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Choqueuse-les-Bénards

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Choqueuse-les-Bénards
Choqueuse-les-Bénards
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise picarde
Maire
Mandat
Brigitte Flament
2020-2026
Code postal 60360
Code commune 60153
Démographie
Gentilé Chocquois
Population
municipale
102 hab. (2021 en évolution de −1,92 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 10″ nord, 2° 04′ 59″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 174 m
Superficie 4,16 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
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Choqueuse-les-Bénards
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Choqueuse-les-Bénards
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Choqueuse-les-Bénards
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Choqueuse-les-Bénards
Liens
Site web http://www.choqueuse-les-benards.fr/

Choqueuse-les-Bénards est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Description

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Mare, calvaire de la place de l'Église et mairie.

Choqueuse les-Bénards est un village rural picard située entre les communes de Catheux, Conteville et Hétomesnil. Il est situé à 24 km au nord de Beauvais et à 31 km au sud-ouest d'Amiens.

De nombreux sentiers permettent de rejoindre la Coulée Verte qui réutilise l'emprise de l'ancienne ligne Beauvais - Amiens.

Au début du XIXe siècle, Louis Graves indiquait de Choqueuse-les-Bénard qu'elle avait un « petit territoire allongé , traversé par un ravin courant de l'ouest à l'est, limité au, nord par un autre ravin. Le chef-lieu, qui consiste en une rue principale et une place assez vaste, est assis sur le plateau intermédiaire ; il est entouré de haies ; le sol, est aride et médiocre[1] ».

Communes limitrophes

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Rose des vents Le Mesnil-Conteville Catheux Rose des vents
Conteville N Catheux
O    Choqueuse-les-Bénards    E
S
Hétomesnil Catheux Catheux

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Choqueuse-les-Bénards[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 771 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 19 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Choqueuse-les-Bénards est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,2 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), forêts (11,9 %), prairies (0,5 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 54, alors qu'il était de 57 en 2013 et de 49 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 79,1 % étaient des résidences principales, 5,7 % des résidences secondaires et 15,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Choqueuse-les-Bénards en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,7 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,4 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Choqueuse-les-Bénards en 2018.
Typologie Choqueuse-les-Bénards[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 79,1 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,7 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 15,2 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par les lignes 614, 616 et 6109 du réseau interurbain de l'Oise[12].

La localité a été dénommée Sacosa (1034), Salcosas (1119), Salcosa (1199), Saukeuses (1225), Sauqueses (1227), Choqueuses (vers 1250)[13], Choqueuses, Chauqueuse, Sauqueuse les Benards, Chauqueuses, Sauqueuse les Benars[1].

À l'origine terre pourvue de saules du latin salicem et suffixe adjectif -osa ( terra )[14]. Endroit défriché où ne subsistent que les souches des arbres (choques en picard)[15]. On aboutit à sauqueuse, puis le chuintement picard a fini par l'emporter pour aboutir à choqueuse[15].

L'extension -les-Besnard qui apparaît au XIVe siècle renverrait à l'existence d'un écart rattaché à Choqueuse, disparu à la suite d'un incendie. Il se serait situé dans le fond du vallon juste au sud de l'actuel village. Sa disparation semble antérieure au XVIIIe siècle, il ne figure pas sur la carte de Cassini. Les habitants des Bénards se seraient déplacés à Choqueuse. Leurs habitations auraient été reconstruites avec les vestiges de celles des Bénards[16].

En 1836, Louis Graves indiquait que le village avait disposé d'un moulin à vent, alors déjà disparu, et était propriétaire du presbytère ainsi que d'un puits, le seul creusé sur son territoire. La population vivait essentiellement de la fabrication de bonneterie et du tissage d'étoffes en laine[1].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Crèvecœur-le-Grand[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté de communes de Crèvecœur-le-Grand Pays Picard A16 Haute Vallée de la Celle créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[18], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[19], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[20].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[21], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [22].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Jean-François Benjamin Lévêque   Maire pendant 50 ans,
décédé en 1842
    Léopold Babeur[23]   Maire pendant 40 ans
    Jules Decaux[23]   Fils du précédent
Maire pendant 48 ans
Les données manquantes sont à compléter.
1959[24] 2008 Maurice Smessaert    
mars 2008[25] 2014 Muguette Verbeke    
2014[26] En cours Brigitte Flament   Retraitée
Réélue pour le mandat 2020-2026[27]

