Égletons
Égletons | |||||
Le lycée Pierre-Caraminot. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Ussel | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Ventadour - Égletons - Monédières | ||||
Maire Mandat |
Charles Ferré 2020-2026 |
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Code postal | 19300 | ||||
Code commune | 19073 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Égletonnais, Égletonnaises | ||||
Population municipale |
4 293 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 255 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 24′ 26″ nord, 2° 02′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 533 m Max. 800 m |
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Superficie | 16,85 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Égletons (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Égletons (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Égletons (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.egletons.fr | ||||
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Égletons (/e.ɡlə.tɔ̃/ ; en occitan : Aus Gletons) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
La ville est réputée pour la qualité de son enseignement dans le secteur du Bâtiment et travaux publics dont elle accueille de nombreuses formations allant du brevet d'études professionnelles (BEP) jusqu'au Diplôme national de master et au doctorat.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Péret-Bel-Air | Soudeilles | |||
Saint-Yrieix-le-Déjalat | N | Darnets | ||
O Égletons E | ||||
S | ||||
Rosiers-d'Égletons | Moustier-Ventadour |
Égletons se situe dans le Massif central au carrefour de plusieurs ensembles géographiques. La ville est adossée aux premiers contreforts de la Montagne limousine (le plateau de Millevaches au nord, et le massif des Monédières à l'ouest), et s'établit ainsi sur le haut plateau corrézien dominant à l'est les gorges de la Dordogne.
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La commune se situe sur l'ex-nationale 89 (devenue RD 1089) :
- à 30 kilomètres à l'est de Tulle
- à 29 kilomètres à l'ouest d'Ussel
- à 5 kilomètres de la sortie 22 de l'autoroute A89 reliant Bordeaux (à 260 kilomètres) et Clermont-Ferrand (à 120 kilomètres).
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 332 mm, avec 14,4 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 428,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,2 | −0,5 | 1,9 | 4,4 | 7,7 | 11,2 | 12,5 | 12,2 | 9,2 | 6,8 | 2,9 | 0,4 | 5,7 |
Température moyenne (°C) | 3,2 | 3,7 | 6,7 | 9,5 | 13,1 | 16,8 | 18,3 | 18,2 | 15 | 11,5 | 6,6 | 4 | 10,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,6 | 7,8 | 11,6 | 14,7 | 18,4 | 22,5 | 24,2 | 24,3 | 20,7 | 16,2 | 10,3 | 7,5 | 15,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,2 30.01.04 |
−14,6 09.02.12 |
−15,5 01.03.05 |
−5,2 08.04.21 |
−1,3 03.05.21 |
2,8 05.06.14 |
4 17.07.00 |
4,8 29.08.10 |
−0,9 18.09.01 |
−6,3 25.10.03 |
−11,1 22.11.1998 |
−13 19.12.09 |
−15,5 2005 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18 01.01.22 |
24,6 27.02.19 |
24,8 14.03.12 |
27,4 07.04.11 |
31,2 21.05.22 |
37,4 27.06.19 |
37,3 23.07.19 |
37,1 12.08.03 |
34,3 04.09.23 |
30,7 01.10.23 |
23,4 08.11.15 |
17,9 19.12.15 |
37,4 2019 |
Précipitations (mm) | 142,5 | 112,5 | 129,8 | 134,4 | 112,2 | 97,8 | 93,2 | 90 | 90 | 114,5 | 152,4 | 159,2 | 1 428,5 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Égletons est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Égletons, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Égletons, dont elle est la commune-centre[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,8 %), zones urbanisées (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,5 %), prairies (8,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %)[12].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune d'Égletons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[15]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 18,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 263 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 32 sont en aléa moyen ou fort, soit 3 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].
Concernant les feux de forêt, aucun plan de prévention des risques incendie de forêt (PPRIF) n’a été établi en Corrèze, néanmoins le code de l’urbanisme impose la prise en compte des risques dans les documents d’urbanisme. Le périmètre des servitudes d'utilité publique et des zones d'obligation légale de débroussaillement pour les particuliers est quant à lui défini pour la commune dans une carte dédiée[17].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].
