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*''Peut-on réformer la France ?", entretiens avec [[Frits Bolkestein]], [[Paris]] : Autrement, [[2006 en littérature|2006]]. 124 pages. ISBN 2-7467-0858-2.
*''Peut-on réformer la France ?", entretiens avec [[Frits Bolkestein]], [[Paris]] : Autrement, [[2006 en littérature|2006]]. 124 pages. ISBN 2-7467-0858-2.
* ''République 2.0 - Vers une société de la connaissance ouverte'', 15 avril 2007, {{Pdf}} [http://www.desirsdavenir.org/commun/pdf/RapportRocard.pdf texte intégral en ligne sur desirsdavenir.org] (site internet de campagne présidentielle de Ségolène Royal)
* ''République 2.0 - Vers une société de la connaissance ouverte'', 15 avril 2007, {{Pdf}} [http://www.desirsdavenir.org/commun/pdf/RapportRocard.pdf texte intégral en ligne sur desirsdavenir.org] (site internet de campagne présidentielle de Ségolène Royal)
* {{Ouvrage|titre=[http://www.nonfiction.fr/article-1617-p1-michel_rocard_dit_oui_a_la_turquie.htm]|éditeur=Hachette Littérature |année=2008}}
* ''Oui à la [[Turquie]]'', collection Tapage, Hachette Littératures , septembre 2008, 130 pages.
* ''Notre Europe'', avec [[Nicole Gnesotto]], Robert Laffont, septembre 2008.
* ''Notre Europe'', avec [[Nicole Gnesotto]], Robert Laffont, septembre 2008.



Version du 8 octobre 2008 à 17:59

Modèle:Infobox Premier Ministre de la France

Michel Rocard est un homme politique français, né le à Courbevoie (Seine).

Premier ministre entre 1988 et 1991, il est, depuis 1994, député au Parlement européen, membre du groupe parlementaire du Parti socialiste européen.

Formation

Il est licencié ès lettres, diplômé de l’Institut d'études politiques de Paris et de l’École nationale d'administration (promotion 1958, surnommée 18 juin).

Famille

Michel Rocard est issu d'une famille de la bourgeoisie, protestante de côté de sa mère, catholique du côté de son père. Il est le fils d’Yves Rocard, professeur et chercheur, et le père de Francis Rocard, astrophysicien au CNES, de Sylvie, Olivier et Loïc Rocard. Il est également apparenté à l'actrice Pascale Rocard.

Entrée au PSU et Guerre d'Algérie

Entré en 1947 à l'Institut d'études politiques de Paris, Michel Rocard adhère en 1949 aux Jeunesses socialistes. Entre 1953 et 1955, il est responsable des étudiants socialistes. Il entre à l’ENA en 1955. Alors que se déclare la guerre d'Algérie, il rejoint les socialistes en rupture avec Guy Mollet à propos de la politique algérienne. Il adhère au Parti socialiste autonome (PSA) dès sa création par Édouard Depreux et Alain Savary. « Pendant plus d'un siècle, la France a prétendu mener en Algérie la politique dite de l'assimilation, qui seule justifiait l'intégration de l'Algérie dans le terrioire de la République. En fait, cette politique fut proclamée et jamais appliquée », écrivait Michel Rocard dans un rapport rédigé en 1957.

« L'égalité de tous les citoyens devant la loi, qui est le principe de base de notre Constitution, n'a jamais été pratiquée. L'égalité des devoirs existait, et notamment l'impôt du sang, mais point d'égalité des droits », ajoutait-il, avant de constater que « sévissait durement une mentalité proche de la ségrégation raciale qui interdisait aux musulmans, sauf exception, l'accès aux fonctions de responsabilités, même mineures, dans leur propre pays[1] ».

En 1960, il participe à la fondation du Parti socialiste unifié, fusion du PSA et de l’UGS (Chrétiens de gauche). Pierre Mendès France y adhère en 1961. Le PSU rassemble aussi d’anciens communistes.

