Sillingy

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Sillingy
Sillingy
L'hôtel de ville de Sillingy.
Image illustrative de l’article Sillingy
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Annecy
Intercommunalité Communauté de communes Fier et Usses
(siège)
Maire
Mandat
Yvan Sonnerat
2020-2026
Code postal 74330
Code commune 74272
Démographie
Gentilé Sillingiens
Population
municipale
5 480 hab. (2020 en augmentation de 8,79 % par rapport à 2014)
Densité 369 hab./km2
Population
agglomération
182 901 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 45° 57′ 00″ nord, 6° 02′ 00″ est
Altitude Min. 455 m
Max. 755 m
Superficie 14,84 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Annecy
(banlieue)
Aire d'attraction Annecy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Annecy-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web sillingy.fr

Sillingy [silɛ̃ʒi] est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village est situé sur un coteau au débouché du passage entre la montagne de la Mandallaz et la montagne d'Âge et surplombe une zone de marais.

La commune comprend les hameaux de Arzy, Bromines, Chaumontet, la Combe de Sillingy, Lugy, la Petite Balme, Quincy, Seysolaz, Geneva et Sublessy.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat y est de type montagnard.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est située 11 km au nord-ouest d'Annecy. Elle est desservie par :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sillingy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Annecy, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[4] et 182 901 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annecy dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,1 %), zones urbanisées (17,3 %), forêts (17 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), prairies (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le village reste encore à dominante rurale sur la majeure partie de sa surface, mais a une forte tendance à s'urbaniser. La commune fait la liaison entre la vallée des Usses et le bassin annécien.

Logement[modifier | modifier le code]

  • Taxe d'habitation 2003 : 16,51 % - foncière bâtie 21,72 % - professionnelle 25,98 %.

Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes in villa Silingiaco en 1029-1049, Sillingiacus en 1039, Cilingie en 1231[10].

Albert Dauzat et à sa suite Ernest Nègre qui ne citent aucune forme ancienne, contrairement à leur habitude, ce qui montre qu’ils n'en connaissent pas, ont tout de même proposé chacun une hypothèse[11],[12]. Ils se fondent l’un comme l'autre sur la terminaison -y, caractéristique de l'évolution des toponymes en -(i)acum (parfois noté -(i)acus avec la désinence masculine) dans de nombreuses régions aussi bien de langue d’oïl que d’une partie du domaine franco-provençal[11],[12], elle est d'ailleurs illustrée par de nombreux noms de lieux locaux : Annecy, Épagny, Tessy, Frangy, Groisy, etc. remontant tous à une formation en -(i)acum.

Le premier part cependant de la forme actuelle du toponyme et se base sur les travaux de Théophile Perrenot[13] pour proposer implicitement un *Silingiacum, dont le premier élément Siling- représenterait le nom d’ homme germanique Silinga, nom ethnique, désignant une personne d'origine vandale[11], plus précisément sillingue, ceux-ci étant considérés comme une branche de ce peuple. Cette déduction repose sur une forme hypothétique identique aux formes anciennes Silingiaco (ablatif) et Sillingiacus relevées au XIe siècle. Le second imagine une évolution phonétique complexe à partir du nom de personne roman Celinia[12], d'où *Celiniacum, peu compatible avec la nature des formes anciennes qu'il ne connaissait pas. Il est également possible de citer l’anthroponyme Silinga (attesté selon Dauzat) sous une forme latinisée gallo-romaine *Silingius qui ne semble pas attestée[10].

Remarque : ce type de formation en -(i)acum, précédé d’un nom de personne ethnique d'origine germanique se retrouve quelquefois, par exemple : Françay (Loir-et-Cher, Franciacum XIIIe siècle) ou encore de manière plus générale avec un anthroponyme germanique de manière assez fréquente, par exemple : Isigny, Brécquigny, etc. Par ailleurs, *Seleniacum[11], proche phonétiquement de *Celiniacum, a donné Séligné (Deux-Sèvres, Seliniacum vers 1093[11]. Avec la terminaison variante occidentale de -y[14]), mais Ernest Nègre, sans l'appui des formes anciennes, pense sans doute pour formuler son hypothèse aux doublets du type Poligny / Poulangy et Soligny / Soulangy qui remontent respectivement à Polemniacum (sur nom de personne Poleminius) et Solemniacum (sur le nom de personne Solemnius).

