Arles-sur-Tech
Arles-sur-Tech | |||||
![]() Vue aérienne d'Arles-sur-Tech. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Céret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut Vallespir (siège) |
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Maire Mandat |
David Planas 2020-2026 |
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Code postal | 66150 | ||||
Code commune | 66009 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arlésiens | ||||
Population municipale |
2 698 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 94 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 27′ 27″ nord, 2° 38′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 226 m Max. 1 302 m |
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Superficie | 28,82 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Canigou | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-arles-sur-tech.fr | ||||
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Arles-sur-Tech Écouter est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Cette petite ville ancienne, bâtie autour d'une abbaye bénédictine fondée au VIIIe siècle, a connu une certaine activité industrielle (exploitation de mines de fer de Batère, usine de tissages catalans, scieries, biscuiteries).
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La commune d'Arles-sur-Tech se situe dans le canton du Canigou et dans l'arrondissement de Céret, dans la vallée du Tech, au croisement du Tech et du Riuferrer. La ville est dominée par le Piló de Belmaig au sud et la Solà de Cugullera au nord, connue par le pin parasol qui se situe à son sommet[1].
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
La superficie de la commune est de 2 882 hectares. L'altitude d'Arles-sur-Tech varie entre 226 mètres au niveau du Tech et 1 302 mètres[2]. Le centre urbanisé est à une altitude de 290 m[3].
La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[4].
Hydrographie[modifier | modifier le code]

Arles se trouve sur une boucle du Tech et sur la confluence du Riuferrer.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Commune située sur la RD 115 en Vallespir sur le Tech à environ 10 km de Céret et 43 km de Perpignan. Arles sur Tech était en plus dotée d'un chemin de fer à vapeur reliant Elne à Arles et d'un petit train électrique appelé tramway du vallespir. Il reliait Arles à Prats-de-Mollo avec une bifurcation vers Saint-Laurent-de-Cerdans. La voie a été en partie détruite par l'Aiguat de 1940 mais il reste encore plusieurs vestiges (viaducs sur le Tech, gares et terminus).
Trois lignes du réseau régional liO desservent la commune en direction de la gare de Perpignan : la 530 (depuis la gare routière de la commune), la 531 (depuis Prats-de-Mollo-la Preste), et la 532 (depuis Coustouges).
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]
L'essentiel des zones urbanisées sont concentrées le long du Tech. On rencontre, de l'amont vers l'aval, le hameau de Can Partère, Arles-sur-Tech, El Calciner et enfin Alzine Rodone[1].
Logement[modifier | modifier le code]
Arles-sur-Tech comprend en 2009 1 642 logements, parmi lesquels 76,4 % sont des résidences principales, 11,6 % sont des résidences secondaires et 12 % sont vacants. 65,1 % des ménages sont propriétaires de leur logement[5].
Toponymie[modifier | modifier le code]
En catalan, le nom de la commune est Arles. Arles de Tec est parfois utilisé mais déconseillé, car de Tec est un gallicisme utilisé pour différencier cette commune d'Arles, en Provence[6].
Le nom d'Arles (Arulas en 934) viendrait peut-être des racines Ar et El, désignant une vallée se transformant en plaine et la présence d'une rivière dans cette même vallée[7].
Le vrai centre d'Arles se trouvait initialement aux Bains d'Arles (Amélie-les-Bains de nos jours). Arles-sur-Tech est alors citée en 934 après que les moines eurent déménagé pour y construire leur nouveau monastère (cenobium Sancte Marie Arulas, in Valle Asperi, super alveo Techo)[3].
Histoire[modifier | modifier le code]
À la suite de la destruction de la première abbaye par les Normands (vers 858-868) et malgré plusieurs tentatives de reconstruction, les moines finissent par quitter le site des thermes romains (aujourd'hui Amélie-les-Bains) à l'initiative de Suniefred (abbé de 880 à 891) pour le site actuel d'Arles, sur les bords du Tech. On trouve mention du nouveau monastère dédié à Sainte Marie dès 934 (cenobium Sancte Marie Arulas, in Valle Asperi, super alveo Techo)[3].
