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Rully (Saône-et-Loire)

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Rully
Rully (Saône-et-Loire)
Vue de Rully et son vignoble.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Le Grand Chalon
Maire
Mandat
Sylvie Laurence Trapon
2020-2026
Code postal 71150
Code commune 71378
Démographie
Population
municipale
1 558 hab. (2021 en évolution de −0,38 % par rapport à 2015)
Densité 100 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 52′ 34″ nord, 4° 44′ 27″ est
Altitude Min. 194 m
Max. 407 m
Superficie 15,61 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chagny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Rully
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Rully
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Rully

Rully est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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Village situé à environ 15 kilomètres au nord de Chalon-sur-Saône et à 15 kilomètres au sud de Beaune. Il se situe en plein centre de la Bourgogne, au nord de la Saône-et-Loire.

Communes limitrophes

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Accès et transports

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Le long du canal du Centre, sur l'ancien chemin de halage, s'étire la Voie Verte (de Saint-Léger-sur-Dheune à Chalon-sur-Saône en passant par Chagny), allée bitumée pour les transports doux, principalement utilisée par des vélos, des rollers et des piétons. La nationale 6 se situe à l'ouest de Rully la départementale traverse le village.

Géologie et relief

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La commune s'étend de la plaine de la Saône aux coteaux des prémices du Morvan. Le village est un village de côte : il est établi au pied d’une côte, escarpement taillé dans le plateau précédant le Morvan. Il profite ainsi de trois milieux : le plateau calcaire, la côte favorable à la vigne, la plaine favorable aux cultures céréalières. De plus, à Rully, la côte, orientée NNE-SSO, est coupée de plusieurs combes, ce qui multiplie les versants favorablement orientés pour la vigne[1].

Photo prise depuis un plateau surplombant Rully.

Hydrographie

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Deux cours d'eau coulent par Rully. La Thalie qui prend sa source au centre du village et canal du Centre à l'ouest.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,6 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Rully est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,3 %), terres arables (23,7 %), cultures permanentes (20,9 %), zones urbanisées (8,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,1 %), prairies (2,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Tête de lance acheuléenne
(selon Chabas 1876[14]).

Préhistoire

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Les cinq[15] grottes d'Agneux sont sur le trajet du GR 76 à environ 300 m à l'ouest du petit village d'Agneux et environ 1,3 km ouest-sud-ouest de Rully[16]. Elles sont creusées dans la base plus ou moins dolomisée[15] des calcaires de Nantoux de l'Oxfordien supérieur[17] (j6b1, en bleu clair dans la carte géologique[18]).

Les environs proches (dans un rayon de 15 km) incluent une vingtaine de sites préhistoriques connus. Sur la commune même, le plus connu est la grotte de la Mère Grand. Sont citées hors commune les grottes de la Verpillière près de Germolles sur Mellecey (7,3 km (à vol d'oiseau) au sud-est), un site occupé au Paléolithique moyen et au début du Paléolithique supérieur ; les sites de plein air de Saint-Martin-sous-Montaigu (6 km au sud) ; les abris Virely et Vasselon à Saint-Aubin (8,5 km au nord, en Côte-d'Or) ; les grottes de Saint-Romain (14 km au nord)…[19].

Les grottes d'Agneux I et II sont, d'après Floss et al. (2018), les « premières grottes ornées probablement datées du Paléolithique en Bourgogne méridionale »[19]. Ses parois portent de très nombreux grafitti gravés, la plupart récents mais certains anciens[20],[21].

Antiquité, Moyen Âge

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Autrefois Rubuliacum puis Rulliacum[22]. Vestiges de l'époque gallo-romaine. Ancien archipêtré du diocèse de Chalon. La terre de Rully, érigée en baronnie, a donné son nom à plusieurs seigneurs, l'un d'eux, capitaine de Chalon, fut tué par les Ligueurs en 1593. Il y avait une léproserie et deux moulins à blé.

En 1120, Robert d'Aluze donne ce qu'il a à Aluze et à Rully[23].

Temps modernes

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À la Révolution, par délibération du 18 nivôse an II, les habitants de Rully prirent le parti de se partager les biens communaux, qu'il se distribuèrent à raison de trois perches environ chacun (un are environ).

