Le Mesnil-Villeman

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Le Mesnil-Villeman
Le Mesnil-Villeman
L'église Saint-Pierre.
Blason de Le Mesnil-Villeman
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes Coutances Mer et Bocage
Maire
Mandat
Hervé Agnes
2020-2026
Code postal 50450
Code commune 50326
Démographie
Gentilé Mesnil-Villemanais
Population
municipale
235 hab. (2021 en diminution de 2,08 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 52″ nord, 1° 19′ 39″ ouest
Altitude Min. 42 m
Max. 164 m
Superficie 10,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quettreville-sur-Sienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web lemesnilvilleman.sitego.fr

Le Mesnil-Villeman est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 235 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Relief et hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Mesnil-Villeman est situé à la limite du Massif armoricain. La commune est donc vallonnée et présente un grand plateau autour du centre-bourg. Le point culminant est de 164 m à la Daninière et le point le plus bas est de 42 m, dans les vallées. Certains lieux de la commune sont parfois accidentés et peuvent les rendre difficilement exploitables.

Quelques cours d'eau parcourent la commune : le ruisseau Doinel et surtout l'Airou, affluent de la Sienne, qui prend sa source dans le Calvados. L'Airou est reconnue au niveau européen comme site faisant partie du réseau Natura 2000 : l'Airou possède notamment une forte population de saumon atlantique.

Géologie[modifier | modifier le code]

La roche mère du Mesnil-Villeman est issue de l'ère primaire. Le sol est composé de schiste (phyllade, schiste dur et luisant, d'aspect soyeux) et de grès. Les schistes et le grès sont des éléments anciens. Ceux-ci sont principalement constitués de feldspath, de quartz et de paillettes de mica.

Les analyses de sols effectuées dans la commune mettent en évidence la présence de limons argileux. En général, sur le territoire, les terres sont assez profondes et cela en facilite leur culture.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 056 mm, avec 14,6 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Longueville à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Mesnil-Villeman est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (62,5 %), terres arables (20,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), forêts (5,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Mesnil Vineman en 1102 (cartulaire de Lucerne), le Mesnil-Vineman appellation constante jusqu'au XIXe siècle[15],[16].

Il s'agit d'une formation toponymique en Mesnil- au sens d'« habitation »[15]. Mesnil est un appellatif commun dans le nord de la France notamment en Normandie. Il est issu du français médiéval maisnil, mesnil « maison avec terrain »[17].

Le second élément -Villeman représente le nom de personne vieux norrois Vinaman[18] (vieux suédois Winamannus - avec une désinence -us qui latinise), adaptation du germanique occidental Winemannus[15], voire plus précisément du vieil anglais Wineman[19],[20].

Homonymie avec Le Mesnil-Villement (Calvados, Maisnillum Winement 1198)[15] avec la finale francisée -ent caractéristique des noms normands en -man(n) dans la partie orientale de la région cf. Dodeman / Doudement ; Bruman / Brument ; etc.

Le gentilé est Mesnil-Villemanais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, la place forte était Gavray (commune située à 7 km environ) et, toutes les communes avoisinantes, les « Mesnils » constituaient de petites places fortes chargées de la protection de Gavray.

En 1327, un texte cite le Mesnil-Villeman. On parle alors d'un fief dont le seigneur devait des corvées au Roi et, en contrepartie il était alors autorisé à faire paître ses cochons dans les forêts du Roi pour la somme de quatre deniers. Il était également écrit que ce seigneur avait le droit de se rendre aux foires.

Au XIVe et XVe siècles, la famille de Folligny, originaire de la paroisse du même nom, possédait plusieurs fiefs noble sur le territoire du Mesnil-Villeman. C'est ainsi qu'on trouve dans le chartrier Morel, possessionné ici, un Louis de Folligny vers 1440-1495, Guillaume de Folligny vers 1480-1514, Richard de Folligny vers 1465-1504, seigneur de Folligny et à Fresville. Ce Richard de Folligny tenait au Mesnil-Villeman un franc fief de Haubert avec manoir et colombier, ainsi que le moulin de Dragueville, et un huitième de fief de haubert en la paroisse de Fresville, à gage plège, mais sans manoir[21].

Le dernier seigneur et patron du Mesnil-Amand et du Mesnil-Villeman, François Robert Le Pigeon (1728-1794), sieur de Launay, président de l'élection de Coutances, fut guillotiné le 3 thermidor an II ()[22].

Sous la Révolution, en 1792, la commune de Dragueville fusionna avec Le Mesnil-Villeman. À cette même époque, les habitants de la commune rédigèrent les cahiers de doléances du bailliage du Cotentin pour les États généraux de 1789[23].

Pendant la Première Guerre mondiale, le Mesnil-Villeman a perdu près de 6 % de sa population. En effet, il y eut trente-et-un morts sur un total de 528 habitants. En commémoration, on érigea un monument aux Morts dans le cimetière le . On fit également installer un tableau à la gloire des soldats à l'intérieur de l'église du Mesnil-Villeman.

Parmi les documents (consultables en mairie), on trouve également des inventaires montrant que la population s'est bien organisée durant cette période. Ainsi, ils recensèrent les différentes sortes de véhicules en vue d'une réquisition.