Premières responsabilités

Fichier:PSU.jpg
logo du PSU dans les années 1970

Michel Rocard est nommé Inspecteur des Finances en 1958 puis secrétaire général de la Commission des comptes et des budgets économiques de la nation en 1965. Remarqué lors du congrès de Grenoble en 1966, il devient secrétaire général du PSU en 1967. Depuis 1953, Michel Rocard avait pris le pseudonyme de Georges Servet (du nom d'un hérétique protestant) et c’est sous ce nom qu’il était connu au PSU avant 1967. En Mai 68, il joue un certain rôle car l’UNEF, le principal syndicat étudiant de l’époque, est contrôlée par les étudiants du PSU dont faisait notamment partie Jacques Sauvageot, dirigeant de l’UNEF.

Il se présente à l’élection présidentielle de 1969, où il recueille un score de 3,61 % des suffrages exprimés, - le meilleur score obtenu par le PSU depuis sa création -, le candidat socialiste Gaston Defferre, allié à Pierre Mendès France, n’obtenant que 5%. Il se présente aux législatives dans la quatrième circonscription des Yvelines (Bougival, Louveciennes, La Celle Saint-Cloud, Marly-le-Roi) en 1969 et bat le premier ministre sortant Maurice Couve de Murville. Il perdra ce siège en 1973. Il soutient la campagne présidentielle de François Mitterrand en avril-mai 1974, mais en octobre, lorsqu’il propose au PSU de rejoindre le PS, il est mis en minorité (40%), quitte le PSU et participe aux Assises pour le Socialisme (12-) qui préparent l’entrée au PS des minoritaires du PSU et de certains militants proches de la CFDT comme Jacques Chérèque. Son entrée au Parti socialiste date de décembre 1974. Il devient membre du bureau exécutif en février 1975 et secrétaire national chargé du secteur public. Il est élu maire de Conflans-Sainte-Honorine en 1977, à la tête d’une liste d’union de la Gauche. Il deviendra député de la circonscription de Conflans aux législatives de 1978. Le , il annonce sa candidature à la candidature pour la présidentielle de 1981, mais retire sa candidature le 8 novembre lorsque François Mitterrand annonce la sienne. L’antagonisme qui couvait entre les deux hommes depuis au moins 1977 durera jusqu'à la mort de Mitterrand en 1996.

Le rocardisme

La fin des années 1970 marque l’avènement du rocardisme, un courant au sein du Parti socialiste qui affiche une tendance décentralisatrice (congrès de Nantes, 1977), puis ouvertement hostile aux nationalisations intégrales (à 100%) préparées par les mitterrandistes (congrès de Metz, 1979). Il profite du procès contre des membres du FLB, durant lequel il témoigne en faveur des accusés, en novembre 1979, pour justifier ses appels à la décentralisation : « je sens profondément que ce mouvement centralisateur, commencé par Philippe le Bel, doit s'arrêter »[2]. Michel Rocard, dont la cote a toujours été élevée dans les sondages, devient ainsi une figure incontournable du paysage politique français. En s’opposant aux « nationalisations à outrance » et en acceptant l’économie de marché, le rocardisme se retrouve à l’opposé des positions défendues par le parti communiste dans les négociations du Programme commun. Les rocardiens se réclament souvent de la pensée de Pierre Mendès France lorsqu’ils prônent une politique économique « réaliste » et une culture de gouvernement.

Entrée au gouvernement

Michel Rocard, ministre du Plan (1981).

Maire de Conflans-Sainte-Honorine de 1977 à 1993, il devient ministre d'État, chargé du Plan et de l’Aménagement du territoire, dans le gouvernement Mauroy du 25 mai 1981, puis ministre de l’Agriculture le . Il conserve cette fonction dans le gouvernement de Laurent Fabius. Opposé à l’instauration du mode de scrutin proportionnel pour les élections législatives, il démissionne de son poste le .

