Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier
Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier | |||||
Le bourg de Champeaux. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Dronne et Belle | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Max Raymondaud 2020-2026 |
||||
Code postal | 24340 | ||||
Code commune | 24099 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Champenois | ||||
Population | 169 hab. (2019) | ||||
Densité | 7,2 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 28′ 23″ nord, 0° 34′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 135 m Max. 250 ou 251 m |
||||
Superficie | 23,48 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Brantôme en Périgord | ||||
Historique | |||||
Fusion | |||||
Commune(s) d'intégration | Mareuil en Périgord | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
modifier |
Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Au , elle fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.
Géographie
Généralités
Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, la commune déléguée de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier forme la partie orientale de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord. Son territoire s'étend sur 23,48 km2 et elle est traversée d'est en ouest par la Lizonne, ici appelée Nizonne.
L'altitude minimale avec 135 mètres se trouve localisée à l'extrême ouest, là où la Nizonne quitte la commune et entre sur celle de Rudeau-Ladosse. L'altitude maximale avec 250 ou 251 mètres[Note 1] est située dans le sud-est, au lieu-dit les Trois Pierres[1]. Au niveau géologique, le sol se compose principalement de sables, argiles ou graviers pléistocènes avec des calcaires du Crétacé dans la partie centrale du territoire[2].
À l'écart des routes principales, le bourg de Champeaux est situé, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au sud-ouest de Nontron et onze kilomètres au nord-est du bourg de Mareuil. Le bourg de la Chapelle-Pommier se trouve trois kilomètres au sud-ouest de celui de Champeaux.
Le territoire communal est desservi à l'est par la route départementale (RD) 84 et au nord-ouest par la RD 708.
Communes limitrophes
En 2016, année précédant la création de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier était limitrophe de huit autres communes. À l'est, le territoire de La Chapelle-Montmoreau était distant de moins de 600 mètres.
Milieux naturels et biodiversité
Parc naturel régional
La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[3] depuis la création de celui-ci en 1998[4], adhésion renouvelée en 2011[5].
ZNIEFF
La vallée de la Nizonne est protégée dans sa traversée de la commune au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Vallée de la Nizonne »[6],[7].
Sa faune est constituée d'environ 250 espèces dont trente sont considérées comme déterminantes :
- vingt mammifères, dont la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola) et dix-huit espèces de chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Daubenton (Myotis daubentonii), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), la Noctule de Leisler (Nyctalus leisleri), l'Oreillard gris (Plecotus austriacus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), le Petit murin (Myotis blythii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), la Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- sept insectes dont quatre papillons : l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), et trois libellules : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- deux amphibiens, la Rainette verte (Hyla arborea) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- un reptile : la Cistude d'Europe (Emys orbicularis).
Sa flore est également riche de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).
Trois ZNIEFF de type I concernent également la commune :