En 1918, un ballon captif militaire qui avait rompu ses amarres échappa à tout contrôle et traversa la France depuis le front de l'Est pour finalement s'écraser dans le bois de Dragueville. Il fallut près d'un mois pour le démonter et, enfin le réexpédier sur le front.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, des habitants furent témoins de nombreuses scènes du débarquement des Alliés. On trouve des témoignages précis dans le livre de Rémy Chuinard. On citera comme exemple ces deux habitants qui, voyant une colonne de soldats américains remonter la route de Gavray, signala la présence d'un bataillon allemand encore installé dans le bourg. Ils purent ainsi assister à l'intervention d'un tank à lames Bull. Le tribut humain lors de ce conflit fut moins important que lors de la Première Guerre. On peut quand même déplorer deux victimes militaires et, cinq victimes civiles.

Au cimetière du Mesnil-Villeman se trouve une grotte en remerciement de l'Action de Grâce et de la protection ainsi obtenue durant cette période. Il y a une petite célébration à la Saint-Bernadette.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[24].

La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1977 mars 2001 Pierre Lebreton    
mars 2001 2020 Nicolle Yvon[24] SE Agricultrice
mai 2020 En cours Hervé Agnès[25] SE Auto-entrepreneur, conseiller départemental depuis 2021
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 235 habitants[Note 3], en diminution de 2,08 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Le Mesnil-Villeman a compté jusqu'à 1 002 habitants en 1836.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6388589699439801 002953980941
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
874865814817830755708654581
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
550546528447455472498452440
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
454381321275253245228225235
2017 2021 - - - - - - -
235235-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre des XVIIe – XVIIIe siècles en pierre avec clocher à la croisée des transepts, frise armoriée sur la nef et intérieur gothique avec pierres tombales servant de pavage. Elle abrite un retable et tableau l'Adoration des Mages du maître-autel (XVIIe), et un vitrail datant de 1313, classés au titre objet aux monuments historiques[30]. Sur ce dernier on peut lire la dédicace « Mestre Guillaume a donné cette verrine l'an de grâce MCCCXIII[31] ». Sont également conservés une chaire à prêcher (XVIIIe), des fonts baptismaux (XVIIe), un lutrin (XIXe), les statues de saint Sébastien, saint Guillaume, Vierge à l'Enfant (XVIIIe), saint Pierre (XIXe)[22].
  • Église Notre-Dame de Dragueville des XVIIe – XVIIIe siècles. Elle abrite un maître-autel (XVIIe), une chaire à prêcher (XVIIIe), un groupe sculptée Vierge de Pitié (XVIIIe), statuettes paire d'anges (XVIIIe), un tableau l'Assomption (XVIIIe)[22].
  • Château de Dragueville (privé) du XVIIe siècle, ancienne propriété des Gourmont. Remy de Gourmont a huit ans lorsque ses parents s'installent au manoir de Dragueville[22].
  • Grotte Notre-Dame-de-Lourdes (1945).
  • Croix de cimetière du XVIIIe siècle du Mesnil-Villeman et de Dragueville.
  • Croix de chemin dites des Fortunes du XVIIe siècle, Yvon du XIXe siècle et D 38 du XXe siècle.
  • Croix jumelées du Vassey.
  • Lavoirs.
  • Jardin de l'Orail (5 000 m2).
  • Vallée de l'Airou.
  • Chemins de randonnées.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Le Mesnil-Villeman Blason
Parti : au 1er d'azur à la rose d'or, au 2e d'argent à deux clés de sable passées en sautoir ; le tout sommé d'un chef de gueules chargé d'un léopard d'or armé et lampassé d'azur.
Détails
Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armes de la Normandie.

Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 345.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  5. « Orthodromie entre Le Mesnil-Villeman et Longueville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Longueville » (commune de Longueville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Longueville » (commune de Longueville) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. a b c et d François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 156.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, Librairie Droz, (ISBN 2600028846, présentation en ligne), p. 1667.
  17. Marianne Mulon, Noms de lieux d'Île-de-France, Paris, Bonneton, (ISBN 2862532207).
  18. Vinaman sur Nordic Names (lire en anglais).
  19. Wineman sur Nordic Names (lire en anglais).
  20. Wineman in S.L. Uckelman, ed. The Dictionary of Medieval Names from European Sources, Edition 2023, no. 1. [1]
  21. Michel Viel, « Grandeur et décadence d'un Domaine rural du Cotentin - La Seigneurie du Quesnay à Valognes », Revue de la Manche, t. 37, no 146,‎ , p. 10 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
  22. a b c et d Gautier 2014, p. 345.
  23. cahiers de doléances du bailliage de Cotentin - Coutances et secondaires - États généraux de 1789 publiés par Émile Bridrey, docteur en droit.
  24. a et b Réélection 2014 : « Le Mesnil-Villeman (50450) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  25. « Le Mesnil-Villeman. Agnès Hervé, élue maire, a pris ses fonctions », sur lamanchelibre.fr (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Œuvres mobilières classées au Mesnil-Villeman.
  31. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 70.