Aller au contenu

Puchay

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Puchay
Puchay
L'église Notre-Dame-Saint-Julien.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité CC du Vexin Normand
Maire
Mandat
Thierry Mabyre
2020-2026
Code postal 27150
Code commune 27480
Démographie
Gentilé Puchéens
Population
municipale
624 hab. (2021 en évolution de +2,8 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 36″ nord, 1° 32′ 02″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 177 m
Superficie 13,93 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gisors
Législatives 5e circonscription de l'Eure
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Puchay
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Puchay
Géolocalisation sur la carte : Eure
Voir sur la carte topographique de l'Eure
Puchay
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Puchay
Liens
Site web https://mairie-puchay.fr/

Puchay est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Description

[modifier | modifier le code]

Puchay est un village périurbain du Vexin normand jouxtant Lyons-la-Forêt, situé à 8 km à vol d'oiseau au nord-ouest d'Étrépagny, 14 km au nord-est des Andelys, 33 km au sud-est de Rouen et 21 km au sud-ouest de Gournay-en-Bray

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Coudray, Lisors, Lyons-la-Forêt, Morgny, La Neuve-Grange, Nojeon-en-Vexin et Saussay-la-Campagne.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le Fouillebroc, ruisseau affluent de la Lieure, et donc un sous-affluent de la Seine par l'Andelle, prend sa source au nord-ouest du territoire de la commune, au cœur de la forêt de Lyons[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 760 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Étrépagny à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 774,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Puchay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,2 %), forêts (26 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), prairies (2,4 %), zones urbanisées (2,3 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

[modifier | modifier le code]

La commune compte trois hameaux, les Miclais, les Mesnils et les Hautes Landes.

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 306, alors qu'il était de 289 en 2013 et de 266 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 78 % étaient des résidences principales, 17,3 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient en totalité des maisons individuelles[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Puchay en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (17,3 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Puchay en 2018.
Typologie Puchey[I 2] Eure[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 78 85,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 17,3 6,3 9,7
Logements vacants (en %) 4,7 8,3 8,2

Le nom de la localité est attesté sous les formes Puceium en 778 (Neustria pia), Pulceid vers 1040 et 1066 (Archives de la Seine-Inférieure 55 H)[11], Pucei et Pucheium en 1214 (cartulaire de Saint-Amand)[12], Pucheum en 1238 (cartulaire de Saint-Taurin), Puchoy en 1327 (Trésor des chartes), Puches et Puchez en 1454 (dict. de Brussel), Puche en 1728 (journ. du curé de Vaurouy), Puchey en 1754 (Dict. des postes)[13], Puchy en 1801[14].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Étrépagny[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Gisors

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Eure.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Puchay était membre de la communauté de communes du canton d'Étrépagny, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Vexin Normand, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  1989 Georges Lecoeur    
1989[15] mai 2014 Henri Loerch   Commercial pour la Tuilerie Bérard et Jacob
mars 2014[16] En cours
(au 28 mars 2023)
Thierry Mabyre SE Agent technique
Réélu pour le mandat 2020-2026[17]

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Coudray et de Nojeon-en-Vexin dans le cadre d'un Regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école de Puchay accueille la grande section de maternelle et le cours préparatoire[18].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

En 2021, la commune comptait 624 habitants[Note 2], en évolution de +2,8 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
900932903940998854802389801
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
764732704665652601568570544
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
546526517449405415406416405
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
407383405451380407530571620
2021 - - - - - - - -
624--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie associative

[modifier | modifier le code]

L'association des Amis du Temps Libre de Puchay célèbre en 2019 ses trente ans d'activité au service de l'animation du village[22].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

La commune de Puchay compte un édifice inscrit au titre des monuments historiques :

Deux édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • un manoir des XIVe, XVIe et XVIIIe siècles[24] ;
  • une croix monumentale du XIXe siècle au lieu-dit les Basses-Landes[25].

Le manoir abbatial du XIVe siècle, 1 rue de l'Église, est occupé par la galerie des Curiosités Larraincy[26], personnage de fiction aventurier et érudit du XIXe siècle où sont réunies des collections dans l’esprit de la scénographie des cabinets de curiosités qdu XVIIIe siècle et qui sont à l’origine de la muséographie moderne[27]. Ce lieu accueille de nombreuses animations et expositions[28]... Une salle est aménagée en bibliothèque[29].

