Sarp

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Sarp
Sarp
Le village de Sarp vu depuis l'ascension
vers le Mail de Maubourg (746 m).
Blason de Sarp
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Neste Barousse
Maire
Mandat
Robert Foraste
2020-2026
Code postal 65370
Code commune 65407
Démographie
Population
municipale
108 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 00′ 58″ nord, 0° 35′ 24″ est
Altitude Min. 467 m
Max. 742 m
Superficie 1,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de la Barousse
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Sarp
Géolocalisation sur la carte : France
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Sarp
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
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Sarp
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Sarp
Vue en été.

Sarp est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ourse et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Sarp est une commune rurale qui compte 108 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 280 habitants en 1851..

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

La commune de Sarp se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 48 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 36 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 21 km de Lannemezan[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Barousse dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montréjeau[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Izaourt (0,8 km), Anla (1,6 km), Loures-Barousse (1,6 km), Aveux (1,7 km), Créchets (1,9 km), Saint-Bertrand-de-Comminges (2,0 km), Valcabrère (2,0 km), Ilheu (2,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Sarp fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].

Communes limitrophes de Sarp[6]
Saint-Bertrand-de-Comminges
(Haute-Garonne)
Valcabrère
(Haute-Garonne)
Sarp[6] Izaourt
Aveux Anla

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Ourse, le ruisseau de Rioumort et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 1 km de longueur totale[8],[Carte 1].

L'Ourse, d'une longueur totale de 25,4 km, prend sa source dans la commune de Ferrère et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Loures-Barousse, après avoir traversé 12 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

  • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 003 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mauléon-Barousse », sur la commune de Mauléon-Barousse, mise en service en 1995[15] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 121,4 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 53 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[21].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22] : « l'Ourse et ses affluents de Ferrère à Izaourt » (85 ha), couvrant 18 communes du département[23] et les « montagnes de Saint-Bertrand-de-Comminges et de Tibiran-Jaunac » (1 613 ha), couvrant 8 communes dont une dans la Haute-Garonne et sept dans les Hautes-Pyrénées[24] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] :

  • les « Garonne amont, Pique et Neste » (1 788 ha), couvrant 112 communes dont 42 dans la Haute-Garonne et 70 dans les Hautes-Pyrénées[25] ;
  • les « montagnes sèches et rocheuses en rives gauche et droite de l'Ourse et à Saint-Bertrand-de-Comminges » (5 147 ha), couvrant 24 communes dont deux dans la Haute-Garonne et 22 dans les Hautes-Pyrénées[26].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sarp est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 2],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,9 %), prairies (25,5 %), zones urbanisées (14,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %)[29].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 81[I 5].
Parmi ces logements, 75,1 % sont des résidences principales, 15,0 % des résidences secondaires et 10,0 % des logements vacants.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par la route départementale D 925 et par la route départementale D 26.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sarp est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ourse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[32]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[33],[30].

Sarp est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[34]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sarp.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[35].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 15,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 77 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 35 sont en aléa moyen ou fort, soit 45 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Sarp au nord de Mauléon-Barousse.

Les principales informations se trouvent dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[38] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Étymologie : soit du basque sarri-pe (= au pied des taillis), soit du gascon sarpar (= essarter) du latin sarpere.

Nom occitan : Sarp.

Histoire[modifier | modifier le code]

Cadastre napoléonien de Sarp[modifier | modifier le code]

Le plan cadastral napoléonien de Sarp est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[39].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 François Fortassin MRG Sénateur
mars 2001 mars 2008 Gilbert Desbarax    
mars 2008 en cours Robert Foraste PRG[40]  

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Historique administratif[modifier | modifier le code]

Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, Vallée de la Barousse, seigneurie de Sarp et Milhas, canton de Barousse (1801-2014)[41].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Sarp appartient à la communauté de communes Neste Barousse créée en et qui réunit 43 communes.

Services publics[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44]. En 2021, la commune comptait 108 habitants[Note 8], en stagnation par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
185208216176226253267253280
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
231235209193200180178180186
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
14313315512310292868685
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
84747776115104107108110
2018 2021 - - - - - - -
107108-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
Rang de la commune dans le département 301 319 284 264 291 288 292 294
Nombre de communes du département 479 473 473 474 474 474 474 474

La population a atteint un maximum en 1851 avec 280 habitants, puis a baissé périodiquement pour atteindre un minimum de 74 habitants en 1968. Elle a ensuite connu une hausse notable pour se stabiliser au-dessus des 100 habitants à partir de 1990.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[51].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 6,8 % 2,8 % 8,1 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 62 personnes, parmi lesquelles on compte 71 % d'actifs (62,9 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 29 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 53 emplois en 2018, contre 60 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 39, soit un indicateur de concentration d'emploi de 135,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,9 %[I 10].

Sur ces 39 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 79,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 20,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 12].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Découverte des milieux naturels avec un sentier pédagogique, une aire de pique-nique est à proximité[52],[53],[54].

Jardin botanique[modifier | modifier le code]

Le jardin est entretenu par l'association « Serpettes et Chaudrons », on y trouve des plantes aromatiques, des plantes médicinales[55].

L'association propose des ateliers pour apprendre les propriétés et les usages des plantes médicinales[56],[57].

Chaque mois est organisée une journée portes ouvertes[58].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'azur aux deux haches d'argent, emmanchées de sable, surmontées d'un monde aussi d'argent cerclé et cintré de gueules, sommé d'une boule du même.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Sarp » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Sarp » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Sarp
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sarp » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sarp » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Sarp et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Sarp et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Sarp et Lannemezan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Sarp », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Sarp », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. Sandre, « l'Ourse »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
  15. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Sarp et Mauléon-Barousse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Orthodromie entre Sarp et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
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  22. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Sarp », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF « l'Ourse et ses affluents de Ferrère à Izaourt » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF les « montagnes de Saint-Bertrand-de-Comminges et de Tibiran-Jaunac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF les « Garonne amont, Pique et Neste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « ZNIEFF les « montagnes sèches et rocheuses en rives gauche et droite de l'Ourse et à Saint-Bertrand-de-Comminges » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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