Graves-Saint-Amant
Graves-Saint-Amant | |||||
L'église Saint-Martin de Graves. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Cognac | ||||
Maire Mandat |
Christian Jobit 2020-2026 |
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Code postal | 16120 | ||||
Code commune | 16297 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gravois | ||||
Population municipale |
325 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 38′ 40″ nord, 0° 05′ 34″ ouest | ||||
Altitude | Min. 14 m Max. 97 m |
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Superficie | 8,99 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Champagne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Graves-Saint-Amant est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants sont appelés les Gravois[1].
Géographie
Localisation et accès
Graves-Saint-Amant est une commune de l'ouest de la Charente située à 6 km au nord-ouest de Châteauneuf-sur-Charente, le chef-lieu de son canton, et 7 km au sud-est de Jarnac, sur la rive gauche de la Charente.
Elle est aussi à 4 km à l'est de Saint-Même-les-Carrières, 8 km au sud-ouest d'Hiersac, 19 km à l'est de Cognac, et 20 km à l'ouest d'Angoulême[2].
La route principale de la commune est la D 10 qui va de Jarnac à Châteauneuf et qui passe à 1,5 km au sud du bourg de Saint-Amant. Un réseau de routes départementales secondaires irrigue la commune ; la D 54 qui longe la Charente et la D 155 qui la traverse se croisent près du bourg de Saint-Amant[3].
La ligne Angoulême - Saintes traverse la commune, et la gare la plus proche est celle de Châteauneuf ou celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.
Hameaux et lieux-dits
Les villages qui ont donné leur nom à la commune sont Saint-Amant-de-Graves, qui en est le bourg principal, et Graves, situé plus à l'ouest et ne comprenant quasiment qu'une église.
La commune comporte par ailleurs des hameaux : les Aireaux, la Natrie à l'ouest, chez Texier, la Groie, chez Brisson au sud, chez Jean Millaud à l'est, ainsi que de nombreuses fermes[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune occupe le calcaire datant du Crétacé, comme les zones situées au sud et sur la rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac.
Le Jurassique supérieur occupe toutefois une étroite bande (de moins de 200 m) en bordure de la vallée de la Charente, entre la Natrie et chez Brisson. Il s'agit du Purbeckien, marne riche en argile et en gypse de la fin du Jurassique mordant sur la période du Crétacé inférieur, et composant la zone du Pays Bas située plus au nord-ouest.
Le Crétacé supérieur s'étage entre le Cénomanien dans les parties basses, le Turonien (ou Angoumien) au centre et le Coniacien sur les hauteurs au sud-ouest de la commune. Une cuesta, faiblement marquée dans la commune, sépare le Turonien inférieur du Turonien supérieur (calcaire plus dur, à rudistes), à la Garenne d'Anqueville. On retrouve cet escarpement plus nettement vers l'est en direction de Châteauneuf, La Couronne et le plateau d'Angoulême, et vers l'ouest en direction de Saint-Même.
L'Angoumien a été exploité par des carrières de pierre de taille souterraines, souvent reconverties en champignonnières, ou à ciel ouvert (la Garenne d'Anqueville).
La vallée de la Charente est occupée par des alluvions du Quaternaire. Ces alluvions sont récentes pour la partie inondable, et plus anciennes sur une basse terrasse large d'un kilomètre. Ces dernières ont été exploitées pour leur sable[4],[5],[6].
Le relief de la commune est constitué en trois niveaux. Du nord au sud, le niveau le plus bas est constitué par la vallée de la Charente, d'une altitude de 20 m environ et où sont situés les bourgs de Saint-Amant et Graves, puis la cuesta délimite un palier d'une altitude de 60 m, couvert de vignobles; enfin, plus au sud, les hauteurs boisées culminent à 97 m. Le point le plus bas est à 14 m, situé dans la partie inondable de la Charente (la Prée)[3].