Risques particuliers
[modifier | modifier le code]La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation de mines[19].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Égletons est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Alexis de Valon avait proposé l'étymologie fantaisiste Eagle Town « la ville de l'aigle », donnée par les Anglais occupant le Limousin[21]. L'origine du toponyme Égletons (1075 : de Glutonibus ; 1251 : de Glotos, 1410 : Augloutous, 1599-1604 : Esgletons) est incertaine :
- nom d'homme germanique Gluto, employé directement comme toponyme, « au pluriel pour désigner une famille », selon Marcel Villoutreix[22].
- latin médiéval glutis, terre tenace, argile, avec préfixe ès à valeur locative, le nom de cette bourgade se rapportant à un endroit bourbeux, glaiseux où sans doute elle fut établie, selon Jean Costes[23].
Histoire
[modifier | modifier le code]Cette importante cité médiévale est en 1059 la capitale de la famille des seigneurs de Ventadour.
Depuis leur imposante forteresse, véritable nid d’aigle sur un piton rocheux dont les vestiges (récemment restaurés et consolidés) témoignent encore de la puissance, les Ventadour firent la fortune d'Égletons, assurèrent sa prospérité et furent à l'origine d'une riche tradition d'art et de culture, celle de la fin' amor : la poésie des troubadours. Bernard de Ventadour, l'un des plus célèbres d'entre eux, a su chanter à travers toute l'Europe cette civilisation courtoise raffinée. Égletons conserve aujourd'hui encore des restes de cette place forte, ses remparts aux cinq portes qui arborent les armes des Ventadour, son église Saint-Antoine et son clocher du XIIe siècle armé de mâchicoulis, sa chapelle des Pénitents.
Sous la direction de Louis Godefroy, Compagnon de la Libération, les FTPF mènent des opérations à Égletons, Tulle et Eymoutiers, qu’il commande personnellement.
En , se déroula la bataille d'Égletons. Les combats féroces, les destructions nombreuses et le courage des habitants lors de la lutte pour la libération de la ville valurent, à la médiévale capitale des Ventadour, la citation à l'Ordre du Corps d'Armée avec l'attribution de la Croix de guerre avec étoile de vermeil ().
La commune est le théâtre d'un fait divers qui a lieu entre 1997 et 2004, l'affaire Roland Bondonny.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Égletonnais et Égletonnaises[25].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27]. En 2021, la commune comptait 4 293 habitants[Note 2], en évolution de +0,44 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Enseignement
[modifier | modifier le code]Égletons est réputé pour ses écoles et ses centres de formation destinés aux métiers du bâtiment et travaux publics.
- Le lycée Pierre-Caraminot, diplôme de BTS.
- L'Institut universitaire de technologie du Limousin (IUT), diplôme de DUT
- L'Institut universitaire professionnalisé du Limousin (IUP), diplôme de licence.
- La faculté des sciences et techniques du Limousin, diplômes de master et doctorat.
- L'École d'application aux métiers des travaux publics (EATP)[30].
- L'École supérieure d'ingénieurs des travaux de la construction de Paris - Campus d'Égletons
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Les remparts (vestiges)
- La maison des d'Ambert de Sérilhac
- Le métier à ferrer les vaches
- L'église Saint-Antoine-l'ermite : clocher (XIIe – XVIIIe siècle), porche (fin XIIe siècle) et vitraux de Blanchet et Lesage[31] (1956). L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 2012[32].
- La chapelle de l'hôpital (XIIIe siècle) puis de la confrérie des Pénitents blancs (XVIIe siècle)
- Le presbytère
- Les fontaines
- Le Centre de découverte du Moyen Âge[33]
- Le projet d'urbanisme de la ville d'Égletons 1929-1979.
Label
[modifier | modifier le code]En 2009, le ministère de la Culture a attribué à la ville le label « Patrimoine du XXe siècle » pour son architecture remarquable et son ensemble urbain des années 1930 à 1960.
À voir :
- la porte monumentale du stade François-Chassaing (René Blanchot, 1936)
- l'École nationale professionnelle (EATP) (Robert Danis, 1934)
- le bâtiment central du Village de vacances (Roland Schweitzer, 1966)
Parcs et espaces verts
[modifier | modifier le code]La commune est une ville fleurie ayant obtenu deux fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[34]. Elle a conservé cette reconnaissance en 2008[35].
Historique des noms des rues
[modifier | modifier le code]Paule Morot-Cabanac a écrit Égletons et ses rues[36] dans lequel elle recense les rues de la ville et explique l'origine des noms qui leur ont été donnés.
Dans la littérature
[modifier | modifier le code]- Miette (1995), roman de Pierre Bergounioux.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Bernard de Ventadour (~1125-~1195), célèbre troubadour.
- Octave Lacroix (1827-1901), journaliste et poète.
- Léonard Louis Bordas dit « Louis Bordas » (1864-?), entomologiste, spécialiste des appareils glandulaires des insectes hyménoptères, des tubes digestifs des orthoptères, etc.
- Edmond Vignard (1885-1969), ingénieur chimiste et archéologue français, préhistorien, égyptologue, il est l'inventeur du Sébilien.
- Raymond Le Charpentier (1889-1982), militaire et résistant français, y est mort.
- Charles Spinasse (1893-1979), homme politique socialiste, puis national-socialiste collaborateur des nazis.
- Roger Lescure, (1912-2009), résistant des Forces françaises de l'intérieur qui participa à la libération de la ville en 1944.
- Bertrand Eveno (1944-), haut fonctionnaire et patron de presse.
- Bernadette Bourzai (1945-), femme politique.
- Fabien Domingo (1976-), joueur de rugby à XV notamment à l'US d'Égletons, né à Tulle.
- Thomas Domingo (1985-), frère de Fabien Domingo, joueur de rugby à XV notamment à l'US d'Égletons, né à Tulle.
- Jean-Marie Bourre (1945-), membre de l'Académie nationale des médecins et ancien directeur des unités de recherche INSERM de neuro-toxicologie et de neuro-pharmaco-nutrition.
- Michel Paillassou (1962-2014), ingénieur, maire d'Égletons, conseiller général, président de la communauté de communes de Ventadour, président départemental de l'UMP.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Échiqueté d'or et de gueules de huit tires.
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Détails | Selon d'Hozier. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
[modifier | modifier le code]- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Station Météo-France « Egletons » (commune de Brive-la-Gaillarde) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Egletons » (commune de Égletons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Égletons », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Égletons », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune d'Égletons », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Risque de feu de forêt près de chez moi, sur la commune d'Égletons », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque minier.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Jean Vinatier, Egletons « cité de Ventadour », Treignac, Les Monédières, , p. 13.
- Marcel Villoutreix, Les noms de lieux du Limousin, Travaux d'archéologie limousine, Supplément n° 6, (ISSN 1269-7486), p. 68.
- Jean Costes, « Les noms de lieux corréziens », Lemouzi, no 187, , p. 103.
- TULLE, « Charles Ferré nouveau maire d'Egletons », La Montagne, (lire en ligne, consulté le ).
- Les gentilés de Corrèze.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site de l'EATP.
- Labellisés « Patrimoine du XXe siècle ».
- « Eglise Saint-Antoine-l'Ermite », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Site du CDMA.
- Villes et Villages Fleuris (palmarès 2007 des communes de Corrèze)
- Palmarès 2008 des Villes et Villages Fleuris
- Égletons et ses rues, éditeur : Alan Sutton, 07/2005, coll. « Mémoire en images » (ISBN 978-2-84253-848-4).
Livre très documenté d'une ancienne enseignante passionnée d'histoire.
Ouvrage actuellement indisponible. - « Bienvenue en Haute-Corrèze », sur haute-correze.fr (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean Vinatier, Egletons « cité de Ventadour ». L'histoire d'une ville du Limousin, 2e édition, Treignac, Les Monédières, 1988, 135 p.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Corrèze
- Anciennes communes de la Corrèze
- Liste des monuments historiques de la Corrèze
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la communauté de communes du Pays de Ventadour, du Doustre et de la Luzège