Marcel Roche (peintre)

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Marcel Roche
Naissance
Décès
Nom de naissance
Marcel Ferdinand Roche
Nationalité
Activités
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Formation
Maître
Mécène
Influencé par
Distinction

Marcel Ferdinand Roche, né à Paris le et mort dans la même ville le [1], est un peintre, dessinateur, graveur et illustrateur français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Le lycée Chaptal (anciennement collège Chaptal) à Paris.

D'ascendance tourangelle par son père Raoul Roche, et normande par sa mère née Jeanne Gossaume, commençant à peindre en 1903, Marcel Roche effectue, après l'école communale, ses études secondaires de 1903 à 1908 au collège Chaptal, boulevard des Batignolles à Paris. Après l'obtention de son baccalauréat, il entre en 1909, avec le soutien de sa mère — son père, à l'encontre, le destinant à la médecine —, à l'École des beaux-arts de Paris où il est élève de Fernand Cormon[2]. C'est ensuite plus librement qu'il travaille à l'Académie Julian dans l'atelier d'Adolphe Déchenaud et qu'au musée du Louvre il étudie les œuvres de Jean Fouquet, Jean Siméon Chardin, Gustave Courbet et Paul Cézanne[3].

L'année 1912 est à la fois celle de ses plus anciennes toiles répertoriées (des vues de Montmartre et de Groslay, dans la banlieue nord de Paris), de sa première participation au Salon d'automne et de son départ pour le service militaire à Orléans. Engagé au 131e régiment d'infanterie en 1914, Marcel Roche est grièvement blessé par balle le 22 août[4],[5] au combat du Grand-Bailly, près de Longuyon, qu'en 1917 il relatera dans un livre d'artiste écrit et enluminé par lui-même, calligraphié et relié par Otis Oldfield (en)[6]. Il est évacué et soigné à l'hôpital militaire d'Auch avant d'être réaffecté en 1915 dans le service auxiliaire à la caserne d'Orléans où il réalise de nombreux dessins de scènes animées et de portraits de ses camarades de chambrée. Il est démobilisé le .

Après son voyage de 1931 en Grèce et surtout en Égypte où le mécénat du baron Georges de Menasce, fils de Félix de Menasce, banquier d'origine austro-hongroise installé à Alexandrie, lui vaut une importante exposition, Marcel Roche est, entre 1934 et 1939, devenu conseiller artistique de la Compagnie parisienne de distribution d'électricité, directeur et organisateur d'un nouvel et éphémère Salon de la lumière, s'appuyant sur le constat qu'« un art nouveau de la lumière surgit des techniques permettant par l'électricité la production de grandes puissances » et réunissant des décorateurs, des architectes (Urbain Cassan, Robert Mallet-Stevens) et des peintres comme lui « gagnés à l'art de la lumière » (Raoul Dufy, Robert Delaunay, Jean Crotti)[2].

5 bis, rue Jadin à Paris.

C'est à partir de 1945, au terme de la Seconde Guerre mondiale où, directeur du camouflage du ministère de l'Armement, il mit au point une peinture à la boue efficace en matière de dissimulation des bâtiments et homologuée par le Génie militaire[2], que Marcel Roche s'intéresse à la gravure, redécouvrant la trichromie en taille-douce du XVIIIe siècle[7]. Outre cette technique, il pratique l'eau-forte, la pointe-sèche, la gravure au burin et la lithographie qu'il enseigne à l'école de préparation professionnelle dirigée par Suzanne Hulot et située au 34, rue de l'Yvette à Paris. Membre de la Société des peintres-graveurs français — il en sera sociétaire en 1947 et vice-président en 1951 —, l'ensemble de son œuvre gravé est évalué à 600 estampes.

Il vécut au 5 bis, rue Jadin dans le 17e arrondissement de Paris.

Marcel Roche meurt le , quelques jours après le vernissage de son exposition à la galerie Vendôme à Paris.

Une aquatinte de Claude Breton (1928-2006) — professeur de gravure aux Ateliers Beaux-Arts de la Ville de Paris, qui était son neveu — dont des exemplaires sont conservés à Paris au département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France[8] et au musée d'Art moderne de la ville de Paris, représente l'intérieur de l'atelier de Marcel Roche, rue Jadin[9].