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Flyinzhi, selon la graphie de Conflans[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Période protohistorique et romaine[modifier | modifier le code]

Un trésor monétaire romain a été trouvé au XIXe siècle, dont le Musée savoisien de Chambéry aurait acquis 1334 pièces. La plupart disparurent, et en 1992 les chercheurs n'en retrouvaient plus que 490[16]. D'autres fouilles, réalisées en 1851, ont permis de démontrer l'exploitation d'une source avec une eau aux qualités curatives[17].

Période médiévale[modifier | modifier le code]

Un prieuré clunisien a été implanté au XIe siècle.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Développement au XIXe siècle des bains liés aux sources de Bromine, dit aussi de Bromines[17].

Le tremblement de terre de 1996[modifier | modifier le code]

La commune de Sillingy est située sur une importante faille sismique, la faille du Vuache :

  • à h 13 : séisme de magnitude 5,3 avec un foyer situé à quelques kilomètres sous la commune (intensité VII sur l'échelle MSK), réplique de 3,5 à h 46[18].
  •  : au même endroit, réplique de 2,4 (h 51) et de 4,3 (h 9).
  • jusqu'au  : 51 répliques seront ressenties.
  • jusqu'au  : une centaine de répliques seront ressenties.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

La commune de Sillingy appartient au canton d'Annecy-1, qui compte, selon le redécoupage cantonal de 2014, 9 communes et une fraction de la ville d'Annecy[19]. Avant ce redécoupage, elle appartenait au canton d’Annecy-Nord-Ouest.

Elle fait partie de la communauté de communes de Fier et des Usses (CCFU) qui regroupe six autres communes, La Balme-de-Sillingy, Choisy, Lovagny, Mésigny, Nonglard et Sallenôves[20]. Initialement, les six communes rurales du canton d’Annecy-Nord-Ouest forme en 1992 un EPCI autour du territoire du Fier et des Usses, qui évolue en 2002 en communauté de communes, que la commune de Sallenôves rejoint[21].

Sillingy relève de l'arrondissement d'Annecy et de la première circonscription de la Haute-Savoie, dont le député est Bernard Accoyer (UMP) depuis les élections de 2012[22].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 mars 1983 Louis Bocquet SE Banquier
1983 1989 Bernard Lepot SE Responsable informatique à la MSA
1989 mars 2001 Jean-Marie Nantua    
mars 2001 mars 2014 Ollivier Tocqueville DVD Professeur d'histoire-géographie, maire honoraire
mars 2014 En cours
(au 21 septembre 2020)
Yvan Sonnerat DVD Agriculteur
Vice-président de la CC Fier et Usses
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Sillingy a développé des associations de jumelage avec[23] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Sillingiens[24].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2020, la commune comptait 5 480 habitants[Note 3], en augmentation de 8,79 % par rapport à 2014 (Haute-Savoie : +6,65 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
6616268149451 1331 2341 2751 3121 376
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 4041 3341 2741 3571 2881 1901 1551 0811 010
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
8678978358569229439801 0821 343
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2020 -
1 6522 1162 8813 4323 5904 8195 3485 480-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École maternelle publique ;
  • École élémentaire publique ;
  • Collège public La Mandallaz.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Le siège social de Cinébus, association de promotion et de diffusion itinérante de cinéma est basé à Sillingy. Elle y diffuse plusieurs films par mois[29].

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

  • Badminton : Badminton Club de la Mandallaz.
  • Ball-Trap Club à La Combe de Sillingy.
  • Football : Association sportive de Sillingy.

Le nom officiel du club de foot de Sillingy est l'A.S Sillingy (ou A.S.S). L'équipe amateur évolue actuellement (2022/2023) en première division (D1) du district de Haute-Savoie-Pays-de-Gex

Médias[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Sillingy vue de Champaille F-74330.
La Mandallaz et la Tournette vues de la Balme de Sillingy. En arrière-plan, le hameau du Geneva, appartenant à Sillingy F-74330.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises de l'agglomération[modifier | modifier le code]

  • Boîte de nuit « Chez Amédée » à Bromines.

