Preuilly-la-Ville

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Preuilly-la-Ville
Preuilly-la-Ville
La mairie en 2011.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Le Blanc
Intercommunalité Communauté de communes Brenne - Val de Creuse
Maire
Mandat
Alain Marie Rembaut
2020-2026
Code postal 36220
Code commune 36167
Démographie
Gentilé Preuillavillois
Population
municipale
151 hab. (2021 en diminution de 9,04 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 41′ 51″ nord, 0° 58′ 08″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 117 m
Superficie 4,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Blanc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Blanc
Législatives Première circonscription
Localisation
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Preuilly-la-Ville
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Preuilly-la-Ville

Preuilly-la-Ville est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'ouest[1] du département, dans la région naturelle du Blancois, au sein du parc naturel régional de la Brenne.

Les communes limitrophes[1] sont : Lurais (2 km), Fontgombault (3 km) et Tournon-Saint-Martin (4 km), Pouligny-Saint-Pierre (5 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Le Blanc (10 km), Châteauroux (57 km), La Châtre (79 km) et Issoudun (82 km).

Carte
Localisation de la commune de Preuilly-la-Ville

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : le Querroir, les Cossetteries, les Crétignières et le Prépicault[2].

Géologie et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal est arrosé par les rivières Creuse[2] et Suin.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Blanc à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 61, 62, 62A, 62B et 950 [10].

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châtellerault[10], à 39 km.

Preuilly-la-Ville est desservie par la ligne P du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 70 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de la Brenne[2] et par la voie verte des Vallées[2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Preuilly-la-Ville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Blanc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,1 %), zones agricoles hétérogènes (35,4 %), forêts (23,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013
Nombre total de logements 111
Résidences principales 70,5 %
Résidences secondaires 15,7 %
Logements vacants 13,9 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 85,7 %

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Preuilly-la-Ville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990 et 1999[21],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Preuilly-la-Ville.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 110 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 12 sont en aléa moyen ou fort, soit 11 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de 57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En fait, on ne devrait pas écrire Preuilly-la-ville[26], ce dernier mot semblant dérisoire pour un bourg aussi peu important, mais Preuilly la villa, ce qui serait conforme à l'origine de la commune. Le mot original étant Villa Proliacus, c'est-à-dire la villa d'un nommé Proliacus. Le mot villa, d'influence germanique, signifie « domaine rural », soit une ferme avec sa maison de maître et ses dépendances. Par conséquent, les logements des ouvriers et de tous les corps de métier qui en assuraient l'exploitation. Petit à petit, ces villas arrivaient à former de véritables agglomérations ; tel fut le cas de la villa de Preuilly.

La plus ancienne[26] mention de la villa de Proliacus date de 936, dans une charte du cartulaire de l'abbaye de Saint-Cyprien de Poitiers. On y trouve écrit que cette villa appartenait à la dite abbaye et se trouvait située en Poitou ; ce n'est que vers 970 que Preuilly la Ville sera placé en Berry.

En 1254, on trouve mentionné[26] Prullet et de Prulhiacio, en 1359 Pruilhi, en 1560 Preuilly la Ville.

Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Preuilly-les-Roches[27].

Origine[26] : village perché au sommet d'un coteau rocheux, dominant la vallée de la Creuse, dans un beau cadre de verdure.

En 2004 un référendum a eu lieu dans la commune afin de retenir un gentilé. Le nom choisi a été Preuillavillois[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Jacques-Marie Rougé, dans son « Folklore de la Touraine[29] », nous apprend qu'autrefois se trouvait « dans le grenier de la cure, saint Grenouillard, auquel on apportait des marmots en cire pour avoir des enfants ».

De nos jours, ce n'est plus qu'un petit bourg agricole, dont la population n'a cessé de décroître. En cent ans, la commune a perdu près de la moitié de ses habitants.

La commune fut rattachée 1973 à 2015 au canton de Tournon-Saint-Martin.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'arrondissement du Blanc, du canton du Blanc, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Brenne - Val de Creuse[30].

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 mai 1945 Gustave Brunet[29] ? ?
mai 1945 mars 1977 Henri Lauzanne[29] ? ?
mars 1977 juin 1995 Jacques Maurousset[29] ? ?
juin 1995[31] mars 2008 Michel Berthommier ? ?
mars 2008[32] Christian Gaulthier ? Retraité
[33] 2020 Jean-Paul Guillot DVG[34] Retraité
2020 En cours Alain Marie Rembaut    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 151 habitants[Note 4], en diminution de 9,04 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
415369348346357348353375354
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
372370375345332320301282293
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
262253255213203221224224203
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
210183156160148131157160168
2015 2020 2021 - - - - - -
166154151------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de la circonscription académique du Blanc.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La Fête de la moisson, a lieu tous les ans, le premier week-end d'août. Moisson à l'ancienne, défilé d'un mariage au XIXe siècle, exposition de vieux tracteurs, dîner dansant, feu d'artifice, fête foraine.

Équipement culturel[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans l’aire urbaine du Blanc, dans la zone d’emploi du Blanc et dans le bassin de vie du Blanc[30].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Pouligny-saint-pierre[41] et Sainte-maure-de-touraine[42].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Chatel de Brancion (Laurence) [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 208-208, notice de Patrick Grosjean.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b c et d « Preuilly-la-Ville » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Preuilly-la-Ville et Le Blanc », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Blanc », sur la commune du Blanc - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Le Blanc », sur la commune du Blanc - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. a b et c « Preuilly-la-Ville », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. Site de l'Insee : [1], consulté le 6 septembre 2016.
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Preuilly-la-Ville », sur Géorisques (consulté le )
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  24. Article R214-112 du code de l’environnement
  25. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  26. a b c et d Liaison novembre 1996 (journal de la commune).
  27. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, (lire en ligne).
  28. « Nom des habitants des communes françaises, Preuilly-la-Ville », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  29. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w et x Liaison août 1997 (journal de la commune).
  30. a et b « Commune de Preuilly-la-Ville (36167) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  31. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  32. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  33. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  34. Site du Monde.fr : Preuilly-la-Ville, consulté le 21 septembre 2016.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  40. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  41. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Pouligny-Saint-Pierre, consulté le 15 août 2014.
  42. « Sainte-maure-de-touraine », sur le site de l'Institut national de l'origine et de la qualité, consulté le 19 février 2018.
  43. « Un dimanche patrimonial et artistique », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ .