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Anarchisme en Algérie

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Anarchisme en Algérie
Image illustrative de l’article Anarchisme en Algérie
Le Libertaire, n°4, 25 février 1892.

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Anarchisme par zone géographique

Anarchisme en Algérie concerne l'histoire du mouvement anarchiste pendant et après la colonisation française en Algérie.

La période coloniale

Selon l'historien français Gilbert Meynier : « Les antécédents anticolonialistes de l'anarchisme français ne permettent pas vraiment de le distinguer, sur le chapitre des colonies, du reste du mouvement ouvrier. Il serait erroné de penser que la tradition anarchiste fut tout uniment anticolonialiste. Si des militants se réclamant à un titre ou à un autre du courant libertaire/anarchiste purent avoir des positions anticolonialistes, ce fut principalement par le biais de l'antimilitarisme ou de la défense, générale et globale, des opprimés. »[1]

Dès la fin du XIXe siècle, de nombreux groupements de militants politiques (émigrés ou exilés d'origine européenne) se réclament de l'anarchisme et éditent, pour la plupart, leur journal.

Malgré leur envie de développer l'anarchisme à l'ensemble du peuplement d'Algérie, le mouvement anarchiste est à dominante européenne. Les rédacteurs d'articles, les souscripteurs ainsi que les abonnés de la presse libertaire sont dans leur très grande majorité des Européens d'Algérie. Et il faut attendre les années 1920 pour que des militants d'origine algérienne rejoignent le mouvement mais leur nombre est insignifiant[2].

La presse libertaire

Le premier journal se réclamant de l'anarchisme, L'Action révolutionnaire, est publié à Alger en 1887[3].

En 1887, Élisée Reclus participe à des réunions d’anarchistes établis en Algérie pour essayer de fonder un mouvement ouvrier local. À cette époque, certains libertaires voient avec une certaine sympathie cette émigration vers l’Afrique, dans le but de « propagande révolutionnaire »[4].

En 1890, est publié l'hebdomadaire Le Tocsin, « organe socialiste révolutionnaire », où sont reproduits notamment, des textes de Kropotkine, Paul Lafargue, Louise Michel, Octave Mirbeau, Eugène Pottier et Georges Darien[5].

Le à Alger, Jean Faure publie Le Libertaire[6],[7], « organe algérien communiste anarchiste ». Sept numéros sont publiés (le dernier, le ) et diffusés sur tout le littoral africain, d’Oran à Sfax[8],[9]. Mise à part l'annonce de quelques réunions publiques, très peu d'articles traitent de l'Algérie ou du mouvement social local. Les textes concernent essentiellement l'antimilitarisme, les inégalités sociales, l'exploitation salariale, la Commune de Paris[2].

D'autres publications éphémères voient le jour. Le , a lieu l'unique parution de La Marmite sociale, « organe anarchiste paraissant à dates irrégulières » avec un extrait de Paroles d'un révolté de Kropotkine[10]. En 1904, deux parutions du Réveil de l’esclave, « journal libertaire syndicaliste »[11].

Plus importante est, en 1906 puis en 1909 et 1910, la publication de La Révolte, dont l'épigraphe est : « Notre ennemi c'est notre Maître », animée par Maurice Gilles[12], avec la collaboration notamment d'Eugène Bizeau et une douzaine de numéros[13].

Un unique numéro du Bulletin du groupe anarchiste d'Alger en 1922[14].

Entre 1923 et 1926, Le Flambeau, « organe anarchiste de l’Afrique du Nord », publie trente-neuf numéros, malgré une interruption de neuf mois en 1925 à la suite des arrestations de plusieurs anarchistes à Alger dues à la Guerre du Rif. À noter les nombreuses contributions d'Eugène Bizeau, de Henri Zisly[15] et la participation une dizaine de rédacteurs algériens dont Mohamed Saïl. Le journal ouvre une tribune : « Questions coloniales » dans la plupart des numéros, où sont dénoncés le colonialisme, le code de l’indigénat, le rôle néfaste de la religion, etc.

Mohamed Saïl

En , dans un article titré « La colonisation » et publié dans Le Flambeau, Mohamed Saïl lance un appel à rejoindre le mouvement révolutionnaire : « Nous faisons appel aux indigènes d'Algérie ; nous les supplions d'ouvrir les yeux et de regarder devant eux. Nous leur disons de rejoindre les groupes d'idées avancées. Qu'ils enseignent à leurs enfants le droit à la révolte contre les tyrans coloniaux ! Pour cela, qu'ils s'instruisent. Qu'ils n'oublient pas que la résignation est le pire des maux, et que le seul moyen de sortir de leur esclavage, c'est l'union contre l'oppresseur colonial »[16].

Les indigènes ne prendront la parole qu'à partir de 1924, grâce au journal Le Trait d’union franco-indigène, « organe de défense et de revendication des indigènes algériens », publié jusqu'en 1927[17].

Mohamed Saïl, membre de la section française de l'AIT (CGT-SR), part se battre en en Espagne contre le fascisme. Agé de 42 ans, il est un des tout premiers volontaires étrangers à rejoindre la Colonne Durruti. Il sera même nommé quelque temps plus tard responsable du Groupe Internationaliste de la milice anarchiste, ce qui était politiquement significatif alors que se menait par ailleurs dans le camp républicain une vigoureuse campagne contre "l'invasion des maures".

Les groupes anarchistes

En 1890, trois groupes anarchistes sont attestés par un rapport de la police d'Alger. Début juin, création d'un Cercle d'études sociales intitulé « Réveil abstentionniste» à Bab El Oued qui a pour vocation d'organiser des réunions publiques. La même année, apparition d'un groupe nommé « Le Tocsin» consacré à la diffusion du journal éponyme, mais aussi à la tenue d'une bibliothèque militante. Enfin, un rapport des Renseignements généraux indique l'existence d'un groupe anarchiste de Boufarik en 1890[2].

En 1892, la lecture du Libertaire révèle la présence de plusieurs groupes à Alger. Ils organisent une commémoration de la Commune de Paris (1871). En 1901, existence de groupes anarchistes (dont un groupe de jeunes) à Alger et à Mustapha. Ces groupes refusent d'envoyer des mandatés au Congrès Socialiste Algérien de 1901. Un tract d' indique leurs positions : pour la création d'un Comité révolutionnaire et un seul objectif, « la Révolution sociale ». En 1904, un « Groupe de propagande libertaire » est présent à Alger en relation avec le syndicalisme révolutionnaire algérois de l'Université Populaire. En 1905-1907, activité du groupe « Les Précurseurs » (dont Maurice Gilles) à Alger qui se réunit à la Maison du Peuple d'Alger[2].

Le Flambeau

En 1923, apparition du « journal des Groupes libertaires d'Afrique du Nord », Le Flambeau, où les anarchistes algériens affirment vouloir coordonner les libertaires du Maghreb dans un seul et même regroupement politique : « Le Flambeau a l'ambition d'unir tous les camarades anarchistes de notre région, disséminés de tous côtés au sein de la jeune et vivante fédération anarchiste de l'Afrique française du Nord et d'intensifier plus que jamais la propagande anarchiste ». Afin de permettre la diffusion du journal, une association est créée : Les Amis du Flambeau, d'une quinzaine de membres. En , c'est le congrès de la Fédération Anarchiste Algérienne. Une proposition est faite pour aller vers les travailleurs d'Algérie avec des « causeries, conférences, constitution de groupes de quartiers et brochures (...) pour revitaliser le groupe d'Alger ». En , Le Flambeau publie dans son no 28, un article sur « Le mouvement anarchiste en Algérie » : « Il n'y a malheureusement pas encore en Algérie, un mouvement anarchiste profond touchant les masses laborieuses à l'égal de la propagande communiste, socialiste ou simplement syndicaliste ». En 1926, apparition de la Fédération Libertaire d'Afrique du Nord avec deux groupes : le Groupe libertaire d'Alger et le Cercle Libertaire « Concordia » d'Oran. Après trois années d'existence, le mouvement ne réussit pas à se développer sur le sol algérien et encore moins au Maroc ou en Tunisie. Le Flambeau cesse brutalement de paraître[2].

Personnalités

Louise Michel en 1904.

Le mouvement libertaire et la lutte de libération nationale algérienne

En France, le mouvement libertaire va se diviser, voire s'opposer, sur les guerres de décolonisation et plus particulièrement sur la guerre d’Algérie.

On peut déceler deux positions : l’une, apparemment sans équivoque, renvoie dos à dos l’armée colonialiste et le peuple soulevé pour son indépendance, sous prétexte que les deux sont nationalistes et soumis à des chefs et des dirigeants. L’autre considère qu’une guerre coloniale, que plus généralement une lutte d’un peuple pour son indépendance, constitue un phénomène complexe où interfèrent des données nationalistes et des données de classes en lutte. Selon les tenants de cette seconde position, il faut tenir compte aussi du fait que le peuple qui se soulève a les mêmes adversaires que les exploités du pays colonisateur et que l’analyse de classe permet ainsi de fonder une solidarité anticolonialiste qui peut avoir une portée révolutionnaire aussi bien dans la métropole que dans le pays soulevé où l’unité derrière les chefs de l’insurrection n’est ni fatale, ni forcément durable[19].