Premier ministre

Il est nommé Premier ministre, le 12 mai 1988, au début du second septennat de François Mitterrand : voir Gouvernement Michel Rocard (1). Les résultats des élections législatives entraînent la formation d’un second gouvernement Rocard le . Ce même jour, Michel Rocard fait signer les accords de Matignon entérinant les droits de la Nouvelle-Calédonie à l’autodétermination et mettant fin aux violences sur l’île. Cette action, souvent qualifiée de miraculeuse [réf. nécessaire], pour la pacification de la Nouvelle-Calédonie est, selon lui, ce qu’il a fait de mieux en matière de gouvernement [réf. nécessaire] mais c’est aussi l’action pour laquelle il dit avoir subi les pires attaques (« haute trahison de la République »[réf. nécessaire], « digne de la cour martiale »)[réf. nécessaire]. Il instaure également le Revenu minimum d'insertion le , qui constitue l’un des rares projets de loi votés à l'Assemblée sans une seule voix d’opposition. Il fait également adopter par l’assemblée (19 novembre 1990) la loi sur la CSG, nouveau prélèvement sur tous les revenus, annoncé comme provisoire, pour faire baisser le déficit de la sécurité sociale. La CSG est toujours en vigueur en 2008 et augmente régulièrement depuis sa création.

Premier secrétaire du Parti socialiste

François Mitterrand avec qui sa mésentente est alors de notoriété publique (on a même parlé d’une cohabitation) lui demande de démissionner de sa fonction de Premier ministre le 15 mai 1991. En mars 1993, il est battu dans sa circonscription des Yvelines par Pierre Cardo (UDF), maire de Chanteloup-les-Vignes.

Il devient Premier secrétaire du Parti socialiste en 1993 après la déroute socialiste aux élections législatives. Il remanie profondément les institutions dirigeantes du Parti, donnant notamment son autonomie au MJS, et devient le premier Premier secrétaire du PS élu par les délégués au congrès national. Il choisit d’être tête de liste aux élections européennes de juin 1994 durant lesquelles il doit subir la concurrence de la liste radicale de Bernard Tapie. À la suite du mauvais score de sa liste (14%), une coalition Emmanuelli-Fabius le met en minorité au Conseil national du PS et il doit démissionner de son poste de Premier secrétaire le , remplacé par Henri Emmanuelli qui convoque dans l'urgence un congrès à Liévin. Michel Rocard est élu sénateur en 1995.

Son implication dans l'Union Européenne

Il démissionne de son mandat de sénateur en 1997, car Lionel Jospin lui a demandé de choisir entre le sénat et le parlement européen, où il siège depuis 1994, et où il s’illustre par son opposition aux brevets logiciels dans l’Union européenne de 2003 à 2005. Il occupa plusieurs fonctions au parlement européen en présidant les commissions de la coopération et du développement (1997-1999), puis des affaires sociales et de l'emploi (1999-2002) et enfin de la culture (2002-2004) (discours).

En 2005, il conduit la délégation d’observateurs européens pour assurer le bon déroulement de l’élection présidentielle en Palestine.

Au lendemain de la victoire du Non au référendum européen du 29 mai 2005, alors que le parti socialiste est en crise, M. Rocard marque, à travers plusieurs entretiens, son opposition à Laurent Fabius et aux courants « gauche » du PS, en fustigeant notamment le « Nouveau Parti Socialiste » d’Arnaud Montebourg. Il s'en prend également à l'association altermondialiste ATTAC (« monument de bêtise économique et politique » selon l’ancien premier-ministre). Il marque cependant sa curiosité pour le courant « Utopia » qui n’obtiendra qu'un peu plus de 1% des voix au congrès du Mans (novembre 2005).

Son implication internationale

Michel Rocard compte également parmi les membres fondateurs du Collegium international éthique, politique et scientifique, association qui souhaite apporter des réponses intelligentes et appropriés qu'attendent les peuples du monde face aux nouveaux défis de notre temps.