Œuvre[modifier | modifier le code]

Peinture et aquarelle[modifier | modifier le code]

L'œuvre peint de Marcel Roche est évalué à plus de 2 000 toiles et 300 aquarelles[10]. Y figurent :

Fresque[modifier | modifier le code]

Contributions bibliophiliques[modifier | modifier le code]

  • René Morand, Poèmes, bois gravés de Marcel Roche, Paros, Éditions Marcel Seheur, 1922.
  • Alphonse Daudet, Les amoureuses, précédé de Retour sentimental vers Alphonse Daudet de Henri Béraud, illustrations de Marcel Roche, Paris, Librairie de France, 1924.
  • Xavier Forneret, Morceaux choisis, dessins de Marcel Roche, Éditions La Pipe en écume, 1941.
  • J. Bourguignon, Henri Mondor et Jean Porcher (avant-propos d'André Maurois), Hommage au docteur Lucien Graux, six eaux-fortes par Marcel Roche et André Clot, une lithographie par Robert Wehrlin, 210 exemplaires numérotés, Manuel Bruker, 1947.
  • Jules Michelet, Présentation de la France : avant 1870, 67 eaux-fortes originales de Marcel Roche, 170 exemplaires numérotés, Paris, Éditions Manuel Bruker, 1948.
  • Molière, Psyché, 36 gravures sur cuivre, onze vignettes en-têtes et cinq culs-de-lampe par Marcel Roche, 120 exemplaires numérotés, Les Bibliophiles franco-suisses, 1950.
  • Virgile, Les Bucoliques, 35 gravures en taille-douce de Marcel Roche, Les Pharmaciens bibliophiles, 1954.
  • Juliette Darle, Le chemin de la mer, dessins de Marcel Roche, Paris, Imprimerie J. Millas-Martin, 1958.

Publications[modifier | modifier le code]

  • Marcel Roche, Le Temple de la Victoire, Éditions G. de Malherbe, 1919.
  • Ouvrage collectif dont texte de Marcel Roche, Marcel Leprin et ses amis, Éditions du musée Galliera, 1964.

Expositions[modifier | modifier le code]

Expositions personnelles[modifier | modifier le code]

  • Galerie des beaux-arts, Bilbao, 1921.
  • Galerie Panardie, Paris, 1922.
  • Marcel Roche. Huiles, aquarelles, galerie André, Paris, 1923.
  • Galerie Marcel Bernheim, Paris, 1925, 1929[13].
  • Galerie Druet, Paris, 1929, 1930[14], 1933, 1937.
  • Galerie Baudrot, Alexandrie, 1931.
  • Galerie Vildrac, Paris, 1935.
  • Galerie Chabanon, Paris, 1941.
  • Galerie Sélection, Tunis, 1942.
  • Marcel Roche, gravures, galerie Le Garrec, 1950, 1955.
  • Galerie Vendôme, Paris, novembre 1957[15], février-mars 1959 (Quarante tableaux récents)[16], octobre-novembre 1962.
  • Galerie L'éclat de verre, Versailles, 1983.
  • Rétrospective Marcel Roche, église Sainte-Foy, Mirande, 1986.
  • Rétrospective Marcel Roche, musée d'Art et d'Histoire de Draguignan, avril-juin 2005[17].
  • Marcel Roche. Mémoires de guerre : dessins, musée des Beaux-Arts d'Orléans, d'octobre 2012 à janvier 2013[18].

Expositions collectives[modifier | modifier le code]

Vente publique[modifier | modifier le code]

  • Claude Robert, commissaire-priseur, Vente de l'atelier Marcel Roche, hôtel Drouot, Paris, [24].

Réception critique[modifier | modifier le code]

