Bais (Ille-et-Vilaine)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bais
Bais (Ille-et-Vilaine)
L'église Saint-Marse.
Blason de Bais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Nathalie Clouet
2020-2026
Code postal 35680
Code commune 35014
Démographie
Gentilé Baiséens
Population
municipale
2 488 hab. (2021 en augmentation de 5,69 % par rapport à 2015en augmentation de 5,69 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 00′ 38″ nord, 1° 17′ 26″ ouest
Altitude Min. 47 m
Max. 109 m
Superficie 35,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bais
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bais
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Voir sur la carte topographique d'Ille-et-Vilaine
Bais
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Bais
Liens
Site web www.bais35.fr

Bais [bɛ] est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 2 488 habitants[Note 1] (les Baiséens).

Géographie[modifier | modifier le code]

Bais se situe à l’est de l’Ille-et-Vilaine, à une quinzaine de kilomètres au sud de Vitré.

La commune est traversée du nord au sud par la D 95 (Louvigné-de-Bais-La Guerche-de-Bretagne) et la Quincampoix.

Carte de la commune de Bais.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 764 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arbrissel à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 718,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,4 %), terres arables (40,9 %), prairies (7,2 %), zones urbanisées (2,6 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia Beisci en 1157, Baes en 1164, Bais en 1212, Bedeseum en 1213, Baiscum en 1516[14].

Bais vient semble-t-il d’un dérivé du mot Abbaye[14], du gaulois bedo- (fosse) ou betu- (bouleau), et suffixe ligure –iscum.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Une statuette sculptée dans un microgranite de provenance locale, représentant dans un style primitif trois personnages ithyphalliques, datant probablement de la fin du deuxième âge du fer ou du début de l'époque gallo-romaine, a été découverte dans une mare au début de la décennie 1970[15].

La villa gallo-romaine du Bourg Saint-Père atteste d’une présence dès l’Antiquité. Ce site présente la particularité de posséder trois édifices religieux (deux fana et un laraire)[16].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La légende raconte qu'un saint anachorète, nommé Marse, naquit au Ve siècle dans la paroisse, au village du même nom, où il mourut.Il aurait été un disciple et compagnon de saint Melaine, la tradition le donne pour évêque de Nantes au VIe siècle. Les hagiographes ne confirment pas cette tradition, mais plusieurs documents anciens attestent que de temps immémorial les reliques de saint Marse étaient vénérées à Bais. En 1427 la crainte d'une invasion anglaise fit transporter le corps du saint dans l'une des tours du château de Vitré, où ses reliques restèrent jusqu'en 1750 avant d'être transférées dans l'Église Notre-Dame de Vitré et enfin de revenir à Bais en 1843. G. Corbe atteste qu'en 1847 (et probablement aussi bien plus tard) deux processions annuelles étaient organisées à Bais, l'une en mémoire du départ des reliques du saint patron de la paroisse, l'autre pour fêter leur retour[17]. Un cimetière datant des VIe siècle et VIIe siècle, situé à proximité de la chapelle Saint-Pierre[18], a été fouillé : il se composait de 23 sarcophages en calcaire, 70 coffres en schiste ardoisier et 18 sépultures en pleine terre[19]. Des perles en verre, des boucles et des fibules ont été découverts[20].

La famille d'Espinay, de Champeaux, mais qui possédait également le château de Saudecourt en Louvigné-de-Bais, avait dans la paroisse de Bais plusieurs métairies, une closerie et disposait dans l'église de prééminence, banc, et armoiries[21].

La paroisse de Bais dépendait autrefois de la châtellenie du Désert, qui appartint aux barons de Châteaubriant, puis à ceux de Vitré à partir de 1542, et disposait du droit de haute justice[22] Le chef-lieu de la châtellenie du Désert se trouvait au manoir de la Rivière du Désert, en Visseiche, et s’étendait sur le territoire des paroisses d'Availles, Bais, Brielles, Chancé, Domalain, Gennes, Moulins, Moutiers, Le Pertre, Saint-Germain-du-Pinel, Vergéal et Visseiche[23].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Marie de Rieux (plus connue sous le nom de Guyonne de Rieux ou de Guyonne de Laval), née en 1524, décédée le , , épouse de Guy XVIII de Laval, dame de Bais, était ralliée à la Réforme protestante[24].