Site naturel

[modifier | modifier le code]

L'ensemble formé par l'église, la place de l'Église, les bâtiments de l'ancienne abbaye et le tronçon du chemin vicinal ordinaire de Puchay aux Brissets au droit de ces bâtiments est un site naturel inscrit Logo des sites naturels français Site inscrit (1943)[30].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Robert Litez-Tiverval (1884-1979) et sa femme Louise (1884-1966), reconnus Justes parmi les nations en 2021 pour, durant la Seconde Guerre mondiale, avoir hébergés et sauvés trois enfants juifs de la barbarie nazie : Samuel Chaimovitch, son frère Albert et Charles Mularz, lorsqu'ils habitaient aux « Mesnils » à Puchay[31],[32].

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Fouillebroc (H3259500) ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Puchay et Étrépagny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de l'Eure attestés entre 911 et 1066 : (suite et fin), vol. 1, coll. « Annales de Normandie », , p. 20.
  12. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 754 - (ISBN 2600001336).
  13. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 176.
  14. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. ean-Paul Gosselin, « La médaille d’honneur régionale, départementale et communale pour le maire : Une distinction bien méritée pour Henri Lœrch, élu municipal depuis 1971 et maire depuis 1989. Il a été décoré par le sénateur Joël Bourdin », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Henri Lœrch est élu conseiller municipal en 1971, aux côtés de Raymond Lannier, puis adjoint de Georges Lecœur en 1983, avant de se voir confier les clés de la maire en 1989. Il est également délégué à la Communauté de communes d’Etrépagny depuis sa création en décembre 1966, en charge de l’environnement ».
  16. Jean-Paul Gosselin, « PUCHAY : Thierry Mabyre élu maire », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Comme prévu, Thierry Mabyre succède à Henri Lœrch en qualité de premier magistrat de Puchay. Un passage de flambeau empreint d’une certaine émotion lorsque l’ancien maire a offert son écharpe tricolore à celui qui, quelques jours plus tôt, officiait encore à ses côtés en qualité d’adjoint ».
  17. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  18. Site des écoles de Coudray, Nojeon et Puchay, consulté le 17 ,juin 2023
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « L'association des Amis du Temps Libre de Puchay, dans l'Eure, va fêter ses 30 ans : Les "Amis" tenaient dernièrement leur assemblée générale annuelle sous la présidence de Nicole Martin. Et les 30 ans du club, cette année, leur apporte un vent de nostalgie. . », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Église », notice no PA00099525, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. « Manoir », notice no IA00016973, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. « Croix monumentale », notice no IA00017001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. Site de la Galerie des curiosités Larraincy
  27. « Galerie des curiosités Larraincy », sur eureka-attractivite.fr, Eure tourisme, (consulté le ).
  28. Matthieu Le Tirant, « Découvrez le salon des arts à La galerie Larraincy de Puchay : Ce week-end, c'est un véritable cabinet de curiosités qui s'ouvre à Puchay au public. Un salon des arts qui permettra aux amateurs de se plonger dans un univers artistique unique », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La galerie Larraincy est une œuvre d’art à elle seule, qui vous porte sur les traces des Templiers ».
  29. « À Puchay, la Grande Bibliothèque de Georges-Édouard-Larraincy inaugurée : La Grande bibliothèque de Puchay (Eure) a été inaugurée mi-mai 2022. Elle permet désormais aux habitants de découvrir de nombreux livres mais aussi une Galerie des curiosités », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « L'église, la place, l'ancienne abbaye de Puchay », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
  31. « Dossier n°14147 - Juste(s) », Comité français pour Yad Vashem (consulté le ).
  32. Olivier Bureau, « Seconde Guerre mondiale : le père du maire de Colombes a rendu justice à ses sauveurs : Samuel Chaimovitch voulait que le couple qui les a protégés, lui et son frère, de la barbarie nazie soit reconnu comme Juste parmi les nations. Trois ans après sa mort, il a obtenu gain de cause. Une cérémonie est prévue ce dimanche au Vésinet (Yvelines) », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le 18 juin, l’arrière-petit-neveu des Litez recevra la médaille des Justes parmi les nations au nom de Robert et Louise Litez, à 15 heures, au Vésinet ».