Politique et administration

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Tendances politiques

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Administration municipale

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Listes des maires

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Mairie et monument aux morts.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1959 mars 1983 Eugène Golfier    
mars 1983 juin 1995 Jean-François Delorme sans étiquette  
juin 1995 mars 2008 Gerard Vitteaut sans étiquette  
mars 2008 mars 2014 François Lotteau EELV  
mars 2014 octobre 2015[24] Marc Sonnet DVD  
novembre 2015[25] en cours Sylvie Trapon DVD  

Canton et intercommunalité

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La commune fait partie du Grand Chalon.

Instance judiciaire et administrative

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 558 habitants[Note 3], en évolution de −0,38 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2501 2251 3871 4361 5171 6701 6071 6581 660
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6461 0621 6871 6971 6811 6781 7311 7141 681
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7001 5431 5241 2121 2391 2371 1531 1281 138
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 2371 5231 5381 5661 6351 4631 5711 5861 580
2018 2021 - - - - - - -
1 5511 558-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramides des âges

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Enseignement

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Associations

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Écologie et recyclage

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Vue d'une partie de Rully et d'une partie de son vignoble.
Les vignobles de la côte chalonnaise.

Commune viticole de la Côte chalonnaise (AOC) d'une superficie de 340 hectares : 217 hectares de chardonnay (vin blanc) et 123 hectares de pinot noir (vin rouge)[30]. La classification se répartit en 248 hectares d'appellation village (Maizières, la Bergerie, Chaponnières) et 92 hectares de premier cru (Le Meix Cadot, les Cloux, la Pucelle)[30]. L'AOC est introduite en 1939[31], sur un vignoble déclinant, déclin partiellement freiné par l'introduction de l’appellation. Depuis 1968, il n'y a plus de vigne plantée en zone non-AOC sur la commune[32].

Rully, village incontournable, est aussi la capitale du crémant de Bourgogne, fait d'après la méthode champenoise.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le château de Rully.
L'église Saint-Laurent.
  • Le château de Rully, XIVe et XVIe siècles, grosses tours d'angle, donjon carré XIIe siècle, mâchicoulis, cuisine voutée à cheminée monumentale...
  • L'église Saint-Laurent, du XIVe siècle pour l'essentiel (elle fut agrandie en 1849 et son clocher, frappé par la foudre, dut être entièrement refait en 1921[33]), restaurée, qui dispose d'un chœur du XVIIIe siècle dans lequel est notamment visible un « retable du Bon Pasteur » (triptyque), œuvre de l'artiste Michel Bouillot[34] réalisée à la demande de l'abbé Georges Bouchard[35] (un tableau illustrant la révélation du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie, œuvre de Michel Bouillot, a par ailleurs été redécouvert en 2019 dans la chapelle du Sacré-Cœur[36]).
  • La chapelle d'Agneux, qui date du XIIe siècle (bâtiment aujourd'hui compris dans le parc d'une propriété particulière).
  • La chapelle du Meix-Saint-Michel, 1863.
  • Le champ de César ou d'Agneux.
  • Le château Saint-Michel.
  • Bornes armoriées XVIIe siècle.
  • Anciennes maisons viticoles.
  • La croix de cimetière, datée de 1737.
  • La croix de Varot, sculptée par le tailleur de pierre clunisois Pierre Grillot d'après un dessin de l'artiste Michel Bouillot (1981)[37].
  • Statue de saint Laurent dans une niche d'une maison de la Grande Rue, siège, jadis, de la confrérie Saint-Laurent, société d'entraide viticole[38].
  • Lavoirs.
  • Rully possède une sculpture géante en inox représentant un vigneron futuriste réalisée par Alain Longet créateur en sculpture connu dans le monde pour ses œuvres d'art. Alain Longet est artiste Meilleur Ouvrier de France. il réalise actuellement avec les élèves des lycées une œuvre gigantesque de 13 mètres de haut représentant un rugbyman en pleine action, cette œuvre monumentale mesurera finalement 13 mètres de haut, la plus haute sculpture du monde représentant un sportif et tout en inox de médiapresse75.

