Wikipédia:Oracle/semaine 2 2011

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Wikipe-tan attacked by the wikitroll
Merci rv et bon ménage 2011.--Doalex (d) 10 janvier 2011 à 10:30 (CET) Émoticône rv1729 10 janvier 2011 à 10:42 (CET)[répondre]

Bonjour cher êtres omniscients,

J'ai un souci avec l'expression « se voir [infinitif ou participe passé] ». Par exemple, dans ce paragraphe, j'hésite à corriger la phrase suivante : « La première pile [...] se voit transformer en [...] » pour mettre « transformée ». Je n'ai pas trouvé de règle sur internet (j'ai trouvé toutes les formes) et à force de lire et relire je ne sais plus quoi penser. Est-ce toujours l'infinitif ? J'aimerais voir cette question tranch... que quelqu'un tranche la question, s'il vous plaît. Merci d'avance ! Mafiou44 (d) 10 janvier 2011 à 10:35 (CET)[répondre]

b) En partic. [Se voir auxil. de la forme passive d'un verbe]
α) [Se voir équivaut à être, se étant compl. d'obj. dir. de voir]
− Se voir + part. passé. À peine arrivé, je me vois obligé de repartir (Villers de L'I.-A., Contes cruels, 1883, p. 301). [Avec compl. d'agent] J'en ai assez de me voir conspué par des lâches sans nom, qui m'accablent d'injures (Musset, Lorenzaccio, 1834, iii, 3, p. 194).
− Se voir + prop. inf. Sur ce banc où vous m'amenez, et où tant d'autres se sont vu condamner à des peines infâmes, sur ce banc même, je vous le dis, ma morale est au-dessus de la vôtre(Courier, Pamphlets pol., Procès, 1821, p. 133). Le Président de la République s'est vu dépouiller, sans avoir donné sa démission, des droits et prérogatives de ses fonctions (De Gaulle, Mém. guerre, 1954, p. 314). [Avec compl. d'agent] À la première observation qu'il avait faite, Ferdinand s'était vu rabrouer par son frère (Aymé, Jument, 1933, p. 159).
β) Se voir + prop. inf. [Se étant compl. d'obj. indir. de l'inf.] Rien n'enchante l'homme comme de se voir fournir des motifs inédits de rester fidèle à d'anciennes pratiques (J.-R. Bloch, Dest. du S., 1931, p. 242).
[1] . HaguardDuNord (d) 10 janvier 2011 à 10:46 (CET)[répondre]
Conflit !!
Voir http://cnrtl.fr/definition/voir 4e section (emploi pronominal). En gros tu as le choix entre se voir + infinitif et se voir + adjectif. Le sens n’est pas forcément le même : il se voyait pris en faute, il se voyait prendre en faute (quelqu’un). Dans le cas que tu cites, la pile ne transforme personne, elle est transformée, je mettrais en effet se voit transformée en (...). rv1729 10 janvier 2011 à 10:49 (CET)[répondre]
PS: il se voyait prendre en faute, s’il n’y a pas de COD, sera équivalent à il se voyait pris en faute ; ça sera compris comme il se voyait prendre en faute par quelqu’un. Bref il y a bien des cas où on a le choix. Enfin il y a tellement de cas à envisager... quel boulot, grammairien ! ça fait pas envie. rv1729 10 janvier 2011 à 10:52 (CET)[répondre]
Merci pour ces réponses. Du coup y a pas forcément de règles, c'est surtout en fonction du sens. Merci ! Mafiou44 (d) 10 janvier 2011 à 11:11 (CET)[répondre]
Il n'y a de règle que le sens que l'on veut donner à ce qu'on écrit. L' infinitif pour l'action, le participe pour l'état. « Se voir » ne devrait s'employer que si le sujet de l'infinitive est le sujet principal. Le français est déjà assez compliqué comme ça. Et quand une tournure pose un problème, on en prend une autre. D'autre part, une pile qui se voit... --Mistig (d) 10 janvier 2011 à 15:07 (CET)[répondre]
Oui ! On ne saurait mieux dire. rv1729 10 janvier 2011 à 15:53 (CET)[répondre]

calories négatives[modifier le code]

Bonjour, j'espère que je pose ma question à la bonne place ! J'ai consulté l'article céleri et il est question de "calories négatives". Or en tapant ce terme sur Google ce terme se trouve aux côtés d'autres théories fumeuses sur les régimes. Est-ce que ça a tout de même une base scientifique, et que manger du céleri permet de perdre du poids ? Sinon il faudrait peut-être l'enlever de l'article ? Merci d'avance de votre réponse, Julie

Bonjour Julie, j’ai reformulé un peu, mais à part la formulation contestable « calories négatives », il a l’air avéré le céleri est très peu calorique.
Mais avez-vous lu l’article cité en référence ? L’auteur précise qu’on ne peut pas de la sorte espérer brûler plus de quelques dizaines de calories par jour, alors que pour perdre 500 grammes il faudrait en brûler 3500. Enfin bref, ça reste un aliment de régime. rv1729 10 janvier 2011 à 12:20 (CET) En fait le panda est un ours qui a décidé de maigrir en mangeant des aliments à calories négatives.[répondre]

Merci de votre réponse ! Je vais donc annuler ma commande de 3 tonnes de céleri et ressortir mon stepper :) Julie

C’est plus sage, en effet. rv1729 10 janvier 2011 à 12:42 (CET)[répondre]
J'avais déja entendu un truc similaire avec les pommes : il faut plus d'énergie à la digérer qu'elle n'en fournit au corps humain. Evidemment, outre de l'énergie un aliment c'est aussi des vitamines, des antioxydants etc. (Mitch)2 10 janvier 2011 à 15:53 (CET)[répondre]
Je n’y crois pas beaucoup, comme je tentais de l’exprimer dans ma boutade (confer supra, comme dirait meussieu le curé). Je veux bien que le panda se soit adapté à bouffer du bambou, mais enfin il a toujours un tube digestif de carnivore, et il arrive quand-même à s'en nourrir — certes il faut qu’il boulotte des quantités énormes, mais le bilan est positif. Bref, une pomme c’est quand-même sucré ! Bon, le céléri-rave, en effet, ça a l'air d’être vraiment de la flotte, cf [2] (mais qu’est-ce que c’est bon !). rv1729 10 janvier 2011 à 16:11 (CET)[répondre]
Je ne prends pas à mon compte les théories sur les calories négatives, mais n'est-ce pas le céleri branche et non pas rave (i.e. les feuilles par opposition à la racine mais il s'agit évidemment du même légume) à qui on attribue ces propriétés ? S.M. | D.S.M. 10 janvier 2011 à 18:46 (CET)[répondre]
--CQui bla : 11 janvier 2011 à 11:24 (CET) Dans le meme ordre d'idee, le cheval a egalement des calories negatives, si tu compte dans le bilan le fait de courrir apres pour l'attraper avant de te faire cuire un steak.[répondre]
Mouarf. Enfin bon, du cheval, il m’en faut juste un pour mon pâté d’alouette. rv1729 11 janvier 2011 à 20:12 (CET) Je ne sais plus si je t’ai dit à quel point je trouve ridicule et peu lisible de signer à l’envers ?< CQui bla : >Cela a été dit une ou deux fois mais perso je préfère et trouve plus lisible, a quand le systeme de discussion plus ou moins automatique que l'on nous a fait essayer recement ?</ CQui bla : >[répondre]

Question sur WP[modifier le code]

Bonjour aux Oracles, j'ai une question: je cherche à savoir le nombre total des articles de WP (tout les Wikipedia confondus). Merci pour votre aide. Cldr, PetitdeviendragrandVous être libre ce soir? à 14:35 le lundi 10 janvier 2011

Voir http://meta.wikimedia.org/wiki/List_of_Wikipedias rv1729 10 janvier 2011 à 15:48 (CET)[répondre]

Poissons lors des crues[modifier le code]

Triste fin de poissons (de) crues

Bonjour,

Je m'interrogeais, en repensant à toutes les crues dues aux débordements de cours d'eau et aux grosses inondations qui se sont produites un peu partout en France ces-derniers mois (Var, Alsace, le Nord en ce moment..), sur les espèces peuplant les rivières qui débordent, bon, notamment bien sûr les poissons. Tout d'abord, étant donné que les eaux sont souvent épaisses et boueuses, arrivent-ils à "respirer" ou même simplement nager correctement? Et ensuite arrivent-ils lors de crues à rester dans le lit dans la rivière en nageant le plus en profondeur possible, ou sont-ils eux aussi déversés dans les rues, les canalisations, les maisons etc? Bon, et puis, un peu en conclusion de ces deux questions, au final s'en sortent-ils ou pas pour la plupart? Émoticône Merci d'avance pour vos réponses =) --Floflo (d) 10 janvier 2011 à 16:23 (CET)[répondre]

Pour ce qui est de respirer, pas de problème : des eaux tumultueuses sont plus riches en oxygène que des eaux calmes ou stagnantes. Les eaux de rivières en crues, malgré leur aspect brunâtre, ne sont pas si boueuses que cela, et ce n'est donc pas un problème non plus. Il faut une boue vraiment épaisse pour les empêcher de nager. Par contre, ce qui est néfaste pour les poissons, c'est leur incapacité à se maintenir dans le lit de la rivière. Si la crue s'étend sur une prairie, cela va faire sortir les lombrics et ils vont être attirés par cette nourriture abondante. Ils peuvent ainsi être piégés lors de la décrue. Ils peuvent également être emportés par un courant rapide qui les entrainent sur la place du village, ca s'est déjà vu. En conclusion, beaucoup meurent, mais la grande majorité s'en sortent. Bonne soirée.--Hul Trasson (d) 10 janvier 2011 à 16:50 (CET)[répondre]
J'ai mal compris je crois. Les lombrics mangent les poissons? PetitdeviendragrandVous être libre ce soir? à 15:56 le lundi 10 janvier 2011
La phrase de Hul est correcte et parfaitement compréhensible. J’ai peur de comprendre à quoi tu joues... rv1729 10 janvier 2011 à 16:58 (CET)[répondre]
Bon ben je crois que la réponse d'Hul Trasson est tout à fait correcte et pertinente. Merci beaucoup Émoticône sourire --Floflo (d) 10 janvier 2011 à 20:45 (CET)[répondre]
Avec plaisir, Floflo. --Hul Trasson (d) 10 janvier 2011 à 23:11 (CET)[répondre]
--CQui bla : 11 janvier 2011 à 11:19 (CET) Avoue, tu veux savoir si ce filet en travers de ta rue est utile ?[répondre]
Je me souviens d'un avoir vu un documentaire à ce propos : durant une crue (d'une rivière en Bavière ?) les poissons se plaçaient derrière des rochers pour éviter d'être emportés par le courant. Si ma mémoire est bonne, on trouvaient ainsi derrière certains rochers plusieurs espèces dont certaines étaient des prédatrices des autres mais qui observaient ainsi une « trève » durant la crue. --En passant (d) 12 janvier 2011 à 10:52 (CET)[répondre]
Une trêve ? Hum, à mon avis, de deux choses l’une : soit boulotter le voisin dans ces conditions présente trop de danger, soit ils n'avaient plus faim... rv1729 12 janvier 2011 à 11:06 (CET)[répondre]
La première proposition a ma faveur (c'est pourquoi j'avais mis les guillements). --En passant (d) 12 janvier 2011 à 11:41 (CET)[répondre]
Ça va mieux en le disant ;) rv1729 12 janvier 2011 à 22:47 (CET)[répondre]

bonjour ; quelqu'un connaît-il la signification de ce mot espagnol, ou tout au moins employé par un auteur vénézuélien, dans les phrases suivantes par exemple : « La superstición de estos ignorantes seres los hace creer que ganarán más batallas y se llevarán más coronas en las competiciones del hipódromo si se sirven de la fuerza bruta de un iraila: suponen que el agua divina con las que han saciado su sed los convierte en parientes de Pegaso, en carroñeros de irascible pezuña. » ou « Sólo nosotros, los iraila, hemos sido elegidos para cuidar los lugares de sosiego de las diosas, la única raza entre todas digna de mantener pura el agua donde ellas se bañan. » ; merci ; JLM (d) 10 janvier 2011 à 17:00 (CET)[répondre]

Je peux regarder ce soir dans le Maria Moliner, mais à première vue ça semble être un néologisme dû à Juan Carlos Chirinos... (en basque, c’est le mois de septembre, m’apprend le wikitionnaire) rv1729 10 janvier 2011 à 17:08 (CET)[répondre]
Yo, de te... Il a un blog : ici, tu peux lui poser la question directement, non ? rv1729 10 janvier 2011 à 17:12 (CET)[répondre]
j'y ai bien pensé, mais je ne parle pas espagnol, je l'ai lu en traduction et les traducteurs ont conservé le mot tel quel sans explication... ; JLM (d) 10 janvier 2011 à 18:27 (CET)[répondre]
Dans ce cas il paraît évident que c’est un néologisme, non ? Le nom d’un peuple imaginaire. Je ne vois pas la moindre raison de chercher plus avant ! rv1729 10 janvier 2011 à 20:43 (CET) Je pourrais poser la question pour toi mais là franchement je ne vois pas l’intérêt... (rien dans le Maria Moliner qui est très riche pour le vocabulaire sud-américain, rien sur le net, rien dans les newsgroups, rien dans google books...)[répondre]
Trouvé ceci [3] un point commun Homère, le livre Homero haciendo zapping + [4], maintenant il reste à trouver quelques mots (noms communs ?) à peu près semblables par ici [5].--Doalex (d) 10 janvier 2011 à 22:02 (CET)[répondre]
Euh, oui, le texte de la nouvelle est sur le blof de l’auteur : [6], ça j’avais trouvé Émoticône. Homère zappant n’est que le titre du recueil. Mais en passant, JLM, c’est vrai que tu aurais pu nous donner plus d’information, ça nous aurait fait gagner du temps : nom de l’auteur, où tu avais trouvé les phrases en espagnol, comment ça avait été traduit en français (info que j’ai passé pas mal de temps à chercher sur le net, en vain), etc. rv1729 10 janvier 2011 à 22:11 (CET)[répondre]
désolé de vous avoir fait perdre du temps, j'imaginais un mot pas compliqué... ; merci ; JLM (d) 11 janvier 2011 à 11:21 (CET)[répondre]
On ne perd pas notre temps, au contraire on apprend aussi, du coup j'ai posé la question à l'adresse indiquée sur le blof Émoticône pardon, le blog de l'auteur. --Doalex (d) 11 janvier 2011 à 14:50 (CET)[répondre]
Oui oui, je voulais juste souligner un principe général : quand on pose une question, c’est mieux de donner toutes les infos dont on dispose... mais en fait, en l’occurrence : merci de nous avoir fait découvrir cet auteur. rv1729 11 janvier 2011 à 20:08 (CET) Il paraît que amazon.es est dans les tuyaux... vivement que ça soit le cas qu’on puisse plus facilement se repaître d’une littérature contemporaine mille lieues au-dessus de nos gélatineux Houellebecq et Mauvignier.[répondre]
Émoticône sourire J'ai obtenu une réponse de Juan Carlos Chirinos très rapidement et simplement, en espagnol d'abord los irailas son caballos que hablan; "iraila" es "septiembre" en vasco, escogí la palabra porque me gustó su sonido que l'on pourrait traduire par les irailas sont des chevaux qui parlent; iraila c'est septembre en basque, j'ai choisi ce mot parce que le son me plaisait. Voilà une réponse bien gentille qui conforte l'intuition de rv en écrivant à première vue ça semble être un néologisme.. et pour ceux qui comprendraient l'espagnol voir l'article de es.wikipedia consacré à cet auteur et comportant beaucoup de sources sous forme d'entrevues [7].--Doalex (d) 11 janvier 2011 à 21:12 (CET)[répondre]
un grand merci à tous ; JLM (d) 12 janvier 2011 à 10:38 (CET)[répondre]

Antidéluvien...[modifier le code]

Bonjour. On trouve aisément sur le web l’affirmation selon laquelle de nombreux scientifiques des XVIIIe-XIXe s. ne croyaient pas à l’existence d’un homme « avant le Déluge » et s’arrêtaient au dogme religieux posé par la lecture de l’Ancien Testament. J’ai du mal à comprendre ce « avant le Déluge » : Noé exista avant lui non ? et Noé était un homme (et même un père de famille, parait-il). Pourriez-vous m’éclairer ? Merci déjà, --Égoïté (d) 10 janvier 2011 à 19:29 (CET)[répondre]

PS : Philippe-Charles Schmerling est né à Delft en 1791, d’un père d’origine viennoise (dixit Liliane Henderickx, voir la biblio) et d’une mère hollandaise. Il arrive, marié, en Belgique en 1822. Tout le monde dit que c’est un Belge. Je veux bien, ça arrangerait mon égo belgicain Émoticône. Mais où en est la preuve ? Y a-t-il eu naturalisation ? etc. Vous voyez ce que je veux dire Émoticône

