*Jules Frérot, né à Thin-le-Moutier le 9 janvier 1823, décédé à Aussonce le 5 octobre 1894. (102)
Sylviculteur-pépiniériste, membre de la Société des agriculteurs de France, maire d’Aussonce pendant 21 ans, délégué cantonal, ancien suppléant de la justice de paix du canton de Juniville. (200)
Baudouin de Bourcq, appelé aussi Baudouin du Bourg, fils du comte Hugues de Rethel, comte d'Edesse de 1100 à 1118 et deuxième Roi de Jérusalem de 1118 à 1131. (167)
* Jean-Baptiste L'Ecuy (3 juillet 1740-22 avril 1834). Élu abbé général de l'ordre de Prémontré en 1780. Fut le dernier abbé avant la Révolution. (153)
* Jeanne Mélin (1877-1964). Militante féministe et pacifiste. Candidate à la présidence de la République en 1946 contre Vincent Auriol. (140)
* Général Simon Marie de Wacquant <ref>[1]</ref>, né au Chesne le 30 floréal An VI (19 mai 1798), mort en service le 24 septembre 1857 à Poitiers (209)
Jacques l'Aumônier, marquis de Varenne, né à Faux en 1642, officier de confession protestante dans l'armée de Louis XIV, passé au service de l'électeur de Brandebourg après la promulgation de l'édit de Fontainebleau. (224)
Extrait du journal L'Union du 26 février 2008 Texte de Nathalie DIOT (69)
Histoire / Louis Rose : l'Ardennais qui a connu Davy Crockett (61)
Incroyable destin que celui de l'Ardennais Louis Rose. Né à La Férée en 1785, il meurt en Louisiane à l'âge de 66 ans, après avoir survécu aux guerres de Napoléon et à la bataille mythique de Fort Alamo. (213)
CINQ mars?mille huit cent trente-six, Fort Alamo. Le Texas est en pleine guerre d’indépendance. James Bowie, qui a repris le fameux fort aux mains des Mexicains, trois mois plus tôt, trace une ligne au sol, avec son sabre. (227)
A 300 contre 6.000, il sait que ses soldats ne verront pas la fin du jour, les Mexicains sont prêts à laver l’affront et ne feront pas de quartier. Ce sera la mort ou la victoire. S’ils veulent vraiment se battre, ils doivent passer la ligne. D’après la légende, un seul homme ne l’a pas fait : un Ardennais ! Ce qui en fait un des rares survivants de la bataille. (377)
A 51?ans, Louis Rose fait figure d’ancien parmi les Américains dont certains ne sont encore que des adolescents. Ils le surnomment Moses (Moïse). Louis Moses Rose, ancien grognard de Napoléon, a un passé de combattant aguerri. Il n’est « pas prêt à mourir ». (271)
Né à La Ferée le 11?mai 1785, il est « le fils de Pierre Ro(z/s)e employé dans la ferme du roi au poste et de Marie Henaux », peut-on lire sur son acte de naissance conservé aux Archives départementales à Charleville-Mézières, unique preuve de sa vie que nous avons réussi à trouver dans les Ardennes. (315)
Au cimetière de La Ferée, pas moyen de partir sur la trace de ses ancêtres. « Le cimetière a été déplacé en 1951 », explique le maire, René Dupont. (159)
Sur les tables décennales, de l’an 1803 à 1813, un seul Roze, Antoine, décédé le 14?juin 1810. « Vers 1978, au début de mon premier mandat, un Américain est venu. Il cherchait des informations sur Louis Rose pour sa thèse », se souvient René Dupont. (263)
Et en effet, c’est de là-bas que la plupart des informations proviennent. (77)
Plusieurs sites Internet reviennent (en anglais) sur cet homme, que l’on caricature parfois comme celui qui a préféré partir au lieu de se battre. Le sujet est sensible au Texas. Le combat de Fort Alamo représente un événement majeur de sa guerre d’indépendance et un symbole de résistance. (303)
Ainsi, quand Jacques Chirac s’est prononcé contre la guerre en Irak (commanditée par le Texan George W.?Bush), la légende de Louis Rose a été évoquée comme étant un exemple ancestral de la lâcheté française. (221)
