Villemolaque

Villemolaque
Villemolaque
Mairie et salle des fêtes de Villemolaque.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Céret[1]
Intercommunalité Communauté de communes des Aspres
Maire
Mandat
Annie Lelaurain
2020-2026
Code postal 66300
Code commune 66226
Démographie
Gentilé Villemolaquois, Villemolaquoises
Population
municipale
1 323 hab. (2021 en augmentation de 1,61 % par rapport à 2015)
Densité 221 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 35′ 21″ nord, 2° 50′ 25″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 121 m
Superficie 6,00 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Les Aspres
Localisation
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Villemolaque

Villemolaque Écouter est une commune française située dans l'est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Réart, la rivière de Passa et par deux autres cours d'eau.

Villemolaque est une commune rurale qui compte 1 323 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Villemolaquais ou Villemolaquaises.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Map
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Villemolaque se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, à 13 km de Céret[3], sous-préfecture, et à 8 km de Thuir[4], bureau centralisateur du canton des Aspres dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie du Boulou[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Saint-Jean-Lasseille (2,3 km), Passa (2,6 km), Tresserre (2,9 km), Banyuls-dels-Aspres (3,3 km), Trouillas (3,7 km), Ponteilla (4,7 km), Fourques (5,0 km), Bages (5,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Villemolaque fait partie de la région des Aspres. Compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud, ce minuscule territoire roussillonnais tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols[6].

Géologie et relief[edit | edit source]

L'altitude du village est de 85 mètres[8].

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

Hydrographie[edit | edit source]

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 694 mm, avec 5,4 jours de précipitations en janvier et 3,2 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Vivès à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 15,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 669,2 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Villemolaque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[I 2],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (73,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,3 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Les lignes 530 (Arles-sur-Tech - Gare de Perpignan) et 571 (Tresserre - Gare de Perpignan) du réseau régional liO assurent la desserte de la commune.

Risques majeurs[edit | edit source]

Le territoire de la commune de Villemolaque est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22],[23].

Risques naturels[edit | edit source]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Réart[24].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[25]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[26].

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations[27].

Risques technologiques[edit | edit source]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières et ferroviaires importantes et la présence d'une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].

Toponymie[edit | edit source]

Le lieu est mentionné pour la première fois le dans un acte par lequel une femme du nom de Romelles et son fils Adalbert font don à l'église d'Elne de leur alleu situé à Villa Mulaca[8].

En catalan, le nom de la commune est Vilamulaca[29].

Histoire[edit | edit source]

Politique et administration[edit | edit source]

À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Aspres.

Administration municipale[edit | edit source]

Tendances politiques et résultats[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 César Torrent   nommé par le comité départemental de Libération
1945 1945 Marcel Olivé    
1945 1953 Albert Pages    
1953 1989 René Olivé DVG  
1989 1996 Raymond Dulceres    
2001 Réélu en 2008[31] et 2014[32] Jean-Claude Péralba SE  
2020   Annie Lelaurain SE  

Population et société[edit | edit source]

Démographie ancienne[edit | edit source]

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
1358 1365 1378 1470 1515 1553 1643 1709 1720
14 f10 f11 f7 f10 f3 f8 f20 f14 f
1730 1767 1774 1789 - - - - -
17 f102 H17 f24 f-----
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Démographie contemporaine[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 1 323 habitants[Note 4], en augmentation de 1,61 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
91112112170188185194209207
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
189210236277309472527528570
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
650620565605586604603513513
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5065044664808339221 1241 2031 364
2021 - - - - - - - -
1 323--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[37] 1975[37] 1982[37] 1990[37] 1999[37] 2006[38] 2009[39] 2013[40]
Rang de la commune dans le département 84 86 103 75 76 77 76 79
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement[edit | edit source]

Manifestations culturelles et festivités[edit | edit source]

  • Fête patronale : [41] ;
  • Fête communale : [41].

Santé[edit | edit source]

Sports[edit | edit source]

Économie[edit | edit source]

Revenus[edit | edit source]

En 2018, la commune compte 518 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 1 241 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 960 [I 5] (19 350  dans le département[I 6]).

Emploi[edit | edit source]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 10,1 % 11,1 % 15,5 %
Département[I 8] 10,3 % 12,9 % 13,3 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 883 personnes, parmi lesquelles on compte 74,5 % d'actifs (59 % ayant un emploi et 15,5 % de chômeurs) et 25,5 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 10]. Elle compte 135 emplois en 2018, contre 105 en 2013 et 110 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 529, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,3 %[I 11].

Sur ces 529 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 86 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 89,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 5,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture[edit | edit source]

Secteurs d'activités[edit | edit source]

94 établissements[Note 7] sont implantés à Villemolaque au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 14].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 94 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
13 13,8 % (8,7 %)
Construction 22 23,4 % (14,3 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
24 25,5 % (30,5 %)
Information et communication 1 1,1 % (1,9 %)
Activités financières et d'assurance 2 2,1 % (3 %)
Activités immobilières 8 8,5 % (6,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
16 17 % (13 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
7 7,4 % (13,9 %)
Autres activités de services 1 1,1 % (8,5 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,5 % du nombre total d'établissements de la commune (24 sur les 94 entreprises implantées à Villemolaque), contre 30,5 % au niveau départemental[I 15].

Entreprises et commerces[edit | edit source]

Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :

  • J'ai Besoin De...sarl, autres activités de soutien aux entreprises n.c.a. (1 154 k€)
  • Krinasoft, programmation informatique (97 k€)
  • Annadis, supérettes (−3 k€)

Agriculture[edit | edit source]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 33 15 12 5
SAU[Note 9] (ha) 306 248 153 82

La commune est dans la « plaine du Roussillon », une petite région agricole occupant la bande côtière et une grande partie centrale du département des Pyrénées-Orientales[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 3]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (33 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 82 ha[45],[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Église Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse à Villemolaque

Monuments et lieux touristiques[edit | edit source]

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Voir aussi[edit | edit source]

Bibliographie[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[edit | edit source]

Notes et cartes[edit | edit source]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

Site de l'Insee[edit | edit source]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Villemolaque » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan » (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Villemolaque » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Villemolaque » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Villemolaque » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Villemolaque » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).

Autres sources[edit | edit source]

  1. « Modification des limites territoriales des arrondissements »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Préfet des Pyrénées-Orientales.
  2. Stephan Georg, « Distance entre Villemolaque et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Villemolaque et Céret », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Villemolaque et Thuir », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Villemolaque », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 179-180.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. a et b Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
  9. « Plan séisme » (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Villemolaque et Vivès », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Vivès » (commune de Vivès) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Vivès » (commune de Vivès) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Villemolaque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Villemolaque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Villemolaque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
  23. « Les risques près de chez moi - commune de Villemolaque », sur Géorisques (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  25. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Plans de Préventions des Risques naturels - Base de données actualisée à septembre 2020 », sur georisques.gouv.fr/ (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 3 - chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  29. (ca + fr) Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
  30. Mairie de Villemolaque, « Maires d’hier et d’avant-hier », 2010, consulté le 5 septembre 2010
  31. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
  32. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur la-clau.net.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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