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Union sportive Créteil-Lusitanos

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US Créteil Lusitanos
Logo du US Créteil Lusitanos
Généralités
Nom complet Union sportive de Créteil Lusitanos
Noms précédents Union sportive de Créteil (1936-2002)
Fondation 1936[1]
Statut professionnel 1999-2009
2013-2018
Couleurs Bleu et jaune
Stade Stade Dominique-Duvauchelle
(12 150 places)
Siège 1 rue Vasco de Gama
94460 Valenton
Championnat actuel National 2
Président Bassam Al-Homsi
Entraîneur Habib Boumezoued
Site web uscl.fr
Palmarès principal
National[2] Championnat de France D3 (1)

Maillots

Domicile

Extérieur

Neutre

Actualités

Pour la saison en cours, voir :
National 2 2024-2025
0

Dernière mise à jour : 30 septembre 2024.

L'Union sportive de Créteil Lusitanos est un club de football français fondé en 1936 et situé à Créteil (Val-de-Marne), dans la banlieue sud-est de Paris.

Le club est créé en 1936 et s’inscrit dans une démarche pluridisciplinaire. Le plus haut niveau atteint par la section football du club est la deuxième division. À la suite de huit saisons consécutives en Ligue 2, le club est relégué en National en 2007 et en reste pensionnaire jusqu'à la saison 2012-2013 qui voit le club remonter en Ligue 2. Il reste seulement trois ans à ce niveau et retombe en troisième division lors de la saison 2015-2016.

Après avoir évolué au Stade Desmont, l'USC s'installe au stade Dominique-Duvauchelle en début de saison 1983-1984. Le club est présidé par Bassam Al-Homsi et l'équipe première, entraînée par Stéphane Masala depuis 2022, évolue depuis la saison 2022-2023 en National 2, soit le quatrième niveau dans la hiérarchie du football français.

Carte
Localisation du stade Dominique-Duvauchelle à Créteil par rapport à la ville de Paris.
Localisation de Créteil.
Créteil
Voir l’image vierge
Localisation de Créteil.

Genèse du club : une lente ascension (1936-1988)

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À la fin des années 1920, des passionnés par le football décident de former ensemble le Club Sportif de Créteil, club omnisports comprenant des sections football, cyclisme et natation[3]. Le principal but de la création du club est d'imiter les autres congrégations que sont le Club français, le Red Star, le RC Paris et le CA Paris qui jouent alors en première division française. Sans grand succès, ces passionnés décident de partir vers ces clubs voisins, laissant de côté l'association. M. Hémont prend alors la décision, en 1936, de fonder l’Union Sportive de Créteil. Club de football à ses débuts, il devient omnisports par la suite avec l'ouverture plusieurs autres sections sportives : cyclisme depuis 1938, basket-ball depuis 1945, athlétisme depuis 1963 et handball depuis 1964, notamment. L'USC omnisports compte 28 sections en 2015.

Le club récupère le stade de la route d'Alfort situé au nord de la ville de Créteil. Cette enceinte construite au début des années 1920 est utilisée comme camp d'entraînement du club de football du Cercle athlétique de Paris de 1926[4] à 1936. La ville met fin à cette location au CAP afin de le mettre à la disposition des sportifs cristoliens[5]. Stade principal de l'USC jusqu'en 1983, il est rénové et, entre-temps, baptisé « Stade François Desmont » le (800 places assises)[6].

Leurs premiers succès dans ce stade est la montée en CFA, l'élite amateur, en 1962-1963 sous la houlette de l'entraîneur M. Hainque. Ce séjour en CFA se limite à une seule saison, puis le club chute en 1965 en Division Honneur Régionale, un niveau au-dessous de la Division Honneur à l'époque.

Sous la présidence de M. Périnelle, l'USC retrouve pied en DH en 1973 puis profite de la création de la Division 4 en 1978 pour retrouver les compétitions nationales. Les débuts à ce niveau sont catastrophiques avec seulement une victoire, trois nuls et six défaites lors des dix premières journées. Créteil bat ensuite le leader Senlis par 2-0 et signe une belle deuxième partie de saison, lui permettant pour la première fois de son histoire de se maintenir dans un championnat national. Cette joie est de courte durée : affublé de la lanterne rouge dès la cinquième journée du championnat de Division 4 1979-1980, Créteil ne parvient pas à redresser la situation et est logiquement relégué en DH.

