Recologne (Doubs)

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Recologne
Recologne (Doubs)
Château de Recologne
Blason de Recologne
Blason
Recologne (Doubs)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Arrondissement Besançon
Intercommunalité Communauté de communes du Val Marnaysien
Maire
Mandat
Daniel Meyer
2023-2026
Code postal 25170
Code commune 25482
Démographie
Gentilé Recolignois
Population
municipale
701 hab. (2021 en augmentation de 8,51 % par rapport à 2015)
Densité 103 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 16′ 25″ nord, 5° 49′ 51″ est
Altitude Min. 201 m
Max. 268 m
Superficie 6,78 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Besançon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Vit
Législatives Première circonscription
Localisation
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Recologne
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Recologne
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Recologne
Liens
Site web recologne.jimdo.com

Recologne (Recouligne en patois) est une commune française située dans le département du Doubs, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté. Elle comptait 701 habitants en 2021 appelés Recolignois et Recolignoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Recologne est située en région Bourgogne-Franche-Comté, dans l'extrémité nord-ouest du département du Doubs, à 3 kilomètres à vol d'oiseau au sud du département de la Haute-Saône et à 9 kilomètres à l'est du département du Jura. Les grandes villes les plus proches sont Besançon, préfecture du département, située à 17 km à vol d'oiseau en direction de l'est[1] et Dijon, préfecture de la région, située à 60 km kilomètres vers l'ouest[2]. Paris, la capitale se trouve à 313 km au nord-ouest[3]. La distance la plus courte par la route entre le centre du village et le centre-ville de Besançon (mairie) est de 17 km[Note 1]. Elle est à la limite de la basse vallée de l'Ognon et de la zone jurasienne des Avants-Monts. Elle fait partie du canton de Saint-Vit, de la communauté de communes du Val Marnaysien et elle est intégrée dans l'aire d'attraction de Besançon.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

D'une superficie de 678 hectares, le territoire communal se situe dans une zone qui se partage entre la basse vallée de l'Ognon au nord et le faisceau des Avants-Monts au sud, une région au relief contrasté qui dépasse rarement les 300 mètres d'altitude et où s'écoulent les affluents de l'Ognon[4],[5]. La partie nord de la commune est relativement plane, avec des altitudes comprises principalement entre 200 et 230 mètres, l'altitude minimale étant de 201 mètres à l'endroit où le ruisseau de Recologne quitte le territoire communal sur la limite avec la commune avec Ruffey-le-Château. Le sud de la commune est plus accidenté, l'altitude la plus élevée (268 mètres) étant mesurée au sud-est sur une petite protubérance au lieu-dit le Bochet. Le village-centre est établi à une altitude comprise entre 205 et 230 mètres.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée d'est en ouest par le ruisseau de Noironte qui change de nom et devient le ruisseau de Recologne en aval du village après avoir reçu les eaux du ruisseau du Breuil (aussi appelé ruisseau de Recologne).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Chevigney-sur-l'Ognon, Franey, Noironte, Placey et Ruffey-le-Château.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 012 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dannemarie-sur-Crète », sur la commune de Dannemarie-sur-Crète à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 066,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Recologne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,1 %), forêts (20,4 %), terres arables (19,1 %), zones urbanisées (8,6 %), prairies (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le village est situé à un carrefour routier, desservi principalement par la route départementale RD 67, ancienne route nationale 67 qui relie Besançon à Langres en passant par Gray[19]. Elle traverse la commune d'est en ouest sur 3 kilomètres en contournant le village par le sud grâce à une déviation ouverte en 1980. Trois autres routes départementales permettent de rejoindre les communes environnantes: la RD 5, traverse le bourg de Recologne et se prolonge vers l'est pour atteindre les communes de Noironte, Pelousey et Miserey-Salines ; la RD 13 qui, à partir de la déviation, part vers le sud en direction de Saint-Vit et Quingey ; la RD 14 qui part du centre du village vers le nord pour desservir Chevigney-sur-l'Ognon et Émagny. L'échangeur autoroutier le plus proche est situé à huit kilomètres au sud-est par la route, il s'agit de la sortie no 3 Besançon Ouest de l'A36 dite La Comtoise (Beaune-Mulhouse).