C’est vite oublier le passé glorieux de l’homme qui a pris les armes dès 1806 dans la Grande armée de Napoléon. En 1814, le lieutenant reçoit la Légion d’honneur pour son rôle d’aide de camp auprès du général Jacques de Monfort. Il sert dans les campagnes de Naples, du Portugal, de l’Espagne, ainsi qu’en Russie. (336)
Après la défaite de Napoléon, il migre au Texas, à Nacogdoches, vers 1827. (79)
Il y travaille dans une scierie et devient messager entre Nacogdoches et Natchitoches (Louisiane). Ami de James Bowie, il rejoint la rébellion et se bat à ses côtés jusqu’à Alamo où il rencontre probablement un autre héros, Davy Crockett. Il combat dix jours avant de partir. (285)
Après un périple, il revient à Nacogdoches où il ouvre une boucherie. En 1842, il gagne Logansport en Louisiane où il meurt en 1851. (138)
Louis Moses Rose ne s’est jamais marié et n’avait pas d’enfant. Sa seule descendance est celle de son frère, Isaac Rose, qui lui a eu sept fils. Depuis 1927, le revolver de l’Ardennais Louis Moses Rose fait partie de la collection du musée d’Alamo. (262)
*Élie Destrez, né à Doumely le 22 février 1835, décédé à Rubigny le 6 janvier 1890. Médecin et maire de Fraillicourt. Reçu officier de santé à Reims en 1860 après avoir été interne à l’Hôtel-Dieu, et installé comme médecin de campagne. Il a rédigé et publié une leçon sur la pellagre sporadique. (354)
Adrien, marquis de Wignacourt, député des Ardennes (52)
Jean Rogissart, écrivain régionaliste.prix Théophraste Renaudot 1938 pour son roman "Mervale", dont le titre est inspiré de l'écart de Guignicourt: "Merale" (181)
- Prélat né à Hannappes (Ardennes) vers 1225, mort en mer le 18 mai 1291. Entré dans l'ordre des dominicains à Reims, il vint terminer ses études théologiques au couvent de Saint-Jacques, à Paris, et, bientôt appelé à Rome, fut nommé pénitencier du pape. En 1288, il devenait patriarche de Jérusalem. Le pape lui confia en même temps l'administration de l'église d'Acre (30 avril) et lui donna le titre de légat en Syrie, Jérusalem, Chypre et Arménie (17 août). (482)
Nicolas de Hanapes trouva les affaires de la chrétienté dans un déplorable état. En 1289, la prise de Tripoli par Kelaoun menaça l'existence d'Acre. Nicolas IV envoya quelques galères et essaya d'organiser une nouvelle croisade. Mais lorsque le roi d'Angleterre Edouard et quelques princes se furent décidés à prendre la croix il était déjà trop tard et Acre avait succombé. Le patriarche de Jérusalem avait tenu jusqu'au dernier moment avec une incroyable énergie. Le siège, commencé en avril 1291 par le sultan Khalill el-Aschraf, dura un mois. Nicolas de Hanapes périt en s'embarquant sur une chaloupe surchargée de fugitifs et qui coula. (662)
On a de lui une imitation de Valère Maxime, sous le titre : Virtutum vitiorumque exempla. Ce livre, bientôt populaire, reçut le surnom de Bible des pauvres. Il fut imprimé pour la première fois sous le nom de saint Bonaventure : Biblia pauperum (Venise, 1477, in-8) et eut de nombreuses éditions. Il fut traduit en français par Tyron : le Promptuaire des exemples des vertus et des vices (Anvers, 1520, in-8), en anglais par Paynel : The Exsamples of vertue and vice (Londres, 1561, in-8). Deux autres ouvrages sont restés manuscrits : Praedicationes (à la bibliothèque Saint-Marc, de Florence) et Dicta Salutis (bibl. Pauline, de Leipzig). (650)
* L'écrivain Claude-Edmond Braulx avec, en particulier, l'une de ses productions directement inspirée de l'histoire du village durant la période de 1900 à 1918 et intitulée : "Les Dits de Camille Mauperon d'Harcy". (246)
La famille d'Arras est issue de l'ancienne noblesse de l'Artois, malgré son patronyme elle ne semble pas liée à ville d'Arras car elle blasonne différemment : d'argent au chevron d'azur, surmonté de deux blairiers en chef, affrontés de sable, becqués et pattés de gueules. (280)
Le 11 septembre 1506, Jean d'Arras acquiert la terre, la seigneurie, le château d'Haudrecy et les droits y afférant. (119)
La famille d'Arras d'Haudrecy conserve la seigneurie jusqu'à la Révolution française où Gabriel d'Arras vicomte d'Haudrecy émigre chez sa soeur, la baronne de Minckwitz à Porcheresse, en Belgique autrichienne. (215)
Après la Victoire de Fleurus et la deuxième occupation française, il est considéré comme un hors-la-Loi et doit se cacher. Dénoncé, il est arrêté par la police du Directoire vers avril 1799. Transféré à Liège, il est condamné et fusillé le 29 juin de la même année comme émigré. (297)
Jean Renart de Fuchsamberg (1607-1684) : Il devint Abbé Commendataire de l'Abbaye de Longwé en 1629. Sous sa direction, l'abbaye fut sagement administrée et réussit à éponger ses dettes, à faire de nouvelles acquisitions et embellit son église. (259)
* Jules Desplous : Né le 26 septembre 1852 à Liart, docteur en médecine, maire de Rimogne (1899-1905 et 1908-1912), il fut conseiller général des Ardennes. (204)
* Famille DUPIN Notaires Royaux de père en fils: Pierre Dupin (vers 1635-vers 1703)-Pierre Dupin (1677-1756)-JeanDupin (1714-1784) et Pierre Marie Dupin (1764-1816) dernier notaire connu de cette famille à Liart. (220)
Jean V d'Allamont, seigneur de Malandry, gouverneur de Montmédy (1626-1657), tué sur la brèche au siège de Montmédy. Le collège de cette ville porte son nom. (163)
François Jules Dérué, Lieutenant-Colonel né à Marcq (Ardennes) le 08 juin 1835, mort à Nogent sur Seine (Aube) le 04 mars 1922. Escrimeur célèbre, directeur de la section d'escrime de l'école de Joinville le pont, officier de la légion d'honneur et officier de l'ordre d'Orange-Nassau, publie de nombreux ouvrage sur l'escrime, inventeur d'un sabre qui porte son nom. (article manquant)
* Henri Vin. Maire de Margut de 1959 à 1985, année de sa disparition, Henri Vin est la figure politique marquante de la commune. Né à Carignan le 29 août 1922, il prit une part active à la Résistance dans le Pays d'Yvois. Professeur de collège, il fut élu maire de Margut en 1959. Il occupa également le siège de conseiller général du canton de Carignan. Suppléant de Jacques Sourdille, il le remplaça au Palais Bourbon quand ce dernier fit son entrée au gouvernement de Raymond Barre. Il siégea à l'Assemblée nationale du 2 mai 1977 au 2 avril 1978. (575)
* Paul Dauchy. Né à Margut en 1897, dans le bâtiment situé au-dessus de l'actuelle mairie, Paul Dauchy est sans conteste l'un des plus illustres personnages liés à la commune. Musicien de grand talent, il suivit une formation à la Schola Cantorum de Paris sous la conduite de Vincent d'Indy. Directeur de la société philharmonique de Charleville-Mézières à partir de 1924, il créa une école de dans classique, une chorale mixte, des cours de musique et de piano. C'est également lui qui créa la délégation ardennaise des Jeunesses musicales de France en 1952. Le 27 novembre 2005, la municipalité décidait de donner le nom de Paul-Dauchy, à la salle de musique municipale. (699)