En 1584, 251 personnes meurent de la peste à Bais[25].

En 1766 une émeute se produisit à Bais en raison du manque de grains. Le Parlement de Bretagne poursuivit les émeutiers.

Révolution française[modifier | modifier le code]

Des gardes nationales de Bais furent très actifs en 1791 et 1792, associés à d'autres venus d'autres communes, faisant fouillant par exemple le le presbytère d'Étrelles, puis ils visitèrent le château du Plessis en Argentré, y commettant de gros dégâts. Le le presbytère d'Étrelles est à nouveau visité et cette fois entièrement saccagé par eux ; le , ils firent irruption à Vergeal et Cornillé pour les débarrasser de leurs prêtres réfractaires ; le ils firent irruption à Argentré pour piller les maisons des habitants réputés aristocrates[26].

La "Légion de Vitré", commandée par Henri du Boishamon, membre du groupe chouan Chevaliers catholiques, fut très active dans la région. Le combat de Bais opposa Chouans et Républicains pendant la Chouannerie, en février 1796.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

« Au XIXe siècle, Domalain, la commune la plus réactionnaire d'Ille-et-Vilaine, a pour voisine Bais, l'une des plus libérales »[27].

En 1866, quelques cas de choléra sont observés à Bais, ainsi que dans des communes voisines, particulièrement dans la commune d'Étrelles où, du 18 août au 3 novembre, 60 personnes, dont 40 femmes, ont été atteintes. 3 personnes ont succombé à cette épidémie[28].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Belle Époque[modifier | modifier le code]

Selon le journal La Croix, en 1891, 6 élèves sont inscrits à l'école laïcisée contre 130 à l'école "libre", congréganiste[29].

La ligne de tramway allant de Rennes à La Guerche et passant par Bais fut mise en service en juin 1904[30]. La ligne ferma en 1947.

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Bais porte les noms de 113 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Parmi eux, 18 ont reçu à la fois la Médaille militaire et la Croix de guerre et 7 la Croix de guerre ; 13 sont morts en Belgique, deux dans les Balkans (un en Grèce, Paul Hervagault, un en Serbie, Jean Gallier) dans le cadre de l'Expédition de Salonique et un (Jean Jenuit) alors qu'il était prisonnier en Allemagne ; les autres sont décédés sur le sol français[31].

Le monument aux morts.

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Bais : la place de l'église vers 1920.

Dans la nuit du 6 au , un ouragan fit des dégâts importants à Bais, abattant notamment de nombreux pommiers[32].

La « Société coopérative agricole de Bais et des environs » fut dissoute le [33].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Bais porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles l'abbé Jules Pouchard, officier de la Légion d'Honneur, Croix de guerre, résistant arrêté par la Gestapo le et mort d’épuisement à cause des mauvais traitements qu'il subit le à Saint-Mandé[31].

L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Un soldat originaire de Bais (Roger Bédier) est mort en captivité le pendant la Guerre d'Indochine[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1930 après 1930 Bodard    
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1983 Jean Brougalay    
1983 juin 1995 Joseph Pichet   Chef d’entreprise
juin 1995[34] juin 2005[35]
(démission)
Anne Bourguignat[36]   Mère au foyer
juillet 2005[37] mars 2014 Joseph Pichet[38]   Chef d’entreprise
mars 2014 En cours Nathalie Clouet[39] DVD Comptable
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

En 2021, la commune comptait 2 488 habitants[Note 3], en augmentation de 5,69 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 1273 1603 1903 5083 8673 7283 4013 4703 412
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1653 0833 0172 8912 8612 8502 7712 7302 581
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5442 5392 4472 1822 1582 2282 2632 2052 157
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 1482 0952 0221 9131 8211 9282 0042 1462 407
2021 - - - - - - - -
2 488--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne de bus no 7 de Vitré Communauté.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune compte un monument historique :

  • l'église Saint-Marse, construite au XVIe siècle et agrandie au XIXe : la porte a été classée par arrêté du 26 octobre 1910 et le reste de l’église a été inscrit par arrêté du 6 juillet 2006[44].

