 (Bibliothèque municipale d’Orléans, Ms 995, fol. 59) ; Coulombs, XVIIIe s. (Carte de Cassini).

Le pluriel indiquerait un lieu d’élevage de pigeons.

Histoire[modifier | modifier le code]

Abbaye-Notre-Dame-de-Coulombs[modifier | modifier le code]

L'abbaye Notre-Dame de Coulombs, de l'ordre de Saint-Benoît, fut fondée vers le VIIIe siècle le long de l'Eure puis restaurée en 1029 par le premier abbé Béranger. La localité porta successivement les noms de : Colombas (1028), Columbœ (1243), Colons (1331), Coulons (1381), Coulombz (1589), Saint Cheron de Coulombs (1736)[23]. Il ne reste de la puissante abbaye carolingienne que de rares vestiges dans les propriétés privées, comme le portail roman que l'on voit en traversant la ville.

L'histoire politique de l'abbaye est un long conflit d'autorité avec le roi de France qui régente le château-fort de Nogent-le-Roi à 1 km[24].

De retour de croisade Louis VII confirme en 1160 le droit de haute et basse justice de l'Abbaye. Philippe-Auguste autorise l'abbaye à utiliser en 1183 le bois des forêts des Yvelines pour faire du bois et perches pour les vignes (autorisation confirmée par Saint-Louis en 1268).

Le roi de France Philippe VI de Valois meurt à l'abbaye de Coulombs le 22 août 1350.

Henri V, roi d'Angleterre et de France séjourne à l'Abbaye en 1422. Henri V envoie la relique du Saint Prépuce à Londres auprès de sa femme, Catherine de Valois (1401-1437), qui accouche de Henri VI. La relique est restituée mais d'autres abbayes tentent de la conserver arguant que l'Abbaye de Coulombs n'est pas assez sûre.

Charles VII autorise en 1433 la navigation de l'Eure pour transporter des tonneaux de vins produits à Chartres, l'abbaye de Coulombs s'y oppose. Les moines cultivent des vignes et font du vin.

Louis XI vient visiter l'abbatiale en 1464 alors qu'il est l'hôte de Pierre de Brézé, seigneur de Nogent-le-Roi.

Le 14 juin 1475, Jacques de Brézé, seigneur de Nogent-le-Roi tue sa femme, Charlotte de France. Elle est enterrée dans l'église de Coulombs. Jacques de Brézé est inhumé à côté de son épouse en 1494.

Louis de Brézé, seigneur de Nogent-le-Roi s'oppose en 1507 à l'abbé Guillaume de Hargeville et conteste la dîme sur les maisons données à l'Abbaye.

L'abbatiale perd ses privilèges sur Nogent-le-Roi en 1514.

Jacques de Havard, seigneur du Thuillay et de Senantes reconnaît en 1550 que l'église de Faverolles dépend de l'abbaye de Coulombs.

En 1562, l'abbaye est partiellement détruite lors de la bataille de Dreux. L'armée du prince de Condé pille l'abbaye avant le Siège de Chartres en 1568 puis elle est de nouveau pillée en 1588 par un chef de bande catholique nommé « Marigny ».

Le maréchal de Biron loge ses troupes dans l'abbaye en 1589 en occupant le siège de Nogent-le-Roi. Le 6 février 1592, Claude de La Trémoille, second d'Henri IV y installe ses troupes.

Le 14 janvier 1595 l'abbaye de Coulombs fait allégeance à Henri IV.

Le duc de Sully fait construire en 1607 un pont pour relier Coulombs à Nogent-le-Roi et ainsi enjamber le marécage qui entoure l'Eure.

Le 18 septembre 1614 Louis XIII confirme la vente de l'Abbaye au prince de Condé et le 20 juin 1615, il confisque les biens du prince de Condé qui s'est opposé à lui.

L'aqueduc de Maintenon est construit en 1686. L'abbaye est réquisitionnée pour soigner et loger la troupe qui le construit.

