Dourdain
Dourdain | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | CC Liffré-Cormier Communauté | ||||
Maire Mandat |
Michel Maillard 2023-2026 |
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Code postal | 35450 | ||||
Code commune | 35101 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 224 hab. (2021 en évolution de +6,62 % par rapport à 2015) | ||||
Densité | 89 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 11′ 35″ nord, 1° 22′ 12″ ouest | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 112 m |
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Superficie | 13,80 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Liffré | ||||
Législatives | 2e circonscription d'Ille-et-Vilaine | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | https://www.dourdain.fr/ | ||||
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Dourdain est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Dourdain est l'une des 333 communes d'Ille-et-Vilaine.
Elle est située à 36 km au nord-est de Rennes, à 30 km au sud-ouest de Fougères et à 20 km de au nord-ouest de Vitré.
Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Rennes, la zone d'emploi de Vitré et le bassin de vie de Saint-Aubin-du-Cormier[I 1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont La Bouëxière, Liffré, Livré-sur-Changeon et Val-d'Izé.
Liffré | Livré-sur-Changeon | |||
La Bouëxière | N | Val-d'Izé | ||
O Dourdain E | ||||
S | ||||
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire communal a une surface de 13,80 km2[1].
Les altitudes varient de 111 mètres pour le point culminant (entre le bourg et le hameau de la Corblais) au centre-nord du territoire communal, et 53 mètres (à la confluence de la Veuvre et du ruisseau de la Barbotais, à l'extrême ouest du finage communal. Le bourg avoisine les 80 mètres d'altitude.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La Veuvre (affluent de rive droite de la Vilaine) limite au nord le territoire communal, traversé par le ruisseau de la Barbotais (affluent de la Veuvre), dont le ruisseau de Chevré forme la limite sud et le ruisseau de la Fontaine de la Cibonnière (tous deux affluents du ruisseau de la Barbotais) la limite est[2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 791 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fougères à 22 km à vol d'oiseau[6], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 939,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune présente un paysage de bocages[2].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Dourdain est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,2 %), terres arables (26,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,5 %), zones urbanisées (2,7 %), forêts (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 512, alors qu'il était de 466 en 2015 et de 418 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 88,5 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Dourdain en 2020 en comparaison avec celle d'Ille-et-Vilaine et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (2,5 %) par rapport au département (7,2 %) et à la France entière (9,7 %).
Typologie | Dourdain[I 3] | Ille-et-Vilaine[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 88,5 | 86,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2,5 | 7,2 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9 | 6,5 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Dourdan au XIe siècle et Dorden en 1136[14].
Il s'agit d'un type toponymique gaulois ou pré-gaulois basé sur un thème *dord- de sens obscur. Cette racine est identifiée dans la toponymie et l'hydronymie de la France cf. Dourdan (Essonne, Dordincum en 956) ; Dordives (Loiret, *Dordiva)[15].
Comme le montre la forme la plus ancienne de Dourdain, Dourdan au XIe siècle, il est probable qu'il s'agisse du même type toponymique que Dourdan (Essonne, Dordincum en 956), c'est-à-dire Dord-incum[16], le suffixe -incum (-inco) ayant régulièrement abouti à la terminaison -an, évoluée par la suite en -ain dans le cas de Dourdain (cf. panem > pan> pain, etc.).
En gallo, langue traditionnelle des habitants de Dourdain, la commune est appelée Dourdin[17].
La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Dourdan[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Des traces d'occupation néolithiques ont longtemps subsisté : l'inventaire du patrimoine cite un tumulus existant « au début du siècle » au Haut-Sérigné ou Haut-Ligné[19], Les mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine mentionne des menhirs à La Bédouannerie, sur le coteau de la Veuvre, détruits au XIXe siècle[20].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]La fiche d'inventaire du patrimoine indique que la paroisse existe dès le XIIe siècle[19]
Elle mentionne également l'existence d'une léproserie au Moyen Âge, dont l'emplacement est inconnu[19].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Durant les guerres de Religion, la paroisse et le château du Plessis-Pillet (qui appartient depuis le XIIIe siècle aux Montbourcher, devenus à l'époque l'une des grandes familles protestantes bretonnes) sont pillés par les ligueurs[19].
En 1639, Paul Bouan, seigneur de Châteaubourg et du Plessis-Pillet est indiqué comme étant « seigneur patron et fondateur de l'église et du presbytère de Dourdain ; il avait droit aux prières nominales après le seigneur de Sévigné »[21].
