Benais

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Benais
Benais
Mairie de Benais.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Ouest Val de Loire
Maire
Mandat
Stéphanie Riocreux
2020-2026
Code postal 37140
Code commune 37024
Démographie
Gentilé Benaisiens
Population
municipale
932 hab. (2021 en diminution de 1,79 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 17′ 50″ nord, 0° 12′ 56″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 114 m
Superficie 20,08 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bourgueil
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Langeais
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Benais
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Benais
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Voir sur la carte topographique d'Indre-et-Loire
Benais
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Benais
Liens
Site web benais.fr

Benais est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans la Touraine angevine, anciennement province d'Anjou jusqu'à la Révolution française.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Benais.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 13,89 km, comprend un cours d'eau notable, l'Authion (1,458 km), et cinq petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

L'Authion, d'une longueur totale de 99,8 km, prend sa source à 86 m d'altitude près de Bourgueil, à Hommes, à la fontaine de la Favrie[3]. et se jette dans la Loire près d'Angers à Sainte-Gemmes-sur-Loire, à 15 m d'altitude[4], après avoir traversé 29 communes[5]. Sur le plan piscicole, l'Authion est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].

Trois zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Changeon du Moulin Foulon au Moulin Boutard », « l'étang des Landes de Benais » et « les landes humides de la Pataudière »[7],[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 672 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil à 7 km à vol d'oiseau[11], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 612,8 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Benais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourgueil, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[18] et 6 071 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), cultures permanentes (15 %), prairies (5,9 %), zones urbanisées (4,2 %), terres arables (1,4 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Benais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, la rupture d'un barrage et le risque nucléaire[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Bourgueil, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Benais.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 67 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 519 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 450 sont en aléa moyen ou fort, soit 87 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[24].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Une partie du territoire de la commune est en outre située en aval d'une digue. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre immédiat de 5 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Benais serait issu du gentilé gallo-romain Benaciusqui dérive du gaulois Benos[31].

Histoire[modifier | modifier le code]

Partie intégrante de la province d'Anjou et de son histoire, Benais et la région de Bourgueil (y compris le domaine du château de Gizeux et jusqu'à Château-la-Vallière) fut rattachée en 1790 au tout nouveau département d'Indre-et-Loire.

Le premier seigneur connu est Robert, chanoine d'Angers, cité en 1255[32]. Depuis la seconde moitié du XIIIe siècle au moins, Benais, châtellenie relevant à foi et hommage-lige du château de Chinon[33],[34], appartenait à la Maison de B(e)auçay-en-LoudunaisMouterre-Silly et La Mothe) (Hugues le Grand, croisé en 1248, † vers 1270/1280), qui acquit aussi Champigny. Au début du XIVe siècle, Eustach(i)e de Beauçay, fille de Hardouin Ier de Beauçay (petit-fils d'Hugues) et veuve de Guillaume d'Usages, vidame du Mans (marié en 1303), transmit Benais à son deuxième mari, André de Montmorency-Laval, sire de Loué et de Châtillon, épousé vers 1311.

Les Montmorency-Laval-Loué se succèdent alors à Benais tout au long des XIVe, XVe et XVIe siècles : le fils d'André et d'Eustache, Guy Ier ; ses fils Jean et Thibault Ier, deux seigneurs de Brée ; le fils de ce dernier, Guy II, sire de la Faigne et Montsabert ; son fils Pierre de Laval, sire de Bressuire et Lezay ; son fils Gilles Ier, héritier des Maillé par sa femme Françoise de Maillé (avec Maillé et Rochecorbon), épousée vers 1500 ; Gilles II, leur fils ; ses fils René († 1562) et Jean († 1578 ; 1er comte de Maillé en 1572) ; le fils de ce dernier, Guy III, † sans postérité à la bataille d'Ivry en 1590 en combattant pour le roi Henri IV.

En 1619, le comté de Maillé est acquis par le connétable Charles d'Albert de Luynes (1576-1621), et transformé en duché-pairie de Luynes.

Mais Benais conserve ses seigneurs particuliers :

En 1343, le sel devient un monopole d'État par une ordonnance du roi Philippe VI de Valois, qui institue la gabelle, la taxe sur le sel. L'Anjou fait partie des pays de « grande gabelle » et comprend seize tribunaux spéciaux ou « greniers à sel », dont celui de Bourgueil.

Le 24 mai 1589, Duplessis-Mornay gouverneur de Saumur (1589-1621) ne commande pas seulement la ville de Saumur, il prend la tête d'un gouvernement spécial qui est détaché de l'Anjou. Cette sénéchaussée de Saumur, englobe au nord de la Loire le pays de Bourgueil. À la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe siècle, une série d'attaques sur des enfants et des jeunes gens (une vingtaine de victimes) sont attribuées à la bête de Benais ; il s'agissait peut-être d'un couple de loups[38].

Benais et le pays bourgueillois (s'étendant jusqu'à Ingrandes vers l'est et jusqu'au château de Gizeux au nord) dépendront de la sénéchaussée de Saumur jusqu'à la Révolution française.

À la fin de l'année 2011, la ville est médiatisée à la suite d'une enquête sur une possible escroquerie basée sur une chaîne de Ponzi[39].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1920 1965 Maurice Lemesle Inconnu  
1965 1983 Réné Ploquin Inconnu  
1983 mars 2001 Monique Caslot Inconnu  
mars 2001 mars 2008 Roger Le Coz DVD  
mars 2008 En cours Stéphanie Riocreux PS Sénatrice depuis 2015
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

En 2021, la commune comptait 932 habitants[Note 3], en diminution de 1,79 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5001 5831 4591 5611 6261 5981 5171 4401 384
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3031 3261 3241 2571 2391 1971 1701 1121 053
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0541 055954864877837829806812
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
833836681712862870859953931
2021 - - - - - - - -
932--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Benais se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais. L'école élémentaire de la commune accueille les élèves du CP au CM2.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Benais », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Source de l'Authion » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
  4. « Confluence de l'Authion dans la Loire » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
  5. « Fiche Sandre - l'Authion », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  6. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  7. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  8. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Benais et Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 de Bourgueil », sur insee.fr (consulté le ).
  19. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Benais », sur Géorisques (consulté le ).
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  26. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  30. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  31. Denis Jeanson - La maison seigneuriale du Val de Loire: sa vie, son économie, ses habitants, son architecture - Page 52.
  32. « Le prieuré de Benais, par Emile Painparé, curé de Restigné, p. 111-132, p. 129 notamment », sur Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. IV, chez Rouillé-Ladevèze, chez Guilland-Verger et chez Georget-Joubert, à Tours, 1879.
  33. « Benais, p. 209-212 », sur Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t. Ier, par Jacques-Xavier Carré de Busserolle, chez Rouillé-Ladevèze, à Tours, 1878.
  34. « Benais », sur France Balade, Seigneurs de Touraine.
  35. a et b « Maison du Bellay, p. 6-7 (pour les princes d'Yvetot) et p. 10 (pour les sires de la Pallu) », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2015 et 2023.
  36. « Famille de La Grange-Trianon », sur Man8Rove.
  37. « Famille de La Grange-Trianon, p. 6-8 (notamment p. 8) et p. 12-13 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2006 et 2022.
  38. Frédéric Gaultier, La Bête du Val de Loire 1742-1754 Évocations, Février 2008 (ISBN 978-2-84910-733-1) 160 p
  39. Dans le village traumatisé par la Madoff de Touraine Le Parisien
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Notice no PA00097583, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Notice no PA00097582, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.