* Gérard Pinson. Gérard Pinson est un journaliste de télévision français né à Margut en 1950. Après avoir débuté à France 3 Champagne-Ardenne à Reims, il devient rédacteur en chef de France 3 Orléans puis prend des responsabilités à FR3 national à Paris. Il présenta le 19/20 en duo avec Elise Lucet et Soir 3 dans les années 1980. Il est décédé des suites d'un accident de la route le 2 décembre 1990. Il était président d'honneur de l'Amicale des anciens élèves de Margut et avait participé à plusieurs manifestations organisées par l'association, dont le gala Verchuren en 1989. (617)
«Lambert Closse, né à Mogues vers 1618, fut major de la garnison de Montréal en tant que second de Paul de Chomedey de Maisonneuve, fondateur en 1642 de Ville-Marie qui allait devenir par la suite la grande cité canadienne de Montréal. Il fut tué par les Iroquois en 1662 et sa statue orne la Place d’Armes de Montréal. Il a été l’un des sujets de la récente exposition sur Montréal qui a fait une halte notamment à Charleville-Mézières et à Rethel.» (496)
Monthermé, patrie de naissance de William Degouve de Nuncques1866 - 1935, peintre symboliste, et post impressionniste,connu pour ses paysages du brabant et ses sujets mystiques et religieux. Présent aux musées de Bruxelles, Anvers, Ixelles. (257)
Léon HARMEL : (1829) industriel à l'origine des premiers Conseils d'usine assurant, dès 1883, la coopération des ouvriers à la direction technique et au maintien de la discipline (débuts du syndicalisme ouvrier chrétien) (235)
Alcide Louis-Joseph Railliet : (1852) savant naturaliste et helminthologiste réputé, professeur à l'école vétérinaire d'Alfort (142)
D'origine poméranienne (Pologne), la famille Bartelt s'installe dans les Ardennes, la région d'Arthur Rimbaud. Un endroit prédestiné pour le jeune Franz qui apprend à lire dans les romans policiers que dévore sa mère, et commence à écrire à l'âge de treize ans. Un an plus tard il quitte l'école et gagne sa vie en enchaînant les petits boulots. A dix-neuf ans, il entre dans une usine de transformation de papier, un autre lieu symbolique pour l'écrivain qu'il est en passe de devenir. En 1980, il s'installe à Nouzonville et se consacre à l'écriture. Pendant cinq ans de labeur au rythme des trois-huit, il aligne deux volumes par an sans se soucier de se faire publier. C'est à partir de 1985 qu'il fait de l'écriture son unique moyen de subsistance. Poète, nouvelliste, dramaturge et feuilletoniste, il donne également huit pièces de théâtre à France Culture et des chroniques estivales à L'Ardennais. A partir de 1995, il connaît la consécration avec la publication de ses romans, tous applaudis par la critique et certains sélectionnés pour les prix littéraires, (Les Fiancés du paradis, La Chasse au grand singe, Le Costume, Les Bottes rouges, Le Grand Bercail et Terrine Rimbaud). (1256)
Il a écrit les marcheurs dont voici un extrait: (52)
"Je suis d'un pays construit par le silence. Et qui assemble, vallée contre vallée, d'autres pays vieux et lointains.<br> (134)
Ma jeunesse s'est brûlée dans la plaine. Je n'ai que des souvenirs de plein été."<br> (100)
"Je m'en irais bien, certains jours, vers ce temps sans noblesse, qui va. Je m'en irais bien, certains jours, au devant des fatigues de la liberté, vers ces matins de brumes harnachées de soleils, vers ces rivages verts que le vent pousse dans la mer, vers ces villes de brique rousse et de froid, posées sur des paysages plus lumineux que le ciel. Certains jours, je m'en irais bien pour m'en aller." (414)
Jean-Baptiste-Charles-Camille Renault naît à Omont, où son père exerce le métier de marchand, puis de clerc de notaire. Après de courtes études à la pension Glattigny de Vouziers, vers 14–15 ans, Camille Renault suit un apprentissage au buffet de la gare de Charleville-Mézières pour devenir cuisinier (1880-1881), puis exerce dans plusieurs restaurants parisiens réputés. (390)