  • « Marcel Roche n'est pas de ceux qui cherchent à s'imposer par le tapage et l'outrance. Ce n'est pas dans son tempérament et il sait que, bien souvent, l'extravagance n'est que le masque de la médiocrité honteuse. Ses toiles solides, sobres, inspirent la confiance ; on sent qu'elles sont le fruit d'un travail obstiné et réfléchi. J'aimerais que parfois l'artiste s'abandonnât davantage ; mais ce souhait ne diminue en rien le plaisir que me donnent les œuvres d'un peintre authentique. » - François Fosca[14]
  • « Marcel Roche a été un moment préoccupé de construction cubiste, mais d'une façon curieuse et qui révèle bien la mentalité foncièrement soumise au réel de ces peintres pour qui "la nature restera toujours au-dessus de ce qu'il est possible d'en faire"… Marcel Roche, François Eberl et Charles Kvapil se sont livrés ainsi à des études approfondies d'après les maîtres, tous sans exception ont aimé "la belle matière solide et dense". Leur métier se relie d'ailleurs non à la tradition classique de la peinture transparente , mais à celle de la peinture opaque de Franz Hals, Rembrandt et Chardin. » - Germain Bazin[25]
  • « Il joint à l'amour passionné des êtres et des choses la sincérité, le talent qui permettent à l'artiste véritable de donner forme plastique à son émotion et de communiquer ses sentiments. Entendant par là qu'elles sont un acte de foi en la grandeur de l'homme, on peut dire que l'art de Marcel Roche, peintre d'aujourd'hui, s'épanouit en retrouvant la tradition de Claude Lorrain et Chardin. » - Jean-Pierre[26]
  • « Ce peintre travaille la couleur avec le souci d'obtenir des aplats très fins malgré l'apparence rustique. Le dessin est affirmé, son rythme nous invite à découvrir, à pénétrer le mystère des structures naturelles, leurs rythmes et leurs lignes de force que l'artiste met à jour selon une démarche familière aux peintres abstraits. La lumière n'y est pas bannie et elle éclaire ces œuvres d'une source de vie. » - G.E.[15]
  • « L'honnêteté et la sincérité d'un artiste qui, sa vie durant, a peint avec cœur ce qu'il aimait. Bien construites, équilibrées, ses peintures démontrent un souci constant : être le serviteur fidèle de la nature, de la beauté. Cela ne veut pas dire que la personnalité de l'artiste disparaissait derrière son sujet, mais que toujours son effort de compréhension, sa sensibilité, l'amenaient au dévouement complet envers ce qui enchantait ses yeux et entraînait son pinceau. » - J.M.[16]
  • « Parmi les artistes qui jouèrent un rôle dans le mouvement révolutionnaire mené par Jean-Gabriel Daragnès, après la guerre d 1914-1918, Marcel Roche tente et réussit des gravures en couleur de grande qualité. » - André Warnod[27]
  • « La prodigieuse science technique des tailles-douces de Marcel Roche […] » - Guy Dornand[28]
  • « Technicien hors du commun, d'une main aussi fine que l'œil, Marcel Roche sut atteindre le sacré à travers les objets les plus usuels, il sut aussi remettre à l'honneur la technique de la gravure en trichromie. » - Jean Chabanon[11]
  • « De nombreux critiques le considéraient, au début des années 1920, comme "l'un des fermes espoirs de la vraie peinture" pour ses scènes de baignades, ses nus dressés dans une pâte dense et robuste. Des souvenirs du cubisme se lisent sous l'équilibre de cette construction naturaliste qui rappelle souvent celle de Luc-Albert Moreau. » - Gérald Schurr[7]
  • « Il avait un sens naturel de la composition qu'il a su développer, après 1945, plus soucieux de la profonde réalité plastique de l'objet, surtout dans des natures mortes construites qui communiquent l'authentique émotion de la réalité quotidienne. » - Dictionnaire Bénézit[29]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Collections publiques[modifier | modifier le code]

En Algérie
En Égypte
Aux États-Unis
En France
En Israël
Au Japon

Collections privées référencées[modifier | modifier le code]