En 1983, l’USC se dote d'un nouveau stade, le stade Dominique-Duvauchelle, qui porte le nom d’un journaliste sportif cristolien décédé peu avant l’inauguration de l’enceinte. Le stade ne comprend alors qu'une tribune d'honneur de 800 places assises.

En 1985, le député-maire de la ville, Laurent Cathala, décide de doter l’USC d’une équipe de premier plan. L’USC récupère ainsi cinq ex-pros du Stade français en pleine décomposition et signe rapidement des résultats probants avec trois promotions consécutives permettant aux Béliers de rejoindre la Division 2 dès 1988 sous l'impulsion de Jean-Marc Komano, alors entraîneur principal de l'USC, et à la suite de la double victoire contre le Matra-Racing Club. La lutte pour la promotion en 1987-1988 est acharnée avec le Red Star, mais c'est finalement Créteil qui décroche le billet vers l'antichambre de l'élite pour un point d'écart sur le rival et voisin audonien. En parallèle à cette belle saison en championnat, l'USC réalise un parcours honorable en Coupe de France, atteignant le stade des huitièmes de finale après avoir écarté les professionnels du Matra Racing Paris en matches aller-retour avec deux victoires cristoliennes 1-0. Créteil tombe au tour suivant face à SO Châtellerault aux tirs au but. Abdeljalil Aïd et Michel Milojević signent au Matra à la fin de la saison.

Début du professionnalisme et relégations (1988-1999)

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Créteil assure son maintien sans problème en 1989 et en 1990, accrochant la dixième puis la neuvième places au classement. Début ensuite des allers-retours entre la Division 2 et la Division 3 : descente en 1991, montée en 1992 et descente en 1993. Les entraîneurs Marc Collat, Michel Milojević puis Robert Buigues se relaient pour faire remonter le club en D2, sans succès.

En 1996, Alain Afflelou rejoint l’équipe dirigeante. Sous sa présidence, l’USC fait signer Claude Barrabé et Didier Sénac et dispute les quarts de finale de la Coupe de France en 1997 face à l'En Avant de Guingamp au Parc des Princes (11 048 spectateurs) après avoir fait sortir le RC Strasbourg au tour précédent. Créteil s’incline en prolongation 1-3.

Lors de la saison 1998/1999, les Cristoliens sont récompensés d'une deuxième place en National, qui leur permet d'accéder à la deuxième division française. Afflelou, fort du succès de l'équipe, fait entre autres signer Anthony Bancarel, Franck Histilloles et Nicolas Huysman .

Maintien en Ligue 2 (1999-2007)

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Adrien Rabiot[7] commence le football à l'US Créteil en 2001.

Créteil retrouve la D2 en 1999 et son stade de 6 000 places est alors doté d'une nouvelle tribune latérale assise ainsi que de tribunes derrière les buts, portant la capacité du Stade Duvauchelle à 10 150 places. La première saison est très difficile et le club doit se contenter d'une 17e place, au bord de la relégation. L'année qui suit voit le club finir à la 16e place.

Afflelou injecte encore de l'argent dans le club et fait signer quelques joueurs renommés comme le portier Stéphane Cassard ou encore Ghislain Anselmini. Le club termine cette fois-ci à la 18e place. Avec le passage de la première division de 18 à 20 clubs, cette place est synonyme de maintien. Afflelou jette l'éponge et quitte la présidence de l'USC en fin de saison.

En 2002, Armand Lopes devient président du club qui modifie son nom en « US Créteil-Lusitanos » malgré les refus, en assemblée générale, de l'USC et des Lusitanos de Saint-Maur (créé et historiquement supporté par la communauté portugaise de la commune voisine de Saint-Maur-des-Fossés) de fusionner. Le club va finir cette quatrième saison dans la deuxième division par une maigre 17e place.

La saison 2003-2004 est marquée par une honorable 12e place. L'équipe est alors entraînée par Jean-Michel Cavalli. La saison qui suit voit l'équipe finir à une 15e place arrachée en fin de championnat.

La capacité du stade Dominique-Duvauchelle est portée à 12 150 places en février 2006. Durant cette saison 2005-2006 et sous la direction d'Hubert Velud, l'USC réalise une bonne première moitié de saison en accrochant une place en haut de tableau. La seconde moitié de saison est plus difficile mais l'USC termine en huitième position du classement général. C'est le meilleur résultat pour le club en championnat de L2. Ces bons résultats furent salués par un public plus nombreux que jamais : 75 992 spectateurs en 19 rencontres, soit une moyenne de 4 000 spectateurs par match.

La saison suivante est très difficile et voit le club val-de-marnais se classer à une 18e place synonyme de descente en National. Ce fiasco s'explique notamment par le départ en début de saison de nombreux joueurs cadres tels que Eugène Ekobo, Christophe Aubanel ou David Amadou M'Bodji, mais surtout du milieu de terrain béninois Stéphane Sessègnon. L'entraîneur Artur Jorge, champion d'Europe avec le FC Porto en 1987, venu secourir le club en octobre 2006, quitte alors son poste.

Des difficultés en National (2007-2013)

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Il est remplacé par Thierry Goudet, qui ne parvient pas à faire de Créteil un prétendant sérieux à la remontée en Ligue 2. Lors de la deuxième partie de saison, le club est même souvent proche de la zone de relégation. C'est pourquoi Goudet est limogé le , après la sixième défaite à domicile de la saison en championnat (contre Calais, 0-1, 33e journée). Il est remplacé par Olivier Frapolli, son adjoint et ancien joueur de l'équipe. Le changement se fait sentir et lors de la journée suivante, les Béliers s'imposent à la surprise générale sur le terrain du Paris Football Club sur le score de 4 buts à 2. Avec Frapolli à sa tête, l'équipe engrange 13 points sur 15 possibles lors des 5 dernières journées, terminant à la 7e place. C'est donc très logiquement qu'il est maintenu aux commandes de l'équipe pour la saison 2008-2009.

À la peine en milieu de tableau du classement à la mi-saison 2008-2009, Créteil s'arrête au stade des seizièmes de finale de Coupe de France contre l'AS Vitré. En Coupe de la Ligue, le parcours s'arrête en huitièmes de finale contre l'OGC Nice après avoir écarté Nantes, Brest et Chamois niortais Football Club. Lors de cette saison, Créteil termine 9e du championnat avec 49 points (9V, 22N, 7D, 38BP, 28BC, +10) [8]. Le contrat de Frapolli n'est pas reconduit, Laurent Fournier le remplace en juillet 2009 sur le banc cristolien[9]

L'effet Fournier se fait immédiatement sentir et les banlieusards accrochent tout de suite le bon wagon afin d'accrocher la montée. À la trêve, ils sont aux portes de l'accès à la L2 mais une série de quatre défaites durant le mois de mars, après l'annonce publique du départ de Laurent Fournier, met définitivement fin à leurs rêves. Ils termineront finalement 4e.

La saison 2010-2011 voit le retour d'Hubert Velud à la tête de l'équipe, l'entraîneur avec lequel le club a réalisé sa meilleure saison (2005-2006). La saison est décevante sur le plan sportif pour des Cristoliens qui terminent le championnat à la 10e place, malgré la présence d'anciens joueurs de Ligue 1 comme Jean-Michel Lesage ou Rudy Carlier. L'année est notamment marquée par un événement extra-sportif : l'agression physique de Velud dans la nuit du 18 au au retour d'un match à Amiens (perdu 2-1).

Présentation des équipes lors du match US Créteil - Bordeaux en 1/16 de finale de la Coupe de France le 21 janvier 2012

À l'été 2011 et comme à chaque intersaison, les départs et les arrivées à l'USC sont nombreux. Parmi ceux-ci, on peut noter l'arrivée de Jean-Luc Vasseur au poste d'entraîneur, de plusieurs joueurs peu connus des spécialistes français tels qu'Aristide Bahin ou Rodolphe Amessan, ou encore de joueurs sur le déclin (Johann Chapuis). Le club profite également des déboires financiers de l'AS Cannes, relégué en CFA, pour recruter trois de leurs joueurs (Vincent Di Bartolomeo, déjà cristolien en 2008-2009, Grégory Tomas et Mathieu Lafon). L'international malien Sammy Traoré, au Paris SG la saison précédente et en fin de contrat joue quant à lui la plupart des matchs de préparation avec l'équipe première mais ne signe finalement pas.

Lors de la saison 2011-2012, Créteil va arriver jusqu'en 16e de finale de la Coupe de France avec comme adversaire Bordeaux. Les deux équipes vont jusqu'aux prolongations après un score de parité (1-1), grâce à Thibault Ferrand, le gardien cristolien, qui retarde l'échéance en arrêtant un penalty à la 87e minute. Lors des prolongations, les deux équipes ne se départagent pas (2-2) et doivent avoir recours aux tirs au but. Bordeaux remporte cette séance grâce à Cédric Carrasso qui repousse deux tirs cristoliens. Le score final est de deux buts partout et victoire des Girondins 4 tirs au but à 3. Au niveau du championnat, un temps distancée, l'équipe revient dans la course à la montée au mois d'avril [1] mais ne parvient finalement pas à s'imposer parmi les trois premiers après la défaite contre Rouen (2-3), qui met fin aux espoirs de montée.

C'est finalement lors de la saison 2012-2013 que les efforts des Cristoliens vont être récompensés. Ils survolent presque le championnat en n'essuyant que de rares défaites parsemés de nuls. Le , le club est le premier de National à être certain de remonter en Ligue 2 pour la saison 2013-2014. En effet, avec 68 points au compteur après 32 matchs de championnat, et 6 journées restantes, le quatrième (et donc premier maintenu en National), Fréjus, qui compte 49 points, ne peut plus dépasser Créteil (avec une victoire à 3 points). Le vendredi l'Union sportive Créteil-Lusitanos remporte le Championnat de France de football National 2012-2013 avec 76 points, en faisant 1-1 face au Paris Football Club et en profitant de la défaite du FC Metz 3-1 face à l'AS Cherbourg.

Le retour en Ligue 2 (2013-2016)

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Six saisons après avoir quitté la Ligue 2, Créteil la retrouve en 2013. En tant que club promu, l'objectif est le maintien, mais avec Jean-Luc Vasseur toujours aux commandes. Prolongations de contrats, quelques retours et des arrivées lors du mercato sont à l'origine de belles prestations cristoliennes en début de saison. Pour ce retour, Créteil signe sept matchs sans défaite et boucle une première moitié de saison avec seulement cinq défaites. La suite ressemble un peu à cette première saison, peu de défaites, quelques victoires et beaucoup de matchs nuls. Finalement, c'est assez justement que Créteil termine sa première saison de retour en Ligue 2 à la onzième place, après douze victoires, douze défaites et douze nuls et cinquante points. En Coupe de la Ligue, l'US Créteil élimine Boulogne aux tirs au but, puis le Racing Club de Lens à la suite d'un match spectaculaire qui se conclut sur un 3-4, avant de se faire sortir au troisième tour par Toulouse. En Coupe de France, Créteil élimine Metz avant de se faire sortir par Jura Sud lors du troisième tour. Le retour en Ligue 2 est réussi.

Vasseur aux commandes réalise de belles choses et les supporteurs et une ville peuvent espérer plus, mais malheureusement Vasseur part seul en Ligue 1 en rejoignant Reims. Après de nombreuses hésitations sur le choix du futur entraîneur, c'est finalement Philippe Hinschberger qui est retenu. Lors de la saison 2014-2015, certains joueurs rejoignent Créteil, notamment Frédéric Piquionne. Le nouvel entraîneur remanie à son goût l'équipe cristolienne avec ses nouveaux joueurs, comme la titularisation de Cyrille Merville en cage à la place de Yann Kerboriou. Malheureusement pour lui et Créteil, la stratégie n'est pas heureuse, et Hinschberger se voit licencié d'un "commun accord" après une défaite humiliante lors de l'entrée de l'US Créteil en Coupe de France (7e Tour) face au Saint-Maur Lusitanos 4-3, qui vient parachever un parcours personnel calamiteux chez les Cristoliens en Ligue 2. À ce stade de la saison, l'équipe est 18e et relégable après deux victoires, neuf défaites et cinq nuls, malgré un bon petit parcours en Coupe de la Ligue, où elle atteint les huitièmes de finale après avoir sorti le Gazélec Football Club Ajaccio et le Racing Club de Lens. Francis de Percin est nommé entraîneur par intérim pour quelques matchs et d'assez bonnes performances, avant l'arrivée de Thierry Froger, qui réussit à maintenir le club en Ligue 2 pour enchaîner une troisième saison d'affilée.

L'équipe, toujours emmené par son entraîneur Thierry Froger, vise le top 10. Elle commence par une victoire lors du derby francilien face au Red Star 1-0 à l'extérieur.

Entre National et National 2 (depuis 2016)

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Le , après sa défaite à Niort lors de la 37e journée face aux chamois Niortais (2-4), le club cristolien est relégué en championnat National, après une saison difficile où il terminera à l'avant-dernière place et avec 34 points engrangés en 38 matchs.

Lors de la saison 2016-2017, en championnat National, les Cristoliens verront leurs principaux cadres partir et remplacés par des joueurs libres ou en prêt, ce qui n'aidera pas le club qui finira qu'à une triste 12e place.

La saison 2017/2018, malgré un statut professionnel, sera catastrophique avec une relégation en National 2 qui sera actée à l'issue de la 31e journée. Assuré de finir bon dernier (le club ayant terminé 17ème) le club fera son retour dans un échelon où il n'avait plus évolué depuis 1987.

Lors de la saison 2018-2019, le club finira 1er de National 2 avec 10 points d’avance sur l’US Lusitanos Saint-Maur, et fait son retour en National après une saison d'absence.

Lors de la saison 2019-2020, pour sa remontée en National, le club finit à une honorable 9e place avec 12 points d’avance sur les relégués.

La saison suivante, le club termine 17e mais est repêché en raison de l'arrêt du championnat en National 2 à cause du COVID-19.

Lors de la saison 2021-2022, le club a 6 points de retard sur le premier non-relégable après 20 journées, qui renverra le club en National 2 une fois de plus après une piteuse 17e place.

Pour la saison 2022-2023, le club, après un très bon début de saison en ayant occupé la première place de sa poule pendant plusieurs journées, se retrouve troisième avec 26 points à la mi-saison, se faisant distancer notamment par le FC Fleury et le FC93 (Bobigny-Bagnolet). Il finit finalement à la cinquième place.

Pour la saison 2023-2024, le club finit à la cinquième place.

Palmarès et résultats

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Le tableau suivant liste le palmarès et les meilleures performances de l'US Créteil-Lusitanos dans les différentes compétitions officielles.

Palmarès de l'US Créteil-Lusitanos en compétitions officielles
Compétitions nationales Compétitions régionales
Coupes
Coupes

Bilan sportif

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Personnalités du club

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Historique des présidents

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  • 1936- ? : Hémon
  • 1962-1963 : Ohron
  • 1983-1985 : Carlos Paccard
  • 1985-1986 : André Henri
  • 1986-1989 : Gabriel Terdjman
  • 1989-1991 : Laurent Cathala
  • 1991-1992 : ?
  • 1992-1993 : Joseph Le Bechec
  • 1993-1995 : ?
  • 1995-1996 : Jean-François Bunouf
  • 1996-2001 : Alain Afflelou
  • 2002-2022 : [10] Armand Lopes
  • 2022-en cours : Bassam Al-Homsi

Entraîneurs

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Les tableaux suivants établissent la liste des entraîneurs qui ont dirigé l'équipe première de l'USCL.

Rang Nom Période
1 Jean-Marc Komano 1986-1988
2 Philippe Redon 1988-1989
3 Philippe Troussier 1989-1989
4 Rubén Umpiérrez 1989-1989
5 Fathi Chebel 19891989
6 Philippe Redon oct. 1989 – déc. 1990
7 Jacky Lemée déc. 19901992
8 Marc Collat 19921995
9 Robert Buigues 19951996
10 Pierre Garcia oct. 1996 – déc. 1997
11 Bernard Simondi déc. 1997 – oct. 1999
12 Gernot Rohr oct. 1999 – sep. 2000
13 Laurent Roussey sep. 2000 – avr. 2001
14 Slavisa Vukicevic avr. 2001 – août. 2001
15 Ladislas Lozano aoû. 2001 – mar. 2002
Rang Nom Période
16 Noël Tosi 20022003
17 Jean-Michel Bridier 20032003
18 Jean-Michel Cavalli avr. 2003 – aoû. 2004
19 Jean-Michel Bridier aoû. 2004
20 Guy David aoû. 20042005
21 Hubert Velud 20052006
22 Albert Rust mai 2006 – sep. 2006
23 Olivier Frapolli sep. 2006 – oct. 2006
24 Artur Jorge oct. 20062007
25 Thierry Goudet 2007 – avr. 2008
26 Olivier Frapolli avr. 20082009
27 Laurent Fournier 20092010
28 Hubert Velud mai 20102011
29 Jean-Luc Vasseur 20112014
30 Philippe Hinschberger 2014 – nov. 2014
Rang Nom Période
31 Thierry Froger nov. 2014-déc. 2015
32 Laurent Roussey déc. 2015-juin 2016
33 Laurent Fournier juin 2016-déc. 2016
34 Francis de Percin déc. 2016-jan. 2017
35 Stéphane Le Mignan jan. 2017-nov. 2017
36 Yann Lachuer nov. 2017-mai 2018
37 Carlos Secretário mai 2018- déc. 2020
38 Richard Déziré déc. 2020-fév. 2021
39 Emmanuel Da Costa mar. 2021-mai 2022
40 Stéphane Masala (en) depuis mai 2022