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Dourdain en 1778 :
« Dourdain, à six lieues à l'Est-Nord-Est de Rennes, son évêché, et à une lieue et ½ de Saint-Aubin-du-Cormier, sa subdélégation et son ressort. Cette paroisse, fondée (...) par les seigneurs du Bordage, compte 900 communiants[22]. La cure est à l'alternative. Son territoire est un pays plat, couvert d'arbres et de buissons, dont les terres sont assez bonnes. On y voit des prairies, des landes et des arbres qui rapportent beaucoup de fruits ; deux maisons-nobles, savoir la Normandais, moyenne justice, à M. de la Teillaye, et le Plessis-Pillet, moyenne justice à M. de la Celle de Châteaubourg[23],[24]. »
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]La population de la commune, qui devient chef-lieu de canton lors de la Révolution française[19], est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[25].
La commune est prise d'assaut par les chouans lors du mois de .
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Le XIXe siècle
[modifier | modifier le code]Le comte de Châteaubourg, châtelain du Plessis-Pillet, est lieutenant de louveterie et maire de Dourdain[26].
En 1851, le journal La Presse écrit :
« Les loups commencent à s'agiter dans les forêts enclavées entre les bourgs de La Bouëxière, Servon, Dourdain, Marpiré, Broons et Saint-Jean-sur-Vilaine, et la gendarmerie de Châteaubourg a déjà eu à constater de graves dégâts. Ces redoutables animaux paraissent jusqu'à présent sortir plus particulièrement de la forêt de la Corbière. Le 31 décembre [1850], un cheval et un poulain ont été dévorés sur le territoire de Saint-Jean, et une génisse sur celui de Broons. Les loups doivent être nombreux, car on entend beaucoup de hurlements dans les campagnes. On a rencontré, dans la commune de Broons, une louve et quatre louveteaux[27]. »
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Dourdain en 1843 :
« Dourdain (sous l'invocation de saint Pierre, 29 juin) : commune formée par l'ancienne paroisse du même nom. (...) Principaux villages : la Corblais, la Chapronais, le Plessix-Pillet, la Touche, la Robinais, la Choltais, la Bedouannerie. Superficie totale : 1318 hectares, dont (...) terres labourables 966 ha, prés et pâtures 249 ha, vergers et jardins 11 ha, bois 4 ha, landes et incultes 93 ha (...). Moulins : 2 (Ory, la Barbotais, à eau). (...) Géologie : quartzite, schiste à 1 km au sud. On parle le français [en fait le gallo][28] »
L'après Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]En avril 1949, l'une des toutes premières CUMA de France, dénommée L'entraide paysanne de Dourdain fut créée de fait (la création officielle datant de 1952) par sept agriculteurs de la commune, dont Paul Havard, un jaciste, est le principal animateur. En 1958, Paul Havard devint le délégué de la Fédération nationale des CUMA pour les régions Bretagne, Basse-Normandie et Pays de la Loire[29]
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Rennes du département d'Ille-et-Vilaine[I 1].
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Liffré[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Liffré[I 1] porté de 8 à 9 communes.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Dourdain est membre de la communauté de communes dénommée Liffré-Cormier Communauté[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2021, la commune comptait 1 224 habitants[Note 3], en évolution de +6,62 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2017, Dourdain était, selon l'INSEE, la commune d'Ille-et-Vilaine où les retraités avaient le plus faible revenu imposable (15 465 euros).[réf. nécessaire]
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La commune ne compte aucun monument historique mais deux monuments inventoriés :
- la chapelle de la Giolais, datant de 1743 et dédiée à Notre-Dame de toutes Aides et Notre-Dame des Sept Douleurs, est une chapelle frairienne[40] ;
- l'église paroissiale Saint-Pierre date des XVe et XVIe siècles, et a subi des remaniements réguliers depuis cette époque. Elle porte les armes de la famille Montbourcher[41] ;
On peut également signaler :
- Le lavoir de Dourdain.
- Le Monument aux morts. Il porte les noms de :
- trente-et-un soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[Note 4]
- deux soldats morts pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[Note 5].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Gilles Fournel (1931-1981), poète et ancien instituteur ayant exercé à Dourdain.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Archives
[modifier | modifier le code]- Seigneurie du Bordage - Concerne Chasné-sur-Illet, Ercé-près-Liffré, Dourdain, Gosné, La Bouëxière, Mézières, Saint-Aubin d'Aubigné, 17 J 43 à 17 J 110 > Fonds de la Magnane, (17 J), Archives I&V.
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la maire.