Je ne sais pas si c'est un jeu de mots, mais le mot correct est wikt:antédiluvien. En 1822, on était hollandais. On est devenu belge à la Révolution belge en 1830. Je ne sais pas s'il suffisait d'être là ce jour-là pour devenir belge... (Tiens, c'est amusant, Geobot a localisé l'Arche de Noé le mois passé ;-) -- Xofc [me contacter] 10 janvier 2011 à 20:52 (CET)[répondre]
Salut Égoïté. On trouve sur Internet pas mal d'affirmations qui prouvent l'inculture de ceux qui les émettent. Même, on en trouve bien plus de celles qui prouvent la culture des internautes. Le truc, quand on ne sait pas vraiment, est d'en rajouter pour faire croire qu'on sait. Et quand on est ignorant à la fois de la réalité historique des XVIIIe et XIXe siècles et des récits bibliques on émet une opinion mal fondée sur les scientifiques de ces siècles en évoquant un supposé dogme chrétien qui n'a jamais existé. C'est ainsi : Internet permet d'accéder à beaucoup de savoir et d'intelligence, et à énormément plus d'ignorance et d'imbécillité. -O.--M.--H.- 10 janvier 2011 à 21:09 (CET)[répondre]
Tu as totalement raison Xofc, sorry pour la coquille. Ta suggestion est intéressante mais Delft n’a jamais, me semble-t-il été catalogué Provinces du Sud. (J’en profite pour passer sous silence ce que je pense de Pays-Bas.) Donc...
Tu as tout aussi raison Olivier, mais mon truc, c’est pas d’en rajouter dans ce sens là... Il y a bien dû y avoir un « monsieur je sais tout » (ou une madame) qui a un jour lancé cette formule contestable, non ? et qui serait repérable...
Allez les Pythies, prenez un verre, enfumez-vous, inspirez-vous, et réponses me trouvez ! Émoticône sourire --Égoïté (d) 10 janvier 2011 à 23:13 (CET)[répondre]
Oui, merci. Pourtant ce midi j'ai bu du très bon vin et j'ai fumé un ClubMaster après le café. Je rentre j'allume l'ordi, je fais une recherche de 3/4 d'heure sur le net et je ne trouve pas -(Smiley: triste) -Mikeread (d) 10 janvier 2011 à 23:42 (CET)[répondre]
Désolé, Égoïté, je ne trouve pas de pages affirmant ce que tu dis. En orientant mes recherches sur tes indices, je trouve pour l'essentiel des sites créationnistes qui fustigent les scientifiques n'adhérant pas à une lecture littérale des Saintes Écritures, et en moindre part des sites anti-créationnistes qui fustigeant les lecteurs littéraux de la Genèse. Quelques liens pour qu'on puisse se faire une idée de ce que tu nous rapporte ? -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 07:19 (CET)[répondre]
Rions un peu. En affinant mes recherches, j'ai trouvé cette page où l'on peut lire que « en trouvant une explication conforme à la Bible, dans l’histoire même du Déluge, les scientifiques du XVIIIe siècle ont fini par convaincre tout le monde. C’est donc une approche religieuse qui a confirmé que les fossiles provenaient d’êtres vivants ». Pas tout-à-fait ce que tu cherches Émoticône -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 07:26 (CET)[répondre]
Sorry, j’ai vraiment pas le temps de retrouver les liens consultés ces-jours-ci. mais voici une « preuve par l’absurde » (je surligne) : « La conclusion était évidente. Les terrains étaient antédiluviens; les haches taillées (1e main d'homme. Donc l'homme existait avant le déluge. C'était, vous le voyez, Messieurs, le renversement complet des théories admises, et, nous pouvons le dire, un des grands faits scientifiques de notre époque. » dans [8]
Pour la nationalité de Schmerling, toujours rien trouvé ? Pleure --Égoïté (d) 11 janvier 2011 à 11:01 (CET)[répondre]
Un bon endroit pour ce genre d'informations est la Bibliographie nationale : dans la partie « Personnalités » tu peux vérifier la présence de la personne recherchée, et de là tu accèderas à la page concernée dans la version numérisée (au format PDF) de la bibliographie. Réponse : il semble avoir été belge, voir l'article le concernant. -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 11:23 (CET)[répondre]
Ben oui, c’est l’article de Liliane Henderickx que je citais ci-dessus Émoticône mais elle ne dit pas comment, quand, etc. il est devenu « belge »... --Égoïté (d) 11 janvier 2011 à 11:57 (CET)[répondre]
Vu ses dates de naissance et de mort et vu qu'il n'habita Liège qu'à partir de 1821, je peux te certifier une chose : il est devenu Belge au plus tôt à l'âge de 40 ans. Je ne peux rien te certifier d'autre mais en toute logique il a du adopter la nationalité du nouvel État dès sa fondation, puisque sa sociabilité l'y conduisait (études de médecine à Liège, pratique dans cette ville et sa région). -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 16:09 (CET)[répondre]
Profonde réflexion ! Émoticône ce qui amène une autre question : lors de la création de l’état belge, ou dans les mois qui ont suivi, y a-t-il eu une démarche officielle des autorités pour amener certains habitants à prendre la nouvelle nationalité ? De manière générale, comment cela se passe-t-il sur le plan de la nationalité lors de la création d’un nouvel état ? Existe-t-il une réglementation internationale ? --Égoïté (d) 11 janvier 2011 à 17:10 (CET)[répondre]
La nationalité est un concept a géométrie variable, disjoint de celui de l'état dont on est sujet. Il n'y a pas de règle, mais en général la solution est assez simple et s'impose d'elle-même : soient les gens gardent leur ancienne nationalité (parfois en fuyant/en étant chassés de/ la contrée), soient ils adoptent (ou se retrouve d'office) nationaux de la nouvelle entité. gem (d) 11 janvier 2011 à 19:00 (CET)[répondre]
C'est la suite de la discussion mais comme l'indentation devenait trop étroite, je repars sur la gauche. Comme dit gem, la notion de nationalité est flottante, et son acquisition dépend de pas mal de paramètres. On peut du moins considérer quatre périodes assez différentes de « nationalisation » : les débuts, la cristallisation, la fin des colonies, l'après-guerre froide.
Les débuts, c'est en gros de la fin du XVIIIe siècle au milieu du XIXe siècle, quand l'État-nation s'invente. Même si on a quelques exemples, les nouveaux États n'ont pas vraiment d'expérience de la chose et doivent bricoler leurs solutions. Au départ, il n'y avait pas confusion entre la notion de sujet et celle de citoyen : si la grande masse des citoyens est composée de sujets de l'ancien régime (dit de manière générale et pas spécialement pour l'Ancien Régime français), un nombre plus ou moins important de sujets n'acquiert pas la citoyenneté, ou une citoyenneté partielle (cas des femmes, cas des esclaves, dans certains États, cas des sujets n'acquittant pas d'impôts) ; en sens inverse, des « non sujets » peuvent être citoyens du nouvel État, ils n'ont pas la nationalité, tel qu'on l'entend aujourd'hui, mais sont citoyens soit par décision politique (cas de Lafayette, devenu citoyen d'honneur des États-Unis à titre posthume, de Jeremy Bentham, citoyen d'honneur français de son vivant), soit par la règle d'acquisition de la citoyenneté (en France, les critères de domiciliation, d'activité et de niveau d'imposition permettaient à un non sujet d'être citoyen, et même citoyen éligible, entre 1791 et 1794).
À partir du milieu du XIXe siècle et jusqu'au milieu du XXe siècle, s'établit une confusion entre citoyenneté et nationalité, qui va pourtant déboucher sur deux formes d'exclusion de la citoyenneté ayant cependant un même ressort, le racisme : les sujets des États coloniaux qui ne sont pas des « nationaux » n'accèderont que difficilement à la citoyenneté ; les résidents ou les natifs des métropoles qui ne font pas pleinement partie du groupe considéré « de souche » ne pourront que difficilement ou pas du tout accéder à la citoyenneté, ou voir celle-ci remise en cause selon les circonstances. Il y a malgré tout deux types d'États, ceux qui privilégient le « droit du sang » et ceux qui mettent en avant le « droit du sol » - considérant cependant que même dans les États où la citoyenneté s'acquiert par droit du sol, le droit du sang est aussi pris en compte.
Après la Seconde Guerre mondiale, les choses vont se compliquer. Pour les États-nations assez anciens, la citoyenneté pleine s'étend considérablement pour y inclure tous les citoyens précédemment de deuxième ou troisième classe qui acquerront tous les droits civils et civiques - à considérer que ça n'a pas été si simple et que par exemple, pour la France ce n'est qu'à la fin des années 1960 que les femmes ont acquis un statut civil complètement équivalent à celui des hommes. Ceci ne vaut bien sûr que pour les citoyens des métropoles, mais la longue phase des décolonisations (1945-1975) va permettre aux colonies de créer leurs propres modes d'accès à la citoyenneté au fur et à mesure qu'elles accèdent à l'indépendance. Je ne vais pas t'en faire un descriptif complet mais vraiment, ça ne sera pas simple : il y aura la nationalité-citoyenneté automatique, celle des natifs « de souche » non compromis avec l'ancienne puissance coloniale, celle conditionnelle des citoyens des anciennes puissances à qui l'on donne le choix de prendre ou non la citoyenneté du nouvel État, celle refusée des natifs qui ont pris activement parti pour l'ancienne puissance coloniale lors de la prise d'indépendance, celle refusée des natifs que la nouvelle entité considère, pour diverses raisons, que ce ne sont pas des nationaux, etc. Bref, c'est compliqué...
La quatrième phase, encore en cours, est donc celle de l'après-guerre froide, décrite ordinairement comme « la chute de l'Union soviétique », pour autant que l'actuelle Fédération de Russie ne soit plus soviétique, si du moins elle n'est plus communiste (au sens de stalinienne, non de marxiste). Là ça devient franchement compliqué puisque les acquis lentement mis en place au cours des deux précédents siècles volent en éclat dans pas mal d'États, directement (ceux de l'ex-Pacte de Varsovie, ceux de l'ex-Yougoslavie) ou indirectement (ceux qui par le monde, notablement en Afrique, en se séparant de leur tutelle précédente n'en ont pas moins développé les mêmes tendances de nationalisme exacerbé conduisant à une forme plus ou moins aigüe de « purification ethnique »).
Pas de réponse simple à ta question, Égoïté, désolé. -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 23:05 (CET)[répondre]
Merci à Gem et Olivier. Pour la Belgique, j’ai écrit ce jour à un éminent constitutionnaliste. Reste à vous si j’aurai réponse... Si oui, je la communiquerai à l’Oracle, bien entendu. Amitiés, --Égoïté (d) 12 janvier 2011 à 15:21 (CET)[répondre]
J'ai envie d'ajouter une pincée de sel en précisant que ma fille, née à Pékin, est 100% française car le droit du sol ne s'y applique pas, contrairement aux USA, par exemple, où un enfant né à New-York aurait le droit de choisir la nationalité française et/ou américaine à sa majorité (respectivement 18 et 21 ans). Et dans le genre compliqué, vous pouvez faire un zoom sur le mois d'août 1962 à Pondichéry, où chaque citoyen avait 6 mois pour déclarer s'il voulait être français, indien, ou même selon les circonstances, britannique. Bertrouf 13 janvier 2011 à 04:44 (CET)[répondre]

Bonjour,

Pouvez vous m'indiquer en quelle année le gouvernement Francais a reconnu le mot guerre d"Algerie ?

En vous remerçiant. salutations

Guerre d'Algérie#Terminologie, sans se fâââcher, il faudrait lire un peu !!! — Hautbois [canqueter] 10 janvier 2011 à 23:38 (CET)[répondre]
Ça dépend de ce que tu entend par « le gouvernement Français a reconnu le mot guerre d'Algerie ». Comme le précise la partie de l'article pointée par Hautbois, la première fois qu'un membre de l'exécutif (en l'occurrence le président de la République, qui s'il préside le conseil des ministres ne fait pas partie du gouvernement) a parlé de « guerre d'Algérie » dans un discours officiel est donc 1999 ; si tu parles d'un reconnaissance formelle, donc légale, la même partie précise que « l'expression officielle consacrée continue d'être les événements d'Algérie », ce qui est assez logique : dans le cas d'une guerre d'indépendance, les autorités ne parlent jamais, dans leurs textes à portée législative, de guerre puisque l'endroit où se déroule le conflit est une partie du territoire national et que le terme « guerre » concerne des conflits entre deux ou plusieurs États.
Par contre, on peut considérer que le gouvernement français à reconnu par défaut qu'il s'agissait bien d'une guerre dès 1962 avec les accords d'Évian en concluant un accord de cessez-le-feu qui comme le rappelle notre article « est l'arrêt ou la suspension des hostilités en période de guerre ». Donc, même en n'employant pas le mot, la France admit alors implicitemet que « les événements » étaient bien une guerre. -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 10:18 (CET)[répondre]
Si tu veux aller par là, autant dire que le gouvernement a admis qu'il s'agissait d'une guerre le jour où il engagé de façon permanente l'armée (en plus de la gendarmerie). Mais tout ça c'est des mots sans importance. gem (d) 11 janvier 2011 à 10:46 (CET)[répondre]
Non, puisque l'appel à la troupe est un des moyens ordinaires pour faire du maintien de l'ordre en cas de trouble grave à l'ordre public (ça s'est fait par exemple en 1947 lors de la grande grève des mineurs, ou en 1968 dans la même région minière et aussi dans l'est, ou plus anciennement, en 1907 lors des grandes grèves viticoles, en 1891 lors des manifestations ouvrières du premier mai, qui eurent de mortelles conséquences à Fourmies), d'autant si, comme pour l'Algérie, le niveau et la durée des troubles amène à l'instauration de l'état d'urgence.
Je sais, et j'ai donc pris soin d'écrit le mot permanente, car c'est important. gem (d) 11 janvier 2011 à 11:28 (CET)[répondre]
La particularité des Accords d'Évian est qu'il s'agit justement de la première action gouvernementale publique où de fait on reconnaît la légitimité de certains représentants des insurgés pour négocier un cessez-le-feu et où l'on met en place un processus légal qui débouchera sur l'indépendance de l'Algérie. Jusqu'en 1961, les autorités françaises on traité « l'affaire algérienne » comme une insurrection factieuse et il n'était en aucune manière question d'une quelconque négociation puisque les insurgés n'étaient pas considérés comme légitimes ni représentatifs de la population algérienne. -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 11:09 (CET)[répondre]
on négocie avec des truands (prise d'otage, enlèvements, etc.) et des factieux (rebelles, putchistes, etc.), pas besoin de leur reconnaitre la moindre légitimité ni représentativité. On "cesse le feu" et on signe des accords avec ce genre de personnage aussi. Et c'est bien ce qu'on a fait à Evian : on a négocié avec des gens qui ne représentaient, officiellement, que le FLN, en aucune façon l'Algérie ni les algériens (d'où le referendum). gem (d) 11 janvier 2011 à 11:28 (CET)[répondre]
Lors du générique de fin du film l'ennemi intime, il est dit que le gouvernement français a reconnu en 1999 qu'il y avait bien eu une guerre en Algérie. Pour ce que ça vaut... Cobra Bubbles°°° Dire et médire 11 janvier 2011 à 18:28 (CET)[répondre]
Mais j'ai mieux : Le terme « guerre d'Algérie » est officiellement adopté en France le 18 octobre 1999 voir ici : http://www.senat.fr/dossierleg/ppl98-418.html sur le site du sénat.Cobra Bubbles°°° Dire et médire 11 janvier 2011 à 20:29 (CET)[répondre]
Oui, j'avais pensé à chercher dans cette direction, mais la discussion vétilleuse avec gem (pas très intéressante de ma part comme de la sienne) me l'a fait oublié. J'avais noté l'apparition de monuments aux morts des guerres coloniales au début de ce siècle, ce qui me donnait à penser qu'il y avait eu, pour des motifs avant tout pécuniaires (versement d'une pension d'ancien combattant) , reconnaissance des « événements » coloniaux en tant que guerres. Merci de la référence, Cobra Bubbles°°°. -O.--M.--H.- 12 janvier 2011 à 00:01 (CET)[répondre]
C'est en effet amusant parce qu'il est dit ici que la mention "Mort pour la France" ne peut être décernée que si la mort est directement liée à un acte de guerre et qu'il y a eut des morts pour la France en Algérie dès les années 50. Puce Survitaminée (d) 14 janvier 2011 à 10:17 (CET)[répondre]

Mariage Gays (Johannesburg)[modifier le code]

Bonjour à vous, Je viens à vous pour vous demander votre aide..S.V.P je voudrais savoir si vous pouvez m'indiquer les endroits avec les noms et numéros de téléphonne concernant les mariages Gays(entre deux Hommes) en affrique du sud (Johannsburg).. je vous remerci de votre attention que vous porterez à mon message en espérant de reçevoir de vos nouvelles rapidement.. merci..

Euh non, on ne peut pas faire ça. -O.--M.--H.- 10 janvier 2011 à 21:25 (CET)[répondre]
Bonjour. L'Oracle n'est pas un annuaire. Père Igor (d) 10 janvier 2011 à 22:22 (CET)[répondre]
Pour résumer, on ne peut pas faire ça et l'Oracle n'est pas un annuaire. Bonne soirée. --Hul Trasson (d) 10 janvier 2011 à 23:06 (CET)[répondre]
… ooooh ! ils sont compliqués ! Donne-moi ton nom, ton adresse, ta bio, tes n° de tel et tous tes renseignements personnels… J'envoie ça tout de suite à quelques amis qui se feront un plaisir de te contacter dès demain matin pour enfin accéder à ce que tu recherches. À Johannesburg ou n'importe où dans le monde. Mais…… c'est vraiment cela que tu veux ??? — Hautbois [canqueter] 10 janvier 2011 à 23:25 (CET)[répondre]
heureusement que tu es intervenu, car après la dernière remarque de Hul Trasson, on pourrait croire que l'Oracle est homophobe Émoticône Mikeread (d) 10 janvier 2011 à 23:32 (CET) [répondre]
N'importe quoi. --Hul Trasson (d) 11 janvier 2011 à 12:01 (CET)[répondre]
Tu ferais mieux de demander sur la Wikipédia anglophone (ils doivent bien avoir un équivalent de l'Oracle) où se trouvent sûrement des Africains du Sud qui pourront t'indiquer des associations s'occupant de ça. Quand à Hautbois, j'ai du mal à déterminer s'il drague ou s'il blague - ou les deux :-p .: Guil :. causer 11 janvier 2011 à 09:27 (CET) (« s'il drague ou s'il blague » : ça, c'est une contrepèterie ! Émoticône )Hautbois [canqueter] 12 janvier 2011 à 05:06 (CET)[répondre]

Bonjour, j'aimerais relire une nouvelle de Bukowski, mais je ne sais plus dans quel recueil je pourrais la trouver. J'ai cherché mais sans succès. L'histoire est celle de l'agonie de l'auteur qui déplore de n'avoir jamais entendu un "vrai blues" qui fait pleurer ... Merci beaucoup pour vos réponses!

J'ai lu toutes ses nouvelles, mais je ne vois pas! Peut-être All the assholes in the world and mine ! Tu as un autre détail sur cette nouvelle ? Tu peux consulter (en anglais): bukowski.net -Mikeread (d) 10 janvier 2011 à 22:57 (CET)Ps : Bukowski a mis en scène sa propre mort, mais c'est son dernier livre, un roman policier : Pulp, mais ça ne parle pas de blues ! Désolé ![répondre]

Non ce n'était pas Pulp, c'est une nouvelle où l'auteur pense qu'il va mourir. Je n'ai pas d'autre détail, je me souviens qu'il appelle un de ses amis et cette formule qui m'a marquée "un vrai blues qui fait pleurer". merci en tout cas pour le lien, je vais continuer à chercher !

Dans All the assholes in the world and mine qui est une nouvelle il se retrouve à l'hosto ! Il y a peut-etre une nouvelle quand il s'est retrouvé la première fois à l'hôpital pour un ulcère de l'estomac et c'est son père qui est venu lui donner son sang. Je te conseille de lire en:Charles Bukowski -Mikeread (d) 11 janvier 2011 à 00:27 (CET)[répondre]
Je viens de trouver ce site bukaddict Mikeread (d) 11 janvier 2011 à 00:37 (CET)[répondre]
Pas de nouvelles de Bukowski depuis un moment. Vous savez ce qu'il devient ? (je sors...) -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 09:58 (CET)[répondre]
Néanmoins excellente remarque Olivier, et qui me rappelle une chronique de Philippe Sollers dans Le Monde des Livres, bien après la mort de Bukowski disant à peu près cela : « Bukowski ? Je l'ai aperçu flânant sur le Boulevard Saint-Michel et entrant dans une librairie [etc ..] » et s'ensuivait une analyse de son œuvre. -Mikeread (d) 11 janvier 2011 à 14:01 (CET)[répondre]
Une idée, d'après le titre : Great Jazz, dans le recueil Bone Palace Ballet ? Fabrice Ferrer [agora] 12 janvier 2011 à 08:51 (CET)[répondre]
En fait sur bukowski.net il y a un forum en anglais. -Mikeread (d) 13 janvier 2011 à 19:20 (CET)[répondre]

wikipédia:international?[modifier le code]

Bonjour, J'aimerais savoir comment accéder à des informations que peuvent trouver mes amis américains.En effet,je voulais une information sur une société Américaine,implantée dans de nombreux pays et l'encyclopédie n'a rien sur le sujet.....peut-étre y a t'il un moyen d'accéder à un wikipédia américain? Merci de me répondre.

