Aller au contenu

Chassors

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 22 décembre 2021 à 21:43 et modifiée en dernier par JessydeVilly (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Chassors
Chassors
La mairie de Chassors.
Blason de Chassors
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Patrick Lafarge
2020-2026
Code postal 16200
Code commune 16088
Démographie
Gentilé Capsortiens
Population
municipale
1 086 hab. (2021 en diminution de 2,16 % par rapport à 2015)
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 43″ nord, 0° 12′ 07″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 62 m
Superficie 13,21 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jarnac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Chassors
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Chassors
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Chassors
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Chassors
Liens
Site web www.mairie-chassors.fr

Chassors est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Capsortiens et les Capsortiennes[1].

Géographie

Localisation et accès

Chassors est une commune de l'ouest de la Charente située à 3 km au nord-ouest de Jarnac et 9 km à l'est de Cognac.

Le bourg de Chassors est aussi à 14 km au sud-ouest de Rouillac et 29 km à l'ouest d'Angoulême[2].

Les principales voies de communication sont la D 15, route de Cognac à Rouillac et la D 22, route de Jarnac à Sainte-Sévère, qui se croisent à l'important hameau de Luchac. Une autre route, la D 156, venue de Jarnac, traverse le sud de la commune, dessert le bourg de Chassors et se dirige vers Nercillac[3].

La gare la plus proche est celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

Hameaux et lieux-dits

Le centre de la population le plus important de la commune est le gros village de Luchac ; c'est le véritable centre de la commune, cependant la mairie et la salle des fêtes sont à Guitres sur la route de Luchac à Jarnac alors que l'église est à Chassors.

Les autres hameaux sont : Villeneuve, au nord de la commune ; Puybernard, près de Luchac ; le Buisson, sur la route de Nercillac à Jarnac et les Six Chemins, près de Guitres.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Chassors
Réparsac Sigogne
Nercillac Chassors Les Métairies
Julienne Jarnac

Géologie et relief

Le sol de la commune est calcaire et appartient au Jurassique supérieur. C'est en grande partie au Purbeckien, ancienne zone lagunaire résiduelle de la fin du Jurassique (s'étant évaporée au début Crétacé inférieur), caractéristique du Pays Bas et riche en gypse. Le dos de terrain au sud de la commune appartient aussi au Purbeckien, mais il s'agit d'un calcaire argileux, sublithographique ou finement oolithique.

Un petit quart nord-est de la commune, à l'est de Luchac, appartient au Portlandien[4],[5],[6].

Limitée au sud par le dos de terrain qui sépare le Pays Bas de la vallée de la Charente, la commune de Chassors est plus accidentée que ses voisines. Hormis le sud de la commune, l'altitude s'élève aussi légèrement au nord-est. Le point culminant est à une altitude de 62 m, situé juste au sud du bourg (borne IGN). Le point le plus bas est à 13 m, situé au sud-est de la commune en limite avec Jarnac. Le bourg est à environ 40 m d'altitude[3].

Hydrographie

Aucun cours d'eau n'arrose la commune de Chassors[3].

Climat

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme

Typologie

Chassors est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (51,5 %), terres arables (26,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,4 %), zones urbanisées (8,3 %), forêts (1,1 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Les formes anciennes sont in vicaria Capsorcinse, en 860-875[13], Cassortio (non daté)[14], Chassortio en 1117, Chassortis en 1376, Chassoras au XIVe siècle[15].

Selon Talbert, l'origine du nom de Chassors remonterait à un nom de personne gallo-romain Capsortius issu du gaulois Capsortus[16]. Selon Dauzat, une finale -urcium (comme Cadurci) paraît plus vraisemblable[17].

Histoire

Chassors était une dépendance de la châtellenie de Jarnac. Son église était le siège d'un prieuré fondé au XIIe siècle par l'abbaye Saint-Cybard. Ce prieuré resta conventuel jusqu'au XVe siècle[18].

Entre le Xe et XVIIIe siècles, Chassors était aussi le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Elle était alors dans le diocèse de Saintes, puis fut rattachée aux six autres du comté d'Angoulême, qui en comptera une vingtaine de par son extension au XIe siècle[19].

Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1610[18].

