Saint-Germain-Lespinasse

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Saint-Germain-Lespinasse
Saint-Germain-Lespinasse
Blason de Saint-Germain-Lespinasse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Roanne
Intercommunalité Roannais Agglomération
Maire
Mandat
Pierre Coissard
2020-2026
Code postal 42640
Code commune 42231
Démographie
Gentilé Saint-Germanois
Population
municipale
1 219 hab. (2021 en diminution de 0,33 % par rapport à 2015)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 06′ 14″ nord, 3° 57′ 48″ est
Altitude Min. 281 m
Max. 349 m
Superficie 15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Roanne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Renaison
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.saint-germain-lespinasse.com

Saint-Germain-Lespinasse est une commune française située dans le nord-ouest du département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Saint-Germain-Lespinasse se situe au nord-ouest de la plaine du Forez, à 12 km au nord-ouest de Roanne. Le département de l'Allier est à 17 km à l'ouest (Saint-Nicolas-des-Biefs, jouxtant Saint-Bonnet-des-Quarts) et celui de la Saône-et-Loire à 10 km au nord-est (Melay, jouxtant Noailly). Lyon est à 100 km au sud-est[1].

Le bourg est presque au pied des monts de la Madeleine et des montagnes du Bourbonnais à l'ouest. La rive gauche de la Loire est à 10 km à l'est[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Fontanière, affluent de la Teyssonne, entre sur la commune au sud-ouest puis remonte vers le nord. En limite de commune avec Saint-Forgeux-Lespinasse, elle reçoir en rive gauche (côié ouest) le ruisseau du Pont Briquet. Après un court détour d'environ 350 m sur Saint-Forgeux, elle revient servir de limite de commune sur 400 m avant de confluer avec la Teyssonne. Cette dernière (qui prend source à Saint-Bonnet-des-Quarts) sert de limite de commune avec Saint-Forgeux-Lespinasse puis avec Noailly, le tout sur environ 2,8 km[2].

Le Fillerin, lui aussi affluent de la Teyssonne, sert de limite de commune sur environ 850 m au sud[2].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Routes

La commune est traversée dans le sens nord-ouest / sud-est par la Nationale 7 ; et dans le sens nord-est / sud-ouest par la D 4, qui relie Charlieu (20 km au nord-est) à la Croix du Sud, un croisement de plusieurs routes dans les monts de la Madeleine[1].

Train

Ligne SNCF Roanne-Vichy.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Nord-est du Massif Central »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roanne-Riorges_aéro », sur la commune de Saint-Léger-sur-Roanne à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 668,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Germain-Lespinasse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roanne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 88 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49 %), zones agricoles hétérogènes (29 %), terres arables (14,3 %), zones urbanisées (7,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Le nom de Lespinasse, ajouté à celui de Saint-Germain, vient du château de Lespinasse, appartenant au seigneur de Lespinasse ; il faisait partie de la commune, ce qui n'est plus le cas : le hameau de l'Espinasse a été rattaché à la commune de Saint-Forgeux-Lespinasse[15].

Le petit hameau de Chamarande, à 1,6 km au sud du bourg en limite de commune avec Saint-Romain-la-Motte[2], a donné son nom au château de Chamarande dans l'Essonne. Au bas Moyen-Âge, ce petit fief est apporté à Benoît Athiaud (frère du conseiller au parlement de Dombes N. Athiaud de Montchanin) par son mariage à Claudine de Terrière. Il passe ensuite par le mariage de leur fille unique dans la maison d'Ornaison, dont Clair Gilbert d'Ornaison[16]. Ce dernier, premier valet de chambre de Louis XIV, achète le château de Bonnes dans l'Essonne en 1684. En 1685 des lettres patentes de Louis XIV érigent Bonnes en comté de Chamarande[17],[18].

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Depuis le , la communauté de communes de la Côte roannaise dont faisait partie la commune s'est intégrée à la communauté d'agglomération Roannais Agglomération.

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'or à la bande d'azur chargée de trois coquilles d'argent posées dans le sens de la bande et accompagnée de deux trèfles de sinople.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 mars 1989 Alain des Gayets   Agriculteur
mars 1989 mars 2001 Jean Jacques Rivas   Vétérinaire
mars 2001 mars 2008 Pierre Coissard   Pharmacien
mars 2008 mars 2014 André Méant DVG Retraité
mars 2014 en cours Pierre Coissard   Pharmacien
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

En 2021, la commune comptait 1 219 habitants[Note 3], en diminution de 0,33 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
670836667715750771818818867
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9129179019419129561 0301 0721 129
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1341 1321 061915892912859883908
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9921 1351 1601 1861 0631 1011 1311 1451 161
2015 2020 2021 - - - - - -
1 2231 2261 219------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les 1180 habitants de la commune, au , se répartissent en 399 de moins de 30 ans, 448 de 30 à 59 ans et 332 de 60 ans et plus[23].

712 personnes ont entre 15 et 64 ans. Parmi elles 67 % sont des actifs ayant un emploi, 7,7 % sont chômeurs, 9,6 % sont élèves ou étudiants, 9,7 % sont retraités ou préretraités et 6 % sont d'autres inactifs.