Bonjour. Il n'y a pas de Wikipédia par pays, seulement par langue, en ce cas, ce sera la version anglophone. Pour ce faire, sur la gauche de certaines pages de Wikipédia, notamment la page d'accueil, figure une liste des langues disponibles. En choisissant « english » on tombe sur la version anglophone. -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 07:11 (CET)[répondre]
On peut aussi remplacer le “ fr “ de l'adresse, au début de l'url, par “ en “. --Dahu2004 (d)
Pour compléter, il n'est cependant pas certain que la Wikipédia anglophone (WP-EN en wikipédien) ait un article sur l'entreprise en question, ça dépend de sa notoriété et du bon vouloir des contributeurs. -O.--M.--H.- 11 janvier 2011 à 10:01 (CET)[répondre]

“ Eureka, se dit-il en grec et en lui-même, car il connaissait les deux langues. “[modifier le code]

Bonjour à tous ! Quelqu'un aurait-il le temps et l'amabilité de me renseigner sur l'origine du zeugme “ Eureka, se dit-il en grec et en lui-même, car il connaissait les deux langues. “, si cette version est bien la bonne ? Merci d' avance ! --Dahu2004 (d) 11 janvier 2011 à 08:50 (CET)[répondre]

Bonjour. C'est peut-être dans "L'idée fixe du savant Cosinus" ? Biem (d) 11 janvier 2011 à 19:15 (CET)[répondre]
Ça évoque le « Bon, maugréa-t-il en bas-breton » de Ponson du Terrail. Cela a pu inspirer des plaisantins pour construire ce zeugme... rv1729 11 janvier 2011 à 20:17 (CET)[répondre]
… « — “Ah ! Ah !” — dit-il en portugais et en riant, car il connaissait les deux langues. ». La dame aux cattleyas de Dumas père (p. 33, je ne connais pas). 1840, donc antérieur à Ponson du Terrail qui ne commença à écrire que vers 1850. — Hautbois [canqueter] 12 janvier 2011 à 04:54 (CET)[répondre]

juglon et allélopathie négative du noyer[modifier le code]

Bonjour à tous,
Après avoir consulté de nombreuses sources contradictoires, je m'interroge toujours sur les effets de cette substance, juglon ou juglone, émise par le noyer (quelle partie ? racine ou feuillage, écorce...?) et censée inhiber la croissance des végétaux poussant à proximité. De fait, beaucoup de plantes semblent pousser quand même et selon une source de l'inra, la concentration pourrait être trop infime pour réellement affecter les végétaux. Est-ce que vos lumières pourraient éclairer un peu ce mystère ? Existe-t-il une réponse fiable à cette question ?
Je vous remercie d'avance pour votre réponse. Coquillette (d) 11 janvier 2011 à 12:05 (CET)[répondre]

voir juglon et, plus complet mais en anglais, deux liens qu'on trouve dans l'article : en:juglone et http://www.wvu.edu/~agexten/hortcult/fruits/blkwalnt.htm . La substance est herbicide pour certains végétaux et bien sûr ça dépend de la concentration. gem (d) 11 janvier 2011 à 12:40 (CET)[répondre]

Merci beaucoup pour le lien vers la west virginia university... Donc apparemment, ce serait surtout le noyer noir qui contiendrait de fortes concentrations de juglone préjudiciables aux autres végétaux. Le noyer commun chez nous, Juglans regia, contiendrait en revanche des concentrations ayant peu d'effets sur les plantes (ce qui tordrait le cou à pas mal de commentaires là dessus). Par ailleurs, pour le noyer noir, une liste de plantes peu affectées est donnée... Bientôt un article sur l'allélopathie négative du noyer sur wikipédia. Coquillette (d) 11 janvier 2011 à 16:32 (CET)[répondre]

--CQui bla : 11 janvier 2011 à 18:24 (CET) N'hésitez pas à le créer si allélopathie ne dit pas deja tout...[répondre]

Mont Kita[modifier le code]

Bonjour grand Oracle peux tu eclaircir ce mystere:dans l article Alpes Japonaises il est indique que le plus haut sommet de cette chaine de montagnes est le mont Kita dans l ile de Honshu haut de 3100 metres mais si on clique sur ce nom on a le mont Sakurajima dans l ile de Kyushu qui ne fait que 1100 metres.Merci de ta reponse;--223.204.69.16 (d) 11 janvier 2011 à 12:21 (CET)[répondre]

Il y a un problème de redirection : Mont Kita redirige vers Sakurajima. En comparant avec la wiki anglaise, les deux montagnes sont différentes. Il faudrait éditer Mont Kita et créer un article sur cette montagne. En attendant, rendez-vous sur en:Mount Kita; Il fait bien 3193m et est le 2eme plus haut sommet du japon (après le Mont Fuji) (Mitch)2 11 janvier 2011 à 13:42 (CET)[répondre]
Merci à Rémih (d · c · b) d'avoir remédié au problème. -O.--M.--H.- 12 janvier 2011 à 00:46 (CET)[répondre]

Diffraction d'arrête[modifier le code]

Bonjour à tous, Actuellement je m'intéresse à la furtivité des avions militaires tels que le F-117 et le B-2. J'ai entendu dire par l'AIAA (American Institute of Aeraunotics and Astronotics) que la diffraction du faisceau radar sur les arrêtes qui constituaient les aéronefs classiques étaient en partie responsable de la SER (surface ou section équivalente radar) ou de la détection par le retour d'une partie du faisceau sur la source d'émission. Il paraît que pour supprimer ces effets de diffraction, les grands constructeurs militaires tels que Northrop, ont constitué les arrêtes de leurs avions, en serrassions ou dents de scie. C'est ainsi que les arrêtes qui forment la jonction du cockpit sur le F-117 sont en forme de dents de scie. Alors j'aimerai savoir en quoi cette forme de dent de scie empêche-t-elle la diffraction vers la source d'émission, ou en quoi ces serrassions sont-elles vraiment efficaces ? Je vous remercie de m'avoir suivi et de vos réponses.

Je ne sais pas si ca répondra, mais ici (et pp. suivantes) on a de belles explications simples à comprendre. Le profil dent de scie dont tu parles est-il à rapprocher des formes très anguleuses de ces avions? si oui, ma réponse est dans le lien, sinon, je sais pô Émoticône (Mitch)2 11 janvier 2011 à 15:15 (CET)[répondre]
Je crois que j'ai trouvé : En page 4 de ce petit blog, on a des prises d'air et autres appendices en dent de scie, et le pourquoi y est bien expliqué; pour ta jonction de cockpit ca doit être similaire (Mitch)2 11 janvier 2011 à 15:20 (CET)[répondre]
<hs>haha j'ai été induit en erreur wikt:serration, à noter que la définition pour les pièces de monnaie pourrait faire un bel article</hs>  - mirrorRᴑᴙᴚim  17 janvier 2011 à 00:36 (CET)[répondre]

coincer la bulle[modifier le code]

bonjour, je recherche l'origine de l'expression " coincer la bulle " je vous remercie a l'avance

Bonsoir. (merci Google) y a une piste. Erdrokan - ** 12 janvier 2011 à 00:48 (CET)[répondre]
Bonsoir. Existe aussi dans les expressions maritimes concernant le réglage des instruments astronomiques. Je ne trouve pas immédiatement de référence, alors s'il y avait un spécialiste... Mon « Dictionnaire amoureux de la mer » le sait peut-être, mais il est encore dans un carton. Bluelagoon (d) 12 janvier 2011 à 20:00 (CET)[répondre]
Le Robert des expressions et locutions confirme l’origine militaire, mais donne une explication différente (et plus logique). Malheureusement elle n’est pas très explicite, et bien que le site déniché par Erdokran semble citer le Robert, il me semble également que la personne qui a complété l’explication n’ait pas bien compris.
Dans la mise en place d’une arme lourde, le travail final consistait à coincer la bulle : régler l’horizontalité en coinçant la bulle d’un niveau à bulle entre deux repères. Dans l’hypothèse d’une division du travail, on imagine bien que ceux qui coincent la bulle sont considérés comme des tire-au-flanc par les balaises qui portent l’arme et la posent sur l’affût... il me semble que ça n’a rien à voir avec le fait qu’une fois la bulle coincée, elle l’est pour longtemps. rv1729 13 janvier 2011 à 07:59 (CET)[répondre]
Dans le livre de Daniel Appriou, Rendons à César..., il est dit que : « Une fois que l'angle de tir recherché était obtenu, [les servants de la pièce] bloquaient la bulle dans une certaine position et attendaient l'ordre de faire feu. Entre ces deux opérations, les servants n'avaient rien à faire sinon attendre[...]. » (p.68).Thémistocle (d) 15 janvier 2011 à 16:24 (CET)[répondre]

Nombre d'individu qu'une pièce d'un euro rencontre dans l'année.[modifier le code]

Bonjour chers savants !

Voila, aujourd'hui j'ai trouvé une pièce de 1 euro peu commune puisqu'elle était cabossée au moins huit fois tel un octogone, alors je me suis dit que je la garderai. Bref... je me demandais par combien de mains différentes une pièce de un euro passe-t-elle en moyenne? Il doit y avoir un calcul possible avec la théorie quantitative de la monnaie... mais moi je ne sais pas faire, ou peut être des statistiques?

Je vous remercie, grâce à l'un d'entre vous j'en saurai un peu plus bientôt :)

Mira

L'article Théorie quantitative de la monnaie amène en effet quelques éléments de réponse. La vitesse de la circulation de la monnaie "M1" (pièces et billets) est indiquée à 2,23 en 2006, ce qui veut dire qu'une pièce ou un billet change de main environ 2,23 fois dans l'année. D'autres sources indiquent des chiffres un peu supérieurs, mais cela reste souvent entre 2 et 5 --Pethrus (d) 12 janvier 2011 à 14:55 (CET)[répondre]
Si tu écris "Nombre d'individu", tu donnes la réponse dans ta question : il n'y en aurait qu'un ! Émoticône - Cymbella (répondre) - 12 janvier 2011 à 15:02 (CET)[répondre]
Je ne suis pas sûr que la vitesse de circulation donnée s'applique de cette façon ... Le billet de 10 € que tu retire à la banque pour aller acheter ton petit pain ou ton journal retourne à la banque le soir (ou quasiment). ça fait déjà au moins 2 personnes (toi et le commerçant). Ce qui voudrait dire que pour respecter la moyenne, le billet ne bouge plus de l'année ... Ziron (d) 12 janvier 2011 à 17:23 (CET)[répondre]
Pas de réponse, mais un gros doute (très) sur la signification concrète dans notre cas du nombre 2,23 trouvé dans l'article : cela signifierait que 1/2,23 des pièces qui arrivent dans ma main sont neuves, or on est très du compte : sur les 19 pièces que contient mon porte-monaie ce soir, quatre de 1999, deux de 2000, deux de 2001, cinq de 2002, deux de 2006, une de 2008, et trois de 2009 (et je ne te parle pas des dix centimes de francs de 1951 que j'ai réussi à me laisser refiler !). Un tel résultat serait exceptionnel si la proportion était de plus de neuf datant d'après 2009 dans la masse totale de monaie en circulation. Colo (d) 12 janvier 2011 à 19:16 (CET)[répondre]
Il y a probablement possibilité d'obtenir une donnée sur le temps moyen durant lequel une pièce est conservée par une personne mais ça ne répondra pas à ta question : les premières pièces en euro furent mises en circulation le 1° janvier 2002. Depuis, d'autres pièces furent fondues, donc une pièce de 2002 encore en circulation est forcément passée, en moyenne, dans beaucoup plus de mains qu'une pièce de 2010. Puis il y a le cas des pièces spéciales, les petites séries commémoratives, que les collectionneurs thésaurisent et qui ne circulent donc pas, le cas des pièces perdues sous une lame de parquet ou jetées dans un gouffre à vœux, qui ne circulent plus. Et bien sûr, il y a ce problème que contrairement aux billets, les pièces sont anonymes (pas de numéro d'identification), donc on peut difficilement déterminer si toutes les pièces circulent à-peu-près autant ou si le hasard fait que certaines circulent plus, d'autres restant dans des fonds de caisse sans jamais être manipulées.
Bref, je crains qu'il n'y ait pas vraiment de réponse fiable à ta question. -O.--M.--H.- 13 janvier 2011 à 09:51 (CET)[répondre]
Je ne comprends pas de quoi parle l’article, mais en lisant la définition il paraît évident que ça ne parle pas de la circulation des espèces. rv1729 12 janvier 2011 à 22:55 (CET)[répondre]
De la disparition des espèces peut-être ? Blague à part, combien de temps peut-il se passer avant que je récupère une pièce d'un euro laissée en Espagne à Mérida pour acheter des churros ? --Doalex (d) 13 janvier 2011 à 12:27 (CET)[répondre]
Tiens, ça c’est un problème de marche aléatoire dans un graphe fini. Problème bien difficile à traiter, à mon avis... rv1729 13 janvier 2011 à 14:37 (CET)[répondre]
Faudra voir sur internet, la chose a peut-être été étudiée, puis publiée, par une banque centrale ou une autre. En attendant...
Pethrus a raison ... mais il fait une petite erreur :
Raison sur le principe : le nombre moyen d'utilisation annuelle d'une pièce c'est bien la vitesse de circulation de la monnaie. C'est quasiment la définition de la vitesse selon l'équation MV = PY.
petite erreur : il ne faut pas prendre M1, qui contient les "dépots à vue" ; les pièce et billets, ce n'est qu'environ 750 G€ si j'en crois masse monétaire (le graphique, à fin 2009).
on est donc plus proche de 10 utilisations par an que de 2.
Après, il y plein de choses qui jouent et qui modifient cette estimation.
On peut dire par exemple :
1) on ne doit pas prendre tout le PIB, mais seulement celui qui est payé par pièce et billet (une grosse partie est payée par de la monnaie scripturale : chèques, carte bleue, virement et TIP, ...).
2) Inversement, on peut envisager de déduire une grosse masse de billets et pièces, thésaurisées.
3) pièce et billets ont peut-être (voire : probablement) des vitesses de circulation différente. Bien possible que la pièce de 1 € et le billet de 20 € tournent beaucoup plus vite que le billet de 50 € et la pièce de 1 c... En fait, c'est quasi certain, notamment à cause des appareil servant à payer autour de 1 €, ou qui rende une monnaie contenant des multiples de 1 € quand on leur fournit des billets (même si la proportion de pièces de 1 € frappé devait tenir compte de ça).
4) on doit peut-être mentionner la durée de vie des instruments monétaires. En effet, la même masse monétaire, participant au même nombre de transactions, peut par exemple être matérialisée par une collections de billets restant en usage toute l'année participant en moyenne à 10 transactions chacun, ou par deux fois plus de billet échangés tous les six mois ne participant qu'à cinq transactions chacun. Les pièces d'un euro vivent trop longtemps pour que ça joue ici.
5) on rend la monnaie ! C'est à dire que sur un achat retracé pour par exemple 8,73 € dans le PIB on va mobiliser pour 11,27 € d'instrument monétaire (1 billet de dix pour payer et 1,27 € de rendu de monnaie). Les pièces changent donc de main un peu plus que visible selon la vitesse théorique. On peut considérer que le rendu de monnaie est d'un ordre de grandeur plus petit que les achats, donc il joue pour moins de 10%, en plus il n'existe pas toujours, donc ça joue sur quelques %. Négligeons. On pas : le rendu de monnaie, ça contient souvent une ou plusieurs pièces de 1 €.
6) il faut aussi tenir compte, pour la question, des échanges de pièces non matérialisées dans le PIB (pièces qui changent de mains au sein d'un foyer ou entre collègues à la cafet ; pièce qui passent dans les mains des employés d'une banque ou de la boulangerie ; pièces sortant d'une machine à faire la monnaie ; transactions illégales ...). ça par contre ça doit jouer massivement. Mais combien...
Bilan de tout ça : ?. Pour la pièce de 1 €, je serais tenté de doubler voire tripler le chiffre initial (10 par an), soit un changement de main toutes les deux semaines. C'était ma réponse à 2 balles.
Ce qu'on peut dire toutefois :
Il y a effectivement des pièces et billets qui font de nombreux aller-retour (consommateur-commerçant-banque), mais il y en a aussi qui restent en rade au fond des poches et tirelires pendant des années.
Et, contrairement à ce qu'écrit colo, ça n'a absolument aucun rapport avec la proportion de pièces selon leur millésime. Le millésime d'une pièce joue sur le nombre total de transactions auquel participe une pièce dans sa vie, pas sur la moyenne annuelle.
gem (d) 13 janvier 2011 à 18:32 (CET)[répondre]
Très jolie intervention et très convaincante, par contre je pense que colo n'a pas tort sur le problème du millésime. La question était « je me demandais par combien de mains différentes une pièce de un euro passe-t-elle en moyenne? », or comme tu le relèves les pièces ont une durée nettement plus importante que les billets (en fouillant dans ma poche je trouve des pièces de 2009, 2005, 2002, 2001 et même une de 1999, ce qui prouve incidemment qu'elles ont été frappées bien avant leur mise en circulation). Notre questionneuse / eur ne spécifiant pas de durée, on ne peut donc pas répondre avec certitude à sa demande, sauf à connaître le nombre de pièces diffusées et retirées chaque année, ce qui permettrait de faire une moyenne plus exacte pour la période 2002-2010. -O.--M.--H.- 13 janvier 2011 à 22:01 (CET)[répondre]
C’est bien ce que j’avais compris. Par contre je ne sais pas d’où tu sors tes 10 utilisations par an au lieu de 2... je pense que l’argent qui ne circule pas est majoritairement sous forme d’information (livret A, plan d’épargne, assurance vie), et pas en liquide malgré quelques bas-de-laine. L’argent qui est réalisé sous forme d’espèces circule énormément plus que l’argent « information », et je ne vois pas comment tu estimes que c’est seulement 5 fois plus. rv1729 13 janvier 2011 à 22:28 (CET)[répondre]
PIB divisé par la masse monétaire sous forme de pièces et billets ("M0"), selon le principe rappelé par Pethrus ; soit, en zone euros, de l'ordre de 7000 G€ divisé par 750 G€, soit un ratio de 10. Une partie des gros billets sert à la thésaurisation, mais là je néglige. gem (d) 14 janvier 2011 à 10:04 (CET)[répondre]
Bien vu pour l'erreur M1/M0, Gem, et pour toutes ces judicieuses remarques. Je pense d'ailleurs que la plus importante est la première : si l'on estime qu'un dixième des transactions seulement sont effectuées en espèces, cela divise la vélocité calculée par V0=GDP/M0 d'autant. Avec une énorme louche, j'aurais donc tendance à penser que chiffre exact est très faible et plutôt de l'ordre de l'unité. mais cela par pure théorie, cela semble tout de même peu !--Pethrus (d) 14 janvier 2011 à 14:50 (CET)[répondre]

Bon je n'ai absolument pas été précise dans ma question, je ne me doutais pas que tant de raisonnements rentraient en compte. J'essaierai de trouver une étude déjà existante sur le net, et si je la trouve alors je vous donnerai la réponse. Merci pour réponses !

Aspégic+Parcétamol[modifier le code]

Bonjour cher Oracle, je sais qu'un bandeau médical vaut mieux que deux tu l'auras, mais voilà ma question en attendant de voir mon médecin : étant donné que l'Aspégic s'élimine par les reins et le Paracétamol par le foie, il n'y a aucun danger à prendre les deux simultanément, j'ai tort ?

Mikeread (d) 12 janvier 2011 à 09:35 (CET)[répondre]

Merci Mike Émoticône... Cher questionneur, vous auriez dû placer le bandeau vous même !
Bon alors en bref : oui, vous avez tort. Ne faites pas n’importe quoi, c’est pas des bonbons.
Votre pharmacien vous renseignera, il est souvent plus facile à rencontrer que le médecin... le paracétamol est hépato-toxique ; il est métabolisé au niveau du foie mais il faut bien que les reins éliminent les métabolites !
En moins bref : en effet, il est fréquent d’associer paracétamol et aspirine, mais plutôt en alternance ce qui permet de rapprocher les prises, cf [9] par exemple. La notice de vos médicaments devrait comporter des indications à ce sujet. Attention il y a des tas de raisons pour lesquelles on pourrait vous déconseiller de faire cela ! (insuffisance rénale, par exemple). Bref, « il n’y a aucun danger » est toujours une phrase fausse quand on parle d’un produit actif. Si vous voulez des médicaments sans danger, tournez-vous vers des médicament sans effet, comme l’homéopathie.
Pour revenir à vos antipyrétiques, surtout ne dépassez pas la dose maximale recommandée pour une journée. Si vous êtes alcoolique chronique, ne prenez pas trop de paracétamol, l’effet hépato-toxique peut commencer plus tôt et être foudroyant ! Parlez-en à votre pharmacien et à votre médecin². rv1729 12 janvier 2011 à 10:53 (CET)[répondre]
Sur le site de l'AFSSAPS on trouve pas mal de choses intéressantes, même si ces derniers temps l'institution a du faire face à quelques critiques sur la qualité de son travail. On y trouve notamment un Thesaurus du référentiel national des interactions médicamenteuses au format PDF, et aussi une Liste des Excipients à Effet Notoire (aucun rapport mais ça fait plaisir de le savoir Émoticône sourire). -O.--M.--H.- 12 janvier 2011 à 11:25 (CET) En complément. Remarque, même s'il n'y a rien là-dedans pour l'aspégic et le paracétamol, j'abonde avec rv, rien ne vaut un bon conseil de pharmacien ou de médecin en ces matières. -O.--M.--H.-[répondre]
Le bandeau me semble ici un peu inapproprié, vu que le pharmacien, outre le médecin, est tout à fait apte à répondre à ce genre de question, non ? --Hul Trasson (d) 12 janvier 2011 à 12:24 (CET)[répondre]

Bob ben je demanderai à mon pharmacien. Merci pour ces réponses argumentées.