Hydrographie
La Charente borde la commune au nord. Le ruisseau des Moulins d'Angeac et le canal de Terre-Neuve sont des bras de la Charente et délimite la prairie de Saint-Amant.
Le ruisseau d'Anqueville traverse l'ouest de la commune. Des étangs occupent d'anciennes sablières entre Bois-Charente et le bourg de Saint-Amant, le long de la voie ferrée[3].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
Typologie
Graves-Saint-Amant est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (36,5 %), zones agricoles hétérogènes (26,2 %), forêts (20,8 %), terres arables (11,5 %), mines, décharges et chantiers (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes anciennes pour Graves sont Gravia, Graverio en 1220[13], et pour Saint-Amant-de-Graves, Sanctus Amantius de Gravia (non daté, mais vers le XVe siècle)[14].
Le bas latin gravia, issu du pré-latin grava (petite pierre), désigne un terrain plat couvert de sables et de graviers[15],[16].
En Charente, les Saint-Amant se répartissent entre deux origines : Amandius était évêque de Bordeaux au Ve siècle. Amantius était aussi un saint, mais du VIIe siècle, né à Bordeaux puis ermite, célébré dans le diocèse d'Angoulême. D'après A.Dauzat, Saint-Amant-de-Graves ferait partie de la première catégorie, ce qu'infirme la forme ancienne qu'il ne mentionne pas, peut-être parce que cette paroisse était dans l'ancien diocèse de Saintes[17],[Note 2].
Histoire
Les Giraud d'Anqueville, seigneurs de Bois-Charente, ont construit le château au XVIe siècle.
En 1680, le château passe par mariage à François Goulard, seigneur de la Faye, et il devient la propriété de Jean Thioulet, gentilhomme du roi, au début du XVIIIe siècle[18]. Bois-Charente a appartenu au début du XXe siècle à Jean Fougerat dit Élie, riche propriétaire et bienfaiteur, mort en 1932.
Les plus anciens registres paroissiaux de Graves remontent à 1633[19].
Comme sa voisine Angeac, la paroisse de Saint-Amant-de-Graves était une dépendance de la seigneurie de Vibrac.
L'église de Saint-Amant avait été donnée en 1124 par l'évêque d'Angoulême, Girard II, à l'abbaye de Savigny, qui l'avait remise au prieuré de Bouteville. Ce dernier conserva la paroisse jusque vers la fin du XVe siècle. En 1460, Saint-Amant fut le siège d'un prieuré en propre. Hélas les guerres de religion lui furent préjudiciables, et il fut supprimé en 1580[20],[21].
Plusieurs moulins ont existé mais ils avaient déjà disparu au XVIIe siècle; il ne restait au début du XXe siècle que le moulin de Courpeteau construit au XVIIIe siècle, sur le ruisseau d'Anqueville (sur Saint-Amant)[22].
Pendant la Révolution, la commune de Saint-Amant-de-Graves s'est appelée provisoirement Amant-Charente[23].
Au , la commune de Graves fusionne avec celle de Saint-Amant-de-Graves qui prend alors le nom de Graves-Saint-Amant[24].
Administration
Graves-Saint-Amant est une commune très jeune. Elle existe officiellement depuis l'article A17-12-1996 du journal officiel du .
La commune est née de la fusion entre Saint-Amant-de-Graves (de code commune 16297) et de Graves (de code commune 16159), qui a été absorbée, aussi Graves-Saint-Amant conserve le code 16297.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2021, la commune comptait 325 habitants[Note 3], en diminution de 3,85 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 167 hommes pour 165 femmes, soit un taux de 50,3 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Remarques
Saint-Amant-de-Graves a absorbé Graves en 1996[27].
Économie
Agriculture
La viticulture est une activité importante de Graves-Saint-Amant, qui est située en Petite Champagne, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].
Certains producteurs vendent cognac, pineau des Charentes et vin de pays à la propriété.