- la ZNIEFF « Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle » présente des pelouses calcaires[8],[9] où s'épanouissent plus de 160 espèces de plantes dont plusieurs sont considérées comme déterminantes : la Cardoncelle (Carduncellus mitissimus), l'Euphorbe de Séguier (Euphorbia seguieriana), le Fumana à tiges retombantes (Fumana procumbens), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), la Laîche humble (Carex humilis), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa) et le Thésium couché (Thesium humifusum), et dix-huit espèces d'orchidées terrestres : la Céphalanthère rouge Cephalanthera rubra, l'Homme-pendu (Orchis anthropophora), le Limodore à feuilles avortées (Limodorum abortivum), la Listère à feuilles ovales (Neottia ovata), l'Orchis bouc (Himantoglossum hircinum), l'Orchis bouffon (Anacamptis morio), l'Orchis brûlé (Neotinea ustulata), l'Orchis guerrier (Orchis militaris), l'Orchis mâle (Orchis mascula), l'Orchis moucheron (Gymnadenia conopsea), l'Orchis pyramidal (Anacamptis pyramidalis), l'Orchis pourpre (Orchis purpurea), l'Ophrys abeille (Ophrys apifera), l'Ophrys araignée (Ophrys sphegodes), l'Ophrys bourdon (Ophrys fuciflora), l'Ophrys brun (Ophrys fusca), l'Ophrys mouche (Ophrys insectifera) et la Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Sur le territoire de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier, les coteaux de la Nizonne concernés par cette ZNIEFF s'étendent sur environ seize hectares en deux sites distincts, à proximité du bourg de Champeaux ;
- une mince bande de près d'environ 65 hectares, le long de la Nizonne, fait partie d'une autre ZNIEFF de type I « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[10],[11] dans laquelle ont été recensées douze espèces déterminantes d'animaux : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cistude (Emys orbicularis), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), la Rainette verte (Hyla arborea), le Triton marbré (Triturus marmoratus) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq espèces déterminantes de plantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sagittaire à feuilles en flèche (Sagittaria sagittifolia) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis). Par ailleurs, 160 autres espèces animales et 156 autres espèces végétales y ont été répertoriées ;
- la ZNIEFF « Landes des Trois Pierres » qui s'étend sur 513 hectares — dont environ 60 % sur le territoire de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier — est partagée avec les anciennes communes de Monsec et de Saint-Crépin-de-Richemont. Trois espèces déterminantes de rapaces y ont été recensées : le Busard cendré (Circus pygargus), le Busard des roseaux (Circus aeruginosus) et le Busard Saint-Martin (Circus cyaneus) et trois autres de plantes : Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia), Narthécie des marais (Narthecium ossifragum) et Trompette de Méduse (Narcissus bulbocodium)[12],[13]. De plus, quatre espèces de mammifères, 50 d'autres oiseaux et 73 autres plantes y ont été recensées.
Natura 2000
La vallée de la Nizonne est aussi une zone Natura 2000 avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive habitats de l'Union européenne[14],[15] :
- dix espèces de mammifères dont huit chauves-souris (Barbastelle d'Europe, Grand murin, Grand rhinolophe, Minioptère de Schreibers, Murin à oreilles échancrées, Murin de Bechstein, Petit murin et Petit rhinolophe), ainsi que la Loutre d'Europe et le Vison d'Europe (Mustela lutreola) ;
- parmi les insectes, le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), plus six espèces déjà protégées dans la ZNIEFF du même nom, hormis l'Azuré de la croisette ;
- la tortue Cistude d'Europe ;
- le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri).
Urbanisme
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre les bourgs de Champeaux et de la Chapelle-Pommier proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[16] :
- Bargeix
- les Bernardières
- la Bertrandie
- Bois de la Chapelle
- Bois de Mariotte
- Bois de Puycheny
- Bois de Vignotte
- la Borderie
- les Bouchages
- le Cabaret
- les Cavernes
- le Champ du Noyer Blanc
- Chanteranne
- Château des Bernardières
- Château de Puycheny
- le Cloutier
- chez Courroie
- la Croix de Pinault
- Étang de la Bertrandie
- la Faronie
- Flageat
- la Fontenille
- la Ganterie
- la Garenne
- Grand Cicaire
- le Grand Merle
- la Grande Métairie
- la Grange
- la Guillaumie
- la Japillerie
- les Landes
- la Lardie
- Lascours
- Lavaud
- le Magnadat
- le Maine
- Maison Neuve
- Maison Neuve[Note 2]
- Maledent
- les Marniers
- Nadallière
- Petit Cicaire
- le Petit Merle
- la Pouyade
- les Pouyauds
- Puyséché
- les Renardières
- les Renvers
- le Roc
- les Roches
- Taillis du Cheval
- les Terrières
- les Trois Pierres
- le Trou de Fontanaud
- le Trou du Renard
- les Vergnes
- la Vignotte.
Toponymie
Les premières mentions écrites des lieux datent du XIIIe siècle sous les formes Champeus et Pomiers[17]. Le premier évolue en Campelli en 1365 puis Champelli en 1385, alors que l'autre est cité en 1382 sous la forme latine Capella Pomerii[17].