Non Hul Trasson, le bandeau est important car formel, préventif et informatif. D'accord avec toi sur le reste (Il est clair que moi, je ne me serais pas cassé les pieds sur le net, je serais allé directement en Heineken Red Star Pro. Imagine que ce soit des enfants, des préados, des adultes dépressifs, des craintifs, des gens réellement malades : la santé est une chose sérieuse ! Cordialement -Mikeread (d) 12 janvier 2011 à 17:32 (CET)[répondre]
Oui, je suis bien d'accord. Je voulais simplement dire que le bandeau pourrait reprendre le pharmacien en plus du médecin. De toute manière, si le pharmacien a un doute, il renverra vers le médecin. Je trouve que la phrase la plus adéquate serait "un professionnel de la santé", car la responsabilité du pharmacien est engagée s'il vend des médicaments en dehors de toute prescription médicale. Il le sait et il ne va pas raconter des conneries. J'ai encore en mémoire le cas d'une personne âgée qui venait de changer de médecin (le précédent venait de mourir), et qui a reçu une prescription qui lui était contre-indiquée. Le pharmacien (qui la connaissait depuis longtemps) s'en est rendu compte et le pire a pu être évité. --Hul Trasson (d) 12 janvier 2011 à 18:17 (CET)[répondre]
(conflit) ✔️ C'est vrai, j'ai un peu changé le bandeau en ce sens. (Mitch)2 12 janvier 2011 à 18:24 (CET)[répondre]
Est-ce que « seul un professionnel (médecin, pharmacien) etc » n’aurait pas été plus correct ? Je trouve « professionnel de santé » un peu bizarre. rv1729 12 janvier 2011 à 22:45 (CET)[répondre]
Oui, et il y a d'autres petites erreurs (qui seront vite corrigée je présume) dans la modif, comme la perte du logo caducée. En plus, il ne me semble pas que les pharmaciens libéraux soient considérés être des professionnels de santé... -O.--M.--H.- 12 janvier 2011 à 22:55 (CET)
[répondre]

STO - seconde guerre mondiale[modifier le code]

Bonjour,

Mon père a été envoyé au STO en 1943 à BRESLAU (WROCLAW). Y a -t-il des témoignages sur ce site ? Sinon pourrais-je avoir des coordonnées pour me renseigner ?

Merci à vous.

mes coordonnées : e-mail : XXXXXXXXX@dbmail.com

Logo de courriel Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).

(Mitch)2 12 janvier 2011 à 10:01 (CET)[répondre]

Bonjour. Wikipédia n'a pas (ou pas encore) l'ambition de devenir le site universel où l'on trouve tout ce qu'on cherche mais celle plus restreinte de mettre à disposition de tous une encyclopédie interactive, on n'y trouvera donc pas de témoignages sur le STO, à Breslau ou ailleurs. Il se peut par contre que les articles sur ce sujet et sur cette ville proposent des liens vers des sites de témoignage. Il existe aussi des projets frères, Wikisource et Wikilivres, où de tels documents pourraient exister, sans le certifier cependant.
Et bien sûr, il y a toujours cette piste :
Ou encore mieux cribler les résultats :
Bonnes recherches. -O.--M.--H.- 12 janvier 2011 à 11:06 (CET)[répondre]
Vous pouvez écrire au Secrétariat Général pour l'Administration, Direction de la Mémoire, du Patrimoine et des Archives, Bureau des Archives du Monde Combattant, Boîte Postale 552, 14037 CAEN CEDEX. Bonnes recherches Philippe Nusbaumer (d) 13 janvier 2011 à 07:17 (CET)[répondre]

Marrons nous de concert SVP[modifier le code]

Bonjour les Pythies. Voici mon problème : Le royaume de Hollande = 1806-1810, Royaume des Pays-Bas = 1815 (Congrès de Vienne)-1830. Et entre les deux ? De 1810 à 1813, c’est Départements des Pays-Bas et après (c’est là qu’on se marre...) : Si Guillaume Ier des Pays-Bas fut « prince souverain des Pays-Bas » de 1813 à 1815, comment s’appelait son état ? On dit aussi dans Royaume de Hollande qu’il « débarqua à Scheveningen le 13 novembre 1813 et prit quelques jours plus tard le titre de roi des Pays-Bas. », donc de 1813 à 1815 il y aurait eu un royaume des Pays-Bas aussi ? Qui s’appelait comme ça ? Que croire ? Et à quel article puis-je lier correctement ce que C. Morren appelle « la formation de l’armée des Pays-Bas » à la fin de 1813 ? Rigolam, rigolabam... jaune. --Égoïté (d) 12 janvier 2011 à 09:57 (CET)[répondre]

Bonjour. En histoire (et politique), ces écarts de date sont inévitables : elles proviennent d'un part de l'écart entre les statuts de jure et de facto et d'autre part selon le bord politique/géographique d'où on regarde (cf. la fin de la 2e Guerre Mondiale par exemple). Il y a une large part de convention. --En passant (d) 12 janvier 2011 à 10:30 (CET)[répondre]

Ajout : Schmerling (eh oui, toujours lui...) est en garnison jusqu’en 1816 à Venlo et cette ville, d’après notre article, est restée sous domination française jusqu’en... 1814 ! Smiley Colère Spếcialiste demandé, SVP --Égoïté (d) 12 janvier 2011 à 10:32 (CET)[répondre]

Oui, mais, en réalité, c'est un compte rond, car Guillaume d'Orange avait pris le titre de « prince-souverain » des Pays-Bas juste le 2 décembre 1813. Les Français avaient évacué la Hollande devant l'avance prussienne à la mi-novembre. De 1806 à 1813, c'était le royaume de Hollande constitué par Napoléon qui avait mis son frère Louis sur le trône. Ce dernier avait abdiqué en 1810 (au moment du Blocus) sous la pression de l'Empereur, mais en faveur de son fils. La Hollande était donc tout ce temps annexée par l'Empire mais la juridiction reste floue. --Mistig (d) 12 janvier 2011 à 15:24 (CET)[répondre]
D'après le Mourre, au départ de Louis Bonaparte, le royaume a été divisé en 8 départements. L'autorité était détenue par un gouverneur général. Ils ont été abandonnés fin 1813, sous la pression des événements. --Mistig (d) 12 janvier 2011 à 15:44 (CET)[répondre]
Donc le plus sûr, c’est de ne pas mettre de lien... (Smiley: triste) --Égoïté (d) 12 janvier 2011 à 17:06 (CET)[répondre]
Mourre : Guillaume d'Orange donna une constitution le 29 mars 1814 au pays qui s'appela le « Royaume-Uni des Pays-Bas ». --Mistig (d) 12 janvier 2011 à 23:28 (CET)[répondre]
D'après Le Dictionnaire Napoléon sous la direction de Jean Tulard, au départ des français sous la pression des troupes russo-prussiennes en novembre 1813, un gouvernement provisoire est proclamé puis Guillaume d'Orange prend le titre de Prince des Pays-Bas "symbole de l'indépendance retrouvée". Je pense que le régime est flou et qu'avant la constitution, il n'y a pas vraiment de nom au pays. Puce Survitaminée (d) 14 janvier 2011 à 10:33 (CET)[répondre]

Comment s'inscrire au RSI?[modifier le code]

Bonjour, où faut-il s'adresser pour s'inscrire au Régime social des indépendants en France? Merci. --86.69.232.251 (d) 12 janvier 2011 à 10:24 (CET)[répondre]

Bonjour. Notre article donne en lien le site officiel du RSI, qui est probablement l'endroit adéquat pour obtenir une réponse. -O.--M.--H.- 12 janvier 2011 à 11:13 (CET)[répondre]

Question d’O[modifier le code]

Bonjour (re). Je ne connais pas (et le CNRTL non plus) l’expression « praticien à l’eau gommée » (praticien étant entendu comme médecin). Pouvez-vous l’expliquer ? Merci déjà, --Égoïté (d) 12 janvier 2011 à 10:42 (CET)[répondre]

Hum, la gomme arabique qui sert à fabriquer l’eau gommée a des utilisations médicales... peux-tu nous donner le contexte ? rv1729 12 janvier 2011 à 11:00 (CET)[répondre]
Certes Émoticône sourire : « Schmerling, qui n'était pas, comme il l'avouait lui-même, un praticien à l'eau gommée, ne cessait d'employer les moyens curatifs que des siècles d'expérience avaient reconnus comme efficaces » --Égoïté (d) 12 janvier 2011 à 11:23 (CET)[répondre]
Ce qui est inquiétant, c'est que même Google ne connaît pas. Les seules références qu'il donne sur le Web ou dans Books concernent Schmerling! ("à la gomme", c'est plus fréquent; c'est peut-être comme 'impuissanté', ...une expression locale Émoticône) -- Xofc [me contacter] 12 janvier 2011 à 12:47 (CET)[répondre]
Sans source, je suppose que l’eau gommée était un remède simpliste prôné par des médecins de peu de compétence, d’où « praticien à l’eau gommée », qui a donné ensuite l’expression « à la gomme ». Morburre (d) 12 janvier 2011 à 13:47 (CET)[répondre]
Certainement qu'à l'époque de ce praticien, l'eau gommée n'était pas plus considérée que les anciens lavements. Cette eau mélangée avec de la gomme végétale, servait d'excipient à diverses infusions et avait une vertu laxative. Autrement dit, elle n'était plus qu'un remède de grand-mère. --Mistig (d) 12 janvier 2011 à 14:36 (CET)[répondre]
Dans le contexte ce n'est peut-être pas une expression toute faite mais tout simplement une référence à Broussais qui est cité juste avant dans le texte d'où est extrait la citation : http://users.skynet.be/am016110/FILE_F/MORREN/Biographie.html , et qui semblait avoir établi une cure à base d'application de sangsues et de consommation d'eau de gomme pour soulager les problèmes gastriques. On obtient pas mal de résultats en anglais là-dessus ("Broussais"+"gum water") Loïse [patati] 12 janvier 2011 à 17:22 (CET)[répondre]
Ce n'était probablement pas un remède dépassé; une recherche dans GoogleBooks de prescription+"eau gommée" semble donner plein de bouquins du XIXe siècle. Cela dit, je n'ai pas approfondi pour voir s'il y est question de pratique courante ou historique. Mais, je crois me souvenir que les premiers 'vrais' médicaments n'apparaissent qu'à la fin du XIXe siècle (par exemple, l'Aspirine); Schmeerling est bien antérieur à Louis Pasteur ou Robert Koch. -- Xofc [me contacter] 12 janvier 2011 à 17:33 (CET)[répondre]
--CQui bla : 13 janvier 2011 à 09:48 (CET) J'ai peur que ce ne soit la dernière mode de l'époque, a vous lire.[répondre]
Je reste sur l'avis que c'était une habitude médicale qui ne pouvait de toute façon pas faire de mal, à une époque où les médicaments n'avaient pas l'amplitude actuelle. Quelque part, aujourd'hui, on doit boire encore de la camomille. --Mistig (d) 13 janvier 2011 à 14:39 (CET)[répondre]

forcer une ouverture[modifier le code]

bonjour! des fois quand je me ballade dans le MS~DOS, y'a des dossiers accès refusé et j'aimerais savoir comment forcer l'ouverture, merci.

En admettant que vous ayiez l’outil nécessaire, en auriez-vous pour autant l’autorisation ? --Égoïté (d) 12 janvier 2011 à 15:18 (CET)[répondre]
Je mettrais bien un {{microsoft}}... Soit plus précise, qu'appelles-tu "ballader dans le MS~DOS" ? --Serged/ 12 janvier 2011 à 16:45 (CET)[répondre]
Euh Serged, c’est pas moi, c’est une Ip qui a fait la demande... Moi, j’oserais jamais demander ça Émoticône --Égoïté (d) 12 janvier 2011 à 17:05 (CET)[répondre]
Ouai, pas sur l'Oracle ! le sourcier [on cause ?] 12 janvier 2011 à 19:06 (CET)[répondre]
en vous connectant en tant qu'administrateur, par exemple ?

par me ballader, j'entend aller ouvrir des dossiers comme system 32 pour voir si je peut aller dans les trefonds de ma bécane (ou dans les dossiers des autres utilisateurs). je précise que je fais toujours ca loggé en admin

Utiliser un linux live cd ou live stick et monter le disque (en lecture seule de préférence) ? rv1729 12 janvier 2011 à 22:43 (CET)[répondre]
Je suis assez étonné : le MS-DOS est connu comme étant un système non protégé, justement, puisqu'il est monotâche et mono-utilisateur. Normalement on n'a pas ce genre de message sous DOS, sauf si on y accède dans une « DOSBox » sous Windows ou sous X-Window. Où alors le message que tu obtiens est du genre « impossible d'accéder au dossier », soit parce que son nom comporte des lettres que n'admet pas le DOS, soit parce qu'il est à une « profondeur » trop grande (le nom complet dépasse 127 caractères), soit parce qu'il est corrompu. -O.--M.--H.- 12 janvier 2011 à 22:44 (CET)[répondre]
Oui, je suppose qu’il s’agit de l’invite de commande de Windows, qui émule plus ou moins le MS DOS si j’ai bien compris (jamais utilisé Windows de ma vie, suis passé de DOS à Solaris à Mac OS X à Linux...). rv1729 12 janvier 2011 à 22:53 (CET)[répondre]
Forcer une ouverture : avec un pied-de-biche. Je ne suis pas sur que notre questionneur fasse vraiment la distinction entre MS-Dos, l'invite de commande CMD, et naviguer à partir de l'explorateur windows dans les fichiers systèmes (sans parler de la base de registre et autres joyeusetés). Pour faire le tri, MS-DOS, c'était le système d'exploitation, il n'existe plus depuis Windows XP remplacé par NT. L'invite de commande Cmd.exe lui ressemble, mais c'est un programme (.exe) qui s'exécute une fois Windows lancé. On peut effectivement (par la commande cd:) regarder les arborescences des fichiers, et ensuite avec open ou run on peut ouvrir des fichiers ou des programmes, mais c'est windows qui reprend la main dans ce cas. Je veux dire par exemple open d'un fichier .doc, Word se lance.
Enfin, allez voir les fichiers système d'un ordinateur est une bonne idée pour se familiariser avec la structure de windows. Vous allez voir par exemple que les jeux mine.exe et sol.exe ne sont pas rangés avec les programmes, mais bien au milieu du repertoire windows. Idem, les écrans de veille sont des programmes qui portent l'extension .scr et sont rangés là aussi. Pourquoi ? aucune idée. Ah et puis ce Documents and Settings et les raccourcis bizarres qui permettent d'y accéder (Smiley) Hum... ! Certains répertoires ne sont pas accessibles, c'est exact. (si je devais parier, je dirai que c'est ça la vraie question de notre demandeur). Les raisons peuvent être :
  • parce que vous êtes en train de vous en servir, simplement en ayant lancé Windows. C'est dingue le nombre de trucs qui tournent en tache de fond pour faire fonctionner Windows.
  • parce que ce ne sont pas des fichiers lisibles, uniquement des composants d'autres fichiers. Par exemple les bibliothèques (.dll) ou des dump (.dmp).
  • parce que pour la confidentialité des données, même l'administrateur de l'ordinateur n'a pas le droit de voir le contenu d'un dossier qui est attribué à un utilisateur.
Dans le premier et troisième cas, avoir un CD live bootable de linux est une façon de contourner cet obstacle. Dans le troisième cas on peut modifier la gestion des droits d'accès dans le panneau de configuration, gestion des comptes utilisateurs. Dans le deuxième cas, euh, rien. Apprendre à écrire une bibliothèque ? Et si l'oracle n'a pas répondu parfaitement à votre question, vous trouverez un forum sur commentcamarche.net. Bon courage pour la suite. Bertrouf 13 janvier 2011 à 06:12 (CET)[répondre]
--CQui bla : 13 janvier 2011 à 09:45 (CET)Taper format C: /Y élimine bien des problemes. et n'a reelement qu'un tout petit effet indesirable...[répondre]

cumul de mandat[modifier le code]

bonjour ,

Ayant lu la page concernant la communaute urbaine de Bordeaux,si je comprends bien Monsieur Alain Juppe ne fais pas parti des personnes qui cumule les mandats???

Bonjour. Il faut voir sur la page d'Alain Juppé pour le vérifier, mais il me semble que c'est bien le cas. D'après l'article ça semble bien être ainsi. Au passage, je remarque que dans Wikipédia on classe la fonction de ministre dans la catégorie « mandat », ce qui va contre la vérité mais bon... -O.--M.--H.- 12 janvier 2011 à 22:51 (CET)[répondre]
C'est vrai que "mandat" c'est pas top, comme catégorie. Trop flou. Ministre, ce n'est pas un mandat électif, mais c'est bien un « mandat » quand même, il me semble. Inversement, je ne suis pas sûr que tous les élus doivent être considérés comme ayant un mandat... Donc +1 pour un « mais bon »gem (d) 13 janvier 2011 à 18:40 (CET)[répondre]

Discordance lettres/chiffres sur un chèque[modifier le code]

Bonjour et bonne année à toutes et tous

Suite à l'aventure du chèque libellé en breton (mais ma question ne concerne pas l'emploi de langues régionales) une dépêche de l'AFP nous dit : "Un bretonnant attentif a relevé sur internet que le libellé en breton du chèque de l'élue régionaliste portait sur la somme de 252,80 euros et non 252,90 euros comme mentionné en chiffres. Le Crédit mutuel de Bretagne a toutefois indiqué que "l'indication de la somme en lettres n'est pas obligatoire et en cas de différence avec la somme en chiffres cette dernière prime"." http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ivZExInc5omeTBl9cIV5oqRPUl9A?docId=CNG.ba0590a54040df1c086877bb713c3941.5b1

J'ai toujours cru que le libellé en lettres primait. Qui peut me confirmer, références à l'appui, ce qu'il en est ? Merci beaucoup à l'avance pour ce renseignement 92.155.65.82 (d) 12 janvier 2011 à 22:59 (CET)[répondre]

Salut. Tu as raison pour la France : le Code monétaire et financier précise, dans son article L131-10 : « Le chèque dont le montant est écrit à la fois en toutes lettres et en chiffres ne vaut, en cas de différence, que pour la somme écrite en toutes lettres ». -O.--M.--H.- 12 janvier 2011 à 23:18 (CET)[répondre]
Merci OH pour cette réponse aussi diligente que claire et référencée.92.155.65.82 (d) 12 janvier 2011 à 23:31 (CET)[répondre]
Remarque en passant : sans tomber dans la généralisation outrancière, les plus acharnés zélotes des langues dites « régionales » ne sont pas ceux qui les pratiquent le mieux. Morburre (d) 13 janvier 2011 à 07:35 (CET)[répondre]
On peut être pour la liberté de religion en étant soi-même athée, tu sais. rv1729 14 janvier 2011 à 20:52 (CET)[répondre]
Donc Agnostique peut être? .melusin (d) 15 janvier 2011 à 12:43 (CET) Bon anniversaire wikipedia!! [répondre]

B'jour n'à tous. Sur le Bistrot du jour, Markus3 met en doute (et je pense avec raison) le paragraphe Scie passe-partout#Histoire. Quelqu'un a des précisions ? sourcées ? — Hautbois [canqueter] 13 janvier 2011 à 06:48 (CET)[répondre]