La seigneurie de Chassors a été la possession de la famille Estivalle à qui l'on doit la construction du logis de Chassors, puis de la famille Horric[20].

Luchac était un fief dépendant de la seigneurie de Fleurac, puis du comté de Jarnac à partir de 1665. Il a appartenu à la famille de Lestang jusqu'en 1730[21].

Guitres était sous l'Ancien Régime le siège d'une petite seigneurie appartenant à la famille de Chièvres. Jacob de Chièvres était un ardent défenseur de la cause protestante. Mathieu, seigneur de Guitres, se convertit au catholicisme en 1685. La seigneurie passe par mariage à la famille de Bonnefoy en 1679 et restera à cette famille jusqu'à la Révolution[21].

Héraldique

Blason Blasonnement :
Taillé, au premier d'or à un arbre de sinople, au second de sinople à une grappe de raisin d'or ; en chef de gueules au mot "Chassors" d'or.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1971 1977 Guy Duquerroy    
1977 2001 Robert Meslong    
2001 2014 Pauline Noë ex-UDF Sans profession
2014 En cours Patrick Lafarge DVD Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Fiscalité

La fiscalité en 2007 est d'un taux de 20,74 % sur le bâti, 43,46 % sur le non bâti, et 9,26 % pour la taxe d'habitation.

La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

En 2021, la commune comptait 1 086 habitants[Note 3], en diminution de 2,16 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
9709741 0259851 0191 0591 0981 1051 097
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 1191 1081 1411 075932916897900856
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
757719659684668675650721803
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
8239111 0141 1051 0611 0971 1111 1081 097
2021 - - - - - - - -
1 086--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 552 hommes pour 545 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,1 
7,6 
75-89 ans
7,7 
20,3 
60-74 ans
22,6 
23,2 
45-59 ans
25,5 
18,3 
30-44 ans
14,7 
12,0 
15-29 ans
14,1 
18,1 
0-14 ans
14,3 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

Agriculture

La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[28].

Équipements, services et vie locale

Enseignement

Chassors possède une école primaire, aux Six Chemins, comprenant quatre classes. Le secteur du collège est Jarnac (collège Jean-Lartaut)[29].

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

Clocher de l'église.

L'église Saint-Romain est une ancienne vicairie du diocèse de Saintes, donnée en 1107 par Pierre de Soubise, évêque de Saintes à l'abbaye Saint-Cybard d'Angoulême qui y fonda un prieuré.

L'église qui datait du XIe siècle a été reconstruite durant la seconde moitié du XIIe siècle et très restaurée au XVe siècle. Elle comprend une nef voûtée en brique, qui a reçu sur son mur ouest une tribune en 1864 ; puis sous le clocher, un faux carré, couvert de même, et suivi d'une abside[30],[31].

Patrimoine civil

Le château de Montjourdain qui date de la fin du XVIIIe siècle (1790) a été inscrit monument historique le 7 juin 1968[32].

Le logis d'Estivalle, ou logis de Chassors, aurait, d'après Charles Daras, été reconstruit en 1730, date inscrite sur un portail muré. Il ne subsisterait du XVIe siècle que la tour polygonale qui flanque cette maison noble restaurée au XXe siècle[33],[34].

L'ancienne mairie-école, située aux Six Chemins, date de 1869, et a été reconstruite en 1950[35].

Modèle:Message galerie

Patrimoine environnemental

Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. Adémar de Chabannes, « Extraits des manuscrits de la bibliothèque nationale » (consulté le )
  14. Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne), p. 500
    Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
  15. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 432
  16. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 177.
  18. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 120
  19. André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 88
  20. Frédéric Chassebœuf, Châteaux en Poitou-Charentes, Prahecq, Patrimoines et Médias, coll. « Belles visites », , 173 p. (ISBN 2-910137-91-0, OCLC 71887670), p. 162
  21. a et b Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 225-228
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chassors (16088) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  28. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
  29. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
  30. Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne)
    Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
  31. « Église de Chassors », notice no IA00049625, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. « Château de Montjourdain », notice no PA00104288, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. « Logis de Chassors », notice no IA00042511, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 225
  35. « Mairie-école », notice no IA00042522, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Liens externes