Chourgnac

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Chourgnac
Chourgnac
Le village de Chourgnac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir
Maire
Mandat
Patricia Flageat
2020-2026
Code postal 24640
Code commune 24121
Démographie
Gentilé Chourgnacois
Population
municipale
66 hab. (2021 en augmentation de 3,13 % par rapport à 2015)
Densité 9,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 06″ nord, 1° 03′ 35″ est
Altitude Min. 149 m
Max. 260 m
Superficie 6,96 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Périgord Noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Chourgnac
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Chourgnac
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Chourgnac
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Chourgnac

Chourgnac, également appelée Chourgnac-d'Ans, est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Dans le quart nord-est du département de la Dordogne, la commune de Chourgnac se situe en Périgord central, sur les hauteurs calcaires entre les vallées de l'Auvézère et de son sous-affluent, la Soue.

Le petit bourg de Chourgnac, implanté 350 mètres à l'ouest de la route départementale 67, se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Hautefort et onze kilomètres au nord de Thenon.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Chourgnac est limitrophe de quatre autres communes.

Communes limitrophes de Chourgnac
Tourtoirac
Sainte-Eulalie-d'Ans Chourgnac
Gabillou Sainte-Orse

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Chourgnac est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j2, date du Bajocien, des calcaires oolithiques bioclastiques (localement niveau à polypiers) en alternance avec des calcaires cryptocristallins ou évoluant vers un faciès de calcaire crayeux (secteur nord-ouest). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Chourgnac.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 149 m[5] à la pointe nord de la commune, en limite de celle de Tourtoirac, et 260 m[5] au sud-est[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 6,96 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,18 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[14],[Carte 1]. Quelques rares étangs parsèment le territoire communal.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Bien qu'aucun cours d'eau ne baigne la commune, celle-ci est néanmoins couverte par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne » pour les eaux de ruissellement et les eaux souterraines. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[15]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [16].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 957 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 11 km à vol d'oiseau[20], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chourgnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[24],[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,4 %), zones agricoles hétérogènes (48,9 %), prairies (1,7 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Chourgnac proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[30] :

  • les Ailleteaux
  • le Bastis
  • le Cheyrou
  • les Forêts
  • les Galopières
  • le Grand Claud
  • Jarrissou
  • la Jasse
  • Lachèze
  • Lafont
  • Lescuras
  • Lestrade
  • le Moulin à Vent
  • les Peix
  • les Petits Clauds
  • le Pigeonnier
  • Puy la Croix
  • Soumeil.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Chourgnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

Chourgnac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[33]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[34],[35].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chourgnac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[36]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 35,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[38].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village provient d'un nom de personnage gallo-roman Scaurinus auquel le suffixe -acum a été apposé, indiquant le « domaine de Scaurinus »[39].

En occitan limousin[40], la commune porte le nom de Chornhac[41].

Les habitants de la commune se nomment les Chourgnacois[42].

Si le nom officiel de la commune est Chourgnac[43], elle est localement appelée « Chourgnac-d'Ans », en référence au pays d'Ans, du nom de l'ancienne châtellenie qui regroupait dix-huit paroisses au XIVe siècle[44].

Histoire[modifier | modifier le code]

Une présence humaine préhistorique est attestée sur le territoire communal par un gisement datant du Moustérien[39].

La première mention connue du nom du village apparaît au XIe siècle sous la forme « Eschaurniac » qui devient « Chournhac » au XIVe siècle[39].

Jusqu'à la fin de la guerre de Cent Ans, la paroisse de Chourgnac a dépendu de la châtellenie d'Ans, celle-ci passant à plusieurs reprises sous dominations anglaise puis française[45]. En 1600, Henri IV, comte de Périgord, vend à Jean de Marqueyssac, seigneur d'Hautefort de Bruzac, le droit de justice sur la paroisse de Chourgnac[45].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom d'« Eychourgnac »[46].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune de Chourgnac a, dès 1790, été rattachée au canton d'Orse qui dépendait du district d'Excideuil. Les districts sont supprimés en 1795, et le canton d'Orse en 1801. La commune est alors rattachée au canton de Hautefort, lui-même dépendant de l'arrondissement de Périgueux[5].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, le canton de Hautefort disparaît aux élections départementales de mars 2015[47]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord Noir.

En 2017, Chourgnac est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[48],[49].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Au 1er janvier 1995, Chourgnac intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort, renommée communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir en .

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[50],[51].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs[52]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
(1838 ou avant) septembre 1848 Jean (aîné) Lasgrézas    
septembre 1848 (1849 ou 1850) Bertrand Bardet    
(1849 ou 1850) août 1851 Jean (aîné) Lasgrézas[Note 5]    
août 1851 janvier 1852 Léonard Jardon   Adjoint faisant fonctions de maire
janvier 1852 (1857 ou 1858) Élie Lagorce   Percepteur
(1857 ou 1858) (1858 ou après) Lathoumétie    
         
(1874 ou avant) 1878 Galmot    
1878 (1884 ou après) Jean Lasgrézas    
         
(1923 ou avant) mai 1935 Guillaume Lathoumétie    
mai 1935 (entre 1951 et 1953) Jean (Élie) Flageat    
(entre 1951 et 1953) février 1971 René Flageat[Note 6]    
mars 1971 mai 1992 Maurice Flageat[Note 6]    
juin 1992 juin 1995 Paul Dumas    
juin 1995 1996 Guy Couderc[Note 7]    
mars 1996 mars 2008 Gilbert Mournaud   Agriculteur, négociant en fruits
mars 2008 octobre 2013 Annick Queyroi-Dumas[Note 8] PS[53] Enseignante
novembre 2013[54]
(réélue en mai 2020)
En cours Patricia Flageat   Exploitante agricole

Jumelages[modifier | modifier le code]

Panneau de jumelage avec Ans.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Début 2015, Chourgnac, Sainte-Eulalie-d'Ans, Saint-Pantaly-d'Ans et Tourtoirac sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) au niveau des classes de primaire. Chourgnac et Saint-Pantaly-d'Ans n'ayant plus d'école, Tourtoirac accueille les enfants en maternelle, en cours préparatoire et en cours élémentaire 1re année ; Sainte-Eulalie-d'Ans s'occupe du cours élémentaire 2e année et du cours moyen (CM1 et CM2).

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Chourgnac relève[55] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[57].

En 2021, la commune comptait 66 habitants[Note 9], en augmentation de 3,13 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
388251281315412395359348368
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
362329294305288289268236228
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
222212194174158154148142124
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1139471727156687160
2021 - - - - - - - -
66--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent trente personnes, soit 46,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trois) a augmenté par rapport à 2010 (deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,7 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte onze établissements[60], dont quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trois au niveau des commerces, transports ou services, et un dans la construction[61].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Révoqué.
  6. a et b Décédé en fonctions.
  7. Démissionnaire.
  8. Dédédée en fonctions. Source : Michel Pitout, Annick Queyroi, le maire du village, est décédée, Sud Ouest édition Périgueux du 8 octobre 2013, p. 22.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Chourgnac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Carte géologique de Chourgnac » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Chourgnac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 759 - Périgueux (est) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Chourgnac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  14. « Fiche communale de Chourgnac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  15. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  16. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  18. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. « Chourgnac » sur Géoportail (consulté le 6 janvier 2015)..
  31. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Chourgnac », sur Géorisques (consulté le ).
  32. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  36. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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  38. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
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