Complètement fantaisiste, oui. Les usages de la scie et de la hache sont différents. Comme ce n'est ni sourcé, ni historique, on peut à mon avis supprimer ce passage. Morburre (d) 13 janvier 2011 à 07:29 (CET) Rectification : des points anecdotiques ont été présentés comme essentiels, ce qui fausse la perception générale, mais ça semble attesté. Sous réserves quand même : [10]. Morburre (d) 13 janvier 2011 à 07:47 (CET)[répondre]
… j'ai trouvé ça où l'on voit deux hommes sciant avec une scie passe-partout, c'est annoncé comme étant un bas-relief d'une stèle funéraire d'un charpentier de "l'Isle" Saint Jacques, époque gallo-romaine (Musee d'Art et d'Histoire à Metz). Curieux pour une invention du XIXe. — Hautbois [canqueter] 13 janvier 2011 à 07:50 (CET)[répondre]
L'article anglais précise même :
“Two-man saws were known to the ancient Romans, but first became common in Europe in the mid-15th century. In America, crosscut saws were used as early as the mid-17th century, but felling saws only began to replace axes for felling trees in the late 19th century. Some Japanese saws are used by two persons, although they are of a different design.”
« La scie passe-partout était connue des Romains, mais s'est répandue en Europe dans le milieu du 15e siècle. En Amérique, les scies à tronçonner ont été utilisés dès le milieu du 17e siècle, mais la scie d'abattage n'a commencé à remplacer les haches pour abattre des arbres que vers la fin du 19e siècle. Certaines scies japonaises sont utilisés par deux personnes, même si elles sont de conception différente. »
--Serged/ 13 janvier 2011 à 08:05 (CET)[répondre]
… il me semble aussi avoir vu cet outil chez les tailleurs de pierre du moyen-âge pour couper le tuffeau… pas le temps de vérifier. — Hautbois [canqueter] 13 janvier 2011 à 08:07 (CET)[répondre]
Dès l'abord ça semble fantaisiste, et j'ai souvenir de gravures anciennes (antérieures au XVIIe) où l'on voit des scieurs de long utiliser ce genre d'engin. Pour le nom même, je n'ai pas trouvé d'entrée précise dessus mais l'Encyclopédie (celle de Diderot et d'Alembert, bien sûr, et donc datant du XVIIIe), parlant des scies des tailleurs de pierres précise : « Celles avec des dents sont tout-à-fait semblables aux passe-partout [...] », ce qui indique clairement que le nom est assez connu à l'époque pour servir de référence dans une comparaison (T. XIV, p. 787). -O.--M.--H.- 13 janvier 2011 à 08:11 (CET)[répondre]
J'ai fini par trouver l'entrée concernée, même tome, p. 786 : « Scie des coupeurs de bois, (Eaux & Forêts.) les scies dont on se sert dans les forêts pour débiter les plus gros arbres, s' appellent des passe-partout; ils n' ont qu'une manche à chaque bout de la feuille [...] ». -O.--M.--H.- 13 janvier 2011 à 08:30 (CET)[répondre]
--CQui bla : 13 janvier 2011 à 09:40 (CET) Il ne faut pas confondre les scies utilisées pour l'abattage et les scies des scieurs de long. c'est presque le même outil mais il me semble que le problème vient de ce que la scie d'abattage doit supporter le poids de l'arbre, ce que l'autre n'a pas besoin de faire. La différence serait donc la résistance mécanique du matériaux utilisé, d'ou la préférence des haches pour l'abattage.[réf. nécessaire][répondre]
Oui, je me suis fait cette réflexion que « scieur de long » était inexact après avoir écrit ça mais bon, l'erreur est minime et, comme les scies des tailleurs de pierre, leur forme générale (lame longue avec un manche à chaque bout) est la même. Cela dit, les passe-partout sont bel et bien utilisés pour les arbres de gros diamètre, donc les bûcherons ont du trouver des solutions pour résoudre le problème que tu évoques - probablement, ils placent des coins du côté où ils ont entamé la coupe, pour éviter que le poids de l'arbre exerce une trop forte pression sur la lame. -O.--M.--H.- 13 janvier 2011 à 10:00 (CET)[répondre]
Non, CQui pas tout-à-fait "le même outil" ! D'une part, la lame de scie des scieurs de long était maintenue dans un "montant" de bois, justement pour éviter ou réduire au maximum tout changement de direction de l'axe de coupe ! Il fallait un maximum de précision pour débiter au mieux des planches les plus régulières possible ! Voir par exemple ci-contre !
D'autre part, -O.- a raison. Pas question que la lame puisse agir en "supportant" le poids de l'arbre. Les gens à la campagne, du moins chez moi, en Picardie, disaient et disent encore "ça serre". Il faut alors évider (à la hache, à la serpe) un espace et en effet enfoncer au gros marteau (ou avec la tête de la hache) les fameux coins. Tout abattage d'arbre se prépare. Cela demande de la force, mais aussi de l'expérience, et beaucoup de prudence ! Ainsi que des aides pour se relayer à la hache et tirer éventuellement avec des cordes. Il faut éviter tout accident (écrasement lors de la chute de l'arbre) mais aussi toute (trop) mauvaise direction ... dans/sur la propriété voisine, sur une clôture, etc, sur des arbres voisins (mais juste "entre") car sinon le débitage sera d'autant plus pénible. - Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 13 janvier 2011 à 10:19 (CET)[répondre]
Il y avait aussi la scie longue pour scier un tronc d'arbre. Le bucheron attachait une corde à l'autre montant de la scie, comme ça il avait le retour. Important détail, il frottait la lame avec du savon pour pas que ça coince. Et c'était des journées de tant et tant d'heures, il avait fallu marcher pour se rendre sur le lieu de travail, il faudra marcher pour en repartir. Quand je vois les concours de bucherons américains avec des tronçonneuses, évidemment il faut le faire, pas besoin en tout cas d'aller chez wp:en on sait faire ça ... -Mikeread (d) 13 janvier 2011 à 10:30 (CET)[répondre]
En haut à gauche, usage de la scie (pas passe-partout) au Moyen Âge.
Du mauvais usage des scies : évitez de vous en servir à proximité de la tête de vos voisins...
Voilà ! Photo trouvée ... superbe pour l'argumentation ... voir Discussion:Scie passe-partout ! Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 13 janvier 2011 à 10:45 (CET)[répondre]
Et la même statue ... photo désormais importée dans Commons - Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 13 janvier 2011 à 13:51 (CET)[répondre]
Question subsidiaire : qui est « l’homme à la scie » sur cette photo ? Le prophète Isaïe ? Pas saint Cyr, je suppose. Morburre (d) 13 janvier 2011 à 22:09 (CET)[répondre]
Peinture de Josef Anton Hafner, um 1750. On dirait qu'il va nous jouer un air de mandoline façon scie musicale ! Émoticône Hautbois [canqueter]
J'avais aussi pensé à Saint Scie prie, hein ! mais bon, plutôt que de me fier à mes calembours douteux, j'ai envoyé un message au concepteur du site de la cathédrale de Rouen, en espérant qu'il aura une réponse circonstanciée. -O.--M.--H.- 13 janvier 2011 à 22:42 (CET)[répondre]
Morburre, je m'étais bien entendu aussi posé la question, mais n'avais rien trouvé sur l'identité du personnage représenté pas plus que sur l'éventuel lien logique de la proximité de cet homme à la scie et de son voisin le décapité. J'avais a priori plutôt pensé à une dégradation (guerre ... voyez-vous comme un trou noir dans la poitrine ? et l'avant-bras gauche cassé ?) ou à une mutilation de la statue au cours de l'histoire (huguenots ou révolutionnaires). Ma dernière et 2ème visite de cet édifice remonte à 7 ou 8 ans, et je n'avais pas pris le temps d'observer tout en détail, de me documenter à fond et/ou de demander à un guide. Et mes quelques rares photos prises alors (en argentique) sont d'assez piètre qualité et n'avaient pas pour "cible" cette statue en particulier.
-O.-, parfait pour ton initiative en direction du site officiel dédié à la cathédrale ! Espérons ! Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 14 janvier 2011 à 05:30 (CET)[répondre]
Curieux quand même ! A y regarder de plus près, le trou dans la poitrine a l'air bien parfaitement rond, la section de l'avant-bras gauche semble parfaitement lisse. Cette statue n'aurait-elle donc pas été aussi abîmée que supposé dans un premier temps ? Représenterait-elle en fait effectivement un "supplicié", un martyr ? Dans la main droite, ne tiendrait-il pas son cœur (certes plus gros que l'orifice pratiqué dans sa cage thoracique) ? Et puis, regardez bien le modelé précis et la courbe parfaite du vêtement, juste au col ! Je n'y trouve pas trace du tout de pierre détériorée par le gel ou un impact quelconque ! Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 14 janvier 2011 à 05:43 (CET)[répondre]
Youpi ! Grâce à la richesse (mine de rien !) documentaire de Commons concernant les saints, je viens de dénicher l'identité de l'homme à la scie ! ... Simon le Zélote. - Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 14 janvier 2011 à 07:49 (CET)[répondre]
Émoticône, donc voir là les représentations sur Commons du Saint scieur. — Hautbois [canqueter] 14 janvier 2011 à 11:05 (CET)[répondre]
Mais c’est bien sûr. Ce qui confirme saint Simon, c’est que son pote à côté est donc saint Jude Thaddée : sans parler de la tête, ce qui est coupé, ce n’est pas sa main gauche, ce qui serait anatomiquement bizarre, mais le bâton de foulon (et pas une massue) qui a servi à le trucider (et sur sa main droite, une image du Christ disparue). Morburre (d) 14 janvier 2011 à 12:48 (CET)[répondre]
Donc, le trou cylindrique dans la poitrine de "Jude" serait en fait d'origine ... le sculpteur ayant sans doute prévu la chose comme une mortaise pour que le bras et/ou l'attribut du saint (massue ou autre) équipé d'un tenon puisse être fixé ? Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 14 janvier 2011 à 18:49 (CET)[répondre]

Les 10 ans de Wiki[modifier le code]

Salut tout le monde,

Ma question n'est pas vraiment d'ordre encyclopédique, mais je me permets de vous la poser ici: je suis journaliste pour le site de la Télévision Suisse romande et avec mes collègues, dans le cadre des 10 ans de Wikipédia samedi, on aimerait marquer le coup. C'est pourquoi nous cherchons une (ou plusieurs) personnes qui contribuent activement, et de manière assidue, aux pages de Wikipédia et qui habitent si possible en Suisse. On aimerait bien mettre en avant la communauté qui travaille pour Wiki et discuter avec quelques acteurs, approfondir leur travail et pourquoi pas faire un portrait de l'un deux.

Je sais aussi que je ne dois pas laisser mes coordonnées ici, mais pour l'occasion je fais une entorse au règlement. Voici donc mon adresse e-mail: ***@***.ch. N'hésitez pas à me contacter si vous acceptez de discuter (sans engagement bien sûr) ou si vous connaissez quelqu'un qui serait prêt à nous parler!

Merci d'avance.

Meilleurs messages.

Patrick Suhner

Logo de courriel Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).
Bonjour, et désolé, pas de passe-droit pour les courriels. Le bandeau explique pourquoi. Et doublement désolé, ce n'est pas le bon endroit pour une telle demande. Le plus simple et le plus efficace est de prendre contact avec Wikimédia CH ou Wikimédia France - les liens sont en bas de la page indiquée - pour mettre votre projet en place. En plus, les membres des associations locales de Wikimédia sont des assidus, c'est couru d'avance, je dirai même, des enragés Émoticône sourire. -O.--M.--H.- 13 janvier 2011 à 09:15 (CET)[répondre]
Le message a été transmis aux intéressés en effet ;). Erdrokan - ** 13 janvier 2011 à 09:18 (CET)[répondre]


Au passage : voir à propos de cet anniversaire : Wikipédia:Le Bistro/14 janvier 2011#Revue de presse ... Alphabeta (d) 14 janvier 2011 à 16:39 (CET)[répondre]


J’ai un conseil pour tous les journalistes voulant écrire sur Wikipédia de langue française : celui contribuer un court moment à la partie encyclopédique (un journaliste aura toujours quelque chose à reprendre sur les articles dédiés aux organes de presse qu’il connaît) à titre d’IP après avoir demandé qu’on lui fournisse un « parrain » (afin que le journaliste ne perde pas trop de temps et évite les malentendus les plus courants)... Alphabeta (d) 14 janvier 2011 à 18:54 (CET)[répondre]

Oui, et puis un journaliste qui veut écrire sur la politique doit se faire élire, un critique ciné avoir réalisé un film, un chroniqueur judiciaire tuer sa femme ? Émoticône HaguardDuNord (d) 14 janvier 2011 à 21:31 (CET) [répondre]
Juste remarque, Haguard, mais dans ce cas cependant, une petite plongée dans les arcanes de Wikipédia pourrait être un plus pour la rédaction de son article. C'est d'ailleurs ce qu'a du se dire celui-ci, cette section ayant été créée par Patsouci (d · c · b), qui aurait donc pu se passer de mettre son courriel en clair et inviter à le contacter par email via son compte Émoticône -O.--M.--H.- 14 janvier 2011 à 22:39 (CET)[répondre]
En effet. Les articles que j’ai lu à l’occasion de son anniversaire m’ont convaincu que le fonctionnement interne de Wikipédia n’est compris que de façon superficielle par les journalistes. Et à HaguardDuNord (d · c · b) je fais remarquer qu’il est plus facile d’effectuer un court « stage » au sein de Wikipédia que de tuer sa femme... Les chroniqueurs automobiles, eux, évoquent les essais qu’ils ont effectués au volant du nouveau modèle auquel ils consacrent leur « papier ». On a aussi vu des journalistes embedded dans des troupes combattantes. Cordialement. Alphabeta (d) 15 janvier 2011 à 12:59 (CET)[répondre]
La comparaison est osée. L’enjeu n’est pas le même : raconter aux gens la guerre, les tribunaux, la prison, ou la petite vie des ouiquipédiens, c’est pas tout à fait de la même importance. D’ailleurs je ne suis pas certain que l’image de l’encyclopédie sorte grandie d’un reportage qui raconterait les interminables prises de décision, arbitrages, etc. rv1729 16 janvier 2011 à 14:09 (CET)[répondre]
Quel que soit l’enjeu un journaliste se doit de fournir des informations pertinentes. Et tôt ou tard un journaliste qui aura été wikipédien dans sa jeunesse écrira un papier sur Wikipédia : autant donc anticiper en montrant les soins apportés par les contributeurs wikipédiens à l’élaboration de leur encyclopédie. Cordialement. Alphabeta (d) 16 janvier 2011 à 21:50 (CET)[répondre]
Un sujet sur la ouiquipédie est plutôt destiné à boucher un trou dans les pages divertissantes. Ça ne me gêne pas plus que ça. rv1729 16 janvier 2011 à 22:57 (CET)[répondre]
Sujet seulement divertissant pas forcément pour bien longtemps encore. Mais faites donc au mieux, après tout la prudence est la mère de la sûreté, comme on disait. Cordialement. Alphabeta (d) 17 janvier 2011 à 20:04 (CET)[répondre]
Et à la relecture, Wikipédia:Le Bistro/14 janvier 2011#Revue de presse est plus qu’une liste d’articles « bouche-trou ». Alphabeta (d) 17 janvier 2011 à 21:32 (CET)[répondre]

L'adresse e-mail d'Erika Toda[modifier le code]

Bonjour

Connaissez-vous l'adresse e-mail de l'actrice japonaise Erika Toda ?

Bien cordialement.

Téléphone Wikipédia n'est ni un annuaire, ni une base de données, ni un site de renseignements téléphoniques, mais une encyclopédie.
De ce fait, les articles qui la composent ne doivent pas se borner à être de simples compilations de sources primaires, mais doivent au contraire s'appuyer sur des sources secondaires qui analysent le sujet et le mettent en perspective.

Sérieusement, écrivez (peut-être plutôt sur papier) à la maison qui a produit son dernier film, ils transmettront (peut-être). rv1729 13 janvier 2011 à 15:18 (CET)[répondre]

Autre solution, Erika Toda a probablement tout l'attirail ab-so-lu-ment nécessaire de l'acteur moderne : site « officiel », pages Facebook, MySpace et compagnie, et on doit pouvoir lui écrire (enfin, censément lui écrire...) à partir de là. Pour le site « officiel », une bonne connaissance du japonais semble requise (pas vu de lien vers une version alternative dans une langue utilisant l'alphabet latin). -O.--M.--H.- 13 janvier 2011 à 15:45 (CET)[répondre]
Et récidiviste en plus ! Voir Wikipédia:Oracle/semaine 4 2009#l'adresse de domicile de Erika Toda.--Doalex (d) 13 janvier 2011 à 16:20 (CET)[répondre]

Merci pour votre réponse en tout cas. Oui oups désolé en fait je pensais que j'avais pas envoyé ma question du premier coup c'est pour ça ^_^.

Acronymes des radios FM américaines[modifier le code]

Salut
Je n'ai pas trouvé sur WP (ni le Net) pourquoi les noms des stations de radios FM étazuniennes sont uniquement composés d'acronymes genre KWZY. C'est plus facile à retenir que "Radio France" pour la langue anglaise ? :D
Une idée ?
Merci :)
--Draky (d) 14 janvier 2011 à 18:03 (CET)[répondre]

Voir, par exemple, en:Radio_call_sign#North_America. Je cherche quelque chose en français... -- Xofc [me contacter] 14 janvier 2011 à 18:31 (CET)[répondre]
Pour résumer en français, les stations de radio et télévision en Amérique du nord sont toutes identifiées par un code de trois ou quatre lettres. Dans l'est des États-Unis, ce code commence par "W", à l'ouest du Mississippi par "K", et au Canada par "C". Les plus vieilles stations ont un code de trois lettres (par exemple, "WGN", le poste de télévision de Chicago qui fut parmi les premières stations distribuées par câble dans l'ensemble de l'Amérique du Nord), mais ces codes ont été épuisés très rapidement (on parle du début des années 1930). Parfois, les lettres ont une signification, par exemple WWDC, à Washington, DC, mais la plupart du temps, elles sont aléatoires. Les stations sont tenues de s'identifier en ondes à intervalle régulier en utilisant ces lettres et en nommant leur ville d'origine. Comme ces codes sont plutôt rébarbatifs, nombre de stations ont aussi une identité non officielle, où souvent apparaît leur position sur la bande FM (ex: "Hits 101"), mais elles sont quand même tenues de s'identifier selon leur nom officiel, de façon à ce qu'un auditeur qui aurait une plainte à formuler quant à leur contenu sache à qui il a affaire. --Xuxl (d) 17 janvier 2011 à 19:10 (CET)[répondre]

Couleur des liens visités[modifier le code]

Comment changer la couleur des liens visités. Je ne vois pas la différence avec les liens non visités. Merci d'avance. --Seymour (d) 14 janvier 2011 à 23:23 (CET)[répondre]

Si vous êtes sous Windows XP essayez ceci, sinon ça peut peut-être vous donner des idées : http://www.microsoft.com/france/accessibilite/training/windowsxp/linkcolors.aspx

92.155.65.82 (d) 15 janvier 2011 à 00:40 (CET)[répondre]

Sinon tu peux personnaliser tes couleurs avec ton monobook.css ou vector.css (CSS désolé, c'est l'habitude du Js!) Mais je ne suis pas du tout calé en la matière pour ça. --Floflo (d) 15 janvier 2011 à 01:03 (CET)[répondre]
Tu peux modifier les couleurs pour les liens avec ton monobook.css. S'il n'existe pas tu peux le créer aisément à condition d'avoir un compte Wikipédia. Une fois ça fait, tu crées un lien (ou tu fais une recherche de page) sous la forme [[Utilisateur:[nom]/monobook.css]], pour exemple Utilisateur:Olivier Hammam/monobook.css.
Le code pour modifier les couleurs des liens et des liens visités:
 A:link     { color: [valeur]; }
 A:visited  { color: [valeur]; }
La valeur peut être un nom de couleur (red, blue, lightblue, green, cyan, crimson, yellow, et des dizaines d'autres noms) ou un nombre hexadécimal de 6 chiffres précédé d'un #, chaque couple de chiffes codant une des nuances du système RGB / RVB (red-green-blue / rouge-vert-bleu). La valeur #FF0000 par exemple correspond à red.
Pour illustration :
<font color=red>très rouge</font>         ==>  très rouge
<font color=#00FF00>très vert</font>      ==>  très vert
<font color=crimson>très cramoisi</font>  ==>  très cramoisi
<font color=#DC143C>très cramoisi</font>  ==>  très cramoisi
(Ce n'était pas plutôt une question pour la Guilde des Guides ?). -O.--M.--H.- 15 janvier 2011 à 08:42 (CET)[répondre]
En complément. Pour les autres navigateurs il y a probablement moyen de le faire, dans Mozilla Firefox on peut fixer la couleur des liens : menu « Outils/Options », onglet «Contenu » puis bouton « Couleurs ». Après choix fait, décocher la case « Autoriser les pages Web à utiliser leurs propres couleurs ». Problème : toutes les pages de tous les sites auront la même couleur pour le fond, le texte et les liens... -O.--M.--H.- 15 janvier 2011 à 08:51 (CET)[répondre]

Identification d’un éditeur[modifier le code]

Ma situation étant désespérée, je te prie ô Ange Miséricordieux, de bien vouloir me prêter aide et assistance !