Autres monuments :

Activité culturelle et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bais

D’azur à trois besants d’argent, à la bordure componée de sable et d’argent de seize pièces, les pièces de sable chargées d’une croisette pattée d’or, les pièces d’argent chargées d’une croisette potencée de sable accompagnée de vingt-trois petits tourteaux du même ordonnés en orle.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Bais et Arbrissel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Étymologie et Histoire de Bais », infobretagne (consulté le ).
  15. Jean-Claude Meuret, L'antique statuette tricéphale et ithyphallique de Bais (Ille-et-Vilaine), "Revue archéologique de l'Ouest", 1970, consultable https://www.persee.fr/doc/rao_0767-709x_1990_num_7_1_951
  16. Un grand domaine gallo-romain sur le site de l’INRAP.
  17. G. Corbe, "Guide historique et statistique du département d'Ille-et-Vilaine", Imprimerie Landais et Oberthur, 1847, https://books.google.fr/books?id=BUJiAAAAcAAJ&pg=PA319&lpg=PA319&dq=architr%C3%A9giron&source=bl&ots=iUR7_iAUoJ&sig=ACfU3U3NjTu-BiE-VN8W9bQKs8ovjMYWpA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiW4s3o-8fsAhWt8uAKHWVlBr8Q6AEwAHoECAEQAQ#v=snippet&q=Bais&f=false
  18. Philippe Guigon et Jean-Claude Meuret, La chapelle Saint-Pierre, revue "Archéologie médiévale", 1988, consultable https://www.persee.fr/doc/arcme_0153-9337_1988_num_18_1_1221_t1_0375_0000_2
  19. « Les sarcophages - Site Officiel de Bais en Ille-et-Vilaine (35) », sur Site Officiel de Bais en Ille-et-Vilaine (35) (consulté le ).
  20. Yves Ménez et Stéphane Hinguant, "Fouilles et découvertes en Bretagne", éditions Ouest-France, 2010 (ISBN 978-2-7373-5074-0).
  21. Henri Busson, Charles d'Espinay, évêque do Dol : son œuvre poétique (1531?-1591), Slatkine, (lire en ligne).
  22. http://www.infobretagne.com/bais.htm.
  23. http://www.infobretagne.com/visseiche.htm
  24. André Mussat, Arts et cultures de Bretagne : un millénaire, Rennes, Editions Ouest-France, , 380 p. (ISBN 978-2-7373-1932-7, OCLC 34611255).
  25. Dominique Belœil et autres auteurs, "Journal de la Bretagne", éditions Larousse, 2011, (ISBN 2-03-575097-0).
  26. Roger Dupuy, De la Révolution à la chouannerie paysans en Bretagne 1788-1794, Paris, Flammarion, coll. « Nouvelle bibliothèque scientifique. », , 363 p. (ISBN 978-2-08-211173-7, OCLC 708297244).
  27. Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
  28. "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", 1867, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5564631q/f192.image.r=Cornill%C3%A9?rk=987129;2
  29. Journal La Croix du 26 avril 1891, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k212678g/f1.image.r=Balaz%C3%A9?rk=21459;2
  30. Journal Ouest-Éclair no 1762 du 16 juin 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k640371w/f3.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4828350;0
  31. a b et c (en) « Bais Monument aux Morts (Relevé n° 19928) », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  32. Journal Ouest-Éclair no 10301 du 10 janvier 1930, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658058c/f6.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=1609450;0
  33. Journal Ouest-Éclair no 14604 du 1er novembre 1936, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k660698n/f6.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=2489282;4
  34. « 352 communes, 352 maires - Bais : Anne Bourguignat », Ouest-France,‎ .
  35. « Élections partielles : Anne Bourguignat démissionne », Ouest-France,‎ .
  36. « L'annuaire des élus », Dimanche Ouest-France, no 182,‎ (ISSN 1285-7688).
  37. « Une nouvelle équipe municipale est en place », Ouest-France,‎ .
  38. « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
  39. « Nathalie Clouet prend les rênes de la mairie », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. « Église Saint-Marse », notice no PA00090501, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Patrick Delon, Monseigneur de Lesquen (1770-1855) au Bignon-Guy, dans Le Pays de Dinan, 1998, p. 181.