Toponymie[modifier | modifier le code]

De Recolonis, de Recolenis en 1139 ; Recoloignes en 1287 ; Recolennes en 1298 ; Recoloynes en 1325 ; Recologne-les-Marnay en 1475 ; Recoulongnes en 1545 ; Renconlongnes-les-Marnay en 1667[A 1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Les premières mentions écrites du village datent du XIIIe siècle, à l'époque où il dépend de la seigneurie de Corcondray[A 1]. Ainsi, en 1287, le seigneur Guillaume d'Apremont reconnaît tenir en fief la terre de Recologne, conférée par le comte Othon IV de Bourgogne[A 1].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Le XVIIe siècle est particulièrement sombre pour Recologne. La peste, qui sévit en 1632 puis en 1636, fait de nombreuses victimes. Par ailleurs, le , en pleine guerre de Trente Ans, les troupes françaises menées par Louis II de Bourbon-Condé prennent possession du château, pillent et incendient les maisons des villageois.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Du 6 août au 29 septembre 1854, une épidémie de choléra provoque la mort de douze habitants.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement de Besançon, du département du Doubs et de la région Bourgogne-Franche-Comté[20]. Elle est membre de la communauté de communes du val marnaysien créée en 2014 par fusion de la communauté de communes des rives de l'Ognon dont elle était le siège avec la communauté de communes de la vallée de l'Ognon. Cette structure intercommunale dont le siège se trouve à Marnay regroupe 45 communes pour une population de 14 363 habitants (en 2019).

Dans le cadre des élections départementales, Recologne est depuis 2015 l'une des 61 communes composant le canton de Saint-Vit après avoir fait partie du canton d'Audeux de 1801 à 2015 et de celui de Recologne de 1789 à 1801[21]. Elle dépend, pour les élections législatives, de la première circonscription du Doubs[22].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Comme toute commune dont la population est comprise entre 500 et 1 499 habitants, le conseil municipal de Recologne est actuellement composé de quinze membres[23]. Il est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[24]. Le maire actuel de la commune est Daniel Meyer, né en 1956, élu le à la suite du décès en cours de mandat de Roland Moralès qui avait été élu lors des élections municipales de 2020[25].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[26]. Deux sièges sont attribués à Recologne au sein de la communauté de communes du Val Marnaysien. Le maire Daniel Meyer et son adjoint Jean-Pierre Bruckert représentent ainsi la commune au sein du conseil communautaire[27].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    André Emey    
  mars 1989 Lucien Boisson    
mars 1989 juin 1995 Jean Bruckert    
juin 1995 mars 2008 Bernard Perrier UMP  
mars 2008 janvier 2023 Roland Moralès[29] DVD Retraité
[30]
janvier 2023 En cours Daniel Meyer    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 701 habitants[Note 5], en augmentation de 8,51 % par rapport à 2015 (Doubs : +1,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
552552585623596596655653654
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
584558545516485465466438402
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
376407415336300306287261261
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
261256337392482508546551616
2017 2021 - - - - - - -
653701-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Médias et numérique[modifier | modifier le code]

Le quotidien régional L'Est républicain relate les actualités de la commune dans son édition locale de Besançon[35]. La chaîne de télévision France 3 Franche-Comté et la station de radio France Bleu Besançon relaient les informations locales.

Cultes[modifier | modifier le code]

Recologne dispose d'un seul lieu de culte de confession catholique, l'église Sant-Barthélémy. Au sein du diocèse de Besançon, le doyenné de Banlieue - Val de l'Ognon regroupe six paroisses dont celle de Marnay-Recologne[36] à laquelle appartient la commune. Pour les autres confessions, les lieux de cultes les plus proches (mosquées, synagogue, temple) sont tous situés à Besançon.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune se dote en 2018 d'une nouvelle mairie, située à la place de l'ancienne et du presbytère[37].

Équipements culturels et sportifs[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Une école intercommunale scolarise dans le village les enfants de Burgille, Franey, Placey, Recologne et Ruffey-le-Château[38].

Postes et télécommunications[modifier | modifier le code]

Pour l'acheminement du courrier postal, la commune abrite un bureau distributeur qui se voit attribuer le code postal 25170.

Santé et services d'urgence[modifier | modifier le code]

Recologne dispose d'un centre de première intervention (CPI) du service départemental d’incendie et de secours du Doubs[39], et de services de santé parmi lesquels une pharmacie et un cabinet médical. Les hôpitaux les plus proches[40] sont le centre hospitalier régional universitaire Jean-Minjoz et le centre de soin des Tilleroyes, tous deux situés à Besançon.

Justice et sécurité[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire, du conseil de prud'hommes, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce et du tribunal administratif de Besançon[41]. Elle est rattachée à la cour d'assises du Doubs, à la cour d'appel de Besançon et à la cour administrative d'appel de Nancy.

Recologne accueille sur son territoire une brigade de gendarmerie[42].

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Barthélémy[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Barthélémy

Édifiée de 1743 à 1756, elle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1987[43]. À l'intérieur, une belle collection de décors en stuc réalisées en 1748-1749 par le stucateur Jacques-François Marca[44], trois retables dont celui du maître-autel, la chaire et des bas-reliefs relatant les scènes de la vie du Christ, tous classés. Aussi, un chemin de croix en terre de Recologne réalisé par l'artiste-peintre Louis Chifflet.