Bonjour. Je suis honteuse de m’adresser à vous pour cela mais je ne parviens pas à trouver l’éditeur de la Revue d'Archéologie et de Paléontologie; GG donne des liens qui débouche sur la mention Belgique ou Plainevaux, mais pas d’éditeur... Ou je suis trop fatiguée (fort possible) ou c’est une revue confidentielle (mais avec des articles intéressants dont un de Liliane Henderickx intitulé Philippe-Charles Schmerling (1790-1836) révèle l'antiquité de l'homme grâce aux dépôts antédiluviens des grottes liégeoises dont j’ai récupéré le texte qui doit me servir de source) ou... En un mot, je m’abandonne à vous avec un sentiment d’incompétence abominable. Smiley Colère Sauvez-moi... --Égoïté (d) 14 janvier 2011 à 23:52 (CET)[répondre]

Et ben ! Pas facile de trouver une référence. Mais j'ai eu le réflexe d'aller voir les institutions, d'abord celle du patrimoine, mais là rien, puis la Bibliothèque royale de Belgique et là, bonne pioche ! http://opteron1.kbr.be/cgi-bin/opac.cgi?P1=3_JAN&P2=1&P4=&P0=FKBR&P3=R_TWT1&P5=20&P6=revue+pal%E9ontologie&Start+opzoeking=START Émoticône sourire Pas d'éditeur à proprement parler, et apparemment la revue a cessé, ou est désormais publiée sous un autre nom. -O.--M.--H.- 15 janvier 2011 à 01:38 (CET)[répondre]
De mémoire, c'est toi qui m'avais donné le modèle prière, il est donc juste que ce soit toi l'ange sauveur... Émoticône --Égoïté (d) 15 janvier 2011 à 07:53 (CET)[répondre]
Bonne mémoire, me souvenais plus d'avoir fait ce modèle Émoticône (me souviens par contre avoir créé la redirection {{gai}}). Au passage, je viens de remarquer que le concepteur ou le programmeur du moteur de recherche de la BRB est clairement néerlandophone : "+opzoeking=START" Émoticône. -O.--M.--H.- 15 janvier 2011 à 08:12 (CET)[répondre]

Pièces de monnaie (suite)[modifier le code]

Bonjour,

Suite à une autre section concernant les pièces de monnaie ci-dessus, j'aurais eu une autre question... A savoir: est-il possible que durant toute notre vie (qu'on va supposer de l'ordre de l'espérance de vie du pays, enfin qu'importe) l'on puisse tomber une deuxième fois sur une pièce ou un billet que l'on a déjà eu (plus ou moins longtemps, après là n'est plus la question) en notre possession? Car après-tout il y a énormément de liquide en circulation, mais tout au long de notre vie on touche de nouvelles pièces et nouveaux billets, augmentant encore nos chances de retomber dessus un jour. Je suppose donc que c'est une probabilité croissante par rapport à la durée de vie. Enfin bref, si cette question en inspirent certains. Je veux bien entendre leur avis. Émoticône sourire Merci ! Cordialement, --Floflo (d) 15 janvier 2011 à 01:20 (CET) _ Émoticône Problème déjà posé plus haut dans la section précitée en parlant d'1 euro, limité à une certaine zone, donc avec une précision utile.--Doalex (d) 15 janvier 2011 à 10:53 (CET) [répondre]

Ce n'est pas impossible si tu fréquentes les mêmes commerçants : Il m'est arrivé de retrouver les mêmes pièces après avoir payé plusieurs tournées au bar... Sinon, pour les billets, tu peux inscrire une petite marque sur les billets qui sont dans ta poche et tu regardes si tu retrouves cette marque sur les billets que tu reçois... --Serged/ 15 janvier 2011 à 10:35 (CET)[répondre]
Avec ce site, certaines personnes suivent leurs billets en Europe. Erdrokan - ** 15 janvier 2011 à 12:47 (CET)[répondre]
Et il me semble évident que tu as beaucoup plus de chances de revoir la même pièce de 2 € qu'un billet de 200 €, mais tu devras peut être attendre plusieurs années pour cela. Par ailleurs, les probabilités sont fort différentes selon que tu habites une grande ville ou un petit village. Cela me rappelle une étude de probabilité qui prouvait que tu dois, au moins une fois dans ta vie, respirer un atome d'oxygène qui a été respiré par Jules César. --Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 12:52 (CET)[répondre]
Je me faisais la même réflexion, pour l'endroit où l'on dépense son argent. Il en va des pièces et billets comme des humains : dans le petit village de mes parents (1.600 habitants) je croise les personnes de connaissance très souvent ; du temps que je vivais à Paris, rares étaient les fois où je croisais mes connaissances. Cela dit, il y a aussi la question de la distance : même si de manière absolue je croisais moins souvent mes connaissances à Paris, ça m'arrivait tout de même plus souvent les jours où j'étais dans mon quartier que ceux où j'allais dans d'autres arrondissements. Pour les pièces et billets, ça doit jouer aussi : à Paris comme dans un petit village, plus de chances de retomber sur les mêmes dans la boulangerie du coin que dans la grande surface. -O.--M.--H.- 15 janvier 2011 à 13:55 (CET)[répondre]
Hul : tu as mal retenu : l’idée est qu’à chaque respiration, tu respirerais quelques molécules d’oxygènes expirées par César à sa mort. Ce problème classique est connu sous le nom de « problème du dernier souffle de César ». Voir pour le calcul et une réflexion critique.
Il y a plein de variantes, avec les molécules de carbone de Jeanne d’Arc (qui a bénéficié d’une diffusion rapide à sa mort) ou le verre de vin du Christ à la Cène. rv1729 15 janvier 2011 à 14:09 (CET)[répondre]
Non, Hervé, j'ai bien retenu. Et sur le site que tu indiques, il y a une énorme erreur de conception : il établit un rapport entre le nombre de molécules d'oxygène que tu respires et le nombre total de molécules contenues dans l'atmosphère terrestre. Or, l'immense majorité de ces molécules, combinées à l'hydrogène, se retrouve sous forme d'eau. Je ne connais pas le rapport exact, mais le rapport de proportion est énorme. Sur tout l'oxygène que contient la terre, seule une infime partie se retrouve dans l'atmosphère. --Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 14:28 (CET)[répondre]
Pour transformer de l’O2 en H2O, il faut brûler de l’hydrogène, ce qui n’arrive pas tous les jours (l’atmosphère terrestre en contient fort peu)... le site en question fait d’autres critiques nettement plus justifiées que la tienne.
Néanmoins, puisque tu assures avoir bien retenu, je suis curieux que tu cites un bouquin qui donne ta version du problème. Celle que je connais est dans une flopée de bouquins — cf le fameux site pour des références ; je l’ai rencontré pour ma part plusieurs fois, la première fois c’était dans un bouquin de deux toubibs sujets de sa majesté, Idées folles et idées fausses en médecine, Skrabanek et McCormik. À toi. rv1729 15 janvier 2011 à 14:36 (CET) + http://www.google.fr/search?q=caesar+last+breath pour plein de résultats ![répondre]
Bon, je vais essayer de retrouver cela, mais il est normal de concevoir que la quasi-totalité de l'oxygène respiré par César se trouve aujourd'hui au fond des océans. --Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 14:40 (CET)[répondre]
Il est évident que ce problème repose sur une approximation grossièrement fausse. Il est destiné à faire toucher du doigt l’immensité du nombre d’Avogadro, non à donner un calcul réaliste de cette probabilité... rv1729 15 janvier 2011 à 14:54 (CET) Mais l’oxygène réduit n’est sûrement pas majoritairement réduit sous forme d’eau ![répondre]
Là, oui, d'accord. L'oxygène est très réactif et se combine sans arrêt avec des tas d'autres éléments (voir la liste impressionnante de tous les oxydes et hydroxydes) et entre dans la composition de la plupart des molécules organiques. Limiter son utilisation au seul cycle respiration animale / photosynthèse (O2 --> CO2 --> O2) est totalement réducteur. --Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 14:58 (CET)[répondre]
Bon, dans ta recherche sur Google, je prends le premier site qui se présente et j'y trouve (traduit de l'anglais) : <<Par souci de simplicité, on peut supposer que les molécules dont César exhalé son dernier souffle en ont diffusé uniformément sur toute l'atmosphère, et ces molécules n'ont pas été absorbés par l'océan ou des plantes depuis des milliers d'années. Bien que ces hypothèses ne sont pas valables,elles peuvent nous aider à oublier la complexité du monde réel, et de faire des estimations élémentaires de la façon la plus simple. >> C'est clair, non ? Une fois de plus, toute la différence entre la théorie et la pratique--Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 15:21 (CET)[répondre]
Oui, et alors ? Il y a le même genre de précisions dans le site que je proposais. Je ne dis qu’une chose : c’est que cet exercice, dans cette version, est (très) classique (je ne dis pas que la modélisation est réaliste ; note l’emploi du conditionnel dans mon premier message), et que je n’ai jamais rencontré ta version. Ne change pas de sujet, si tu en es capable. rv1729 15 janvier 2011 à 15:34 (CET)[répondre]
Je ne change pas de sujet, je remarque (comme je l'ai dit plus haut) que les données du problème sont totalement fausses, même s'il s'agit d'un grand classique, et que je suis heureux que tu le reconnaisses. On ne peut donc prétendre respirer à chaque instant une molécule d'oxygène du dernier souffle de César. Mais, effectivement, cela n'a rien à voir avec les pièces de monnaie Émoticône En fait, l'ensemble des données reprenant tous les aspects du problème se trouve dans l'un de mes syllabi (je devrais le retrouver) qu'un prof s'était amusé à reconstituer, et qui arrivait à cette conclusion. --Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 15:46 (CET)[répondre]
Je l’ai dit implicitement dans mon premier message (emploi du conditionnel ; remarque sur le fait que le site pointé contenait une réflexion critique), et explicitement plusieurs fois par la suite, bien avant que ne traduise ce morceau de l’anglais. C’est assez de mauvaise foi pour moi, je te laisse affabuler sur tes syllabi. rv1729 15 janvier 2011 à 16:02 (CET)[répondre]
Suite de la discussion sur ta page personnelle. --Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 22:56 (CET)[répondre]

@Serged : Écrire sur un billet de banque n'est pas une bonne idée et est même punissable. Réponse trouvée sur un forum : "Battre monnaie est un droit régalien (étatique en France), donc la monnaie est propriété de l'état, toute dégradation en altérant l'usage est passible de sanction. Écrire sur un billet de banque est assimilable au taguage d'un monument,dans les fait il est difficile d'en poursuivre l'auteur, car un billet change trop souvent de mains." Dans le même ordre d'idées, le billet brûlé par Gainsbourg aurait pu lui valoir des poursuites. - Cymbella (répondre) - 15 janvier 2011 à 15:48 (CET) Wow, merci pour toutes vos réponses ou tentatives de réponses. Émoticône sourire --Floflo (d) 15 janvier 2011 à 22:58 (CET)[répondre]

heu... battre monnaie n'est pas un droit régalien. C'est tellement vrai que la monnaie émise par la BCE (les billets) et les états (les pièces) ne représentent pas un quart de la monnaie utilisée, le reste est émis principalement par les banques ; il est très fréquent, et ça reste vrai encoure aujourd'hui, que les états laisse circuler de la monnaie étrangère sur leur territoire. On ne peut parler de droit régalien, éventuellement (et c'est déjà discutable et discuté), qu'à propos du cours légal, ce qui autre chose que battre monnaie. Et l'euro n'est pas propriété de l'état, en général ; les pièces sont effectivement frappées par les états, mais les billets sont émis par la BCE. Ne pas oublier que pièces et billets sont, pour faire simple, des reconnaissances de dette au porteur : alors évidemment, on a pas le droit de les modifier. écrire sur un billet, ce n'est pas simplement tagger un monument, c'est rendre flou la limite entre un billet valable et un bout de papier (question : à partir de quel degré de gribouillis le billet n'est plus valable ?), donc c'est plus gênant que de les bruler carrément (ça par contre, ce n'est pas grave, ça revient juste à annuler la dette de l'émetteur du billet à l'égard du porteur, ce dont l'état français, à l'époque de Gainsbourg, n'aurait pu que se féliciter). gem (d) 17 janvier 2011 à 12:17 (CET)[répondre]

Anniversaire de Wikipédia[modifier le code]

BONNE ANNIVERSAIRE, & BONNE ANNEE 2011!
PS : Merçi d'exister. Djamila

Bon anniversaire, d'accord et bonne année aussi, mais je vous en prie c'est nous qui vous remercions d'exister.--Doalex (d) 15 janvier 2011 à 11:31 (CET) centert Trop mimi ! rv1729[répondre]

Salle(s) des colonnes[modifier le code]

Salut les pythies,

De nombreux édifices relativement anciens comportent une salle des colonnes. Avait-elle une fonction particulière ? Autrement dit, y a-t-il matière à un article encyclopédique ?

Merci. Émoticône sourire Skippy le Grand Gourou (d) 15 janvier 2011 à 15:46 (CET)[répondre]

Le rôle des colonnes n'était-il pas tout simplement de soutenir la toiture pour avoir une salle d'une plus grande superficie d'un seul tenant ? Cymbella (répondre) - 16 janvier 2011 à 22:28 (CET)[répondre]
Dans ce cas, ce qui m'étonne est qu'il n'y ait qu'une salle des colonnes dans ces bâtiments : pourquoi pas plusieurs ? Mais peut-être certains en ont-ils effectivement plusieurs, je ne sais pas… Skippy le Grand Gourou (d) 17 janvier 2011 à 09:19 (CET)[répondre]
En faisant une recherche sur le sujet, il apparaît que les « salles des colonnes » se multiplient au cours du XIXe siècle, principalement dans sa première moitié. De nombreuses salles des colonnes sont des espaces préexistants où les colonnes ont été ajoutées après coup et ont donc une fonction décorative, et non utilitaire. Ce siècle étant aussi le siècle du goût de l'antique (gréco-romain ou égyptien) et du monumental, probablement a-t-on jugé que l'ajout de colonnes donnait du cachet et de la solennité à ces espaces. Par après, certaines de ces salles ont changé d'emploi, comme par exemple dans les locaux du Conseil d'État : « La Bibliothèque du Conseil d’État est installée à l’emplacement de l’ancienne salle de bal du prince Jérôme Bonaparte. Prosper Chabrol réaménagea cette pièce après l’incendie de la Commune (1871). Les hautes colonnes corinthiennes lui donnent un aspect monumental ». -O.--M.--H.- 17 janvier 2011 à 10:35 (CET)[répondre]
Conflit : ca dépend de quels bâtiments tu parles. Si tu parles du capitole, la salle est centrale, et donc les colonnes n'ont qu'un but d'agrandissement de la pièce principale, il n'y a pas de raison d'avoir plusieurs salles des colonnes. A la rigueur on peut parler d'esthétisme. En revanche, si tu parles des églises, c'est clairement un but d'agrandissement, aussi bien le chœur que les travées. Conclusion, pour un article je crains le TI. Bertrouf 17 janvier 2011 à 10:52 (CET)[répondre]
Merci.
Bertrouf : Je ne pensais ni au Capitole ni aux églises, la réflexion m'est venue en voyant une porte sur laquelle il était indiquée « salle des colonnes » dans une mairie, qui m'a rappelé que ce genre d'indication me semblait relativement fréquent, d'où de potentiels points communs — l'absence d'article sur le sujet a fait le reste… Skippy le Grand Gourou (d) 17 janvier 2011 à 22:55 (CET)[répondre]

Composition de la planète Terre[modifier le code]

Chèr Oracle, D'après l'article Terre, la masse de la Terre est composée principalement de fer (32,1 %), d'oxygène (30,1 %), de silicium (15,1 %), de magnésium (19,9 %), de soufre (2,9 %), de nickel (1,8 %), de calcium (1,5 %) et d'aluminium (1,4 %), le 1,2 % restant consistant en de légères traces d'autres éléments. Comment peut-on en être sûr? Quelles sont les méthodes employées pour aboutir à des pourcentages aussi précis : au dixième de pourcent près!

Autre question annexe : quelle est la quantité de matière radioactive au centre de la Terre qui contribue à produire de la chaleur interne à la Terre? Et quelle est la part de chaleur résiduelle due à l'accrétion?--88.160.13.244 (d) 15 janvier 2011 à 16:56 (CET)[répondre]

Pour ce qui est de la chaleur interne, elle est produite à 90 % par la désintégration d'isotopes radioactifs tels que l'uranium 235, l'uranium 238, le thorium 232, voire même le potassium 40. Les autres sources sont la chaleur résiduelle de la formation de la terre, la chaleur gravitationnelle (mouvements à l'intérieur du manteau) et la chaleur latente qui résulte de l'expansion du noyau au fur et à mesure du refroidissement. Pour la première partie de la question, les différentes méthodologies ayant engendré ces résultats sont d'une si grande complexité qu'elles dépassent mes compétences. --Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 17:21 (CET)[répondre]
Il y a des pistes par exemple : composition de la croûte, du magma ; propagation des ondes sismiques pour déterminer la densité en fonction de la profondeur ; composition des météorites ; tout ça injecté dans un modèle pour le refroidissement de la boule terrestre... ça a pas l’air simple en effet !
Il y a la fin du papier des tables qui donnent des compositions.
Les géophysiciens sont réputés plutôt méticuleux dans le calcul des intervalles de confiance, ça vaudrait le coup de creuser... rv1729 16 janvier 2011 à 08:54 (CET)[répondre]

Absorbance[modifier le code]

Bonjour et longue vie à Wikipédia !

J'ai appris par une recherche sur Wikipédia (article Absorbance) que toute matière se laisse plus ou moins traverser par la lumière en fonction de sa longueur d'onde. Pourtant, l'esprit limité qui est le mien ne parvient toujours pas à saisir comment une onde électromagnétique peut inopinément passer entre les atomes sans être profondément perturbée dans sa trajectoire du fait des interactions électriques (protons et électrons). En première analyse, il me semble donc que tout rayonnement devrait être entièrement absorbé par toute matière dense… et pourtant ! Ma question est donc simple : comment puis-je voir à travers la vitre ?

Avec mes remerciements anticipés, nf.