Commerce[modifier | modifier le code]

Une partie de la commune de Sillingy s'étend vers la vaste zone commerciale d'Épagny et constitue la Zac de Bromines sur laquelle se sont implantés de nombreuses enseignes commerciales (BUT, Bricorama...). Beaucoup de personnes vont travailler dans la ZAC d'Épagny-Bromines et sur le bassin annécien.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments Laïques[modifier | modifier le code]

Monuments religieux[modifier | modifier le code]

Église de Sillingy.
  • Église de l'Assomption-de-Marie
  • Chapelle dédiée à saint Blaise (1581)[30].
  • Oratoire Notre-Dame des Gouilles avec une statue de la Vierge, situé au sud du hameau de Chaumontet, restaurée en 1804, qui fait l'objet d'un petit pèlerinage local[31]. Le toponyme gouille désigne une petite mare[32].
  • Prieuré de Sillingy (attesté)

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune de Sillingy bénéficie du label « ville fleurie » avec « 1 fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[33].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Sillingy est la commune d'origine du poète et chansonnier savoyard Just Songeon, né à la Combe de Sillingy.

Héraldique[modifier | modifier le code]

La commune ne porte aucune arme officielle.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dominique Bouverat, « Sillingy, des origines à l'aube du XXIe siècle », publié dans les Mémoires de l'Académie Salésienne, T.134, Annecy, 2017.
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0), p. 21-25, « Les cantons d'Annecy - Annecy-le-Vieux - Seynod », p.201-203 « Sillingy ».

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 d'Annecy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Annecy », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  10. a et b Henry Suter, « Sillingy », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  11. a b c d et e Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 657b-650b
  12. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève, 1990, p. 588, n° 9547 (lire en ligne sur Google Books) [1]
  13. Théophile Perrenot, La toponymie burgonde [Toponymies Germanique et Burgonde, Franc-Comtoise, Romande, Savoyarde]. Noms composés et noms divers, Payot, 1942.
  14. Charles Rostaing, Les noms de lieux, Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Que sais-je », (ISBN 2-13-038660-1), p. 49
  15. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 13
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
  16. Laffin C., Amandry Michel, Rémy Bernard, Estiot Sylviane, Hollard Dominique. « Antoniniani rares ou inédits du trésor d'Avressieux (Savoie) », Revue archéologique de Narbonnaise, tome 25, 1992. pp. 455-458, p. 455, note 3 (lire en ligne).
  17. a et b Mahfoudi Samir, « Bains de Bromine ou de Bromines, généralement source de Bromine, antérieurement source de Bromos, Bromoides ou Bromaneri », sur site de la Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel en lien avec l'Assemblée des Pays de Savoie - patrimoine.rhonealpes.fr, (consulté en ).
  18. Enregistrement du tremblement de terre du 14/07/1996 à Épagny, sur le site du réseau SISMALP.
  19. « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté le ).
  20. « Présentation », sur le site de la Communauté de communes de Fier et des Usses (consulté le ).
  21. « Historique », sur le site de la Communauté de communes de Fier et des Usses (consulté le ).
  22. « Résultats des élections législatives de 2012 : Haute-Savoie (74) - Première circonscription (résultats officiels) », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  23. « Jumelages », sur le site internet de la ville de Sillingy (consulté le ).
  24. « Sillingy », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  29. « Cinébus : salle de Sillingy », sur le site officiel de Cinébus.
  30. Armand Tchouhadjian, Saint Blaise Evêque de Sébaste. Saint du IVe siècle universel et populaire, Éditions L'Harmattan, , 438 p. (ISBN 978-2-296-38330-2, lire en ligne), p. 231.
  31. Roger Devos et Charles Joisten, Mœurs et coutumes de la Savoie du Nord au XIXe siècle : L'enquête de Mgr Rendu, Pringy, Académie salésienne - Centre alpin et rhodanien d'ethnologie, , 502 p. (ISBN 978-2-901102-01-4, lire en ligne), p. 206.
  32. Charles Marteaux, « Sur le sens et l'étymologie de quelques noms de lieux savoyards », Recueil des travaux de l'institut de géographie alpine, vol. 6, no 2,‎ , p. 144-145 (lire en ligne).
  33. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).