La Fédération anarchiste

Si la guerre d'Algérie suscite l'hostilité des anarchistes synthétistes de la Fédération anarchiste, c'est essentiellement par antimilitarisme : refus du service militaire et défense de l'objection de conscience. Comme ils l'ont fait au moment de l'entreprise coloniale italienne en Éhiopie, c'est par pacifisme libertaire qu'ils s'y opposent. Ainsi la Fédération anarchiste, tout en condamnant la guerre, renvoie dos à dos les nationalismes français et algérien. Le Monde libertaire appelle à une résistance commune des deux peuples à leurs exploiteurs communs : le FLN qui lutte pour l'indépendance du peuple algérien est mis sur le même pied que le pouvoir colonial[1].

S'il est hostile à la guerre d’Algérie, comme tous les anarchistes, Maurice Joyeux l’est aussi à la guerre d’indépendance, n’y voyant qu’une révolution bourgeoise : « Nous sommes contre le colonialisme car nous sommes pour les droits de chacun de disposer de lui-même. Nous sommes contre la guerre d’Algérie car nous pensons que les travailleurs n’ont rien à gagner à cette guerre. Mais cette prise de position contre la guerre d’Algérie ne peut être, en aucun cas, une approbation du FLN. En Algérie, les hommes ne luttent pas pour leur libération mais pour se donner de nouveaux maîtres. Et l’expérience nous a appris que, lorsqu’un peuple prend parti pour l’un ou l’autre des clans qui l’exploitent, la victoire finale de l’un d’eux le replonge, pendant des années, dans ses chaînes. »[19].

Cependant, le débat n'est pas tranché au sein de la Fédération anarchiste où, en , est publié dans son Bulletin intérieur, un texte signé A. Devriendt et titré « Les anarchistes s’adressent aux révolutionnaires algériens », qui qualifie la guerre de libération nationale de l'Algérie de « révolution » : « Au-delà des divergences que son évolution peut faire naître et des critiques que l’on peut lui adresser, la révolution algérienne éclaire le monde d’une lueur trop vive et trop riche de promesses pour que les anarchistes n’estiment pas devoir affirmer leur entière solidarité avec elle »[19]. Cette révolution n'est en rien analysée comme un programme de bouleversements appliqué à la société algérienne, mais comme une insurrection replacée dans le cadre de la solidarité internationale des travailleurs. C'est donc un synonyme internationalisé de ce que les Algériens entendaient par « révolution », c'est-à-dire une guerre de libération nationale, une révolution anti-coloniale, mais reformulée dans des termes anarchistes[1].

Après la publication du « Manifeste des 121 », signé entre-autres par Maurice Joyeux, la FA adopte un point de vue plus nuancé : « Ils ont fait une guerre d’indépendance nationale. Et comment pouvait-il en être autrement ? Est-ce que cela veut dire que nous faisons notre la théorie marxiste selon laquelle un peuple doit passer obligatoirement par le stade l’indépendance nationale pour ensuite se retourner contre sa bourgeoisie ? Nous sommes persuadés que cette étape peut être sautée. »[19]

La Fédération Communiste Libertaire

La Fédération Communiste Libertaire représente le courant plateformiste du mouvement libertaire français. Elle a supplanté l'ancienne Fédération Anarchiste après le congrès de Bordeaux de 1953 et repris, et les locaux, et le titre du journal Le Libertaire.

Dès , la FCL s'engage dans le « soutien critique » aux indépendantistes algériens. Le , à peine une dizaine de jours après la Toussaint rouge, Le Libertaire (no 404) titre son éditorial « Vive l'Algérie libre ! ». Les murs de Paris sont alors recouverts d'affiches rouges « Vive l'Algérie libre ! » signée de la FCL[20].

En accord avec le Mouvement National Algérien (MNA) de Messali Hadj, la FCL envoie un de ses militants Pierre Morain dans le Nord où, le , il participe à Lille aux violents affrontements survenus lors de la manifestation entre les forces de l’ordre et les travailleurs algériens porteurs de banderoles réclamant « L’Algérie libre »[21]. Le , il est inculpé d'« atteinte à la sûreté extérieure de l’État »[22] à la suite d'un article anticolonialiste[23] paru avant son incarcération dans Le Libertaire. Il ne sera finalement libéré qu'en [24].