Présidentielle 2007

Modèle:Wikinews Ségolène Royal confie à Michel Rocard dans le cadre de sa candidature à l'élection présidentielle une mission numérique en charge d'établir un rapport-programme[3]. Michel Rocard avait joué un rôle déterminant dans la bataille au Parlement européen contre la brevetabilité du logiciel. Le rapport est publié sous le titre République 2.0 - Vers une société de la connaissance ouverte. Voir ci-dessous. Il révèle en juillet 2007 avoir tenté en vain de convaincre Ségolène Royal de se désister en sa faveur un mois avant le premier tour de l'élection présidentielle, estimant que ce changement de candidat aurait pu éviter à la gauche la défaite à venir.

Le 13 avril 2007, 9 jours seulement avant le premier tour, il se prononce dans Le Monde pour un accord Royal-Bayrou[4] afin de battre la coalition de Nicolas Sarkozy et Jean-Marie Le Pen, sans toutefois préciser les modalités de cet éventuel accord. Il est suivi dans sa démarche par Bernard Kouchner le lendemain[5].


Une activité politique toujours importante

Le , en voyage en Inde, il a été victime d'une hémorragie cérébrale et transféré, dans un état grave, au sein du service de neurochirurgie de l'hôpital de Calcutta. Il sort de cet hôpital le 10 juillet 2007, visiblement remis de cet accident vasculaire cérébral, pour être rapatrié en France.

En août 2007, il participe à la commission Pochard, sur la condition enseignante et le statut des enseignants, voulue par Nicolas Sarkozy et lancé par le ministre de l'Éducation nationale Xavier Darcos. Suite au titre d'une interview au Figaro qu'il juge « mensonger », il démissionne de cette commission le [6]

Dans la perspective du Congrès de Reims, il annonce en septembre 2008 soutenir Bertrand Delanoë[7].

Toujours très engagé dans la construction Européenne, il publie en septembre 2008 "Oui à la Turquie" et quelques jours plus tard "Notre Europe" avec Nicole Gnesotto.

Fonctions et mandats

Fonctions gouvernementales

Mandats nationaux

Mandat de sénateur

Député européen

Mandats locaux

Fonctions au Parti socialiste

  • Premier secrétaire 1993-1994;
  • Président de la direction du Parti socialiste 1993;
  • Membre du bureau national du PS 1994-1997;
  • Invité permanent du bureau national du PS

Affiliations

Michel Rocard fut membre de l'International Advisory Board du Council on Foreign Relations de 1999 à 2004.[1] Il est, avec Dominique Strauss-Kahn, co-fondateur de l'association À gauche, en Europe. Et aussi administrateur du think tank Les Amis de l'Europe.

Il est désormais Président du conseil d'orientation scientifique de la fondation Terra Nova (think tank).

Publications de Michel Rocard

Publications sur Michel Rocard

Anecdotes

Féru d'aviation, il est pilote et a participé à de nombreuses compétitions de planeur.

Distinctions honorifiques

Citations

  • « Je porte sur le capitalisme un regard plus inquiet que le vôtre car il a rompu avec l'éthique. »
  • « La France ne peut accueillir toute la misère du monde, mais elle doit savoir en prendre fidèlement sa part. » a été prononcée le 3 décembre 1989 devant les militants de la Cimade. Cette phrase est très souvent citée dans sa version tronquée, la deuxième partie n'en est pas moins importante car Michel Rocard commente sa phrase le 24 août 1996[8]. De nombreuses personnalités ont néanmoins pu y voir en germe, les racines d'un vaste mouvement de lepénisation des esprits. (voir le dictionnaire de la lepénisation des esprits de Sylvie Tissot et Pierre Tévanian) Bernard Tapie a par exemple vigoureusement dénoncé cette formule (INA débat sur Antenne 2 dirigé par P.Amar dans le cadre des elections européennes de juin 1994 B.Tapie/ JM Le Pen).
  • En 2004, à un journaliste qui lui demandait « Regrettez- vous de n’avoir jamais été Président de la République ? », Michel Rocard répondit : « Je pense avoir été un Premier ministre acceptable, je ne sais pas si j’aurais fait un bon président. »
  • « Certes, je ne suis pas devenu Président ; je n’ai pas vécu sous les ors de la monarchie républicaine ; mais mon inscription dans l’histoire du socialisme est déjà acquise. » « Ça m’arrange d’avoir eu cette femme sectaire (Édith Cresson) comme successeur. Ça fait mieux ma différence… » « Je suis sur [la ligne] L’État ne peut pas grand chose ; ce qu’il y a d’essentiel n’est pas toujours très politique. » in Si la gauche savait (2005).
  • « Il n'y a pas de Parti socialiste, il n'y a que les amis de François Mitterrand » (citation de François Mitterrand rapportée par Michel Rocard dans le Nouvel Observateur n° 2135)
  • « Les historiens maîtrisent à peu près maintenant l'histoire humaine sur les 6000 dernières années. Sur ces 6000 ans, 5800 ans ont vu l'homme manger ce que produisait la terre ; ce fut un monde où, en dehors de quelques prêtres et de quelques rois, tout le monde vécut dans des conditions de pauvreté extrême et effroyable. Nous sommes sortis de cela grâce au capitalisme. » in Peut-on réformer la France ? par Frits Bolkestein et Michel Rocard, Paris, Autrement, oct. 2006
  • « 1968-1974 [il a dirigé le PSU de 1967 à 1973] : six années infernales — pis encore, c’était une guerre infernale. J’étais toujours en défense. Le parti votait n’importe quoi. Ainsi, un beau jour, dans un conseil national, il a confirmé que nous étions un « parti révolutionnaire ». Qu’est-ce que j’avais à faire de ça ! J’étais empêtré. Je me débattais comme je pouvais. Je me rappelle avoir fait à la télé des cours de sémantique, expliquant que le mot « révolutionnaire » était en ce cas aussi anodin qu’il l’était quand la régie Renault prétendait que sa nouvelle Frégate avait une transmission « révolutionnaire ». Ça a fait rigoler la France entière. » (Michel Rocard, Si la gauche savait, , p. 163)
  • « Le capitalisme est assurément la forme d'organisation sociale qui garantit les plus grandes marges de liberté à tous les acteurs du système. Cela ne peut évidemment pas tenir sans un haut degré d'autolimitation et d'autocontrôle. »[9]
  • « La gauche française ne s'est toujours pas défaite de son rêve d'économie administrée. »[10]
  • « Le socialisme français doit commencer par cesser d’agir sous le doigt accusateur de ceux qui s’arrogent une sorte de droit à dire ce qui est, et ce qui n’est pas, «de gauche». »[11]
  • « Il m'a viré. » Après que François Mitterrand se soit séparé de lui, Rocard lâche cette petite phrase amère.

Notes et références

  1. Michel Rocard, Le drame algérien, rapport présenté par Henri Frenay, mais rédigé par Rocard, au nom de la VIe section de la fédération de la Seine au printemps 1957 en vue du congrès de la SFIO, in Rapport sur les camps de regroupement et autres textes sur la guerre d'Algérie, op. cit. p.42-43
  2. Le Dossier FLB - Plongée chez les clandestins bretons, p202, d'Erwan Chartier et Alain Cabon, Éditions Coop Breizh, Spézet, novembre 2006
  3. Royal confie à Rocard une mission numérique, Ariane Beky, 27 mars 2007, Neteco.com
  4. Royal-Bayrou, l'accord nécessaire dans Le Monde du 13-14 avril 2007.
  5. Assez de l'esprit sectaire !, par Bernard Kouchner dans Le Journal du dimanche du 15 avril 2007.
  6. Lettre de Michel Rocard, LePoint.fr, 7 février 2007
  7. Tribune parue dans le journal Le Monde du 10 septembre 2008
  8. La part de la France par Michel Rocard, article paru dans les pages Opinions du Monde du 24 août 1996
  9. LeMonde.fr : Le capitalisme éthique, un principe fragile
  10. Paris Match, 27 juillet 2007.
  11. Libération, tribune avec Michel Pezet, http://www.liberation.fr/rebonds/261110.FR.php, 14 juin 2007.

Voir aussi

wikilien alternatif2

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Michel Rocard.

Liens externes

Chronologie

Modèle:Premier ministre France