Industrie
La carrière de pierre de Bois-Catineau, ouverte au XXe siècle employait 18 personnes en 1988[32].
Équipements, services et vie locale
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
Le bourg de Graves abrite une église paroissiale, l'église Saint-Martin, construite aux XIIe et XVe siècles. Cette dernière contient notamment une peinture murale (teintes principales rouge et jaune) datée approximativement du XVe siècle représentant apparemment une scène biblique (restaurée en 1977), qui est classée monument historique à titre objet[33]. L'église est classée monument historique depuis 1986[34]. Modèle:Message galerie
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Vue du sud-ouest.
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Le portail.
L'église paroissiale Saint-Amant, située au bourg de Saint-Amant-de-Graves, a été le siège d'un prieuré. Elle fut détruite par les protestants, puis reconstruite au XVIIe siècle[21]. Modèle:Message galerie
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Vue du bourg.
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Vue du bas.
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Croix et olivier au pied de l'église.
Patrimoine civil
Le château de Bois-Charente a été construit au XVIe siècle et sur la tourelle d'escalier, on peut lire 15xx, une date dont les dizaines et les unités sont effacées. La tour hexagonale et la tourelle d'escalier, au centre de la façade antérieure, seraient donc du XVIe siècle alors que l'élévation serait postérieure et qu'il y a eu des restaurations au XIXe siècle[35].
Le logis de Courpeteau daterait du XVIIe siècle[36] mais le moulin de Courpeteau (ruiné), sur le ruisseau d'Anqueville, ne daterait lui que du XVIIIe siècle[22].
Il reste deux lavoirs, à la Natrie[37] et chez Renouard[38].
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Château de Bois-Charente.
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Logis dans le bourg.
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L'ancienne mairie sur la D 154.
Patrimoine environnemental
La commune est bordée par la Charente et se trouve en zone Natura 2000 Charente amont.
Près de l'écluse de Juac, le hameau de Juac (commune de Saint-Simon) est animé par le tourisme fluvial.
Le fleuve offre aussi une halte fluviale à Graves.
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La halte fluviale.
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Vue vers l'amont.
Le GR 4 qui va de Royan à Grasse passe au sud de la commune.
Personnalités liées à la commune
- Jean Fougerat (1863-1932). Pharmacien, viticulteur à Bois-Charente et bienfaiteur. Il a donné son nom à une rue d'Angoulême et une fondation est à son nom depuis 2000[39].
Héraldique
Blason | De gueules à trois aigles d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La terminaison actuelle de Amant en t n'est pas non plus significative. D'après A.Dauzat, dériveraient de Amandius, évêque de Bordeaux : Saint-Amant-de-Montmoreau, Saint-Amant-de-Graves, Saint-Amant-de-Nouère. Dériveraient de saint Amant de Boixe : Saint-Amant-de-Boixe, Saint-Amant-de-Bonnieure. Mais Saint-Amant-de-Graves n'a aucune forme ancienne en Amandus.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 352
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 137
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 330.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 584.
- Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 193
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 194-195
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 315
- « Église Saint-Amant », notice no IA00041805, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Moulin de Courpeteau », notice no IA00041804, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
- Code officiel géographique de Graves-Saint-Amant sur le site de l'Insee, consulté le 22 octobre 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Graves-Saint-Amant (16297) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
- « Carrière Robert Naudin », notice no IA00066374, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Graves-Saint-Amant », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Église Saint-Martin de Graves », notice no IA00041727, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Château de Bois-Charente », notice no IA00041721, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Logis de Courpeteau », notice no IA00041803, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Lavoir », notice no IA00041726, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Lavoir », notice no IA00041725, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Philippe Ménard, « Le phénix s'embrase », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Graves-Saint-Amant sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- « Graves-Saint-Amant », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Catillus Carol, « Graves », (consulté le )
- Catillus Carol, « Saint-Amant-de-Graves », (consulté le )