À l'été 1957, les services de police démantèlent définitivement la FCL, victime de la grande activité de ses militants contre la guerre d’Algérie[19].

Les Groupes Anarchistes d'Action Révolutionnaire

C'est d'une scission de la FCL, renforcée par quelques militants provenant de plusieurs autres organisations, que sort l'organisation la plus féconde en matière d'anticolonialisme, les Groupes Anarchistes d'Action Révolutionnaire (GAAR) qui publient le journal Noir et Rouge[25].

Noir et Rouge aborde sans a priori et avec une liberté de ton qui tranche avec le dogmatisme anarchiste, des questions jusque-là réputées résolues, et parmi elles, le nationalisme et les questions de l'émancipation nationale dans le Tiers Monde. Une distinction est établie entre le nationalisme installé des vieilles sociétés capitalistes et le nationalisme revendicateur des sociétés dominées d'où émerge un nouvel internationalisme[1].

Les GAAR refusent de renvoyer dos à dos les nationalismes algériens et français car cela serait revenu à cautionner la conquête et l'occupation de l'Algérie. Malgré des distances toujours soigneusement prises avec le FLN. Ce dernier était suspecté, non sans quelques raisons, et au moins avec une lucide préscience, d'être anti-libertaire et autoritaire.

Noir et Rouge exprime son soutien aux forces qui « œuvrent à la destruction du colonialisme français en Algérie » et sa solidarité au peuple algérien : « tout en refusant le nationalisme comme l’impérialisme, on ne peut confondre sciemment l’exploiteur et l’exploité, l’oppresseur et l’opprimé. Pour nous, les anarchistes ne peuvent qu’être partisans convaincus de la destruction du colonialisme français en Algérie. [...] Nous ne pouvons être moralement qu’avec le peuple algérien combattant, avec son indépendance pour sa vie purement et simplement. »[19]

Le Mouvement libertaire nord-africain

Le Mouvement libertaire nord-africain (MLNA) est l’organisation sœur de la Fédération communiste libertaire en Algérie[20].

Le Manifeste des 121

Le , on trouve au bas du Manifeste des 121, titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie », les signatures de plusieurs personnalités de la mouvance libertaire : Maurice Joyeux, Daniel Guérin, Robert Louzon, Charles Vildrac, qui fut au début du XXe siècle, un des animateurs de la communauté libertaire de Créteil et un apôtre de la pédagogie libertaire[1].

Personnalités

Actualité de l'anarchisme algérien

Bibliographie

  • Michel Antony, Références bibliographique sur l’anarchisme, les mouvements et utopies libertaires en Afrique, 1995, 2010, texte intégral.
  • Sylvain Boulouque, Les anarchistes et les soulèvements coloniaux. De la guerre d'Indochine à la guerre d'Algérie, L'Homme et la société, no 123-124, 1997, Actualité de l'anarchisme, p. 105-117, texte intégral.
  • Clotilde Chauvin, Louise Michel en Algérie : La tournée de conférences de Louise Michel et Ernest Girault en Algérie (octobre-), Les Éditions libertaires, 2007, (ISBN 978-2914980456).
  • Sylvain Pattieu, Mohamed Harbi, Les Camarades des frères : trotskistes et libertaires dans la guerre d'Algérie, Syllepse, 2002, 2018 (ISBN 2-913165-82-6).
  • Guillaume Rey, Afriques anarchistes : introduction à l’histoire des anarchismes africains, L’Harmattan, 2018, 244 pages, présentation éditeur.
  • Sidi Mohamed Barkat, Des Français contre la terreur d'État. Algérie 1954-1962, Éditions Reflex, Paris, 2002.
  • (en) David Porter, Eyes to the South - French Anarchists & Algeria, AK Press, 2011, (ISBN 9781849350761).
  • (en) Sam Mbah, I.E. Igariwey, African Anarchism : The history of a movement, See Sharp Press, Tucson, Arizona, 1997, lire en ligne, lire en ligne.