Le 13 mars 1789, les religieux ont autorisation de rentrer dans l'abbaye. Le 27 janvier 1791, l'abbaye est vendue en lots ainsi que ses mobiliers. L'abbatiale est détruite pendant la Révolution. Elle est transformée en carrière en 1816. Le cloître de l'abbatiale est démonté et reconstruit à Lèves (Chartres).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1959 Victor Sage    
1959 1963 Georges Touraille    
1963 1995 Etienne Petit DVD  
1995 2008 Michel Lesimple    
2008 En cours Jean-Noël Marie[25],[26]   Agriculteur sur moyenne exploitation

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 1 331 habitants[Note 4], en diminution de 3,34 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
819847869845855888865858814
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
782745731761717700691665695
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
748749767671657578556556582
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
6096067148681 2441 2651 2861 3091 433
2015 2020 2021 - - - - - -
1 3771 3371 331------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Dont 661 hommes et 604 femmes ;
  • Personnes de moins de 20 ans : 331, de plus de 75 ans : 77.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Regroupement pédagogique avec les communes voisines de Lormaye, Senantes, Saint-Lucien.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Portail de l'ancienne abbaye de Coulombs
  • Le musée du Louvre expose, dans l'aile Richelieu, une colonne torse historiée, sculptée dans la pierre, provenant de l'ancienne abbaye
  • Relique et reliquaire du Saint Prépuce, détenus par l'abbaye de Coulombs, puis par l'église paroissiale après la Révolution, puis confiés depuis 1906 au trésor de la cathédrale de Chartres.
  • La modeste église de Saint-Chéron de Coulombs, dédié en 1701, contient du mobilier qui provient de l'ancienne abbatiale, des pierres tombales et des statues du XVIIe siècle : une Nativité en bois de Michel Anguier, dont l'original est au Louvre, offerte par Anne d'Autriche lors de son pèlerinage à l'abbatiale, ainsi que les reliquaires de sainte Helvise et sainte Gemme.
Le chemin de Croix est de Gabriel Loire et les vitraux sont de Cot Dezande.
L'église contient les dépouilles de la famille de Brézé : Charlotte de France, Jacques de Brézé, Étienne de Brézé, abbé de Coulombs, ainsi que le cœur de Louis de Brézé.
  • Portail, situé 2 Grande-Rue, construit par Sully pour l'hôtel de la Marine à Nogent-le-Roi en 1610 et transféré à Coulombs. Ce portail est inscrit au titre de monument historique depuis 1972[31].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

L'abbé Jacques-Joseph Amas.
L'abbé Jacques-Joseph Amas (1839).
  • Selon certaines sources, le roi Philippe VI de France meurt à l'abbaye de Coulombs dans la nuit du 22 au 23 août 1350[33]
  • L'abbé Amas, curé de Coulombs, établit les confréries de sainte Gemme[34] et de la bienheureuse Héloïse de Coulombs. Il est l'auteur de :
    • Pratique de dévotion pour les femmes enceintes ou stériles dans le mariage, Dreux, imprimerie de Lemenestrel, 1816
    • La Vie de sainte Gemme, tirée des martyrologes de l'Espagne, du Portugal et de plusieurs auteurs tant anciens que modernes, Dreux, imprimerie de Lemenestrel, 1817
    • Notes historiques sur la vie de la bienheureuse Héloïse, patronne de la confrérie de ce nom, établie dans la paroisse de Coulombs, Dreux, imprimerie de Lemenestrel, 1818[35]
  • Gratien Candace (1873-1953), homme politique, est enterré au cimetière de Coulombs.

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Coulombs se blasonnent ainsi :

D'azur à l'écusson du même chargé de trois fleurs de lis d'or et accompagné de trois colombes d'argent.

Armoiries de l'Abbaye de Coulombs

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Coulombs et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Nogent-le-Roi », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Corine Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Coulombs », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Coulombs », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. Lucien Merlet, Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, 1861, page 54
  24. Histoire de l'abbaye de ND de Coulombs par Lucien Merlet, 1864
  25. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Portail », notice no PA00097085, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Ancienne abbaye Notre-Dame », notice no PA00097084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Philippe VI : roi de France, dynastie des Valois
  34. Charles Métais Archives du diocèse de Chartres p.19, volume 15, 1908
  35. P. Chéron, Catalogue général de la librairie française au XIXe siècle, p. 139-140, 1856 ; catalogue de la Bibliothèque nationale de France consulté le 20 décembre 2007