Saint-Aulais-la-Chapelle

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Saint-Aulais-la-Chapelle
Saint-Aulais-la-Chapelle
Église de Conzac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Patrick Huneau
2020-2026
Code postal 16300
Code commune 16301
Démographie
Population
municipale
226 hab. (2021 en diminution de 3,42 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 26′ 56″ nord, 0° 02′ 54″ ouest
Altitude Min. 60 m
Max. 128 m
Superficie 14,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Barbezieux-Saint-Hilaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Aulais-la-Chapelle
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Saint-Aulais-la-Chapelle

Saint-Aulais-la-Chapelle est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Saint-Aulais-la-Chapelle est une commune rurale du Sud Charente située à 8 km à l'est de Barbezieux et 28 km au sud-ouest d'Angoulême.

Le bourg de Saint-Aulais est aussi à 7 km à l'ouest de Blanzac, 13 km au nord de Brossac, 15 km à l'ouest de Montmoreau et 35 km au sud-est de Cognac, sa sous-préfecture[1].

La commune est bordée au nord par la D 5, route de Barbezieux à Blanzac et Villebois-Lavalette, qui passe à 2 km des bourgs de Saint-Aulais et Conzac. La D 24, route de Barbezieux à Montmoreau, traverse l'extrémité sud de la commune, près du bourg de la Chapelle. La D 46, départementale de moindre importance, traverse la commune d'est en ouest et dessert le bourg de Saint-Aulais. Conzac est situé sur la partie est de la commune et est desservi par une route communale qui relie la D 46 à la D 5. La N 10 entre Angoulême et Bordeaux passe à 7 km à l'ouest de Saint-Aulais (déviation et échangeur de Barbezieux, sur la D 24)[2].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les trois villages de la commune sont Saint-Aulais au centre, la Chapelle au sud-ouest et Conzac à l'est. La commune compte par ailleurs de nombreux petits hameaux et fermes[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente et du Cognaçais et a donné son nom à la Champagne charentaise[3]. En limite sud de la commune (chez Bitaudeau), on trouve un premier sommet couvert de sable kaolinique et galets du Tertiaire. Les vallées (Maury et Arce) sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire[4],[5],[6].

Le relief communal est assez faible et consiste en bas plateaux faiblement ondulés traversés par des vallées de direction sud-nord, d'une altitude moyenne de 90 m. Le point culminant est à une altitude de 128 m, situé en bordure sud-est, au sud de chez Bitaudeau. Le point le plus bas est à 60 m, situé en limite nord au bord de la Maury. Le bourg de Saint-Aulais est à 77 m d'altitude[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Maury, l'Arce, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est traversée du sud au nord par la Maury et bordée à l'est par l'Arce, affluents du et sous-affluents de la Charente[2].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Aulais-la-Chapelle est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,7 %), forêts (14,1 %), cultures permanentes (11,5 %), prairies (8,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Aulais-la-Chapelle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Aulais-la-Chapelle.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 137 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 126 sont en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom est attestée par la forme ancienne Sancta Eulalia (non datée)[21].

L'origine du nom de Saint-Aulais (alias Sainte-Aulaye) est sainte Eulalie, en latin Sancta Eulalia[22], martyrisée à Barcelone sous Dioclétien en 304[23],[Note 3].

L'origine du nom de Conzac remonterait à un nom de personne gallo-romain Condius ou Considius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Considiacum, « domaine de Considius »[24].

Pendant la Révolution, La Chapelle s'est appelée provisoirement La Champagne, et Saint-Aulais La Houlette[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Conzac et Saint-Aulais se trouvaient sur une variante de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait en Charente par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Montmoreau et Aubeterre, mais dont une branche bifurquait à Blanzac pour se diriger vers Pons ou Blaye[26].

Dans l'ancienne paroisse de La Chapelle, la Vivétrie était un fief noble possédé par la famille de Saint-Martin jusqu'à la Révolution, dont le plus ancien membre connu était Anthime de Saint-Martin qui vivait au XVIe siècle. Un des descendants, Henry de Saint-Martin, acquit le logis de Puymoreau dans la commune de Salles-de-Barbezieux, à côté de l'actuel lycée agricole.