Pouru-Saint-Remy est le village d’Europe qui compte le plus grand nombre de descendants de Clovis et de Charlemagne (extrait de la revue trimestrielle du cercle de Généalogie et d’héraldique des Ardennes). (224)
Comme son nom peut l’indiquer Pouru-Saint-Remy, Saint Remy est venu dans le village. (86)
La famille d'Anglemont de Tassigny demeure, depuis le XVIIIe siècle, au château de Réméhan. (99)
GOBERT Gustave (1880-1950) : professeur d'Allemand, écrrivain et conférencier (dont "a mon village" 1939, "un village des Ardennes" 1944 (PUILLY ET CHARBEAUX), conseiller municipal, homme politique (radical socialiste), fondateur de l'une des premières sections d'anciens combattants des Ardennes, ancien combattant des 2 guerres (1914-1918, 1939-1945), conseiller municipal, secrétaire et membre de "la Vénerie", colonie de vacances à SIGNY L'ABBAYE, président de la "mutuelle bétail", a effectué les premiers échanges franco-allemand , et ceci déjà entre les 2 conflits. (624)
L'historien Jules Michelet visita à plusieurs reprises cette commune (été 1816, juillet 1833, juin 1837, août 1840, septembre 1846, août 1849). Sa mère, Constance Millet y était originaire. (201)
Dans Le Peuple (1846), Michelet fit référence à ses tantes dévouées de Renwez : « toutes remarquables par l'économie, le sérieux, l'austérité, se faisaient les humbles servantes de messieurs leurs frères, et pour suffire à leurs dépenses elles s'enterraient au village. Plusieurs cependant, sans culture et dans cette solitude sur la lisière des bois, n'en avaient pas moins une très-fine fleur d'esprit. J'en ai entendu une, bien âgée, qui contait les anciennes histoires de la frontière aussi bien que Walter Scott. Ce qui leur était commun, c'était une extrême netteté d'esprit et de raisonnement. » (Paris, Hachette-Paulin, 1846, 20-21.) (672)
* Naissance de Charles René Billuart en 1685, moine du Couvent des Dominicains. Son effigie, sous la forme d'une statue, est visible dans le cœur de l'église paroissiale Notre Dame. (192)
* Jules Desplous, né le 26 septembre 1852 à Liart, Jules Desplous était docteur en médecine. Il soutient sa thèse en 1879. Le 28 juillet 1889, il est élu membre du conseil d'arrondissement pour représenter le canton de Rocroi. Il est élu conseiller général le 11 juillet 1893. On lui doit le prolongement de la ligne de chemin de fer de Rocroi vers Brûly-de-Couvin. Jules Desplous fut maire de Rimogne de 1899 à 1905 et de 1908 à 1912). Il meurt le 30 avril 1919. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur à titre posthume. (563)
* L'abbé Gridaine, né à Rimogne le 29 octobre 1764, il entre au séminaire puis est nommé vicaire de Rethel. Lorsque la Révolution éclate, il part en exil en Suède où il devient précepteur à la Cour puis vicaire apostolique. Il meurt en Suède en 1832. (303)
* Armand Polèse, né à Rimogne le 31 octobre 1922, résistant. Agent de liaison puis chef de groupe au Maquis du Banel, il est assassiné par les Allemands le 18 juin 1944. Il repose dans le cimetière du village. (221)
* De nombreuses familles nobles ont vécu et ont fait l'histoire du village : De Robert du Châtelet, Hénin-Liétard, Rousseau de Rimogne, Bodson de Noirfontaine, Le Vaillant de Monchy, Habert de Montmort. (206)
Nous avons eu la visite dans le temps de Rimbaud, ce grand poète Ardennais dont nous sommes fiers.[réf. nécessaire]. (128)
Charlemagne aurait été aussi de passage. D'ailleurs il s'est arrêté près de chez nous, à Attigny ou la place du village porte son nom.[réf. nécessaire]. (169)