Champeaux, vient de l'occitan et signifie « les petits champs »[17].
En occitan, la commune porte le nom de Champeus e La Chapela Pomiers[18].
Histoire
Lors de la Guerre de Cent Ans, les Anglais ont pris possession du château des Bernardières — fondé au XIIe siècle[19] — et en ont été chassés par les troupes de Bertrand du Guesclin[17] en 1377[19].
En 1827, les communes de La Chapelle-Pommier et de Champeaux fusionnent sous le nom de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier[20].
Au , Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier fusionne avec huit autres communes pour former la commune nouvelle de Mareuil en Périgord dont la création a été entérinée par l'arrêté du 26 septembre 2016, entraînant la transformation des neuf anciennes communes en « communes déléguées »[21].
Politique et administration
Rattachements administratifs
Les communes de La Chapelle-Pommier[22] et de Champeaux[20] ont, dès 1790, été rattachées au canton de Saint Félix qui dépendait du district de Nontron. En 1795, les districts sont supprimés. En 1801, le canton de Saint Félix est supprimé, et les deux communes sont rattachées au canton de Mareuil dépendant de l'arrondissement de Nontron. Elles fusionnent sous le nom de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier en 1827.
Par décret du , le nombre de cantons du département est divisé par deux, avec mise en application aux élections départementales de mars 2015. Le canton de Mareuil est supprimé à cette occasion. Ses quatorze communes, dont Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier, sont alors rattachées au canton de Brantôme[23], renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.
Intercommunalité
En 1995, Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Mareuil-en-Périgord. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Dronne et Belle.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2011, onze conseillers municipaux ont été élus en 2014[24],[25]. Seuls quatre d'entre eux siègent au conseil municipal de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020[21].
Liste des maires puis des maires délégués
Démographie
Les habitants de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier se nomment les Champenois[29].
Démographie de La Chapelle-Pommier
Jusqu'en 1827, les communes de Champeaux et de La Chapelle-Pommier étaient indépendantes.
Démographie de Champeaux, puis de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier
En 2016, dernière année en tant que commune indépendante, Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier comptait 163 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2007, 2012 pour Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier[30]). Depuis 2006, les autres dates correspondent à des estimations légales.
Au , la commune déléguée de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier compte 169 habitants[31].
Économie
Les données économiques de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier sont incluses dans celles de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
- Château des Bernardières, XIIe et XVIIe siècles, inscrit en grande partie (corps de logis central, murs d'enceinte, portail Henri II, tour du XIIIe siècle, donjon et terrasses) au titre des monuments historiques depuis 1948[33], puis en totalité en 2016[34].
- Château de Puycheny du XVe siècle[35],[36].
- Gisement de la Font-Bargeix, grotte ornée inscrite au titre des monuments historiques depuis 1989 pour ses représentations pariétales datées du Magdalénien[37].
-
Le château des Bernardières. -
Tour du château des Bernardières. -
Son donjon. -
Son parc. -
Le monument aux morts de Champeaux.
Patrimoine religieux
- Église Saint-Martin de Champeaux[38] des XIIe et XIIIe siècles, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1948 puis en totalité en 2016[39].
- Église Saint-Fiacre de La Chapelle-Pommier, romane, construite aux XIIe et XIIIe siècles, clocher fortifié par l'adjonction d'une chambre de défense crénelée au-dessus du chœur au XIVe siècle[40]. Dédiée à saint Fiacre, patron des jardiniers, elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2008[41]. Plusieurs de ses vitraux sont l'œuvre de Jean Besseyrias, dont celui représentant saint Pierre qui est daté de 1882.
-
L'église Saint-Martin. -
Son clocher. -
Son portail. -
L'église Saint.Fiacre. -
Son portail. -
Sa nef. -
Son chœur et l'abside en cul-de-four.
Personnalités liées à la commune
- Louis d'Ussieux (1744-1805), écrivain, historien, journaliste, traducteur et agronome français, possédait le domaine de Pommier, commune de La Chapelle[42].