La commune de Fontanils est rattachée à Arles-sur-Tech le [8].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Canton[modifier | modifier le code]
Le canton d'Arles-sur-Tech est créé en 1790 avec Arles pour chef-lieu[8]. Depuis les élections ayant suivi la réforme de 2014, la commune fait partie du canton du Canigou, perdant de fait son statut de chef-lieu de canton, le bureau centralisateur de la nouvelle subdivision étant Amélie-les-Bains-Palalda.
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours. | |||||||
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Année | Élu | Battu | Participation | ||||
2002 | 82,21 % | Jacques Chirac | RPR | 17,79 % | Jean-Marie Le Pen | FN | 79,71 % [9] |
2007 | 45,08 % | Nicolas Sarkozy | UMP | 54,92 % | Ségolène Royal | PS | 82,88 % [10] |
2012 | 65,35 % | François Hollande | PS | 34,65 % | Nicolas Sarkozy | UMP | 80,27 % [11] |
2017 | % | Emmanuel Macron | EM | % | Marine Le Pen | FN | % [12] |
Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
Année | Élu | Battu | Participation | ||||
2002 | 61,95 % | Henri Sicre | PS | 38,05 % | Myriam Granat | UMP | 59,33 % [13] |
2007 | 43,50 % | Jacqueline Irles | UMP | 56,50 % | Pierre Aylagas | Divers gauche | 65,32 % [14] |
2012 | 68,59 % | Pierre Aylagas | PS | 31,41 % | Jacqueline Irles | UMP | 56,76 % [15] |
2017 | % | % | % [16] | ||||
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores. | |||||||
Année | Liste 1re | Liste 2e | Participation | ||||
2004 | 35,37 % | Kader Arif | PS | 11,83 % | Alain Lamassoure | UMP | 40,53 % [17] |
2009 | 20,83 % | Dominique Baudis | UMP | 18,97 % | Kader Arif | PS | 34,90 % [18] |
2014 | % | % | % [19] | ||||
2019 | % | % | % [20] | ||||
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores. | |||||||
Année | Liste 1re | Liste 2e | Participation | ||||
2004 | 63,17 % | Georges Frêche | Gauche | 25,87 % | Jacques Blanc | Droite | 65,11 % [21] |
2010 | 67,64 % | Georges Frêche | Divers gauche | 20,20 % | Raymond Couderc | UMP | 49,31 % [22] |
2015 | % | % | % [23] | ||||
Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
Année | Élu | Battu | Participation | ||||
2008 | 62,04 % | Alexandre Reynal élu au premier tour |
PS | 27,02 % | Michel Sitja | UMP | 75,44 % [24] |
Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
Année | Élus | Battus | Participation | ||||
2015 | % | % | % [25] | ||||
Référendums. | |||||||
Année | Oui (national) | Non (national) | Participation | ||||
1992 | 47,71 % (51,04 %) | 52,29 % (48,96 %) | 68,89 % [26] | ||||
2000 | 74,00 % (73,21 %) | 26,00 % (26,79 %) | 31,95 % [27] | ||||
2005 | 32,92 % (45,33 %) | 67,08 % (54,67 %) | 68,70 % [28] |
Administration municipale[modifier | modifier le code]
Le conseil municipal comprend, en plus du maire[29], six adjoints[30] et quatorze conseillers municipaux[31] pour un total de vingt-et-un élus.
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
Arles-sur-Tech est jumelée avec trois communes de Catalogne[36] :
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Démographie ancienne[modifier | modifier le code]
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine[modifier | modifier le code]
Ses habitants sont appelés les Arlésiens[37].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].
En 2018, la commune comptait 2 698 habitants[Note 1], en augmentation de 0,41 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,64 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
À partir de 1826, la population recensée inclut les habitants de Fontanils.
selon la population municipale des années : | 1968[42] | 1975[42] | 1982[42] | 1990[42] | 1999[42] | 2006[43] | 2009[44] | 2013[45] |
Rang de la commune dans le département | 14 | 20 | 23 | 28 | 32 | 41 | 43 | 45 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement[modifier | modifier le code]
Arles-sur-Tech dispose sur son territoire d'une école maternelle (68 élèves en 2013)[46], d'une école primaire (135 élèves en 2013)[47] et d'un collège[48]. Tous ces établissements sont publics et portent le nom de Jean Moulin.
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
Les différentes fêtes traditionnelles ayant lieu au cours de l'année à Arles-sur-Tech sont les suivantes[49] :
- Fête patronale (Festa major) : le 30 juillet, procession à travers la montagne depuis Montbolo, avec l'offrande de cire en forme de roue appelée la rodella[50] (le mot rodella se prononce « roudeille »).