Il m'est difficile impossible de te répondre mieux que l'article que tu cites. Tout y est détaillé. Mais il y a encore plus spectaculaire : le cas du neutrino, qui est pourtant une particule matérielle, possédant une masse (très faible, certes), et qui pourtant traverse la terre de part en part, sans interagir avec un seul de ses atomes ! Je trouve que ça, c'est encore plus fou, non ? Mais tu peux en apprendre plus en lisant l'article qui traite du photon et, surtout, en cliquant sur tous les liens qui s'y trouvent. Bonne lecture.--Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 23:49 (CET)[répondre]
Un peu de théorie : la matière étant principalement constituée de vide, la probabilité d'interaction photon-proton est très faible ; l'essentiel des interactions sont d'ordre photon-électron. Pour qu'il y ait interaction, il faut que l'énergie de l'onde lumineuse (qui est directement fonction de sa longueur d'onde) soit égale à la différence d'énergie entre deux niveaux d'énergie d'un électron qu'elle rencontre (niveaux électroniques, vibrationnels ou rotationnels). On observe, soit un spectre discret, cas général pour les composés covalents, iono-covalents et ioniques dans certaines gammes de fréquence, soit un spectre de bandes, cas des métaux et semi-métaux (pour faire simple).
Quelques exemples :
  • L'eau H2O absorbe dans l'infrarouge (excitation vibratoire : élongation asymétrique en 3756 cm–1 et symétrique en 3652 cm–1, déformation en 1595 cm –1), dans l'ultraviolet sous forme d'une large bande (excitation électronique), dans le domaine des micro-ondes (excitation rotationnelle, pic principal à 2,4 GHz perdu au milieu d'une large bande continue) et un peu dans le rouge (c'est pourquoi les océans sont bleus !). Voici un diagramme pour se donner quelques ordres de grandeur.
  • Le verre de silice SiO2 absorbe dans l'infrarouge (vers 2900 cm–1 et 1450 cm–1) mais pas dans le visible, c'est pourquoi il est transparent. Sauf s'il contient des impuretés ! Plus de détails dans Le Figaro.
  • Le carbone graphite ne laisse pas passer la lumière parce que ses électrons sont délocalisés en une large bande au sein du cristal (bande de conduction). Idem pour l'ensemble des métaux et semi-métaux (même s'ils présentent un éclat brillant en surface, ils sont noirs à l'intérieur). La bande de conduction est tellement large qu'elle absorbe tous les rayonnements de la lumière visible.
  • L'oxygène de l'air absorbe dans l'ultraviolet et dans le rouge, c'est pourquoi le ciel est bleu au milieu de la journée. On s'en rend compte plus facilement en observant de l'oxygène liquide, qui arbore une pâle coloration bleue. Pour les phénomènes de diffusion qui expliquent la couleur orangée du ciel au coucher du Soleil, consulter l'article Couleur du ciel.
Les propriétés de transparence de la matière sont donc liées aux longueurs d'onde d'absorption des électrons du matériau mis en jeu. Ceux qui absorbent dans le spectre visible seront colorés voire noirs s'il ont un très fort coefficient d'absorption, tandis que ceux qui n'absorbent pas dans le spectre visible seront transparents. Tachymètre (me parler) 16 janvier 2011 à 13:34 (CET)[répondre]
En tout cas, c'est clair. Merci --Doalex (d) 16 janvier 2011 à 13:48 (CET)[répondre]
Idem. Il reste pour moi un point opaque : l'électron qui a changé de niveau d’énergie doit se désexciter à un moment où un autre, s’pas ? Est-ce que le spectre d’émission n’est pas, en quelque sorte le négatif du spectre d’absorption ? Pourquoi l’électron qui retombe à son niveau fondamental n’émet-il pas un photon gzactement semblable a celui qu’il a absorbé ? rv1729 16 janvier 2011 à 13:54 (CET)[répondre]
C'est une remarque pertinente, rv. Et la réponse n'est pas simple. Dans certains cas, l'électron revient au niveau fondamental avec émission d'un photon identique à celui qui l'a excité, et on peut s'attendre à avoir un spectre « négatif ». C'est cet effet qui est mis à profit dans le Laser et dans certaines techniques d'analyse par spectrophotométrie, telle que la fluorimétrie. Mais l'électron peut revenir au fondamental de bien diverses manières :
Diagramme de Jablonski schématisant les transitions radiatives entre un niveau excité S1 vers le fondamental S0 dans le cas de la phosphorescence et de la fluorescence. Consulter le texte entourant l'image pour une description complète.
Schéma de Jablonski décrivant les transitions radiatives impliquées lors de l'absorption d'un photon et de sa ré-émission par luminescence (fluorescence et phosphorescence).
  • Transition radiative : l'électron passe du niveau minimal d'énergie d'un état S1 vers le niveau minimal d'énergie vacant d'un état S0 avec émission d'un photon correspondant à la différence d'énergie entre ces deux états (pas forcément identique à celui qui a excité l'atome !). Il peut y avoir relaxation vibrationnelle, cf le point 1. plus bas.
    • Si la transition est directe : l'électron passe d'un état à un autre état de même multiplicité, c'est la fluorescence.
    • Si la transition est indirecte : l'électron passe par un état intermédiaire de multiplicité différente, typiquement, d'un état singulet vers un état triplet. C'est la phosphorescence. La levée de dégénérescence qui donne naissance aux états singulets et triplets est due au couplage spin-orbite des électrons.
  • Transition non radiative : trois possibilités :
    1. Relaxation interne : processus par lequel un électron passe d'un état vibratoire ν1, 2, 3… vers l'état vibratoire fondamental ν0 au sein d'un état S1 avec échauffement de l'atome (ce qui arrive presque toujours dans le cas de la fluorescence et de la phosphorescence ; c'est indiqué sur le schéma de droite sous l'appellation « reconversion énergétique interne »).
    2. Retour au fondamental sans émission de photon avec échauffement de l'atome ou de la molécule / rotation de l'atome ou de la molécule / vibration des liaisons de la molécule / vibration du réseau cristallin dans l'infrarouge (phonons).
    3. Transfert de l'excitation sur un atome voisin par collision (conversion intersystème).
Suivant la nature du matériau et l'onde électromagnétique impliquée, on peut favoriser, soit la ré-émission radiative, soit l'échauffement. Par exemple, les tissus biologiques absorbent bien les IR et se réchauffent, l'eau absorbe les micro-ondes et se réchauffe, les colorants absorbent une partie du spectre visible (mais se réchauffent peu, la gamme du visible étant peu énergétique). Au contraire, les gaz de l'atmosphère ré-émettent continuellement les rayonnements UV et IR qu'ils reçoivent. Par exemple, l'ozone O3 absorbe et ré-émet les UVs dans toutes les directions (presque la moitié des rayons UVs repartent ainsi vers l'espace), le CO2 le méthane CH4 et la vapeur d'eau font pareil avec les IR venant de la surface de la Terre (rayonnement du corps noir), ce qui engendre l'effet de serre… (qui n'est pas dû au Soleil, comme on pourrait le penser !). J'espère que cela répond à ta question. J'ai été un peu long, c'est vrai, mais il est possible de développer encore plus ! Tachymètre (me parler) 16 janvier 2011 à 16:39 (CET)[répondre]
Ce n'est jamais trop long quand c'est développé d'une manière aussi intéressante. Mais qu'est ce qui modifie la vitesse de la lumière, par exemple, au travers d'une vitre ? Tous les photons subissent ils le même nombre d'interactions, ou est ce simplement une moyenne dont la résultante induirait cette modification ? --Hul Trasson (d) 16 janvier 2011 à 17:16 (CET)[répondre]

Quelle belle chose que la pensée ! Et quel beau paradigme que le matérialisme s’il peut effectivement faire émerger de la tradition rationaliste de telles prouesses dans le domaine des choses de l’esprit ! Alors, bien sûr, je n’ai pas tout compris ; et s’il est vrai que l’épistémologue gagne à cultiver un bon bagage scientifique, je suis contraint d’admettre que l’ultra-spécialisation contemporaine ne lui facilite pas la tâche...

Merci Hul Trasson, merci Rv et merci Trachymètre, nf

Ravi d'avoir été utile. Mais je suis visiblement allé trop loin dans la complexité. Ce qu'il faut retenir de mon intervention, c'est que le domaine du visible (400–800 nm) ne représente qu'une fraction du spectre total que peut prendre la lumière. Les matériaux peuvent absorber dans n'importe quelle région ; certains sont colorés à nos yeux parce qu'ils absorbent dans la région 400–800 nm, tandis que d'autres sont transparents parce qu'ils absorbent ailleurs dans le spectre.
Pour répondre à ta question, Hul Trasson, je ne peux que te recommander de lire l'article indice de réfraction et de cliquer sur tous les liens. Émoticône L'optique n'a jamais été mon point fort. Mais comme je suis curieux, je suis quand même allé voir. La vitesse de la lumière dans un matériaux transparent est donnée par la relation v = c/n avec n l'indice de réfraction, qui s'exprime par . Propriétés physiques : est la permittivité diélectrique du matériau, c-à-d sa faculté à réagir à l'application d'un champ électrique en se polarisant, et est la perméabilité magnétique du matériau, c-à-d sa faculté à attirer les lignes de champ magnétique. Une onde électromagnétique étant composée d'un champ électrique et magnétique oscillants, elle sera affectée par la permittivité et la perméabilité du matériau qu'elle traversera, ce qui se traduit par le ralentissement de son vecteur d'onde . Tous les photons subissent la même interaction si le milieu est homogène.
Une application marrante des propriétés de réfraction est l'effet Tcherenkov. D'après les lois de la réfraction, les photons peuvent être tellement ralentis que d'autres particules de haute énergie peuvent se déplacer plus vite que la lumière ! (Dans un milieu matériel uniquement.) Ainsi, une particule chargée émettant de la lumière peut faire l'équivalent d'un bang supersonique dans l'eau. De belles photos sont disponibles sur l'article anglais. On peut même s'amuser à envoyer des particules chargées dans un milieu à indice de réfraction négative (!) pour que la lumière émise par la particule aille dans la direction opposée !!! (réf : [11], §4) Tachymètre (me parler) 16 janvier 2011 à 18:28 (CET)[répondre]
Sacré Boudu Con ! C’est un peu technique pour moi (je me suis arrêté à la physique de prépa). Je sais qu’un jour il faudra que j’avale quelques bouquins de cours un peu plus avancés, pour ma kultur general, mais avant de pouvoir me permettre ça j’ai quelques années de travail de mise à jour dans mon domaine (euh, dans mes domaines à vrai dire :/). Merci en tout cas, même sans comprendre le détail je pense que je vois l’idée. rv1729 16 janvier 2011 à 21:00 (CET)[répondre]
En ce qui concerne l'indice de réfraction, lire cet article (en anglais), ça semble encore mal compris au niveau microscopique (PS : je ne suis pas capable de le résumer, ça fait un bail que je l'ai lu et comme j'ai la crève je n'ai pas le courage de le relire aujourd'hui…). Notez que l'effet Čerenkov dans l'eau possède des applications intéressantes, comme les télescopes à neutrinos. Émoticône Skippy le Grand Gourou (d) 16 janvier 2011 à 21:14 (CET)[répondre]
<<Tous les photons subissent la même interaction si le milieu est homogène>>. C'est la réponse que j'attendais. Merci infiniment pour toutes tes explications. --Hul Trasson (d) 17 janvier 2011 à 00:20 (CET)[répondre]
Ton article est intéressant, Skippy. J'ai fini de le lire, mais de la même façon que je le ressens lorsque je lis des livres de quantique, j'ai l'impression que leurs formules mathématiques sortent d'un chapeau magique ! Pour résumer rapidement :
  • Approche ondulatoire : lumière = onde composée d'un champ magnétique et électrique oscillants auto-entretenus. Dans le matériau, l'oscillation du champ électrique engendre des moments dipolaires induits dans les nuages électroniques de atomes du matériau, qui vont émettre à leur tour un champ électrique opposé. La partie électrique de l'onde est freinée, donc l'onde se propage moins vite (quid de la partie magnétique de l'onde ?). L'indice de réfraction dépend de la fréquence d'oscillation de la partie électrique de l'onde.
  • Approche corpusculaire : lumière = particule dépourvue de charge et de masse ; elle ne peut pas réagir aux champs électriques et magnétiques. Le photon avance constamment à la vitesse c, quel que soit le milieu qu'il traverse. Mais lorsqu'il entre en collision avec une molécule, il est absorbé par un électron qui est envoyé dans un niveau électronique virtuel. Le processus est réversible, et après un temps de l'ordre de 10–17 secondes, l'électron revient à son niveau de départ en ré-émettant la particule, avec les mêmes composantes de vitesse vx, vy et vz (il repart dans la même direction). Ces mini-pauses ralentissent le trajet des photons, ce qui ralentit la lumière. L'indice de réfraction dépend de l'énergie du photon.
Ça y est, y'a encore des survivants ? Émoticône Tachymètre (me parler) 17 janvier 2011 à 20:19 (CET)[répondre]

Bon anniversaire[modifier le code]

Bon anniversaire Wikipédia ; et que vous viviez longtemps. On eut dix années spectaculaires et que l'on en ait dix en plus ! ;) 24.92.70.160 (d) 15 janvier 2011 à 19:11 (CET)[répondre]

"Hémorragie" végétale ?[modifier le code]

Bonsoir cher érudits , pourriez vous m'aider à trouver réponse s'il-vous-plait . Sur la façade sud-ouest de ma maison grimpe une vigne vierge (probablement japonaise) hors d'âge , et j'ai remarqué depuis quelque semaines qu'elle "saignais" à l'endroit où une petite brindille avait été déchiré par un probable coup de vent . Optimiste de et en la nature je pensais que cela allait guérir naturellement , pourtant ; même après avoir proprement coupé cette petite tige et essayé d'appliquer du goudron cicatrisant sur la section , il s'écoule toujours une sorte de sève , presque de l'eau , de celle-ci , et cela dure maintenant depuis cinqs semaines . Cela est-il grave (je ne pense pas) , que faire , ma vigne risque-t-elle la déshydratation (car même goutes à goutes , depuis le temps , on en est à plusieurs litres)!? Merci de votre sollicitude. Ro .

Si c'était un bouleau, tu pourrais en faire une boisson, c'est délicieux ! La question a déjà été posée ici, mais la solution ne semble pas évidente… - Cymbella (répondre) - 16 janvier 2011 à 22:24 (CET)[répondre]
Une suggestion, voir directement avec le Projet:botanique, spécialement la page Discussion Projet:Botanique (le « café de Flore » bien sûr Émoticône) où on saura mieux te répondre je pense. -O.--M.--H.- 16 janvier 2011 à 23:34 (CET)[répondre]

Copie du message dans le café des botanistes

Merci de votre intérêt et pour la redirection vers le troquet des botanistes ; je touche du bois , ne dit-on-pas "in vino veritas" ? Ro.

Bonjour, je voulais savoir si la "Loi de Godwin" avait déjà été vérifiée ? Merci chers oracles!

« Plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d'y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Adolf Hitler s'approche de 1[1]. » Qu'appelles-tu vérifier? Je dirais que ca dépend du types de discution, des interlocuteurs, et du niveau de Testostérone dans l'air. --Bonjour On fume le calumet 15 janvier 2011 à 20:28 (CET)[répondre]
Il n'y a pas besoin de vérification : plus une discussion dure, plus elle est vaste, et plus les chances d'y trouver un terme précis sont grandes. C'est logique. Mais en elle-même, la Loi de Godwin n'a rien d'une Loi ; ce terme tient plus de l'humour ou du mème... --Grelot-de-Bois (d) 15 janvier 2011 à 20:32 (CET)[répondre]
La loi de Godwin n'est pas proprement une loi, juste une manière humoristique de présenter une réalité sociale, à la manière de la loi de Murphy ou du principe de Peter. L'idée de cette « loi » est que plus une discussion sur un sujet controversé dure, plus on a de chances - ou de risques - que les intervenants sortent du domaine de l'argumentation pour entrer dans celui de l'invective. Et quoi de pire que de traiter son contradicteur de nazi, de fasciste ou de stalinien, et de le comparer à Hitler, Staline, Pol Pot ou Ceaucescu ? Comme dit Grelot-de-Bois, il n'y a pas proprement de vérification, simplement le sentiment que Godwin a frappé assez juste.
Il y a cependant une confirmation paradoxale de la loi, l'utilisation du point Godwin comme indicateur qu'un « point de non retour » a été atteint sans pour cela que la personne visée invoque les nazis ou Hitler. C'est paradoxal en ce sens que c'est celui qui évoque le point Godwin ou décerne un point Godwin qui, en réalité, franchit le point Godwin en invoquant implicitement les nazis et Hitler quand la personne visée ne l'a pas fait explicitement. -O.--M.--H.- 15 janvier 2011 à 21:16 (CET)[répondre]
A notre questionneur : Bien sûr que oui, la loi Godwin a déjà été vérifiée de multiples fois Émoticône...
On peut même le faire tout de suite d'ailleurs : je peux te traiter d'Adolf Hitler ou de nazi si tu veux (je te laisse choisir). Et voilà. Y'a qu'à demander ! .Anja. (d) 15 janvier 2011 à 21:36 (CET) c'est de l'humouuuuuuur[répondre]
Che fous rebercie, z'est drès zympa te fôtre part. Nein, Nazismus nix Gut ! Allez au refoir ! -Papa Schultz
Exception notable : les interminables conversations téléphoniques de ma femme avec ses soeurs, qui tournent encore et toujours autour des mêmes sujets Émoticône --Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 22:41 (CET)[répondre]
Comment osez-vous dénigrer ainsi les conversations sûrement fort intéressantes que votre épouse tient avec ses soeurs ? Misogyne ! Landru ! 86.212.230.217 (d) 16 janvier 2011 à 01:41 (CET)[répondre]
… en français, vous parlez bien de la « Loi de Vindieu  » ? ÉmoticôneHautbois [canqueter] 16 janvier 2011 à 09:24 (CET) (ça, c'est du Vermot moderne, et pour pas cher : 30 deniers, je crois).[répondre]

Oui c'est bien ce que j'avais compris , mais je m'étais demandé si quelqu'un ou quelqu'une s'était amusé à verifier l'exactitude de cette "loi" ... merci pour vos réponses en tout cas ! et joyeux anniversaire et longue vie à wiki :)

clapicette ???[modifier le code]

bonjour, Est ce qu'une pythie peut me renseigner sur ce qu'est une "clapicette" ce serait une sorte de labyrinthe ? Comment en faire une ? Merci --Kkbs (d) 15 janvier 2011 à 22:03 (CET)[répondre]

Une rapide petite recherche sur google ne donne comme résultat qu'un matériau de revêtement de sol. Rien non plus dans le TLFI. D'où te vient l'idée qu'il pourrait s'agir d'un labyrinthe ? Dans quel phrase, ou dans quel contexte ce terme est il apparu ? --Hul Trasson (d) 15 janvier 2011 à 23:27 (CET)[répondre]

Bonjour et merci pour la réponse, le contexte est qu'une personne en chaise a poser la question sur un site de bricolage. Elle désire faire un parcours (labyrinthe comme elle dit) mais comme je comprends c'est recouvrir le sol de ce parcours par ce fin gravier afin de circuler facilement. Ce gravier (j'ai aussi trouvé sur gogole) à l'air de servir essentiellement pour les boulodromes. le problème à mon avis sera de se faire livrer ce type de granulat qui semble spécifique à la région du Vaucluse dans le Tarn. A moins de trouver un granulat correspondant dans sa région. Je vais voir maintenant ce que l'on dit à propos des boulodromes. Merci, mais au départ, je manquais de précisions. --Kkbs (d) 16 janvier 2011 à 06:12 (CET)[répondre]

D'après le peu que j'aie pu comprendre, ce matériau ne serait pas l'idéal pour un parcours en chaise roulante. Il me semble qu'un asphaltage serait sans doute plus approprié. Bon, le coût financier n'est peut être pas le même non plus. --Hul Trasson (d) 16 janvier 2011 à 14:32 (CET)[répondre]

La personne en question est allée en chaise chez une de ses connaissances et a trouvé cette surface très facile par comparaison à la sienne. Mais il reste comme un problème, elle ne semble pas comprendre qu'il s'agit d'un gravier de 0,6 et qu'il faut au fond bien durci avant de le mettre (j'ai lu un peu la construction d'un boulodrome et c'est moins simple qu'il n'y parait au premier abord) merci quand même --Kkbs (d) 16 janvier 2011 à 16:30 (CET)[répondre]