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Barbezieux appelée le Petit Mairat. La station était en limite de la commune d'Angeduc[27].

Administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

En 1846, Saint-Aulais absorbe les communes voisines de La Chapelle et de Conzac respectivement peuplées de 275 habitants[28] et de 175 habitants[29] au recensement de 1841.

Jusqu'à 2014, Saint-Aulais-la-Chapelle faisait partie du canton de Barbezieux. À la suite de la loi du du redécoupage des cantons français, ce canton a été rattaché au nouveau canton de Charente-Sud lors des élections départementales de 2015.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
depuis 1995 En cours Patrick Huneau SE Agriculteur

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 226 habitants[Note 4], en diminution de 3,42 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
199204187211199201705632629
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
612606510506518458455424400
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
427441391393422386401382372
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
350325294264233244243228235
2019 2021 - - - - - - -
229226-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 120 hommes pour 111 femmes, soit un taux de 51,95 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,7 
90 ou +
0,0 
8,4 
75-89 ans
8,2 
26,9 
60-74 ans
29,1 
21,8 
45-59 ans
25,5 
16,0 
30-44 ans
13,6 
9,2 
15-29 ans
10,9 
16,0 
0-14 ans
12,7 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

Saint-Aulais a absorbé La Chapelle et Conzac en 1846[32].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Berneuil, Challignac et Saint-Aulais. Challignac accueille l'école maternelle, et Berneuil et Saint-Aulais les écoles élémentaires. L'école de Saint-Aulais, située au bourg, comporte une seule classe. Le secteur du collège est Barbezieux[37].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Jacques de Conzac. Cette église est l'ancienne chapelle d'un prieuré dépendant de l'ordre clunisien; elle est considérée à juste titre comme un « bijou » de l'art roman. L'église actuelle comprend des éléments du XIe siècle, largement repris au XIIe siècle qui ajouta aussi des voûtes et une superbe coupole. La riche sculpture romane du chevet peut être datée des années 1130-40. La guerre de Cent Ans puis les guerres de Religion entraînent la ruine de sa nef, remontée au XVIIe siècle, et la disparition de son transept sud[38]. Elle est classée monument historique depuis 1953[39]. Elle fait partie des sept églises de Charente consacrées à Jacques le Majeur[Note 5].
  • Église paroissiale Sainte-Eulalie de Saint-Aulais[40].
  • Église Saint-Vincent de La Chapelle[41].
Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur l'église de Conzac.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Voir aussi Saint-Aulaye (Dordogne).
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. En Charente, les églises consacrées à Jacques le Majeur sont Saint-Jacques d'Aubeterre, de Cognac, de Conzac, de L'Houmeau à Angoulême, de Roussines, de Salles-de-Barbezieux et de Tusson, toutes situées sur des chemins de pèlerinage secondaires.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Aulais-la-Chapelle » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  3. Michel Vigneaux, Aquitaine occidentale, Paris, Masson, , 223 p. (ISBN 2-225-41118-2, lire en ligne), p. 48, 79
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Barbezieux », sur Infoterre, (consulté le )
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  8. « Fiche communale de Saint-Aulais-la-Chapelle », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
  9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Aulais-la-Chapelle », sur Géorisques (consulté le )
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Aulais-la-Chapelle », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  21. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 391
  22. Pouillé, III, p. 391.
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 586.
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  25. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
  26. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
  27. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 317
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Chapelle », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Conzac », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Aulais-la-Chapelle (16301) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
  37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
  38. Jacques Lacoste, « Saint-Jacques de Conzac », Congrès archéologique de France, vol. 1995, no 153,‎ , p. 159-165 (lire en ligne).
  39. « Église de Conzac », notice no IA00041484, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « Église paroissiale Sainte-Eulalie », notice no IA00041474, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. « Église paroissiale Saint-Vincent », notice no IA00041479, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture