Vicq (Nord)

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Vicq
Vicq (Nord)
Église de Vicq.
Blason de Vicq
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Valenciennes Métropole
Maire
Mandat
Jean-Charles Dulion
2020-2026
Code postal 59970
Code commune 59613
Démographie
Gentilé Vicquelots, Vicquelottes[1]
Population
municipale
1 473 hab. (2021 en diminution de 1,73 % par rapport à 2015)
Densité 376 hab./km2
Population
agglomération
333 383 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 24′ 33″ nord, 3° 36′ 21″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 23 m
Superficie 3,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marly
Législatives Vingt et unième circonscription
Localisation
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Vicq
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Vicq
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Vicq
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Vicq
Liens
Site web http://www.vicq.fr

Vicq est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune abritait autrefois un vaste marais, conjoint à celui de Fresne et d'Escaupont, dont il reste des reliques alimentées à la fois par la nappe et les eaux de surface[2], fortement boisées par des peupliers et saules qui en rabattent la nappe.

La toponymie et le cadastre[3] ont conservé la mémoire de ces zones humides.

Des graves de silex ont été découvertes dans le marais de Vicq[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 733 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vicq est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[14] et 333 383 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), zones urbanisées (16,7 %), prairies (11,2 %), cultures permanentes (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), forêts (3,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne 6 du réseau Transvilles.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Vy, Vi, Vicus[20], Vij, Vii, Wic, Wicq, selon des documents entre les XIVe et XVIIIe siècles[21]. La forme Vi proviendrait du latin vicus, signifiant bourg ou village.

Histoire[modifier | modifier le code]

Des traces d'occupation préhistorique, gauloise et gallo-romaine sont nombreuses dans la région qui a ensuite été victime de nombreuses occupations, invasions, pillages, guerres et batailles, avec par exemple en 881, une expédition de Regnier au long col, comte de Hainaut qui tentait de s'opposer à un chef viking à Condé-sur-Escaut. Une bataille sanglante a eu lieu à la lisière des marais de Vicq, où le Comte du Hainaut fut défait et fait prisonnier[22],[23].

Avant la Révolution française, Vicq a donné son nom à une famille de la noblesse[24].

Bonaventure Éloy (1706-1791), chevalier, est seigneur de Vicq, en vertu de lettres de terrier obtenues du roi en mai 1758. Né à Soignies (Belgique), fils de Jacques-Macaire et de Marie-Isabelle Dutrieux, il exerce diverses fonctions d'importance. Avocat au conseil souverain du Brabant, il est naturalisé français par lettres données à Fontainebleau en octobre 1732. En 1733, il est conseiller à la cour du Parlement de Flandres, passe conseiller au conseil supérieur de Douai le , doyen du Parlement de Flandres en 1776, président de la noblesse du bailliage de Douai en 1789, où il participe aux réunions préparatoires aux États Généraux. Il meurt à Douai le , à 85 ans. Il épouse le Marie-Philippine-Joseph Bridoul (1709-1779). Baptisée à Douai le , elle est la fille de Jean-Hippolyte-Géry Bridoul, bourgeois de Douai, conseiller référendaire au Parlement de Flandres et de Marie-Françoise de Fontaine. Elle meurt à Douai le , à 69 ans[25]. Les abords du marais étaient autrefois desservis par une voie ferrée (déclassée[26]) qui reliait Blanc-Misseron à Saint-Amand-les-Eaux par Fresnes-sur-Escaut. Deux arrêts étaient proposés, rue de Crespin (ou de la gare) et rue Basse, avec barrière et passage à niveau. Une halte temporaire au niveau du marais existait lors des fêtes hippiques de Valenciennes célébrées dans le marais chaque année au mois d'août au 19è siècle.

Le , le village s'est cru replongé au temps de la Seconde Guerre mondiale : pendant la nuit, un bombardier anglais en perdition percute un groupe de maisons ouvrières. L'accident fait quatre morts, une femme et deux enfants brulés vifs, et le pilote de l'avion. Celui-ci avait été volé à Portsmouth par un élève pilote de l'armée de l'air britannique, la Royal Air Force (RAF)[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28],[29]
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1808 Jean Pierre Coquelet sans Cultivateur
1808 1814 Emmanuel Joseph Deleau sans Cultivateur-propriétaire
1814 1821 Benoit Richard sans Cultivateur
1821 1835 Pierre Antoine Mariage sans Cultivateur
1835 1839 Pierre Joseph Deleau sans Cultivateur
1839 1840 Pierre Joseph Roland sans Cultivateur, rue de Crespin
1840 1855 Nicolas Joseph Richard sans Cultivateur, rue du Marais
1855 1870 Verchain Pisson sans Cultivateur, rue du Marais
1870 1875 Louis Roland sans Cultivateur, rue de Crespin
1875 1878 Désiré Joseph Duplat sans Cultivateur, rue du Presbytère
1878 1881 Nicolas Richard sans  
1881 1891 Modeste Sizaire sans Cultivateur, rue de Fresnes
novembre 1891 mars 1893 Adolphe Carpentier sans Propriétaire, rue de Fresnes
avril 1893. septembre 1907 Eugène Duplat conservateur Cultivateur, rue de la Piette
novembre 1907 mai 1908 Pierre Joseph Collet sans Cultivateur, rue du Marais, adjoint faisant fonction, puis maire
mai 1908 novembre 1919 Louis Richard   Cultivateur, rue de la Gare
décembre 1919 décembre 1920 Robert Richard    
janvier 1921 1934 Louis Richard   Cultivateur, rue Nicolas Richard (rue de la Gare)
1934 1944 Alfred Coquelet   Employé, rue de Fresnes
1944 1950 Gaston Doye   Président de la délégation municipale en 1944, puis maire
1950 1982 Zéphirin Mariage   Commerçant, Doyen des maires du valenciennois
1982 mars 1990 Marcel Morchipont   Agriculteur, rue de Fresnes
mars 1990 janvier 1996 Jeanne Dochez   Première femme, maire de Vicq
En cours Jean-Charles Dulion   Plus jeune maire du valenciennois
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Instances religieuses[modifier | modifier le code]