Château[modifier | modifier le code]

Le château de Recologne a été reconstruit vers 1640 pour le seigneur Frédéric de Chavirey sous forme d'un vaste bâtiment rectangulaire long de 40 mètres et flanqué de quatre pavillons d'angle. En 1789, le marquis Jean de Camus fait raser les ponts-levis et fortifications du château. Les façades et toitures du bâtiment principal, le salon au rez-de-chaussée ainsi que la chapelle au premier étage avec leur décor sont inscrites à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1979[45].

Cimetière des Pestiférés[modifier | modifier le code]

Le cimetière des Pestiférés de Recologne, créé pour inhumer les victimes de la peste de 1632, se situe à l'écart du village dans le bois des Fouchères[46]. Deux stèles commémoratives en pierre y ont été érigées au bout d'une allée bordée de cyprès.

Fontaines[modifier | modifier le code]

La Grande fontaine

Le village possède trois belles fontaines reconstruites par l'architecte Édouard Vieille au début du XIXe siècle dont la Grande fontaine en 1825, située au centre du village dans la rue du même nom.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Recologne Blason
Coupé: au 1er de gueules au sautoir d'argent, au 2e d'or à la roue de moulin de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Ouvrages
  • [Courtieu 1986] Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs : de Naisey à Sainte-Suzanne, t. 5, Besançon, Cêtre, , 601 p. (ISBN 2-901040-29-2), p. 2675-2679Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Distance calculée grâce à l'outil Calculer un itinéraire du portail Web www.geoportail.gouv.fr.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  • Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 5,
  1. a b et c p. 2675.
  • Autres références
  1. « Distance entre Recologne et Besançon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. « Distance entre Recologne et Dijon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Distance entre Recologne et Paris », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Carte géologique de la France au 1/50 000 - Besançon » [PDF], sur le site Ficheinfoterre du BRGM (consulté le ).
  5. « Département du Doubs - Unités Paysagères de l’Atlas des Paysages de Franche-Comté », sur bourgogne-franche-comte.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Recologne et Dannemarie-sur-Crète », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Dannemarie-sur-Crète », sur la commune de Dannemarie-sur-Crète - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Dannemarie-sur-Crète », sur la commune de Dannemarie-sur-Crète - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « Routes départementales », sur la plateforme DOubs DATA, (consulté le ).
  20. « Métadonnées de la commune de Recologne (25482) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Recologne », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  22. « Recherche d'un député par commune ou département », sur le site de l'Assemblée nationale (consulté le ).
  23. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  24. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur le site Vie-publique.fr, (consulté le ).
  25. « Répertoire national des élus », sur le site data.gouv.fr, (consulté le ).
  26. « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur le site Vie-publique.fr, (consulté le ).
  27. « Fonctionnement et élus », sur le site de la CCVM (consulté le ).
  28. « Les maires de Recologne », sur francegenweb.org (consulté le ).
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. « Maire et adjoints sont réélus », L'Est républicain,‎ (c.estrepublicain.fr/politique/2014/04/05/maire-a-adjoints-sont-reelus) « La nouvelle équipe municipale a renouvelé sa confiance à Roland Morales et à ses adjoints, tous élus au premier tour avec 14 voix et un bulletin blanc. Conseiller municipal depuis 1989 puis adjoint, Roland Morales est élu maire pour un 2e mandat ».
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Recologne : toute l'info locale », sur le site du journal L'Est républicain (consulté le ).
  36. « Paroisse 5. Marnay - Recologne / Doyenné 02. Banlieue - Val de l'Ognon », sur le site du diocèse de Besançon (consulté le ).
  37. « Une mairie provisoire », L'Est républicain, édition de Besançon,‎ (lire en ligne) « A la place de l’ancienne mairie et du presbytère, un ensemble moderne, respectant le style des bâtiments précédents, prévoit les salles de mairie au rez-de-chaussée et 3 logements en duplex dans les étages. La mise en service est prévue pour début 2018 ».
  38. « De nouveaux visages à l’école », L'Est républicain, édition de Besançon,‎ (lire en ligne).
  39. « Carte de l'organisation territoriale du SDIS du Doubs », sur le site du Service départemental d'incendie et de secours (SDIS) du Doubs (consulté le ).
  40. « Trouver un établissement », sur Hôpital.fr, un site de la Fédération hospitalière de France (consulté le ).
  41. « Liste des juridictions compétentes pour une commune : Recologne », sur le site du Ministère de la Justice (consulté le ).
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  44. « Mobilier d'exception à Recologne », sur Diocèse de Besançon, (consulté le ).
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  46. « Le Cimetière des pestiférés - Recologne (25) », sur Lunetoile.com Mystères, légendes et curiosités, (consulté le ).