Ceci est une version archivée de cette page, en date du 8 août 2020 à 16:47 et modifiée en dernier par Ctruongngoc(discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Le show que va donner Christophe à l'Olympia marquera les mémoires des spectateurs présents. Le spectacle est produit par Francis Dreyfus. Le décor est féerique et grandiose. À la fin du titre Emporte-moi, longue suite progressive de plus de 14 minutes, Christophe et son magnifique piano à queue blanc laqué volent au-dessus de la scène[1], effet mis en scène par l'illusionniste Dominique Webb.
La musique, quant à elle, est très différente de ce qui se produit en France à l'époque. Les effets de guitares Flanger, Reverbe, Phaser de même que le Mellotron contribuent à produire un son qui n'est pas sans rappeler la musique psychédélique et progressive de groupes comme Pink Floyd, Soft Machine ou Genesis.
Le disque
Olympia paraît en double album live en 1975 chez Motors[2].
La pochette du double 33T est un dessin sur fond bleu où l'on voit le chanteur au nouveau look à moustache, en veste de satin rose, jouant de son piano blanc au-dessus des nuages. À l'intérieur de la pochette figurent 6 photos des musiciens, ainsi que le commentaire suivant : « Christophe remercie la Maison Cerruti pour la création de ses costumes de scène, Amadeo pour sa chorégraphie, Dominique Webb pour son aide technique, (...). La maison Newman a habillé les danseurs. Les soirées du 26 et étaient patronnées par Europe 1 dans le cadre d'un Musicorama exceptionnel. (...) Les photos intérieures sont tirées du film réalisé pendant le spectacle par Alain Laveassière. »
Sur la réédition de l'album au format CD de 2004, les 5e et 8e chansons Belle et La Danse du Nain ont été supprimées.
Réception
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Selon l'édition française du magazine Rolling Stone, cet album est le 53e meilleur album de rock français[3].