Vicq, sous le patronage de saint Nicolas, fait partie de la paroisse Sainte-Marie-Goretti du Hainaut qui regroupe 12 villages, dont le centre est à Onnaing, au sein du Doyenné des Marches du Hainaut (centre à Bruay-sur-Escaut), comportant également les 2 autres paroisses de Saint-Jacques en Val d'Escaut (centre à Bruay-sur-Escaut) et de Saint-François en Val d'Escaut (centre à Condé-sur-Escaut), du Diocèse de Cambrai.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 1 473 habitants[Note 3], en diminution de 1,73 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
703796810852844890860812835
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
9069109039159158948659051 232
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 3321 3021 2261 3041 3371 2641 2391 3131 379
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
1 3881 3011 2191 1961 2531 2131 3121 4151 483
2019 2021 - - - - - - -
1 4641 473-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 722 hommes pour 756 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,4 
3,1 
75-89 ans
5,3 
15,7 
60-74 ans
15,5 
21,5 
45-59 ans
19,6 
20,3 
30-44 ans
21,1 
16,4 
15-29 ans
17,1 
22,9 
0-14 ans
21,0 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Culture Locale et Patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Autres lieux : le calvaire, la chapelle Sainte Rita.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Famille de Vicq[modifier | modifier le code]

  • Antoine de Vicq est cité dans un texte de partage de biens du . À sa mort, il était écuyer, seigneur de Bertof, marié à Marie Descamp[24].
  • Charles Joseph de Vicq écuyer, vit au XVIIIe siècle. Il est seigneur de la Chaussée, fief situé à Comines et consistant en rentes seigneuriales. Il a pris pour femme Marie Jeanne Legillon.
  • Pierre Joseph de Vicq, fils de Charles Joseph, écuyer, seigneur de la Chaussée et de Zunebecq, bénéficie le d'une sentence de noblesse. il est né à Lille le et a épousé le Caroline Valentine Joseph de Vitry (Vitry-en-Artois?), fille d'Hippolyte Joseph, écuyer, seigneur de Malfiance, etc.[24].

Autres personnalités[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Vicq se blasonnent ainsi : D'azur à une croix pattée et alaisée d'argent, l'écu semé de fleurs de lis du même[36].

Culture et traditions[modifier | modifier le code]

  • Le conte « Le Poirier de Misère », écrit par Charles Deulin (1827-1877), dans Cambrinus et autres Contes se passe au village de Vicq, sur les bords de l’Escaut. On y évoque notamment le marais de Vicq.
  • Le chôlage (Choulette ou Cholette) est un jeu de crosse pratiqué chaque année à travers le village lors du Mardi Gras. "Ce jeu consiste à lancer, avec une crosse, une bille en bois dure appelée Cholette, vers un but toujours éloigné qui est souvent, un arbre, une borne, la porte d'une maison connue" selon la description qu'en fit le lillois Edouard Boldoduc à la fin du 19è siècle[37].
  • Le Marquis de Bitaillon, géant de la commune, inauguré et baptisé le 8 mai 2001 sur la place Carpentier après un défilé dans la commune, à l'invitation de la Mairie, de l'association des "Joyeux Choleux" et du CAT Atelier du Hainaut d'Anzin[38].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean Damien, Vicq : Regards sur le temps passé, Imprimerie Lenglet, , 124 p..

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Services publics Vicq », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Bernard Ferry, (1992), Part des transformations naturelles et provoquées dans la nappe de la craie du nord de la France, Diplôme d'études approfondies de génie civil. USTL, Sept 92, 11 pages + annexes (46 pages au total), PDF
  3. Extrait de cadastre, avec la zone des trois marais (bas de la carte)
  4. BRGM/RR-09862-FR 85, SGN, 151, NPC BABOT.Y., LEPLAT.J. ; "GROUPE GARON - PROSPECTION GEOPHYSIQUE ELECTRIQUE D'UN GISEMENT DE GRAVE DE SILEX AU LIEU DIT ""LE MARAIS DE VICQ"" A FRESNES-SUR-ESCAUT (59)"; Source : BRGM
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Vicq et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Page 421- Statistique archéologique du Département du Nord - seconde partie- 1867- Librairie Quarré et Leleu à Lille, A. Durand 7 rue Cujas à Paris - archive du Harvard College Library - numérisé par Google Books
  21. Page 41 - Vicq - Regards sur le temps passé - Jean Damien - 1984 - Edition Lenglet à Caudry
  22. Page relative aux ’invasions maritimes viking
  23. Les Northmands au confluent de la Haine et de l'Escaut au IXe siècle.
  24. a b et c Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 111, lire en ligne.
  25. Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 659-660, lire en ligne.
  26. Retranchements et déclassements de lignes ou sections de ligne des chemins de fer français
  27. Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 59.
  28. Registres de l'état civil de Vicq
  29. Résultats des élections municipales
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vicq (59613) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  36. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59613 « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  37. cf. Article "Amusements du temps jadis" dans le journal de l'histoire des régions et des traditions "Nos racines et notre histoire"- N°3 d'octobre 1996 - Page 6.
  38. "La Voix du Nord"- Edition de Valenciennes du Mardi 8 mai 2001.