J'ai trouvé une définition pour le terme, qui curieusement est en anglais : « The typical term in Provence is "clapicette", or "du zéro/six" meaning anything between 0 and 6 mm »(« Le terme typique en Provence est “clapicette” qui signifie “n'importe quel matériau entre 0 et 6mm” [de diamètre] »). C'est la bonne explication je crois, les diverses « clapicettes » proposées étant soit du sable, soit du gravier, dont le seul point commun est d'être spécifiées comme « du 0/6 ». -O.--M.--H.- 16 janvier 2011 à 18:09 (CET)[répondre]
À quand une entrée wikt:clapicette ? Alphabeta (d) 16 janvier 2011 à 21:45 (CET)[répondre]
Je vois que l’entrée vient d’être créée... Alphabeta (d) 17 janvier 2011 à 13:27 (CET)[répondre]

Chats et chiens, et humains[modifier le code]

Bonsoir. Savez-vous s'il existe des études qui auraient vérifié si un chat ou un chien est capable ou non de connaitre le sexe des humains qu'il fréquente? Merci. Dhatier jasons-z-en 16 janvier 2011 à 01:01 (CET)[répondre]

Aucune idée s'il y a une étude là-dessus, par contre certaines phéromones sont des « marqueurs de genre ». De l'autre côté, je ne sais pas si on peut proprement dire que chats et chiens sont « capable[s] de connaitre le sexe des humains », probable que si on masque les émanations d'un homme et qu'on le parfume avec des phéromones spécifiques aux femelles, ils l'identifieront bien comme « de genre femelle », quel qu'eut été leur avis antérieur... -O.--M.--H.- 16 janvier 2011 à 04:48 (CET)[répondre]
Je n'ai effectivement rien trouvé non plus sur le sujet. Comme le souligne Olivier, il y a peu de chances pour que chiens ou chats perçoivent une différence, les phéromones étant destinées principalement à la perception entre individus de la même espèce. Il faudrait creuser du côté des allomones ou des kairomones, qui sont des messages chimiques destinées à d'autres espèces, mais qu'on identifie principalement au niveau des insectes. Tout ceci au conditionnel, vu l'absence apparente de recherches en la matière. --Hul Trasson (d) 16 janvier 2011 à 09:53 (CET)[répondre]
Je n'ai pas de source ; mais je crois bien que de telles études ont été menées. Je crois avoir lu quelque part que la plupart des animaux ne différenciaient pas les sexes d'autres espèces ; si un chien ou un cheval peut reconnaître son « maître » à l'aspect visuel (cf. test avec des masques) ou à l'odeur, ça ne va pas plus loin concernant le sexe de ladite personne. .Anja. (d) 16 janvier 2011 à 11:33 (CET)[répondre]
Georges Brassens l'avait bien compris en écrivant Le gorille à lire et à réécouter [12] .--Doalex (d) 16 janvier 2011 à 12:09 (CET)[répondre]
Je rejoins .Anja. : pourquoi est-ce qu'un animal aurait la moindre idée qu'il existe des mâles et des femelles d'autres espèces ? A mon avis, de leur point de vue, le monde est divisé en trois types d'individus : ceux du genre opposés, avec laquelle la reproduction est possible ; ceux du même genre, qui sont des concurrents ; et tous les autres, qui sont là pour décorer - mais peuvent représenter un danger ou au contraire une aide. --Grelot-de-Bois (d) 16 janvier 2011 à 22:27 (CET)[répondre]
Je rejoins tout à fait ton point de vue. Nous, humains, nous ne nous soucions du sexe d'un animal que par le cheminement de notre pensée. Différencier mâles et femelles résulte d'un apprentissage et non d'un sens inné quelconque. On ne s'en préoccupe que s'y l'on y trouve une utilité, comme par exemple l'achat d'un animal de compagnie. Ce type d'apprentissage est absent chez l'animal. Cela ne lui est pas utile et, donc, il s'en fiche complètement. --Hul Trasson (d) 17 janvier 2011 à 00:33 (CET)[répondre]
Chez certains vertébrés supérieurs, c’est sans doute assez différent de ce que tu dis : cf Empreinte (psychologie) (pas terrible mais bon). Un canard peut avoir une empreinte sexuelle sur des hommes ; ça serait intéressant de savoir s’il fait la différence entre les sexes. De mémoire, Konrad Lorenz ne le dit pas dans Fondements de l’éthologie. rv1729 16 janvier 2011 à 22:55 (CET)[répondre]
Dans l'article sur l'empreinte psychologique, on peut y lire : <<Comme l'hyperstriatum est une structure du cerveau qui n'existe pas chez les mammifères, le phénomène d'empreinte, tel qu'il existe chez les oiseaux, ne peut être extrapolé ni aux mammifères, ni à l'être humain.>> La question portant sur les chiens, les chats et les humains, il est inutile de tenter de biaiser un raisonnement par des réflexions qui n'ont rien à voir avec le sujet. --Hul Trasson (d) 17 janvier 2011 à 00:08 (CET)[répondre]
Je répondais à Grelot-de-Bois qui avait dévié sur les animaux en général, cher meussieu Hul, toujours si affable. rv1729 17 janvier 2011 à 06:47 (CET)[répondre]

Les Pokemon[modifier le code]

… on ne peut que mettre leur logo. — Hautbois [canqueter] 17 janvier 2011 à 10:23 (CET)[répondre]

Bonjour, Pikachu s'appelle Pikachu parce qu'il dit Pikachu ou es qu'il dit Pikachu parce qu'on la appelé Pikachu ?

Ouh là. Il faut sans-doute demander à ce monsieur, je ne vois pas qui à part lui peut bien répondre à une telle question. --Floflo (d) 16 janvier 2011 à 20:24 (CET)[répondre]
À mon avis, il dit « pikachu » parce qu'il s'appelle Pikachu, et il s'appelle Pikachu parce qu'il dit « pikachu » - ou l'inverse. -O.--M.--H.- 16 janvier 2011 à 21:57 (CET)[répondre]
Étant donné qu'il est possible de baptiser n'importe quel pokémon avec un autre nom que celui de son espèce, et que dans ce cas ce pokémon continue de prononcer ce nom, on peut penser que Pikachu s'appelle ainsi parce qu'il dit ce mot, et non l'inverse. Ça fait bizarre de répondre sérieusement à une question aussi idiote... ce serait pas un troll par hasard ? :3 --Grelot-de-Bois (d) 16 janvier 2011 à 22:21 (CET)[répondre]
Oui, mais peut être que Pikachu ne fait que répéter le non qu'on lui a donné. Et que si ce n'est pas l'inverse, c'est donc l'inverse du contraire. Et si notre questionneur a 7 ou 8 ans, c'est sûrement très sérieux. A moins que ce ne soit le contraire car s'il a 50 ans, c'est un troll. Émoticône --Hul Trasson (d) 17 janvier 2011 à 06:38 (CET)[répondre]
… pfffff! vous n'y connaissez rien !
Étymologies
  • Français, anglais, allemand : transcription du nom japonais.
  • Japonais : ピカチュウ Pikachū vient de ぴかぴか pikapika (onomatopée évoquant une étincelle) et ちゅうちゅう chūchū (bruit d'un souris). Le pika est également un petit mammifère.
… donc, c'est à partir du son mixé d'une étincelle et d'une souris qu'a été créé le mot Pikachu.
Pour toi, il y a Poképédia, où tu trouveras la fiche complète de Pikachu qui est l'évolution de Pichu, si celui-ci est suffisamment heureux. Pikachu évoluera en Raichu grâce à une Pierre Foudre. Tu peux poser toutes tes questions sur cette page de discussion sans subir les railleries malveillantes des pythies qui sont trop ââââgées (dans leur tête) pour comprendre. — Hautbois [canqueter] 17 janvier 2011 à 07:36 (CET)[répondre]
Justement, je voulais m'excuser, et donner une réponse moins ironique. Dans le monde réel, on pourrait assurer que pour un animal dont le nom évoquerait le cri, ce nom dérive du cri (le coucou, le « cri-cri », autre nom du criquet, ou dans le langage des adultes à destination des enfants, le ouah-ouah, la meuh-meuh) ; dans l'univers imaginaire des pokémons, probablement ça marche dans les deux sens et pour la cas de Pikachu, ensemble, puisque comme le montre Hautbois le nom même est basé sur des onomatopées, donc devient assez logiquement le cri de l'animal imaginaire qui porte ce nom. -O.--M.--H.- 17 janvier 2011 à 09:42 (CET)[répondre]
«  Hachama »  !!! Émoticône sourireHautbois [canqueter] 17 janvier 2011 à 10:17 (CET) (P.S. : le droit à l'image doit être bien ficelé pour les Pokémon : pas un Pikachu sur Commons à part une horreur de Toyota customisée)[répondre]

OMS: Alcool[modifier le code]

Bonjour,

Mon fils a choisi l'alcoolisme pour son travail de fin d'études. Mais il ne trouve pas quand l'O.M.S a reconnu que l'alcoolisme était une maladie.

En vous remerciant d'avance.

M. Agnès. T.

une petite recherche sur Google indique que l'OMS a reconnu l'alcoolisme comme étant «un problème médical sérieux» en 1951. Dhatier jasons-z-en 16 janvier 2011 à 20:44 (CET)[répondre]
En lisant la première phrase, j’ai cru qu’il avait sombré dans la boisson. rv1729 16 janvier 2011 à 20:53 (CET)[répondre]
J'ai trouvé des indications similaires à celles de Dhatier (documents sur l'alcoolisme comme une question de santé publique prioritaire dès 1951) mais je ne crois pas qu'on puisse proprement dater une « reconnaissance de l'alcoolisme comme maladie » par l'OMS du fait dès avant la création de l'institution le caractère de maladie chronique était reconnu avant (au moins depuis les années 1930, l'invention des Alcooliques Anonymes ne se justifiant que par la reconnaissance du caractère maladif de l'alcoolisme) et l'alcoolisme considéré comme un problème majeur de santé publique dès la deuxième moitié du XIXe siècle, avec une prise en charge par les États dès le début du XXe siècle (point d'orgue, la Prohibition dans divers États, qui se révéla un remède pire que le mal). En 1948, quand l'OMS est mise en place, l'alcoolisme est donc déjà reconnu comme maladie, et cette organisation, comme dit, n'a donc pas proprement eu à faire une telle reconnaissance. -O.--M.--H.- 16 janvier 2011 à 21:42 (CET)[répondre]
D'accord avec Olivier, ça dépend du niveau du travail de fin d'étude, mais à sa place je mentionnerais la prohibition. Voir aussi la ligue de tempérance pour l'historique (même si l'article n'est pas très beau). Bon courage. Bertrouf 17 janvier 2011 à 04:33 (CET)[répondre]
hum...y'aurait-i pas une confusion entre
  • les pathologies de l'alcoolisme, d'une part, reconnues depuis très longtemps, qui fait de l'alcoolisme une "une question de santé publique prioritaire"
  • une idée beaucoup plus récente ( http://postcure.fr/alcoologie/magnus_huss.htm ) selon laquelle, l'alcoolique (et, plus généralement, le drogué) est un malade et l'alcoolisme (et plus généralement : la consommation de drogue) une maladie, soulevant une question autonome par rapport à la question des répercutions sur la santé de la consommation d'alcool/drogue. Cette maladie spécifique ayant éventuellement des traitements, parfaitement indépendant des traitements des effets de l'alcoolisme
Parce que j'ai l'impression que la question qu'on nous pose est relative à la seconde problématique.
gem (d) 17 janvier 2011 à 16:25 (CET)[répondre]
En effet, ce n'est que depuis les années 1980 que l'on considère l'alcoolisme comme une toximanie fondée sur une dépendance physique semblable à celle aux stupéfiants, plutôt que d'un simple problème de comportement avec répercussions nocives sur la santé. --Xuxl (d) 17 janvier 2011 à 19:15 (CET)[répondre]
À mon avis, il y a confusion ici entre deux choses : la reconnaissance de l'alcoolisme comme maladie en soi (et non comme cause de maladie), et la reconnaissance de l'alcool comme « drogue » (comme stupéfiant pour prendre la terminologie habituelle). Dhatier et moi-même l'avons indiqué plus haut, l'alcoolisme comme maladie en soi est discutée dans les documents de l'OMS au moins depuis 1951 (la plupart des sites qui s'intéressent au sujet disent en gros la même chose, et celui-ci est encore plus précis : « L’Organisation mondiale de la santé (OMS) proposait, dès 1951, la formule suivante : ”les alcooliques sont des buveurs excessifs dont la dépendance à l’égard de l’alcool est telle qu’ils présentent, soit un trouble mental décelable, soit des manifestations affectant leur santé physique ou mentale, leurs relations avec autrui et leur bon comportement social et économique, soit des prodromes de troubles de ce genre. Ils doivent être soumis à un traitement” »). Il est donc bien question de la reconnaissance de l'alcoolisme comme maladie en soi donnant lieu à traitement. En revanche, si certains spécialistes de l'addiction classent l'alcool parmi les stupéfiants depuis une bonne quarantaine d'années, au niveau de l'OMS ça fait moins de 20 ans et au niveau des États, et ben, ça dépend : en Arabie Séoudite ça fait déjà un moment que le commerce d'alcool est traité comme un trafic de stupéfiant ; en France les autorités acceptent depuis un certain temps que l'alcool provoque tous les symptômes qui font la base de classement d'un produit comme stupéfiant et de ce fait, mettent en place des unités de prise en charge de l'alcoolisme calquées sur celles pour les autres stupéfiants, mais refusent de lui reconnaître légalement ce statut, parce qu'il faudrait alors le ranger dans le tableau, et donc le rendre illégal... -O.--M.--H.- 18 janvier 2011 à 05:28 (CET)[répondre]

lissage dans un contrat de travail[modifier le code]

Bonjour à tous. J'aimerais savoir quel est le droit d'un employeur en matière de lissage annuel des heures travaillées dans un contrat de travail. Plus précisément, sur combien de semaines d'affilée peut il remplacer un trente cinq heures en quinze heures par semaine? Proximo

et un bandeau, un !
ceci étant dit :
en France, je suppose ; ça peut dépendre de la convention collective du secteur, mais dans ce sens là (faire moins que 35 heures) y'a pas de souci particulier. Si on parle bien de lissage (c'est à dire que la paie mensuelle reste sur une base de 35 h !) ça peut a priori durer aussi longtemps que l'employeur veut, c'est juste pas franchement son intérêt que l'employé accumule une dette de 20 h par semaine (soit l'équivalent d'un gros mi-temps : si il n'en a pas l'usage, il est en sur-effectifs et il devrait licencier ou renégocier un contrat plus en rapport avec ses besoins). gem (d) 17 janvier 2011 à 12:52 (CET)[répondre]
Il n'y a pas de réponse unique à ta question. Déjà, il peut y avoir quelque chose dans le contrat ou, comme le rappelle gem, dans la convention collective, qui limite cette possibilité. Ensuite il y a tout simplement la limite inverse, réglée par le contrat ou/et la convention collective, et la loi. En tous les cas, il y a le droit commun qui s'appliquera toujours.
L'article L3121-35 du Code du travail précise : « Au cours d'une même semaine, la durée du travail ne peut dépasser quarante-huit heures. En cas de circonstances exceptionnelles, certaines entreprises peuvent être autorisées à dépasser pendant une période limitée le plafond de quarante-huit heures, sans toutefois que ce dépassement puisse avoir pour effet de porter la durée du travail à plus de soixante heures par semaine » ; l'article L3121-36 précise en outre : « La durée hebdomadaire de travail calculée sur une période quelconque de douze semaines consécutives ne peut dépasser quarante-quatre heures ».
Si on prend en compte ces données, un employeur ne peut pas réduire la durée hebdomadaire à 15h pendant plus que cinq semaines consécutives, sauf s'il accepte de payer ses employés à ne rien faire puisqu'à partir de la sixième semaine il ne pourra pas leur demander de compenser en travaillant au maximum admis (60h, donc) durant un temps suffisant sans se mettre en contravention avec la loi, et il ne pourra pas non plus ne pas payer les heures non ouvrées puisqu'il serait responsable de cet état de fait. Cela proposé sans garantie, ce n'est pas un avis juridique, juste une question de bon sens. -O.--M.--H.- 17 janvier 2011 à 14:28 (CET)[répondre]
Tu fais erreur. L'employeur peut parfaitement laisser son employé à 15 pendant plus que 5 semaines, la limite maximum implique juste que la récupération sera étalée sur plus de temps. 20 semaines à 15 heures par exemple, ça implique une récupération de 400 heures (20 heures de moins que la moyenne de 35), qui se peut récupérer en soit par exemple 50 semaines à 43 heures (8 heures de plus que la moyenne de 35), qui respecte la moyenne maximale sur 12 semaines. gem (d) 17 janvier 2011 à 15:16 (CET)[répondre]
En fait non, je ne fais pas erreur. La mention « sur une période quelconque de douze semaines » n'est pas là par hasard, sans aller épuiser tout le Code du travail il y a dans les parties législative et réglementaire des limites aux possibilités de récupération, y compris quand on est « annualisé », le but étant de faire que l'employeur ne transforme pas les compensations en un moyen de faire faire beaucoup d'heures supplémentaires à ses employés aux moments où ça l'intéresse le plus en les rétribuant au prix des heures normales. -O.--M.--H.- 17 janvier 2011 à 16:30 (CET)[répondre]
mais si mais si, tu fais erreur. Inclus dans les 35 heures il y a la flexibilité, le droit pour l'employeur de "faire faire beaucoup d'heures supplémentaires à ses employés aux moments où ça l'intéresse le plus" (sauf que c'est même pas des heures sup tant que la moyenne annuelle reste à moins de 35 heures !). Donc répartir la charge de travail entre rien du tout et 48 voire 60 heures (avec l'autorisation de l'IT) par semaine, avec une moyenne annuelle de 35 (avant heures sup) et une moyenne sur 12 semaine de 44 heures. En travaillant 43 heures par semaine pendant une éternité, tu respectes toujours la limite de 44 heures sur n'importe quel période de 12 semaines, aucun souci ; ça génère 8 heures de trop par semaine, que l'employeur peut enlever quand il veut, sous forme de jour entier ou d'heures dans la semaine. En pratique on peut respecter une moyenne de 35 h (c'est à dire 1607 heures annuelle, sans la moindre heures sup) avec plein de formule, dont (par exemple) des solution construite sur une base 15 x A + 44 x B + W = 1607 et A + B = 51 et W < 44 ( A = 23 semaines est une solution, avec W = 30; c'est 23 semaines à 15 heures, 28 semaines à 44 heures, et une semaines à 30 heures ). gem (d) 17 janvier 2011 à 18:49 (CET)[répondre]
Je ne sais pas, je crois ne pas faire erreur mais j'admets que ça puisse être, reste que ce qu'on disait plus haut demeure : que toi ou moi ayons raison notre questionneur ne peut se baser sur nos réponses et doit voir avec son délégué syndical (s'il en a un) ou la branche d'une confédération syndicale de son domaine d'activité pour avoir une réponse sur le cas qui l'occupe, lequel peut faire l'objet d'arrangements particuliers sur ce sujet. -O.--M.--H.- 18 janvier 2011 à 05:37 (CET)[répondre]

suggestion[modifier le code]

Bonjour!

Je me permet de vous envoyer un mail pour vous suggérer d'ajour le site

http://www.forum-sophrologie.com

Sur la page de présentation de

sophrologie sur wikipédia.

Il s'agit du 1er site de partage concernant la sophrologie en France et il me semble fondamentale qu'il apparaisse dans les liens utiles de wikipédia afin que les sophrologues praticien et les autres puissent s'y rendre plus facilement pour trouver l'information.

Merci d'avoir pris le temps de lire ce message.

Bonne journée.

Kevin Chalaye.

Bonjour. Ce n'est guère l'endroit pour faire une telle suggestion, qui aurait sa place dans la page de discussion sur la sophrologie. Cela dit, Wikipédia n'est pas un annuaire et il y a des recommandations strictes en matière de liens externes. Comme dit au début de cette page, « Les liens externes ne font pas la qualité des articles et doivent être réservés aux sites de référence en étroite relation avec l’article ». Même le « 1er site de partage concernant la sophrologie en France » n'est pas un site de référence au sens où on l'entend ici, j'en suis désolé. -O.--M.--H.- 16 janvier 2011 à 21:55 (CET)[répondre]