Élèves[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Acte de décès (avec date et lieu de naissance) à Paris 17e, n° 392, vue 7/31.
  2. a b c d e f g h i j k l m et n Ivan Bettex, « Marcel Roche », Les cahiers d'art - Documents, no 98, Éditions Pierre Cailler, 1959.
  3. « Biographie de Marcel Roche », Les amis de Claude Breton et Marcel Roche, association autour de la gravure et de l'estampe.
  4. Jean-Michel Steg, Le jour le plus meurtrier de l'histoire de France : 22 août 1914, Fayard, 2013.
  5. Antoine Flandrin, « Le massacre du 22 août 1914 », Le Monde, 22 août 2014.
  6. a et b Bibliothèque nationale de France, “Le 22 août 1914” par Marcel Roche.
  7. a et b Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, , B65.
  8. « Les gravures de Claude Breton », sur Bibliothèque nationale de France
  9. Musée d'art moderne de la ville de Paris, “L'atelier de Marcel Roche” par Claude Breton dans les collections.
  10. Musée d'Art et d'Histoire de Draguignan, Marcel Roche, plaquette de l'exposition, 2005.
  11. a et b Jean Chabanon, « Marcel Roche », Le Peintre, n°481, 1974.
  12. Juliette Darle, « L'œuvre de Marcel Roche ou le choc d'une présence », L'Humanité, 29 octobre 1962.
  13. François Fosca, « Chroniques - Marcel Roche, Galerie Marcel Bernheim », L'Amour de l'art, n°3, mars 1929, p. 110.
  14. a et b François Fosca, « Chroniques - Marcel Roche, Galerie Druet », L'Amour de l'art, n°4, avril 1930, p. 192.
  15. a et b G.E., « Les expositions : Marcel Roche », Journal de l'amateur d'art, n°199, 10 novembre 1957, page 8.
  16. a et b J.M., « Marcel Roche », Journal de l'amateur d'art, n°227, 10 mars 1959, page 11.
  17. Musée d'art et d'histoire de Draguignan, Rétrospective Marcel Roche, présentation de l'exposition, 2005.
  18. Musée des beaux-arts d'Orléans, Marcel Roche - Mémoires de guerre : dessins, présentation de l'exposition, 2012.
  19. Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
  20. François Fosca, « Chronique des expositions - "Saint-Tropez et ses peintres", Galerie Marcel Bernheim », L'Amour de l'art, n°5, mai 1929, p. 189.
  21. Affiche originale de l'exposition, collections du Musée d'art et d'histoire Louis-Senlecq, L'Isle-Adam.
  22. a et b Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz. Estampes et livres d'artistes, BnF, 1992.
  23. Musée de Nogent-sur-Marne, Sept artistes dans la Grande Guerre - Propagande et témoignages, présentation de l'exposition, 2014.
  24. La Gazette de l'Hôtel Drouot, vendredi 14 avril 1967.
  25. Germain Bazin, « Histoire de l'art contemporain - La probité réaliste », L'Amour de l'art, janvier 1934, p. 306.
  26. Jean-Pierre, « Marcel Roche », catalogue du Salon des peintres témoins de leur temps, 1955.
  27. André Warnod, « Marcel Roche », Le Figaro, 17 décembre 1959.
  28. Guy Dornand, Libération, 13 novembre 1958.
  29. > Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, tome 11, p. 792.
  30. Portland Art Museum, Marcel Roche dans les collections.
  31. Professeure de gravure aux Ateliers Beaux-Arts de la ville de Paris, nièce de l'artiste.
  32. Musée d'art moderne de la ville de Paris, Marcel Roche dans les collections.
  33. Jacques Delatour, « Le musée Palué », Études drômoises, n°52, décembre 2012, p. 3-5.
  34. Ray et Frances Ramsey, Marcel Roche dans la collection.
  35. « Yvonne Sassinot de Nesle », in Cinéma encyclopédie.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Strentz, Marcel Roche, Paris, Éditions Galerie Panardie, 1922.
  • André Warnod, Les berceaux de la jeune peinture, Albin Michel, 1922.
  • Georges Turpin, Marcel Roche, Éditions Girard, 1924.
  • Charles Fegdal, Ateliers d'artistes - trente-cinq portraits d'artistes, Stock, 1925.
  • François Courboin et Marcel Roux, La gravure française, Paris, Éditions Maurice Le Garrec, 1928.
  • Albert Sarraut, Variations sur la peinture contemporaine, Paris, Éditions des Quatre chemins, 1929.
  • Jean-Daniel Maublanc (préface de Louis Parrot), Perspectives - Marcel Lemar, François Eberl, Marcel Roche, Jacques Villon, Charles Kvapil, Paul-Émile Pissarro, Charles Jacquemot, Pierre Bach, Julie Winterová-Mezerová (cs), Paris, Georges Girard éditeur, 1931.
  • Georges Turpin, Dix-huit peintres indépendants, Georges Girard éditeur, Paris, 1931.
  • « Marcel Roche », Drogues et Peintures - Album d'art contemporain, n°11, Laboratoires Chantereau, 1933.
  • Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, Gründ, 1934.
  • Pierre Mac Orlan, Montmartre, Paris, Éditions L'Estampe moderne, 1945.
  • André Salmon, L'air de la Butte, Paris, Éditions de la Nouvelle France, 1945.
  • André Warnod, Ceux de la Butte, Julliard, 1947.
  • Ulrich Thieme et Felix Becker, Allgemeines Lexikon der Bildenden Künstler von der Antike bis zur Gegenwart, Leipzig, E.A. Seeman, 1950.
  • André Waenod, Fils de Montmartre - Souvenirs, Librairie Arthème Fayard, 1955.
  • George Besson, « Franz Priking - Marcel Roche », Les Lettres françaises, n°696, , p. 11.
  • Ivan Bettex, « Marcel Roche », Les cahiers d'art - Documents, n°98, Genève, Éditions Pierre Cailler, 1959.
  • Jean Laran, Jean Adhémar et Jean Pinet (préface de Jean Vallery-Radot), L'estampe - Histoire générale de la gravure, deux volumes, Presses universitaires de France, 1959.
  • Claude Robert, commissaire-priseur, 5, avenue d'Eylau, Paris, Catalogue de la vente de l'atelier Marcel Roche, Hôtel Drouot, .
  • Janine Bailly-Herberg, Dictionnaire de l'estampe en France, Flammarion, 1985.
  • Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
  • Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz - Estampes et livres d'artistes, BNF, 1992.
  • Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1993.
  • André Roussard, Dictionnaire des peintres à Montmartre, Éditions André Roussard, 1999.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, Gründ, 1999.
  • Pierre Sanchez (préface de Josiane Sartre et Chantal Beauvalot), Dictionnaire du Salon des Tuileries (1923-1962) - Répertoire des exposants et liste des œuvres présentées, L'Échelle de Jacob, Dijon, 2007.

Liens externes[modifier | modifier le code]