Salles-de-Barbezieux

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Salles-de-Barbezieux
Salles-de-Barbezieux
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Michel Varenne
2020-2026
Code postal 16300
Code commune 16360
Démographie
Population
municipale
403 hab. (2021 en diminution de 11,43 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 07″ nord, 0° 07′ 46″ ouest
Altitude Min. 48 m
Max. 99 m
Superficie 9,85 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Barbezieux-Saint-Hilaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Salles-de-Barbezieux
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Salles-de-Barbezieux

Salles-de-Barbezieux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Salles-de-Barbezieux est une commune du Sud Charente située à 3 km au sud-est de Barbezieux et 31 km au sud-ouest d'Angoulême.

Salles est aussi à 13 km à l'ouest de Blanzac, 15 km au nord-ouest de Brossac, 21 km à l'ouest de Montmoreau, et 31 km de Cognac, sa sous-préfecture[1].

Bien que rurale, la commune est dans la périphérie de Barbezieux, et elle est desservie par la N 10 entre Angoulême et Bordeaux qui contourne Barbezieux par l'est et passe à l'ouest de la commune.

Un réseau de routes départementales dessert la commune, en particulier celles qui partent de Barbezieux vers l'est : la D 24 en direction de Montmoreau, qui passe près du bourg, la D 5 en direction de Blanzac qui passe plus au nord, et la D 124 en direction de Saint-Bonnet au nord. La D 46 traverse le sud de la commune et va vers l'ouest vers Reignac. La D 191 dessert le bourg[2].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Comme de nombreuses communes charentaises, Salles possède un habitat dispersé et compte de nombreux hameaux et fermes, ainsi que quelques lotissements dus à la proximité de Barbezieux. Du nord au sud, on trouve la Couronne, les Chauvins, les Lamberts, la Lande, Chez Fouquet avec le lycée agricole, Villechevrolles, Lileau, Chez Grassin, Chez Nouleau en limite avec Condéon, etc.[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Salles-de-Barbezieux
Barbezieux-Saint-Hilaire Saint-Bonnet
Reignac Salles-de-Barbezieux Challignac
Condéon

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente. Les vallées (Beau et Condéon) sont occupées par des alluvions du Quaternaire[3],[4],[5].

Le relief communal est celui d'un bas plateau d'une altitude moyenne de 80 m allongé du sud au nord et compris entre deux vallées. Le point culminant de la commune est à une altitude de 99 m, situé au sud chez Gassin. Le point le plus bas est à 48 m, situé à l'extrémité nord le long du Condéon. Le bourg, construit dans la vallée du Condéon, est à 70 m d'altitude[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Salles-de-Barbezieux.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le Beau, le ruisseau de Condéon, le ruisseau Gourdine, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Beau, affluent du et sous-affluent de la Charente, borde la commune à l'est. Le Condéon, affluent du Beau, arrose l'ouest de la commune et passe au bourg. Ces deux ruisseaux parallèles coulent du sud vers le nord.

Le Condéon compte aussi un petit affluent de 0,5 km qui se jette en face du bourg, et un autre plus en amont et intermittent, alimenté par la Font de la Paire. La Font Chaude, autre source située au nord-est de la commune près des Lamberts, alimente le Beau. Celui-ci reçoit aussi sur sa rive gauche un petit affluent qui fait la limite communale au sud-est : le Gabout, appelé aussi Gourdine et dont la longueur dépasse celle du Beau en amont[2].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Salles-de-Barbezieux est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,1 %), zones agricoles hétérogènes (37,4 %), forêts (4,5 %), cultures permanentes (3,2 %), prairies (0,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Salles-de-Barbezieux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Salles-de-Barbezieux.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 210 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 191 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1997 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est attestée par la forme ancienne latinisée de Salis (non datée, antérieure au XVe siècle)[20].

Le mot Salles qui a donné son nom à de nombreuses communes du sud de la France (La Salle, Les Salles, Lasalle, Lassalles, Salles, etc.) dériverait du germanique seli, en allemand saal, désignant « chambre, château »[21],[Note 3].

La commune a été créée "Salles" en 1793 du nom de la paroisse, puis nommée "Salles-de-Barbezieux" en 1801 pour la distinguer des autres communes du même nom dans le département[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'archéologie aérienne a décelé un fossé circulaire protohistorique dans un enclos carré au lieu-dit Moque Douzil. L'époque gallo-romaine a livré un site à tegulae au Maine Martin, indiquant la présence possible d'une villa[23].

La construction de l'église au XIIIe siècle marque l'existence ancienne du village. Elle a particulièrement souffert des guerres de religion au XVIe siècle, et a été reconstruite en 1741 grâce au curé de la paroisse, Jean Monjou, et des finances des paroissiens.

Le logis de Puymoreau, dans l'est de la commune, était le siège du seigneur de Puymoreau, grand Couronal[Note 4] de Saintonge, Antoine Bouchard[24], qui a joué un rôle important dans l'insurrection de la gabelle en 1548 et fut exécuté. Les noms des seigneurs de Puymoreau sont connus jusqu'au XVIIe siècle. Les familles de Varège, de Saint-Martin et Berthelot se sont succédé jusqu'à la Révolution, date à laquelle Pierre Berthelot émigra et ses biens furent confisqués, mais en 1794 le domaine revient à ses enfants. En 1849 le domaine fut vendu et changea plusieurs fois de propriétaires, dont G.Chevrou, maire et conseiller général en 1883.

Les premiers registres de l'état civil remontent à 1668.

Entre 1876 et 1891, la commune a particulièrement souffert de la crise du phylloxéra. La population a baissé d'un quart, puis s'est maintenue par l'arrivée de familles vendéennes qui ont pratiqué l'élevage, la culture des céréales et plantes sarclées. Quelques vignes ont néanmoins été replantées.

Au début du XXe siècle on pouvait encore trouver quelques moulins en fonctionnement[25].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
depuis 2001 En cours Jean-Louis Nau DVD Agriculteur

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 403 habitants[Note 5], en diminution de 11,43 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
559504484533610580582575535
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
508505464450406377339348339
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
350354281299286288268280295
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
271267317406408415413443452
2019 2021 - - - - - - -
403403-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 199 hommes pour 216 femmes, soit un taux de 52,05 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,9 
2,6 
75-89 ans
5,7 
30,0 
60-74 ans
25,7 
21,8 
45-59 ans
19,5 
17,6 
30-44 ans
16,2 
12,5 
15-29 ans
14,3 
15,5 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture est une activité importante de Salles, qui est située en Petite Champagne, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].

Certains producteurs vendent cognac, pineau des Charentes et vin de pays à la propriété.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'entrée du lycée Félix-Gaillard.

L'école publique est un RPI entre Saint-Hilaire, Salles et Saint-Bonnet. Saint-Hilaire accueille l'école primaire, et Salles et Saint-Bonnet les écoles élémentaires. L'école de Salles comporte une seule classe. Le secteur du collège est Barbezieux[32].

Un lycée agricole, le LPA dit de Barbezieux Félix-Gaillard, est implanté sur la commune.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Jacques a été édifiée au XIIIe siècle et très remaniée au XVe siècle. Son clocher aurait été rebâti au XVIIIe siècle[33]. Elle fait partie des sept églises de Charente vénérant Jacques le Majeur[Note 6].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le logis de Puymoreau est mentionné dès 1596. Il subsiste une porte du XVIIe siècle, mais il a été reconstruit au XXe siècle[34].

Le jardin du logis de la Couronne renferme le cimetière protestant de la famille Drillon[35], un autre dont les tombes ont disparu est situé au logis des Chauvins[36].

Le moulin de l'Isleau daterait du XIXe siècle[37].

La commune renferme aussi un important patrimoine bâti, principalement des fermes des XVIIIe et XIXe siècles[38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Voir aussi Salles-d'Angles,Salles-Lavalette et Salles-de-Villefagnan dans le même département.
  4. Provient de colonel en occitan. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. En Charente, les églises consacrées à cet apôtre sont Saint-Jacques d'Aubeterre, de Cognac, de Conzac, de l'Houmeau à Angoulême, de Roussines, de Salles-de-Barbezieux et de Tusson, toutes situées sur des chemins de pèlerinage (voir Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)).
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Salles-de-Barbezieux » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Barbezieux », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Salles-de-Barbezieux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Salles-de-Barbezieux », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Salles-de-Barbezieux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 313
  21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 580.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 70
  24. Papy16, « L'histoire de Barbezieux », (consulté le ).
  25. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 372-373
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Salles-de-Barbezieux (16360) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  31. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le ).
  32. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  33. « Église Saint-Jacques », notice no IA00041521, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. « Logis de Puymoreau », notice no IA00041534, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  35. « Logis de la Couronne », notice no IA00041532, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. « Logis des Chauvins », notice no IA00041532, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. « Moulin de l'Isleau », notice no IA00041533, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. « Salles-de-Barbezieux », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]