Personnalités liées à la commune

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L'abbé Robert Pléty, membre puis responsable de la communauté sacerdotale de Lugny (1947-1986) puis délégué diocésain à la communication pour le diocèse d'Autun (1987-1996), né à Rully en 1921.
  • La romancière Sophie Victorine Fornel, aussi connue sous le pseudonyme de Paul ou Pierre Perrault, née à Rully le 5 mars 1842.
  • Le peintre Gustave Corlin, né à Rully le .
  • Le médecin et ornithologue Ferdinand Bernard de Montessus de Ballore, qui y est mort en 1899 et y repose[39].
  • Le chanoine Denis Grivot, ecclésiastique né à Rully le et décédé le à Autun. Il fut conservateur honoraire des Antiquités et objets d'art de Saône-et-Loire, maître de chapelle de la cathédrale Saint-Lazare d'Autun et historien de l'art[40].
  • L'abbé Robert Pléty, né à Rully le . Ordonné prêtre en 1947 après avoir été formé au petit séminaire de Rimont puis au grand séminaire d'Autun, il fut aussitôt nommé au sein de la communauté de prêtres de Lugny, où il demeura jusqu’en 1986, douze ans après avoir succédé à l'abbé Joseph Robert à la tête de cette communauté. Outre ses fonctions pastorales, il fut chargé, aussitôt nommé, d’enseigner au sein de l’école fondée par cette communauté, avant, finalement, de prendre la direction de cet établissement au début des années soixante-dix et de le faire évoluer en école et collège sous contrat. Au début des années 60, il avait entamé des études de biologie, amorce d’un parcours universitaire qui le conduisit en 1985 à un doctorat d’État ès sciences en éthologie, ses recherches portant sur le rôle du groupe dans l’apprentissage scolaire[41]. Après un séjour aux États-Unis (Californie) de 1986 à 1987, il fut nommé délégué diocésain à la communication par monseigneur Armand Le Bourgeois, fonctions qu’il occupa pendant dix ans. Robert Pléty mourut le à l’hôpital de Chalon-sur-Saône. Il repose au cimetière de Rully. Il avait été fait chevalier dans l'ordre des palmes académiques et honoré en 2004 par la ville de Montceau-les-Mines pour son activité dans la Résistance et son rôle dans la libération de la ville[42].
  • Albert Walwein (né François Albert Maréchal), né à Rully en 1851, décédé en 1916, architecte français[43], lauréat du Concours de façades de la ville de Paris en 1903.

Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

Coupé : au 1) de gueules aux trois bulles d'argent, au 2) parti au I d'argent à la fasce de gueules frettée d'or, accompagnée de trois molettes de cinq rais de sable au II d'azur au chevron d'or accompagné de trois étoiles d'argent.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Nadine Ninot, Rully, article en deux parties paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » (publiée par l'association Groupe Patrimoines 71) : n° 8 de (pp. 13–15) et n° 9 d' (pp. 22–23).
  • Paul Berthier, Le XIXe siècle à Rully : cent ans d'un patrimoine pétillant, revue trimestrielle « Images de Saône-et-Loire » (publiée par l'association Groupe Patrimoines 71), n° 209 de , pages 10 à 13.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Françoise Grivot, Rully, sa vigne et ses vins, Autun, p. 1.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Rully et Champforgeuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Rully ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. [Chabas 1876] François Chabas, « Notes sur la caverne de Germolles » (lettre de F. Chabas à Charles Méray à propos de la grotte de Germolles, 20 avril 1876), Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône, t. 18, 2e série,‎ 1934-1935, p. 267-295 (lire en ligne [sur gallica]), p. 282.
  15. a et b [Fleury, Gélard et al. 1983] Régis Fleury, Jean-Pierre Gélard et al., Notice explicative de la carte géologique « Chagny » no 3025 (553), Orléans, BRGM, , 81 p. (lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr), p. 66.
  16. « Agneux et Rully, carte IGN » sur Géoportail.
  17. Fleury, Gélard et al. 1983, p. 20.
  18. « Agneux et Rully, carte géologique superposée sur la carte IGN » sur Géoportail.
  19. a et b [Floss et al. 2018] Harald Floss, Juan Francesco Ruiz Lopez, Christian Thomas Hoyer et Annika Rebentisch, « Les grottes d’ Agneux I et II (Rully, Saône-et-Loire), premières grottes ornées probablement datées du Paléolithique en Bourgogne méridionale », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 115, no 4,‎ , p. 793-797 (lire en ligne [sur persee]), p. 793.
  20. [Ruiz et al. 2019] Juan F. Ruiz López, Christian T. Hoyer, Annika Rebentisch, Anna Maria Rösch, Klaus Herkert, Nadine Huber et Harald Floss, « Tool mark analyses for the identification of palaeolithic art and modern graffiti. The case of Grottes d’Agneux in Rully (Saône-et-Loire, France) », Digital Applications in Archaeology and Cultural Heritage, no spécial « Current digital technologies applied to rock art recording »,‎ (résumé).
  21. [Floss et al. 2018] Harald Floss, Juan F. Ruiz López, Christian T. Hoyer, Klaus Herkert, Nadine Huber, Annika Rebentisch et Anna Maria Rösch, « Les figurations pariétales paléolithiques de la grotte Agneux I (commune de Rully, Saône-et-Loire, France). Une méthodologie de distinction entre préhistoire et modernité », dans Palaeolithic rock and cave art in Central Europe ? (Session 31 de la XIXe Conférence internationale sur l'art rupestre [International Rock Art Conference] IFRAO 2015 « Symbols in the Landscape: Rock Art and its Context », Cáceres (Espagne), 31 août-4 septembre 2015), éd. VML Verlag Marie Leidorf, (présentation en ligne).
  22. Françoise Grivot, op. cit., p. 1.
  23. Charte XLIX et LIV, Cartulaire de l'Abbaye Saint-Marcel-lès-Chalon
  24. Le Journal de Saône-et-Loire, vendredi 16 octobre 2015, Edition Chalon, Chalonnais : Rully (Une démission déconcertante), p.  9
  25. Le Journal de Saône-et-Loire, mardi 3 novembre 2015, Saône-et-Loire / Actualité : Rully (Sylvie Trapon est maire, p.  8
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. a et b Bourgogne Aujourd'hui no 78, p. 34.
  31. Site de présentation de l'appellation Rully
  32. Françoise Grivot, op. cit., p. 9.
  33. Nadine Ninot, Rully, Images de Saône-et-Loire, n° 9, avril 1971, p. 22-23.
  34. Œuvre exécutée au tout début des années 1970 à la demande de l'abbé Georges Bouchard, curé de Rully. Dans Paul Berthier, « L'empreinte de Michel Bouillot sur le village de Rully », Images de Saône-et-Loire, n° 191, septembre 2017, p. 2-6.
  35. Curé du lieu et cousin éloigné de l'artiste. Source : Marie-Aude Poisson, « Michel Bouillot, l'Émerveilleur. Images Sacrées. », Éditions Doyen, Chevagny-sur-Guye, 2021 (ISBN 978-2905990-29-7).
  36. Tableau de Michel Bouillot Révélation du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie, dimensions : 2,50 m x 0,76 m. Dans Martine Petrini-Poli, « Une découverte artistique récente : une peinture inédite de sainte Marguerite-Marie ! », Église d'Autun, n° 20, 6 décembre 2019, p. 663.
  37. Croix dont le socle est gravé de l'inscription suivante : « Je suis la Résurrection et la Vie. ».
  38. René Lapierre, « Les sociétés de secours mutuel à Rully », Images de Saône-et-Loire, n° 110, juin 1997, p. 14-17.
  39. « Le médecin-naturaliste chalonnais Ferdinand de Montessus, un pur produit de la bourgeoisie érudite du XIXe siècle », article de Robert Tatheraux paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 54 (été 1983), pages 3 à 5.
  40. « Musicien, écrivain, conférencier : Denis Grivot », article de Fernand Nicolas paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 79 (automne 1989), pages 18 et 19.
  41. Le titre de sa thèse de doctorat (rédigée sous la direction de Jacques Cosnier), présentée devant l'Université Claude-Bernard-Lyon-I, étant : Éthologie de l'interaction chez des enfants du premier cycle de l'enseignement secondaire au cours d'un apprentissage des mathématiques en groupes dans la résolution de problèmes. Onze ans plus tard, en 1996, Robert Pléty publia L'Apprentissage coopérant, ouvrage édité aux Presses Universitaires de Lyon (217 pages).
  42. À l'occasion des cérémonies du 60e anniversaire de la libération, Didier Mathus étant maire de Montceau-les-Mines.
  43. Réalisations d'Albert Walwein à Paris.