Équipements et services publics

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Enseignement

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La commune est membre d'un regroupement scolaire intercommunal, avec Grez, Hétomesnil, Conteville, Le Hamel.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 102 habitants[Note 3], en évolution de −1,92 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
303290273296327338316313320
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
291273255241221175156152143
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
137122117109110108106116101
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
9173455862607370104
2014 2019 2021 - - - - - -
104102102------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 48 hommes pour 54 femmes, soit un taux de 52,94 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,1 
90 ou +
3,7 
4,2 
75-89 ans
3,7 
20,8 
60-74 ans
25,9 
25,0 
45-59 ans
20,4 
14,6 
30-44 ans
11,1 
16,7 
15-29 ans
16,7 
16,7 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église de la Nativité-Notre-Dame, au chœur de 1584, en pierre de calcaire et avec des poutres sculptées, ainsi qu'une nef en brique, plus basse, reconstruite en 1830, l'ensemble ayant bénéficié d'une restauration au XXe siècle[33],[34]. Le bénitier en pierre date du XVe siècle[35].
  • Souterrain-refuge (muches)[33].
  • Ruines d'un château et ancienne ferme seigneuriale devant l'église[33]. Le site se présente sous la forme d'une motte de plaine, ceinte d'un fossé située dans la cour d'une ferme face à l'église. La butte enferme deux caves maçonnées de pierre et voûtées en berceau. Ces caves ont vraisemblablement été construites sur le sol naturel avant d'avoir été recouvertes de terre[36].

Personnalités liées à la commune

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Selon Louis Graves, « Josse de Paillart, écuyer, possédait la terre de Choqueuse en 1507 ; elle fut acquise par J. B. Lecatnin, conseiller au bailliage d'Amiens, qui en prit le surnom en 1665 »[1].

Héraldique

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Blason de Choqueuse-les-Bénards Blason
D'argent au chevron de gueules, accompagné en pointe d'un trèfle de sinople, au chef de gueules chargé de trois croissants d'or[37].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Choqueuse-les-Bénards » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crèvecoeur, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 96 p. (lire en ligne), p. 35-36, sur Google Books.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Choqueuse-les-Bénards et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Transports en commun à Choqueuse-les-Bénards », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  13. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 140.
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 340.
  15. a et b Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 38.
  16. Lucile Champignon, Le village de Choqueuse-les-Bénards : inventaire topographique (lire en ligne).
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  19. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  20. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  21. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d'agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  22. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  23. a et b « Adieu Léopold », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3385,‎ , p. 18 « Léopold Decaux nous a quittés. Né le 20 mai 1922 à Choqueuse-les-Bénards, dans la lignée de ses ancêtres, son aïeul Léopold Babeur, maire pendant 40 ans et son père Jules Decaux, maire pendant 48 ans, il a été élu au conseil municipal durant 34 ans dont 18 ans comme adjoint ».
  24. « Hommage à Maurice Smessaert : Maire durant quarante-neuf ans, Maurice Smessaert a été décoré de la médaille d'honneur régionale, départementale et communale », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3319,‎ , p. 20.
  25. Hebdomadaire Le bonhomme picard du 26 mars 2008
  26. « http://www.cartes-2-france.com/villes/60153-choqueuse-les-benards.php », Cartes de France (consulté le ).
  27. « Procès verbal de la réunion du conseil municipal - séance du 23 mai 2020 » [PDF], Comptes rendus, sur choqueuse-les-benards.fr (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Choqueuse-les-Bénards (60153) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  33. a b et c Daniel Delattre, Le canton de Crèvecœur-le-Grand, Grandvilliers, Delattre, , 110 p. (ISBN 978-2-915907-99-5), p. 17-19.
  34. « L'église », Commune de Choqueuse-les-Bénard (consulté le ).
  35. « Bénitier de l'église paroissiale », notice no PM60000535, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 352.
  37. http://www.choqueuse-les-benards.fr