Voir aussi
Articles connexes
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Liste des châteaux et demeures de la Dordogne
Liens externes
- Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier sur le site de la communauté de communes Dronne et Belle
Notes et références
Notes
- Deux valeurs différentes pour l'IGN, 250 mètres sur la carte et 251 sur son ancien site.
- Deux lieux-dits du même nom, l'un au nord-est du château de Puycheny et l'autre au sud de Champeaux.
Références
- « les Trois Pierres » sur Géoportail (consulté le 19 octobre 2019)..
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
- Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 16 octobre 2019.
- Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 19 octobre 2019.
- Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 19 octobre 2019.
- [PDF] Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 19 octobre 2019.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 19 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- [PDF] Coteaux calcaires des bords de la Nizonne et de la Belle, INPN, consulté le 19 octobre 2019.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 720020065, INPN, consulté le 19 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 720020064, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] « Landes des Trois Pierres », INPN, consulté le 17 février 2021.
- Carte de la ZNIEFF 720012866, INPN, consulté le 17 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] FR7200663 Vallée de la Nizonne, INPN, 31 mai 2019, consulté le 25 octobre 2019.
- Carte de localisation de la zone Natura 2000 FR7200663, INPN, consulté le 25 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- Commune-de-Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier, Géoportail, consulté le 14 novembre 2016.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 95.
- Le nom occitan des communes du Périgord - Champeus e La Chapela Pomiers sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 septembre 2021.
- Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 154.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord », sur Préfecture de la Dordogne (recueil des actes administratifs), (consulté le ), p. 124-128
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 3 décembre 2016.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 3 décembre 2016.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 13.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 16 août 2014.
- Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier, Communauté de communes Dronne et Belle, consulté le 21 août 2020.
- Fiche commune Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.
- « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le )
- [PDF] Populations légales 2019 à compter du - Fichier Dordogne, p. 24-9 sur le site de l'Insee, consulté le 20 janvier 2022.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 .
- « Château des Bernardières », notice no PA00082467, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 mars 2017.
- « Château des Bernardières », notice no PA00082467, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 octobre 2019.
- Hervé Lapouge, Châteaux du Nontronnais, dans Nontron & le Pays Nontronnais, vol. 2, sous la coordination de Jacques Lagrange, Pilote 24, 1997, (ISBN 2-9509149-5-0), p. 40-44.
- Jules de Verneilh, Le château de Puycheny, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1887, tome 14, p. 481-484 (lire en ligne)
- « Gisement en grotte de la Font-Bargeix », notice no PA00083075, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 octobre 2019.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 235.
- « Église de Champeaux », notice no PA00082468, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 octobre 2019.
- Thierry Hourlier, Les églises fortifiées de Dordogne, Éditions patrimoines & médias, 1997, (ISBN 2-910137-20-1), p. 19.
- « Église Saint-Fiacre », notice no PA24000066, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 mars 2017.
- Inventaire des biens de Louis d'Ussieux, dans le cadre d'une procédure en séparation de biens demandée par son épouse, fait par Maître François Nicolas Bredin, notaire à Chartres, en date, au commencement du 2 juin 1803. Il est mentionné dans l'acte : "La propriété d'un domaine appelé Pomier, situé à la Chapelle, ci-devant justice de Mareuil, département de la Dordogne, que ledit citoyen Dussieux avait acquis de Rosignac par acte passé devant Lormeau qui en a la minute et son confrère, notaires à Paris, le 4 septembre 1783, estimé entre les parties à la somme de 15.000 francs. Lors, l'usufruit et jouissance de ce domaine appartenait aux père et mère dudit citoyen". Il est ensuite précisé : " qu'il a également vendu par acte passé devant Pérignon et son confrère, notaires à Paris, le premier prairial an six le domaine de Pomier avec autres objets à Magdelaine Angélique Fayard-Beaurepère, demeurant à la Grange, département de la Dordogne, pour la somme de soixante cinq mille francs." Archives départementales d'Eure-et-Loir, cote 2E2 280