Les 481 personnes ayant ont un emploi sont pour 399 (82,9 %) des salariés et 80 (17,1 %) des non salariés.

Logements[modifier | modifier le code]

Le nombre de logements existants dans la commune, en 2013, est de 546[23]. 491 sont des résidences principales, 9 des résidences secondaires ou des logements occasionnels et 45 sont des logements vacants. Le nombre de maisons est de 476 et celui des appartements de 69.

Écoles[modifier | modifier le code]

il existe deux écoles dans la commune : l'école publique[24] comprend 5 classes (2 classes maternelles et 3 classes élémentaires). Elle accueille 94 élèves pour l'année scolaire 2023-2024, et une école privée[25], Sainte Marguerite, (classes maternelles et élémentaires, elle accueille environ 100 élèves.

Economie et emploi[modifier | modifier le code]

Le nombre d'emplois situés dans la commune est, en 2013, de 325 (355 en 2008), dont 245 emplois de salariés (75,4 %) et 80 de non salariés (24,6 %)[23].

Sur le territoire communal il existe 123 établissements.

  • 18 appartiennent au secteur de l'agriculture (au total 4 salariés), 16 n'en emploient aucun,
  • 9 sont du secteur de l'industrie (au total 49 salariés), 6 n'en emploient pas.
  • 19 sont du secteur de la construction (au total 19 salariés), 11 établissements n'en emploient aucun.
  • 60 sont du secteur du commerce, des transports et des services divers (48 salariés au total), 47 n'en emploient pas.
  • 17 sont du secteur de l'administration publique, de l'enseignement, de la santé et de l'action sociale (70 salariés au total) 11 n'en emploient aucun.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Les associations[modifier | modifier le code]

  • Indépendante germanoise (club de basket),
  • Club de football,
  • Club de judo-jujitsu et gymnastique chinoise Aïki
  • Harmonie de Saint-Germain-l'Espinasse,
  • Bibliothèque,
  • Cours d'informatique,
  • La bourse aux vêtements,
  • La bourse aux jouets,
  • Écoles privée et publique,
  • Cours de percussions.

Personnalité liée à la commune[modifier | modifier le code]

  • Victor de Persigny (° 1808 - † 1872), duc de Persigny, ministre sous Napoléon III et ambassadeur au Royaume-Uni de 1855 à 1858 puis de 1859 à 1860, à l'origine notamment de la construction de l'hôtel de ville et autres constructions marquantes à Roanne. Né à Saint-Germain-Lespinasse.
  • Théodore Perroy (1822-1904), ingénieur français (l'école Polytechnique puis corps du Génie Maritime), inventeur et constructeur d'une des premières machines de dessalement de l'eau de mer[26].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Saint-Germain-Lespinasse », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (dans l'onglet à gauche de l'écran, cliquer sur "Directions").
  2. a b c d et e « Chamarande et Saint-Germain-Lespinasse dans le Forez, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Germain-Lespinasse et Saint-Léger-sur-Roanne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Roanne-Riorges_aéro », sur la commune de Saint-Léger-sur-Roanne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Roanne-Riorges_aéro », sur la commune de Saint-Léger-sur-Roanne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Théodore Ogier, La France par cantons et par communes. Département de la Loire, t. 3, Paris / Lyon, libr.-éd. Balay et Conchon, (lire en ligne), p. 720.
  16. Octave de Viry, « Bulletin bibliographique », Recueil de mémoires & documents sur le Forez, t. 2,‎ , p. 326-331 (voir p. 330-331) (lire en ligne). Viry y corrige une erreur de Révérend du Mesnil concernant Ce seigneur de Chamarande. Pour l'ouvrage de du Mesnil, voir Clément-Edmond Révérend Du Mesnil, Armorial historique de Bresse, Bugey, Dombes, Pays de Gex, Valromey et Franc-Lyonnais, d'après les travaux de Guichenon, d'Hozier… les archives et les manuscrits, etc. avec les Remarques critiques de Philibert Collet, Lyon, impr. Aimé Vingtrinier, , 714 p. (lire en ligne), p. 47.
  17. « Château de Chamarande », sur chateau-fort-manoir-chateau.eu (consulté en ).
  18. « État des lieux du patrimoine bâti de Chamarande », 59 p. [PDF], sur chamarande.fr (consulté en ), p. 8.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. a b et c « Dossier complet commune de Saint-Germain-Lespinasse (42231) », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « Annuaire : présentation des écoles, collèges, lycées, école maternelle et élémentaire », sur education.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Annuaire ÉCOLE PRIMAIRE PRIVÉE SAINTE MARGUERITE », sur education.gouv.fr (consulté le ).
  26. La biographie complète de Théodore Perroy est disponible sur le site officiel de la commune (http://www.saint-germain-lespinasse.com/la-commune/histoire-et-patrimoine/) ; Henry Perroy est cité dans divers dictionnaire dont Larousse en ligne http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Perroy/182828

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean-Roch Bouiller, « Les grands couverts » de la commune de Saint-Germain-Lespinasse, dans Etudes et documents, Centre de recherches ethnologiques du musée Alice Taverne, 1995, p. 33–40

Liens externes[modifier | modifier le code]