Travaux universitaires

  • Gilbert Meynier, Les anarchistes français et la guerre d'Algérie, Université Nancy 2, 2010, texte intégral.
  • Philippe Bouba, L’Anarchisme en situation coloniale, le cas de l’Algérie. Organisations, militants et presse, 1887-1962, thèse de doctorat en histoire et histoire de l'art, sous la dir. de Michel Cadé et de Hassan Remaoun, univ. de Perpignan et univ. d'Oran Es-Senia (Algérie), 2014, 364 p, lire en ligne.
  • Philippe Bouba, Le mouvement anarchiste en Algérie de 1887 à 1926 : presse de propagande et de combat, activités militantes et positions politiques face au fait colonial, La guerre d’Algérie revisitée. Nouvelles générations, nouveaux regards, KADRI Aïssa, BOUAZIZ Moula, QUEMENEUR Tramor (sous la direction de), Paris, Karthala, 2015, 396 p.
  • Philippe Bouba, Positions et revendications des anarchistes d’Algérie à travers l’étude du Flambeau, organe anarchiste d’Afrique du Nord (1923-1926) : militantisme, propagande envers la population colonisée et anticolonialisme libertaire, Revue Domitia (no 13), Autour de la Méditerranée, Univ de Perpignan Via Domitia, 2014.
  • Cédric Guérin, Anarchisme français de 1950 à 1970, Mémoire de Maitrise en Histoire contemporaine sous la direction de Mr Vandenbussche, Villeneuve d’Ascq, Université Lille III, 2000, texte intégral.

Articles

Documentaire vidéo

  • Guillaume Lenormant, Daniel Goude, Une résistance oubliée (1954-1957). Des libertaires dans la guerre d’Algérie, DVD, 2001, voir en ligne.

Radio

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. a b c d et e Gilbert Meynier, Les anarchistes français et la guerre d'Algérie, Université Nancy 2, 2010, texte intégral.
  2. a b c d et e Philippe Bouba, Le mouvement anarchiste en Algérie de 1887 à 1926 : presse de propagande et de combat, activités militantes et positions politiques face au fait colonial, Université d'Oran Es-Sénia, CRASC, Université de Perpignan, CRHiSM, 2011, texte intégral.
  3. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : notice.
  4. Federico Ferretti, Esclaves libérés et vols d’histoire: la géographie d’Élisée Reclus et l’Afrique subsaharienne, Elisée - Revista de Geografia, Université de Genève, vol. 1, no 2, 2012, page 8.
  5. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : notice.
  6. L'Éphéméride anarchiste : Le Libertaire - Organe algérien communiste anarchiste.
  7. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : notice.
  8. Le Libertaire, (1892), La presse anarchiste, texte intégral.
  9. Flor O'Squarr, Les coulisses de l'anarchie, Nouvelle Librairie Parisienne, Albert Savine, éditeur, 1892, page 99.
  10. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : notice.
  11. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : notice.
  12. Dictionnaire des anarchistes, « Le Maitron » : notice biographique.
  13. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : notice.
  14. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : notice.
  15. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : notice.
  16. Dictionnaire des anarchistes, « Le Maitron » : notice biographique.
  17. René Bianco, 100 ans de presse anarchiste : notice.
  18. Dictionnaire des anarchistes, « Le Maitron » : Ernest Girault.
  19. a b c d e et f Cédric Guérin, Anarchisme français de 1950 à 1970, Mémoire de Maitrise en Histoire contemporaine sous la direction de Mr Vandenbussche, Villeneuve d’Ascq, Université Lille III, 2000, texte intégral.
  20. a et b Guillaume Lenormant, Daniel Goude, Une résistance oubliée (1954-1957). Des libertaires dans la guerre d’Algérie, DVD, 2001, voir en ligne.
  21. Jean-René Genty, Mort de Pierre Morain, incarcéré à Loos en 1955 pour son soutien aux révolutionnaires algériens, La Brique, 31 mai 2013, texte intégral.
  22. Patrick Kessel, Guerre d'Algérie: écrits censurés, saisis, refusés 1956-1960-1961, L'Harmattan, 2003, page 92.
  23. Stuart Christie, Arena Two : Anarchists in Fiction, PM Press/Christie Books, 2011, page 38.
  24. Jean-René Genty, Le Mouvement nationaliste algérien dans le Nord, 1947-1957 : fidaou al Djazaïr, L'Harmattan, 2008, p. 137-144.
  25. La presse anarchiste, Noir & Rouge (1954 - 1970), notice.
  26. Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, « Le Maitron » : Daniel Guérin.
  27. Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, « Le Maitron » : Pierre Morain.
  28. Gilbert Esteve, Un entretien avec Georges Fontenis. Il y a 50 ans, l’insurrection algérienne, L’Émancipation syndicale et pédagogique, 31 janvier et 28 février 2005, texte intégral.
  29. Guillaume Davranche, Hommage : Dernier témoin de l’anarchisme algérien, Léandre Valéro s’en est allé, Alternative libertaire, no 210, octobre 2011, texte intégral.
  30. Dictionnaire des anarchistes, « Le Maitron » : Georges Fontenis.
  31. Dictionnaire des anarchistes, « Le Maitron » : notice biographique.