- Fête communale (Petite fête d'Arles) : dimanche le plus près du 24 octobre ;
- Procession des pénitents noirs : vendredi saint ;
- Bénédiction des mulets : à la Saint-Éloi ;
- Fête de l'ours : 1er week-end de février[réf. nécessaire].
- Rencontres Européennes de Ferronnerie d'Art : 3e week-end d'octobre (tous les 2 ans)[réf. nécessaire]
Santé[modifier | modifier le code]
Arles-sur-Tech possède un centre médical, un cabinet d'infirmiers, un kinésithérapeute, une maison de retraite et une maison de convalescence[51]. La clinique généraliste la plus proche est celle de Céret.
Sports[modifier | modifier le code]
Arles-sur-Tech possède plusieurs clubs sportifs : bouliste, tennis, volley-ball, judo, randonnée, basket-ball, gymnastique volontaire, football, handball, rugby, danse et courses de voitures[52].
- Rugby
Lors de la saison 2013-2014, l'Entente Vallespir Arles-sur-Tech-Amélie-les-Bains-Palalda (EVAAP) a été champion de France de 3e série en battant l'US Quint-Fonsegrives 19 à 3[53],[54],[55].
Économie[modifier | modifier le code]
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
- Revenu de la population
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 22 599 €[56]. En 2011, ce revenu est de 22 781 €[57].
En 2009, le revenu fiscal médian des ménages par unité de consommation est de 16 094 €. Le revenu net déclaré moyen par foyer fiscal est de 18 035 € et 42,7 % des foyers fiscaux sont imposables[5].
- Fiscalité
Les taux de taxes locales en 2013 sont les suivants[58] :
- Taxe d’habitation : 13,72 %
- Taxe foncière (bâti) : 22,55 %
- Taxe foncière (non bâti) : 61,65 %
Emploi[modifier | modifier le code]
L'effectif total de l'emploi sur Arles-sur-Tech en 2009 est de 730 personnes, parmi lesquelles 82,2 % sont salariées. L'effectif total a augmenté de 2 % de 1999 à 2009[5].
En 2009, le taux d'activité des 15-64 ans est de 66,7 % et le taux de chômage de 13,6 %. La commune comprend au 200 demandeurs d'emploi toutes catégories confondues, parmi lesquels figurent 146 demandeurs d'emploi de catégorie A[5].
Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]
Les petites industries traditionnelles comprenaient des usines de tissage de tissus et la fabrique de confiseries (notamment de rousquilles). Une part importante de l'économie était consacrée au traitement du minerai de fer extrait des mines de Batère et de La Pinouse, jadis transporté jusqu'à Arles par des câbles aériens depuis les montagnes environnantes[3].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Monuments et lieux touristiques[modifier | modifier le code]
- La Caixa de Rotllan (
Classé MH (1889)) : dolmen du IIIe millénaire av. J.-C. ;
- L'abbaye Sainte-Marie (
Classé MH (1862)) : fondée à la fin du VIIIe siècle, les murs actuels de cet ensemble monastique remontent pour les plus anciens à la fin du IXe siècle dont subsistent l’église, le plus vieux cloître gothique des Pyrénées-Orientales (XIIIe siècle) et le logis abbatial ;
- L'église Saint-Étienne : église consacrée une première fois en 993 et dont il ne subsiste qu’une partie de la nef englobée dans des constructions récentes (non visitable) ;
- L'église Saint-Sauveur (
Inscrit MH (1943)) : église mentionnée dès 1159, la tour-clocher en est l'élément le plus remarquable ;.
- La villa « les Indis » (
Inscrit MH (1987)) : actuelle mairie, de style art nouveau, début XXe siècle ;
- L'église Saint-Pierre de Riuferrer (
Inscrit MH (1954)) : église romane citée en 830, rebâtie au XIIe siècle ;
- L'église Sainte-Croix de Quercorb (
Inscrit MH (1997)) : église pré-romane fondée en 832 et reconstruite au Xe siècle ;
- La Sainte-Tombe : sarcophage d'origine paléochrétienne, qui a notamment contenu les reliques des saints Abdon et Sennen et produit de l'eau potable par condensation et filtration de l'eau de pluie[59],[60] ;
- La chapelle Saint-Jean du mas d'En Camps, construite en 1693.
Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]
- Les gorges de la Fou, à proximité, passent pour être les plus étroites du monde : parois de 150 mètres de haut, proches de moins d'un mètre.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Antoine Jofre (1801-1864) poète de langue catalane né et mort à Arles-sur-Tech ;
- Henry Muchart (1873-1954) : poète français né à Arles-sur-Tech ;
- Charles Trenet (1913-2001) : venait à Arles-sur-Tech régulièrement, son père ayant été maire de la commune, nommé par le gouvernement de Vichy, de 1941 à 1942 ;
- Max Havart (1924-2006) : compositeur mort à Arles-sur-Tech ;
- Puig-Aubert (1925-1994) : joueur de rugby à XIII ayant vécu et enterré à Arles-sur-Tech ;
- René Ala (?-) : ancien ambassadeur, maire d'Arles-sur-Tech de 2001 à 2008 et président de la Communauté de communes du Haut Vallespir depuis 2008 ;
- Gilbert Descossy (1946-) : sculpteur français né à Arles-sur-Tech ;
- Francis Jordane (?-) : entraîneur de l'Équipe de France de basket-ball de 1988 à 1993, né à Arles-sur-Tech ;
- Franck Azéma (1971-) : joueur et entraîneur de rugby à XV formé à Arles-sur-Tech ;
- Guilhem Guirado (1986-) : joueur de rugby à XV formé à Arles-sur-Tech.
Culture populaire[modifier | modifier le code]
Cinéma[modifier | modifier le code]
Film tourné en partie à Arles-sur-Tech :
Héraldique[modifier | modifier le code]
![]() |
Blason | Inconnu. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Catherine Verna, L'industrie au village. Essai de micro-histoire. Arles-sur-Tech, XIVe-XVe siècles, Les Belles lettres, 2017, 560 p.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des communes des Pyrénées-Orientales
- Liste des anciennes communes des Pyrénées-Orientales
- Syndicat mixte Canigó Grand Site
- Séisme du 2 février 1428 en Catalogne
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Notice Cassini
- Site officiel de la ville
- Arles-sur-Tech sur le site de l'Institut géographique national
- Arles-sur-Tech sur le site de l'Insee
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- Carte IGN sous Geoportail
- Notice Cassini
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014)
- « Plan séisme » (consulté le 20 novembre 2014)
- Fiche Insee 2009
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne)
- Pyrénées catalanes
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9)
- Résultats des élections présidentielles de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections présidentielles de 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections présidentielles de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections présidentielles de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2019 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections régionales de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections régionales de 2010 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections régionales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections cantonales de 2008 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections départementales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections référendaires de 1992 sur le site PolitiqueMania.
- Résultats des élections référendaires de 2000 sur le site PolitiqueMania.
- Résultats des élections référendaires de 2005 sur le site PolitiqueMania.
- Site de la mairie, section Le maire
- Site de la mairie, section Les adjoints
- Site de la mairie, section Les conseillers municipaux
- Liste des maires d'Arles-sur-Tech sur le site MairesGenWeb
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Arles, le 11 juin 1815, 15 janvier 2014
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- Réélection 2014 :« Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le 20 avril 2014).
- Page d'accueil du site de la mairie
- habitants .fr, « Pyrénées-Orientales > Arles-sur-Tech (66150) » (consulté le 11 juillet 2010)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le 10 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, section École maternelle publique Jean Moulin d'Arles-sur-Tech
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, section École primaire publique Jean Moulin d'Arles-sur-Tech
- Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, section Collège Jean Moulin d'Arles-sur-Tech
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7)
- L'Indépendant, Arles-sur-Tech : Origines de la "rodella" : les révélations de Robert Bosch par Arnaud Andreu, 29 juillet 2011
- Site de la mairie, section Commerces et services
- Site de la mairie, section Associations & clubs
- les résultats de l'EVAAP 2013-2014
- L'Entente Vallespir en finale
- Entente Vallespir championne de France : des hommes d'honneur (diaporama + vidéo)
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le 1er février 2013).
- « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le 14 août 2013).
- Site de la mairie, section La municipalité
- Devenez sorciers, devenez savants
- http://sites.unice.fr/site/broch/articles/sarcophage.html