Joueurs emblématiques

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Meilleurs buteurs[11]
Rang Nom Buts Matchs Carrière au club
1 Jean-Michel Lesage 58 204 1995 - 1998
2010 - 2016
2 Faneva Andriatsima 43 147 2012 - 2016
3 Ali Boulebda 34 168 2004 - 2011
4 Cheikh N'Doye 32 119 2012 - 2015
5 Patrice Vareilles 27 104 2006 - 2009
Joueurs les plus capés[11]
Rang Nom Matchs Carrière au club
1 Boris Mahon de Monaghan 248 2009 - 2016
2017 - 2018
2 Vincent Di Bartolomeo 226 2008 - 2009
2011 - 2017
3 Richard Trivino 224 2004 - 2007
2008 - 2011
4 Jean-Michel Lesage 204 1995 - 1998
2010 - 2016
5 Samir Amirèche 201 1996 - 1997
2000 - 2007

Au cours de son histoire, le club cristolien a compté dans ses rangs plusieurs joueurs qui ont marqué de leur empreinte l'histoire du club.

Le latéral français Boris Mahon de Monaghan est le joueur le plus capé sous le maillot de l'USCL avec 248 apparitions suivi de près par le défenseur français Vincent Di Bartolomeo avec 226 apparitions.

Au rayon des meilleurs buteurs, c'est l'attaquant français Jean-Michel Lesage qui occupe la première place avec 58 réalisations suivi de l'attaquant international malgache Faneva Andriatsima auteur de 43 réalisations sous le maillot cristolien. En jeunes, le musicien Lord Kossity (de son vrai nom Thierry Moutoussamy) a évolué sous les couleurs de Créteil[12].

Structures du club

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Le Stade Duvauchelle en 2007 pour la réception du FC Metz

Éléments comptables

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Le tableau ci-dessous résume les différents budgets prévisionnels du club cristolien saison après saison.

Historique du budget prévisionnel de l'US Créteil-Lusitanos
Saison 2008-2009 2009-2010 2010-2011 2011-2012 2012-2013 2013-2014 2014-2015 2015-2016 2016-2017
Budget 3,7 M€[13] M€[14] M€[15] M€[16] 3,5 M€[17] 6,3 M€[18] M€[19] 8,3 M€[20] M€[21]
Saison 2017-2018 2018-2019 2019-2020 2020-2021 2021-2022 2022-2023 2023-2024 2024-2025 2025-2026
Budget 3,2 M€[22]
Légende : M€ = millions d'euros.

Équipementiers

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Image et identité

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En 2013, l'US Créteil-Lusitanos présente un nouveau logo à la suite du changement d'identité visuelle du club omnisports[23]. Deux ans plus tard, le club change à nouveau d'emblème[24].

Autres équipes

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Une équipe féminine porte les couleurs de l'USC à partir de la saison 2015-2016[25]. Cette formation fait ses débuts en compétition par une victoire à Vincennes (1-3) le samedi en promotion de Ligue (poule E), soit le sixième niveau français[26].

Notes et références

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  1. https://www.uscreteil.com/histoire
  2. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  3. Paris-Soir, No 21 janvier 1929 sur Gallica
  4. Chronologie / sports : avant 1930 sur le site de la ville de Créteil
  5. Chronologie / sports : de 1930 à 1949 sur le site de la ville de Créteil
  6. Chronologie / sports : de 1950 à 1969 sur le site de la ville de Créteil
  7. « Fiche d'Adrien Rabiot », France Football (consulté le ).
  8. « Classement National 2008 / 2009 », sur Foot National (consulté le ).
  9. Fournier entraînera Créteil, Le Parisien, 08.06.2009
  10. Naturalisé Français en 1968 Le Parisien du 16 juin 2006
  11. a et b « Football : Joueurs utilisés », sur footballdatabase.eu (consulté le ).
  12. PSG, Platini, Anelka : Lord Kossity et le drame de sa jeunesse, eurosport.fr, 2 mai 2020, par Sasha Beckermann et Enzo Guerini
  13. « Budgets des clubs », France Football, no 3506,‎
  14. « Les acteurs de la superproduction entrent en scène », L'Équipe, vol. 64, no 20117,‎ , p. 8-9
  15. « Budgets des clubs », France Football, no 3356,‎
  16. « Budgets des clubs de Ligue 1 saison 2011-2012 », sur sportune.fr, (consulté le ).
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Liens externes

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