Nous avons, bien sûr, eu la visite de militaires Allemands qui sont repartis avec notre cloche de l'époque, nous obligeant à en demander une nouvelle.[réf. nécessaire]. (182)
-Linard Désiré( 1839/1898 ), fondateur de l'Hospice, agriculteur et fabricant de sucre, sénateur des Ardennes, vice-président du ConseilGénéral, maire de Saint-Germainmont, membre du Conseil Supérieur de l'Agriculteur, président du Cercle Agricol de Rethel, Chevalier du Mérite Agricole. (302)
-Dellières Auguste( 1892/1978 ), le dernier survivant de la grande guerre( le dernier de nos "Poilus" ). (121)
Les Résistants de Saint-Germainmont mort pour la France: (67)
-Labar Pierre, Lieutenant F.T.P. e la 5ème compagnie du secteur sud des Ardennes et chef du 7ème détachement de Saint-Germainmont. (139)
-Hourlier Léon, Lieutenant F.T.P. e la 5ème compagnie du secteur sud des Ardennes,chargé plus particulièrement de l'armement. (135)
-Kromback Georges, Réfractaire au S.T.O., pris et envoyé au camp de concentration de Nexon ( Dordogne ). (112)
Bien que né à Oran, en Algérie, le général Grossin était originaire de Savigny-sur-Aisne où sa famille était présente depuis de très nombreuses générations. Il y possédait d'ailleurs encore une maison, héritée de ses parents, et située sur la place de Mi-la-Ville, et il y revenait de temps en temps. (316)
Membre de la famille des seigneurs du village, il habita au château seigneurial qui semble avoir été situé sur la vaste plateforme au sud-ouest, au lieu dit "la Ferme du haut". (190)
* Paulin Lebas, historien et écrivain. A écrit une monographie du village et a mené de nombreuses recherches historiques<ref>Paul Laurent, Revue historique ardennaise, 1905, p.110.</ref>. (212)
Baron Jean-Paul dit Frédérick Tristan, écrivain (Prix Goncourt 1983) est le fils de Rachel Baron-Perdraux née à Ville-sur-Lumes et petit-fils de Jean-Baptiste Théodule Baron et de Berthe Valtier, tous deux nés à Ville sur Lumes. (240)
Abbé Georges Philippe du Houle, fils de Pierre du Houle et de Marguerite Lateinturière, curé de la paroisse aux XVII et XVIIIe siècles. (139)
Une inscription située sur le mur extérieur de l'église, au dessus d'une ancienne fenêtre du chœur, fait mémoire de son jubilé sacerdotal : (146)
"Georges Philippe du Houle / (33)
77 ans / (8)
1734 / (6)
curé de Villers-Cernay" (29)
Ce pieux curé a recueilli ses neveux après le décès de leurs parents, Jacques d'Acremont et son épouse, Marie, née du Houle. (130)
Jean Chantriaux ; Maître de Forges ; né en 1652 (+ en 1725 à 73 ans), fils de Raulin Chantriaux et d'Alizon Harmant ; épouse en 1678 Caroline-Charlotte du Houle (fille de Pierre du Houle et de Marguerite Lateinturière), sœur du curé de la paroisse, Georges Philippe du Houle ; il fit l'acquisition en 1687 des fours et moulins banaux de Villers-Cernay et va demeurer, avec sa famille, à la maison dite du Vieux Moulin. (426)
Jean-Baptiste Chantriaux, porteur de contraintes pour la levée des deniers royaux, à la fin du XVIIIe siècle. En 1789, la population refuse d'acquitter l'impôt. Jean-Baptiste Chantriaux se voit contraint à engager contre elle des poursuites légales. Dans la nuit du 22 janvier 1790, la population met le feu à sa maison. (327)
Henri-Jérémie Chantriaux, du 59e régiment d'infanterie de ligne ; a pris part, entre autres, aux combats de la bataille de Waterloo. (135)
Jean-Nicolas Chantriaux, Maire de Villers-Cernay, sous la Monarchie de Juillet; il assure notamment, en 1833, le remplacement de la cloche de l'église. (152)
Sources : "Villers-Cernay et ses environs" par l'Abbé Toussaint, curé de Villers-Cernay vers 1900. (110)