- Inventaire préliminaire du conseil régional
- « Dossier complet : Commune de Dourdain (35101) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le terrain multisport de la commune porte le nom de ce maire[32]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- parmi eux, deux au moins (François Chesnais, Eugène Riaudel) sont morts en Belgique ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français. Pierre Rocher[42] a été décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; Joseph Boucherie[43], Aimé Guérin[44] et Francis Lecoq[45] de la Croix de guerre[46].
Trois frères originaires de la commune sont morts pendant ce conflit : outre Pierre Rocher, déjà cité, ses frères Alfred[47] et François Rocher[48], tous les trois fils de Pierre et Jeanne Marie Monnerie - Il s'agit de J. Betton, F. Rabault[46].
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Dourdain ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Dourdain - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Dourdain - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans l'Ille-et-Vilaine - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Page « Dourdain » sur le site web de la communauté de communes du Pays de Liffré.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
- « Orthodromie entre Dourdain et Fougères », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fougeres » (commune de Fougères) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fougeres » (commune de Fougères) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rennes », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 57
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 251a.
- ibidem
- le jardin graphique, « ChubEndret, Dictionnaire de noms de lieux, institu Chubri, Du galo pourr astourr », sur chubri-galo.bzh (consulté le ).
- Résultats concernant « Dourdain » dans la base KerOfis
- Fiche de la commune sur le site patrimoine.region-bretagne.fr/
- Jacques Briard, Loïc Langouët, Yvan Onnée, Les Mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine, Institut culturel de Bretagne, 2004, p. 31.
- Émile Évellin, Excursion de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, "Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine", 1928, consultable en ligne sur Gallica.
- Personnes en âge de communier
- Paul de la Celle de Châteaubourg, né le à Rennes, décédé le à Mézières-sur-Couesnon
- Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome second, 1778, consultable https://archive.org/stream/dictionnairehist02og#page/78/mode/2up
- Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », Annales de Bretagne, vol. 21, t. 4, , p. 398-399.
- Christian Estève, Les tentatives de limitation et de régulation de la chasse, "Revue historique", janvier 1997, consultable en ligne sur Gallica.
- Journal La Presse, n° du 18 janvier 1851, consultable en ligne sur Gallica.
- A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de Bretagne", tome 1, 1843, consultable en ligne sur Google Livres.
- Robert Fort, Ils ont révolutionné le monde rural. L'aventure de la JAC en Bretagne (1930-1970), éditions Le Télégramme, 2001 [ (ISBN 2-909292-94-0)]
- Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
- « À Dourdain, dont il fut durant 55 ans le maire, M. Jean-Marie Régnault a reçu la médaille d'or départementale et communale », Ouest-France (archives du journal), .
- « Dourdain. Le terrain multisport baptisé du nom de l'ex-maire », Ouest-France par MaVille, (lire en ligne, consulté le ) « En 1983, il est élu maire, jusqu'en 2001 ».
- « Élections municipales à Dourdain : Gérard Ory ne se représentera pas », Le Journal de Vitré, (lire en ligne, consulté le ) « Élu depuis 36 ans, d'abord en tant que conseiller de 1983 jusqu'en 2001 puis maire pour trois mandats consécutifs, Gérard Ory, 75 ans, ne briguera pas de nouveau mandat ».
- « Isabelle Courtigné, première femme maire à Dourdain », Ouest-France, (lire en ligne).
- Karin Cherloneix, « Bretagne. La maire disparaît pendant un an, elle sort du silence et provoque de nouvelles élections », Ouest-France, (lire en ligne , consulté le ).
- « Michel Maillard, nouveau maire, élu pour trois ans », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Chapelle Notre-Dame-de-toutes-Aides, Notre-Dame-des-sept-Douleurs (chapelle frairienne) », notice no IA35010592, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA35010552, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Pierre Rocher, né le à Dourdain, canonnier au 50e régiment d'artillerie de campagne, mort des suites de ses blessures le à Mourmelon-le-Grand (Marne)
- Joseph Boucherie, né le à Dourdain, soldat au 150e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi au Mont Sapigneul en Cormicy (Marne)
- Aimé Guérin, né le à Dourdain, soldat au 41e régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le à l'hôpital auxiliaire de Sainte-Menehould (Marne)
- Francis Lecoq, né le à La Bouëxière, soldat au 41e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Vierzy (Aisne)
- « Dourdain, Monument aux Morts », sur memorialgenweb.org.
- Alfred Rocher, né le à Dourdain, soldat au 47e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Neuville-Vitasse (Pas-de-Calais)
- François Rocher, né le à Dourdain, prêtre, soldat à la 10e section d'infirmiers militaires, mort de maladie contractée en service le à Chaumont (Haute-Marne)